26 janvier 2015
sensuality
sensuality is back...
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Agir and co
21:32 Publié dans lamiendo | Lien permanent | Commentaires (0)
Demis Roussos
et pendant que le pays fête la victoire de Syriza et espère (enfin presque) en des lendemains qui chantent, Demis lui ne chantera plus...
on pourrait presque croire qu'il n'a pas eu le coeur à supporter tout ce bazar, mais ce serait manquer de respect pour ce large homme à la voix puissante qui a occupé les ondes des radios de mon enfance.
il est décédé ce matin.
adios donc Demis.
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Syriza
Alexis Tsipras, le leader du mouvement Syriza est devenu aujourd'hui le premier ministre grec.
décidé à renégocier la dette de sa nation et à faire revenir les jeunes sur leur terre natale (trop de chômage a fait fuir beaucoup de jeunes vers des contrées plus accueillantes, telle la France), Tsipras a fait alliance avec les Grecs indépendants (Anel) pour obtenir la majorité des siège au Parlement.
pas évident que cette alliance soit une bonne chose, tout comme cette renégociation, qui laisse planer une menace sur l'économie française.
même si Syriza est un parti de gauche radicale qui a fait campagne sur une alternative à l'austérité, Pasok, le parti socialiste grec ne le suit pas et s'est vu "laminé" par l'excellent score de Syriza.
les différents dirigeants de partis de gauche internationaux ont réagi. pour Antonio Costa du parti socialiste portugais ou Pablo Iglesias du parti espagnol Podemos, cette victoire se fête dans la joie.
le porte-parole de la chancelière allemande Angela Merkel a répété qu'il fallait garder la Grèce dans la zone euro mais exclu un troisième allégement de cette dette publique grecque. peut-être une prolongation du plan d'aide en vigueur actuellement ?
cette restructuration de la dette, ça fait des années que Tsipras la réclame pour orienter la nation vers l'humanitaire en augmentant les retraites, supprimant certains impôts injustes, embauchant dans la fonction publique... et pour cela il faut de l'argent frais.
Si Bruxelles ferme ses portes à la Grèce, c'est avec la Chine et la Russie que Tsipras devra s'allier pou trouver des fonds. mais devenir un associé de Poutine n'est peut-être pas l'axe de la politique dessiné par Tsipras....
à suivre donc... de près...
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