11 novembre 2014
le mur de la honte
il y a vingt-cinq ans, le 9 novembre 1989, le mur de Berlin, surnommé le mur de la Honte par les Allemands de l'Ouest, tombait sous les yeux incrédules du monde.
d'où vient ce mur qui sépare la ville de Berlin en deux fractions infranchissables ?
explications...
"Le mur de Berlin (en allemand Berliner Mauer), « mur de la honte » pour les Allemands de l'ouest et officiellement appelé par le gouvernement est-allemand « mur de protection antifasciste », est érigé en plein Berlin à partir de la nuit du 12 au 13 août 1961 par la République démocratique allemande (RDA), qui tente ainsi de mettre fin à l'exode croissant de ses habitants vers la République fédérale d'Allemagne (RFA).
Le mur, composante de la frontière intérieure allemande, sépare physiquement la ville en Berlin-Estet Berlin-Ouest pendant plus de vingt-huit ans, et constitue le symbole le plus marquant d'une Europe divisée par le Rideau de fer. Plus qu'un simple mur, il s'agit d'un dispositif militaire complexe comportant deux murs de 3,6 mètres de haut avec chemin de ronde, 302 miradors et dispositifs d'alarme, 14 000 gardes, 600 chiens et des barbelés dressés vers le ciel. Un nombre indéterminé de personnes sont victimes des tentatives de franchissement du mur. Cependant, il apparait que les gardes-frontière est-allemands et les soldats soviétiques n'hésitent pas à tirer sur les fugitifs.
L'affaiblissement de l'Union soviétique, la perestroïka conduite par Mikhaïl Gorbatchev, et la détermination des Allemands de l'Est qui organisent de grandes manifestations, provoquent le 9 novembre 1989 la chute du « mur de la honte », suscitant l'admiration incrédule du « Monde libre » et ouvrant la voie à la réunification allemande. Presque totalement détruit, le Mur laisse cependant dans l'organisation urbaine de la capitale allemande des cicatrices qui ne sont toujours pas effacées aujourd'hui. Le mur de Berlin, symbole du clivage idéologique et politique de la guerre froide, a inspiré de nombreux livres et films. Aujourd'hui, plusieurs musées lui sont consacrés."
09:46 Publié dans c'est la vie | Lien permanent | Commentaires (1)
frisquet
On ne change pas
On met juste les costumes d´autres sur soi
On ne change pas
Une veste ne cache qu´un peu de ce qu´on voit
On ne grandit pas
On pousse un peu, tout juste
Le temps d´un rêve, d´un songe
Et les toucher du doigt
Mais on n´oublie pas
L´enfant qui reste, presque nu
Les instants d´innocence
Quand on ne savait pas
On ne change pas
On attrape des airs et des poses de combat
On ne change pas
On se donne le change, on croit
Que l´on fait des choix...
09:24 Publié dans dessous dessus | Lien permanent | Commentaires (5)
maxime 8
s'accrocher
Eva Herzigova by Peter Lindbergh
09:22 Publié dans lamiendo | Lien permanent | Commentaires (0)
Les clowns musiciens
j'aime bien la peinture de Bernard Buffet en général, surtout les toiles sur fond gris ou noir.
celle-ci a un double langage, la normale" gaieté bien connue des clowns, leur instrument de musique qui laisse penser qu'il y a de l'ambiance...
et leur tristesse profonde qui se devine sous leurs traits marqués et le grotesque de leur maquillage.
leur regard est si... si...
"Les clowns musiciens"... comme un reflet d'un sentiment bien connu.
00:06 Publié dans lamiendo | Lien permanent | Commentaires (0)