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12 mai 2015

réserve citoyenne

on en parle dans Le Figaro, alors, je vous informe... (clin d'oeil à  ma grande soeur)

La ministre de l'Éducation nationale lance ce mardi 12 mai, la réserve citoyenne.

A ce jour, 4 660 personnes se sont préinscrites en trois mois sur le site dédié du ministre.

Au regard des 12 millions d'élèves qui fréquentent les établissements scolaires français, le chiffre apparaît encore modeste alors que Najat Vallaud-Belkacem et François Hollande ont annoncé à plusieurs reprises la création de cette structure. L'idée lancée en janvier par le gouvernement est d'inviter des intervenants à participer à la transmission des valeurs de la République.

Les préinscrits recevront dès aujourd'hui un mail leur proposant de compléter et confirmer leur inscription. Parmi les 4660 préinscrits, on compte 46 % de femmes, 54 % d'hommes. Les académies franciliennes représentent 28 % des inscrits. Parmi les thèmes, les préinscrits ont sélectionné «Citoyenneté et valeurs de la République» pour 2614 d'entre eux ; «Monde professionnel» pour 1729 intervenants ; «Actualité et médias» pour 1390 ; «Histoire et mémoire» pour 1007 ; «Arts et culture» pour 933 ; «Droit» pour 874 ; « Santé et prévention », 863 ; « International », 748 ; « Environnement », 548.

La « réserve citoyenne », inspirée par celle qui existe dans l'armée, repose sur le bénévolat. Rien de très neuf car l'école s'appuie déjà sur des réseaux sociaux et des milliers d'intervenants extérieurs, à commencer par les parents d'élèves. Aujourd'hui, ce sont les établissements qui sollicitent directement ces bénévoles ou associatifs selon les affinités ou les connaissances de tel ou tel professeur ou chef d'établissement avec telle ou telle association ou parent d'élève. Désormais tout va être décidé par chaque rectorat par le biais d'un «référent» interne. L'idée est de centraliser les milliers d'initiatives existantes. La ministre signe aujourd'hui des conventions avec des «ambassadeurs» de la réserve: l'ENA, la Ligue de l'enseignement, les CEMEA, les Francas, le Cnous, la Conférence des présidents d'université (CPU) et la Conférence des directeurs des écoles françaises d'ingénieurs (Cdefi). Tous s'engageront ainsi à promouvoir la réserve citoyenne non seulement auprès de leurs membres, en faisant par exemple intervenir les élèves de l'ENA dans les écoles et établissements scolaires, mais aussi auprès du grand public.

S'agirait-il aussi de "gérer la pénurie" en aidant les collectivités qui ont parfois du mal à trouver des intervenants dans le cadre des activités périscolaires imposées par la réforme de Vincent Peillon ?  

"Les collectivités territoriales ou EPCI compétents peuvent solliciter les services académiques pour faire intervenir un réserviste citoyen de l'éducation nationale, dans le cadre des activités périscolaires qu'elles assurent directement ou via d'autres acteurs dont les associations" apprend-on dans la circulaire relative à la réserve citoyenne de l'Éducation nationale publiée cette semaine, et précise que la réserve s'inscrira dans le cadre défini par la mission confiée par le président de la République au Vice-président du Conseil d'État, Jean-Marc Sauvé et au sélectionneur de l'équipe de France de handball, Claude Onesta.

19:18 Publié dans lamiendo | Lien permanent | Commentaires (0)

is it you ?

cette voix d'un autre temps, si cristalline, délicate et emplie d'une belle lumière...

Nathalie Prass..

19:11 Publié dans lamiendo | Lien permanent | Commentaires (0)

sexisme toujours

voilà un article trouvé dans le Parisien que je vous glisse en entier...

un gros ras-le-bol de cette bêtise-là !

 

« Finalement, nous avons une ministre de la Justice qui pourrait apparaître dans un calendrier de garagiste ».

 Ayelet Shaked, la nouvelle ministre de la Justice israélienne, dont  fait les positions anti-palestiennes font polémiques, est la cible d'attaques sexistes  

Cette phrase  du député de la Knesset, Joseph Paritsky, à l'encontre de la toute nouvelle ministre israélienne de la Justice Ayelet Shaked n'est que la partie la plus voyante du flot de commentaires sexistes qui a accompagné la nomination de la jolie brune de 39 ans au cabinet de Benjamin Netanyahou, le 6 mai dernier.

Dans le flot de commentaires, certains journaux populaires regrettaient aussi de ne pas l'avoir vue sans ses vêtements lors des célébrations récentes de son 39e anniversaire dans un hôtel de Tel Aviv...

Un tel déferlement de sexisme que même les plus farouches opposantes de cette femme politique issue de la droite dure israélienne , ancienne directrice de cabinet de « Bibi » Netanyahou, lorsque'il était dans l'opposition, l'ont défendu.

Zehava Galon, la leader du Meretz, historique parti de la gauche israélienne est même venue à sa rescousse. La femme politique farouche opposante au gouvernement de Netanyahou, a déclaré sur Facebook qu'elle était « fatiguée de tous les commentaires misogynes et sexistes sur Ayelet Shaked. »

« Shaked est une politicienne intelligente et travailleuse avec des vues antidémocratiques et nationalistes. Je ne l'épargnerai pas lorsqu'elle profite de son poste pour endommager notre système légal, mais je n'ai aucune intention de rester silencieuse quand tous les  jours quelqu'un pollue l'arène publique avec des déclarations insultantes à son encontre.» Ces critiques«envoient un message aux femmes et aux filles à quel point cela n'a pas d'importance qu'elles réussissent, et ce même quand elles se voient attribuer un poste ministériel supérieur dans le gouvernement - on les jugera tout d'abord sur leur apparence physique … » a souligné la fervente militante de gauche.

Ayelet Shaked, la nouvelle ministre de la Justice israélienne, dont les positions anti-palestiennes font polémiques, est la cible d'attaques sexistes.

« J'ai l'intention de résister à Ayelet Shaked dans chaque effort qu'elle fera pour affaiblir la Cour suprême et nuire à la démocratie israélienne. Mais quand il s'agira de la façon dont elle est traitée comme femme ou qu'il s'agira de remarques qui visent à la diminuer et à l'insulter qu'elle devra endurer, je serai debout à côté d'elle » a martelé Zehava Galon.