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28 juillet 2015

crac !

"Il y a des moments où l'on croit que l'avenir touche au ciel et qu'on va le prendre avec la main, – crac, une plaine, – un vallon qui descend, et l'on court toujours, emporté par soi-même, pour se briser le nez sur un caillou, s'enfoncer les pieds dans la merde ou tomber dans une fosse."

Gustave Flaubert. Lettre à Ernest Chevalier. 1840

Combattre toutes les violences faites aux femmes

 

 

empty dream

Bells ring over the early morning sadly
I slowly wake up from a distant dream
Time to turn off the light of love close in
Tried to open my lips but in vain, in vain
No words, no thoughts and no emotions at all
I'm always on the run and I hate copy paste for god's sake
I thought you were my split-apart, forever
Not knowing hearts can be broken in two
So many vows, many promises they’re all gone
Like an empty dream and like a fete of mayflies

My life’s too short
And my days are running
As fast as you loved me
Left me



21:42 Publié dans lamiendo | Lien permanent | Commentaires (0)

beurk !

- bonjour madame la marchande.

- bonjour madame Zaza !

- Je ne trouve plus dans votre superbe boutique les délicieux gâteaux à la vanille que j'aime tant.

- Ah ben non, madame Zaza, je n'en ai plus. 

- Oh, dommage ! Je les trouvais si bons.

- Je n'en aurais plus jamais, vous savez, l'entreprise a interrompu la fabrication.

- Mais ce n'est pas possible ! Comment vais-je faire, ils étaient si bons. J'en mangeais tous les jours vous savez, tous les jours depuis un mois et demi, je ne pensais plus qu'à ça, croquer dans ces délicieux gâteaux, j'en avais le goût à la bouche à longueur de journée.

- Oui, mais il n'y en aura plus.

- Non, mais vous imaginez, me priver de ces délices ? C'est impossible ! Je n'y survivrai pas !

- Madame Zaza, je vous l'ai dit déjà hier, vous vous en souvenez ? Vous êtes déjà venue me questionner sur ces gâteaux... Hier je vous ai expliqué, l'entreprise a arrêté la fabrication. Fini. F.I.N.I. Vous ne trouverez plus ces gâteaux en vente nulle part.

- Oh..........

- Ca va, madame Zaza ?

- De toute façon, je vais vous dire madame la marchande, je les trouvais dégueulasses en vérité ces gâteaux, il y avait comme un goût infecte dans la bouche quand on les mangeait, ils étaient secs et si durs à mastiquer. Et puis, la vanille je déteste ce parfum. Comment peut-on avoir l'idée de fabriquer des gâteaux à la vanille, je vous le demande ? En plus, depuis que j'en mange, j'ai pris du poids, je suis sûre qu'ils étaient bourrés de gras et de sucre même pas raffiné. Je le disais à mon mari et on en riait à chaque fois, je lui disais Fernand, ces gâteaux c'est vraiment de la merde, c'est sûr que personne ne doit en acheter et on riait avec mon Fernand, on riait... En plus leur forme en rond, genre "demi-lune" comme si ça allait nous inciter à en acheter, n'importe quoi. Et l'emballage, franchement l'emballage ! Quelle horreur ! J'espère qu'ils ne l'ont pas payé cher le designer qui a créé l'emballage...En plus, votre boutique... merci ! J'aurais honte si j'étais vous d'appeler cela boutique. Ca ne ressemble à rien votre bouiboui !

- Madame Zaza ?

- Quooooiiiii ?

- Sortez de ma boutique, s'il vous plait.