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07 mars 2012

Albert Nobbs

voilà encore une fois la preuve qu'il ne faut pas hésiter à aller au bout de ses rêves, quand on a trouvé ce que l'on veut vraiment...

18:45 Publié dans Film | Lien permanent | Commentaires (0)

29 février 2012

les papas du dimanche

un film bien à propos dans notre société, très beau, très...

 

 

"je n'ai pas peur de la route, faudrait voir faut qu'on y goûte... le vent m'emportera... tout disparaîtra mais... le vent m'emportera"

23:31 Publié dans Film | Lien permanent | Commentaires (0)

27 février 2012

"artist"

Olivier Nobi Nobi a rendu hommage au couronnement du film de Michel Hazanavicius qui s'est produit ce weekend...

parfois, il y a des choses qui nous échappent...

mais Bilo est beau !

19:49 Publié dans Film | Lien permanent | Commentaires (0)

25 février 2012

the greatest

entendu cette chanson dans un film touchant vu hier...

et franchement c'est beau...

14:38 Publié dans Film | Lien permanent | Commentaires (0)

05 février 2012

another family

quand les histoires de famille sont une musique qui blesse l'âme à jamais, dont les fausses notes hérissent poils et coeur...

non dits, faux semblants, des blessures qui se tatouent et jamais ne se nettoient...

destruction, meurtrissure, négation, humiliation, pouvoir, soumission...

on ne devrait jamais accepter ce qui nous fait mal...

parce que "tu ne peux pas les laisser te dire qui tu es et ce dont tu es capable, ils ne comptent pas, l'important c'est toi..."

un film poignant...

14:58 Publié dans Film | Lien permanent | Commentaires (0)

29 janvier 2012

Millénium

je n'ai jamais été portée à voir les gros succès, les "incontournables" que l'on se vante tous d'avoir vus.

jamais vu "la Guerre des Etoiles" ou "Matrix", vu "le grand bleu" et "ET" bien longtemps après à la télé...

je suis une entêtée ne cherhez pas.

là, j'étais réfractaire mais j'y suis allée quand même, accompagnée sinon ce n'était pas la peine, et j'ai adoré ce film.

bon, voilà, je l'avoue... j'ai adoré. j'ai été profondément touchée par certains passages, très émue, très bousculée, très perturbée aussi mais j'ai adoré...

il ne me reste plus qu'à faire comme tout le monde : à lire les 3 tomes !

non, mais, j'vous jure !!!

16:35 Publié dans Film | Lien permanent | Commentaires (0)

23 janvier 2012

la folie Almayer

j'ai entendu ce matin dans ma radio préférée parler de ce film qui est apparemment bouleversant et qu'il faut défendre.

alors je vous en parle vaguement ici, en glissant la bande annonce.

et je croise les doigts pour que ce film vive !


17:01 Publié dans Film | Lien permanent | Commentaires (0)

22 janvier 2012

The "golden" artist

The Artist

j'allais presque oublier d'en parler. voilà ce que j'ai trouvé dans "Libération" :

"Décidément, si The Artist n'obtient pas un gros quelque chose à la prochaine cérémonie des Oscars, ce sera limite un désaveu. Car la moisson de prix et des nominations se poursuit pour le film. Samedi soir, c'est le producteur français Thomas Langmann qui a reçu samedi soir à Los Angeles le prix du Syndicat des Producteurs Américains (PGA), pour le film The Artist, a annoncé dimanche sa société La Petite Reine.

«Le prix Darryl F. Zanuck est le prix le plus important aux Etats-Unis récompensant un producteur», souligne la société de production française. Et surtout, ces quatre dernières années,rappelle le Los Angeles Times, les oscars ont systématiquement récompensé le film primé par le syndicat des producteurs.

«The Artist» et Thomas Langmann, patron de La Petite Reine, étaient opposés à de grosses pointures – sous leur casquette de producteurs – telles que George Clooney (Les marches du pouvoir), Martin Scorsese (Hugo Cabret), ou Steven Spielberg (Cheval de guerre). Les producteurs de Mes meilleures amies,Millénium, les hommes qui n’aimaient pas les femmes, ouMidnight in Paris étaient également en lice.

The Artist, signé Michel Hazanavicius et qui connaît un succès inattendu aux Etats-Unis, a marqué la 69e cérémonie des Golden Globes le 15 janvier, en remportant trois trophées, notamment celui de la meilleure comédie et du meilleur acteur comique pour Jean Dujardin.

Le film, lettre d'amour à l'âge d'or du cinéma hollywoodien, séduit aussi le public américain avec 9,5 millions de dollars de recettes à ce jour, soit plus d’un million d’entrées, selon Unifrance. Bien que muet et en noir et banc, le numéro de claquettes de Michel Hazanavicius, porté par la performance de Jean Dujardin et Bérénice Béjo, est actuellement distribué sur 216 copies aux Etats-Unis, après avoir pourtant démarré dans une extrême discrétion le 25 novembre sur quatre écrans, a précisé jeudi l’organisme chargé de la promotion du cinéma français à l’étranger.

Autre source de satisfaction, The Artist a bien entamé sa carrière au Royaume-Uni, territoire réputé difficile pour les films français, avec 320.000 entrées depuis sa sortie le 30 décembre – un résultat jugé «exceptionnel» par Unifrance.

Tout aussi exceptionnel est d’ailleurs le nombre de ses nominations au Bafta : le film est en tête des nominations aux «César britanniques» avec douze citations dont meilleurs film, scénario original, musique originale, costumes et bande son.

Après son succès aux Golden Globes, The Artist a gagné ses galons de candidat incontournable aux prochains Oscars, dont les nominations seront annoncées le 24 janvier. La cérémonie se tiendra le 26 février."

(AFP)

22:09 Publié dans Film | Lien permanent | Commentaires (0)

29 décembre 2011

Hugo Cabret

adapté du livre de Brian Selznick "L'invention de Hugo Cabret" qui retrace l'histoire d'un jeune garçon de douze ans, féru d'horlogerie comme l'était son père, récemment décédé dans un incendie, vivant seul dans les "combles" de la gare Montparnasse, où il remonte le mécanisme des horloges et qui a un dessein dans la vie : remettre en état un automate hérité de son père..., le film réalisé par Martin Scorcese a quelque chose de légèrement "amateur" qui déçoit.

si les interprétations des jeunes comédiens sont vraiment hasardeuses, j'ai été tellement enchantée de revoir Ben Kingsley dont je suis fan, dans un rôle émouvant.



le livre a été traduit en français par Danièle Laruelle et est paru aux éditions Bayard. 

une lecture à conseiller aux jeunes, je le crois, dans tout ce que le respect et l'estime ont à offrir.

10 décembre 2011

Carnage

inspiré d'une pièce de Yasmina Rheza "Le dieu du Carnage", le film de Polawski est un petit moment de dégringolade sociale et humaine.

comment se démarque-t-on des apparences qui nous donnent convenance ?

Jodie Foster et Kate Winslet sont des enseignantes en la matière hors paire..

derrière le miroir...

21:10 Publié dans Film | Lien permanent | Commentaires (0)

12 novembre 2011

the help

peut-être vous en souvenez-vous, je vous avais parlé de ce roman de Kathryn Stockett...

La couleur des sentiments

le voir en film est très troublant, poignant.

dans cette course au contrat d'édition, certains oublient l'essence même des mots. je ne suis pas de celles qui inventent des mondes parallèles ou transposent leur univers dans un futur imagnaire.

j'ai besoin que mon écriture soit un témoignage. c'est pourquoi ce film, au-delà la société américaine détestable qui y est décrite m'a replacée dans cette nécessaire logique de l'écriture, de la trace laissée, des faits dénoncés, racontés, d'un quotidien narré.

12 octobre 2011

Fitzgerald, Hemingway et Cie

bon, d'accord j'ai du retard pour en parler mais j'ai ressenti une grande émotion en baguenaudant la nuit avec Fitzgerald, Hemingway, Dali et Picasso...

ce film est déboussolant.

un rêve éveillé... (même si, pour avoir lu Nancy Huston, j'ai une certaine réserve envers Scott Fitzgerald... à cause de Zelda...)

03:38 Publié dans Film | Lien permanent | Commentaires (0)

22 août 2011

manque de peau...

 

et vous ? quelle personne êtes-vous ?

21:36 Publié dans Film | Lien permanent | Commentaires (1)

04 juin 2011

August Rush

un film d'une beauté profonde... qui m'a trituré le milieu des viscères...

allez savoir pourquoi...

23:57 Publié dans Film | Lien permanent | Commentaires (0)

19 mai 2011

Melancholia

elle j'en suis fan. lui, un peu moins, surtout depuis ses drôles de déclarations.

Charlotte et Lars.

ils se retrouvent à Cannes, deux ans après "AntiChrist".

dans un film nommé "Melancholia".

l'histoire de deux soeurs.

une vie dans un sens : celle qui tient debout, qui contrôle tout. celle qui n'a rien à perdre.

à un moment tout bascule : l'une craque et s'effondre. l'autre assure pour deux. pour tous. héroïque.

un film à voir. à savourer. j'en suis certaine.

Illustration du film Melancholia

19:22 Publié dans Film | Lien permanent | Commentaires (1)

17 mai 2011

Bertolucci à Cannes

(trouvé sur le site officiel du festival de Cannes : http://www.festival-cannes.fr/fr.html)

 

C’est une nouveauté pour le Festival de Cannes : à partir de 2011, les organisateurs décerneront chaque année une Palme d’or d’honneur, qui sera remise lors de la cérémonie d’Ouverture.

Cette reconnaissance sera attribuée à un réalisateur important, dont l’œuvre fait autorité mais qui n’a jamais obtenu de Palme d’or. Dans un passé récent, Woody Allen, en 2002, ou Clint Eastwood, en 2009, se sont vu remettre cette distinction par le Président Gilles Jacob, au nom du Conseil d’Administration du Festival de Cannes. Désormais, l’acte devient tradition, sera annuel et aura lieu à l’ouverture de la manifestation.

Pour 2011, c’est l’italien Bernardo Bertolucci qui a été désigné.

Le cinéaste, fils du poète Attilio Bertolucci, a marqué le cinéma italien de chefs d’œuvres intimistes comme de fresques monumentales ; de Prima della Revoluzione (1964) à Novecento (1976), du Conformiste (1970) auDernier Empereur (1987), son implication politique et sociale, portée par un profond lyrisme et une mise en scène précise autant qu’élégante, donne à ses films une place singulière dans l’histoire du cinéma mondial.

« La qualité de son œuvre, qui se révèle aujourd’hui dans toute sa singularité et dont l’ampleur nous parvient chaque jour plus intacte, la force de son engagement en faveur du cinéma et des liens qui l’unissent à Cannes font de lui un premier récipiendaire légitime. » déclarent le Président Gilles Jacob et le Délégué général Thierry Frémaux.

La Palme d’or d’honneur lui sera donc remise mercredi 11 mai, lors de la cérémonie d’Ouverture de la 64eédition du Festival, en présence du Jury présidé par Robert De Niro, qui fut l’un des acteurs de Novecento(1900).

08:08 Publié dans Film | Lien permanent | Commentaires (0)

26 mars 2011

Angèle et Tony

merci Alix Delaporte...

 

12:33 Publié dans Film | Lien permanent | Commentaires (0)

06 mars 2011

never...

Never Let Me Go

terrifiant. magnifique, déconcertant !

je le dédie à un homme dont la mort a empêché notre histoire de continuer...

 

 

23:39 Publié dans Film | Lien permanent | Commentaires (2)

23 janvier 2011

somewhere

c'est un des films évènement du moment... je n'ai pas aimé... tant pis...

 

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Les joies d’une vie de star : à Hollywood, au légendaire hôtel Château Marmont, l’acteur Johnny Marco est seul même quand il est entouré. Il collectionne les filles, dont il oublie aussitôt les prénoms, enchaîne les fêtes, où il boit trop. S’il quitte l’hôtel, c’est pour conduire sa Ferrari ou passer des essais pour son prochain rôle. Et si Johnny, déboussolé par la célébrité, tournait en rond ?

Un matin, son ex-femme lui envoie Cleo, sa fille de 11 ans. Forcés de cohabiter, le père très absent et la jeune fille très précoce apprennent à se connaître. Ils se découvrent complices, filent en Italie où Johnny doit faire la promo de son dernier film. Cleo aurait-elle le pouvoir de remettre son père sur les rails d’une vie plus riche de sens ?

Les comédiens

 

Stephen Dorff Johnny Marco

 

"Après avoir fait une trentaine de films, j’ai reçu ce rôle comme un cadeau. Somewhere est un film à part : poétique, tendre, et dans le plus pur style de Sofia. Sofia, que je connais depuis des années mais à qui je n’avais pas parlé depuis un moment, m’a appelé et m’a demandé si elle pouvait m’envoyer le scénario de son nouveau film. Je l’ai lu et le lendemain, je l’ai rappelée pour lui proposer de venir la voir à Paris sur-le-champ pour parler du film avec elle. Lors de ma dernière soirée à Paris, Sofia m’a téléphoné pour me dire que j’avais le rôle. J’ai hurlé de joie. À l’instant où j’ai raccroché, la Tour Eiffel s’est illuminée."

"Je sais ce que c’est que de vivre comme Johnny Marco. Je comprends qui il est. J’ai moi aussi eu mes périodes de glande. Au début du film, Johnny est perdu dans un train-train et un mode de vie décadent. C’est un type sympa mais il boit, et il avale des tas de pilules. Je ne crois pas qu’il soit fier des films qu’il a faits. Soudain, sa fille débarque et bien qu’il se sente incapable d’assumer, il passe plus de temps avec elle qu’il n’en a jamais passé depuis qu’elle est née, plus d’un après-midi en tout cas. Sofia et moi avons discuté du parcours de Johnny, j’étais donc en mesure de visualiser d’où il part et où il va dans sa relation avec sa fille, presque adolescente. On a filmé beaucoup de scènes dans la continuité, c’était formidable."

"Je suis toujours un peu anxieux avant de commencer un tournage. Mais je dois reconnaître que sur celui-là, j’avais le sentiment de savoir exactement ce que je devais faire. J’en avais eu conscience dès la lecture du scénario."

 

Elle Fanning Cleo

 

Une fois Stephen Dorff choisi, ce dernier a fait des essais avec Elle Fanning, la première sur la liste des actrices pressenties pour le rôle de sa fille, Cleo, préado futée.

Il était capital pour la réalisatrice que la relation père-fille paraisse authentique à l’écran. Elle a donc fait en sorte que Stephen Dorff et Elle Fanning passent du temps ensemble avant le début du tournage.

"Stephen et moi avons beaucoup en commun. Il a fréquenté la même école que moi. On se ronge tous les deux les ongles. On est tous les deux originaires de Géorgie et on aime tous les deux nos aliments bien cuits - on aime quand ça croustille ! On a construit une relation père-fille qui perdure en dehors du tournage."

Quand on lui demande comment elle s’est préparée pour les scènes les plus émouvantes du film, Elle Fanning répond simplement : "Je le fais, c’est tout. Je me mets à la place du personnage. Jouer, c’est faire semblant et être naturelle - et rester ouverte à tout ce qui peut arriver."

Sofia Coppola et Harris Savides, Directeur de la photographie

 

Le château Marmont

"Ce lieu est un rite de passage. Depuis des générations, tous les acteurs y ont séjourné. Et j'y ai moi-même passé de longs moments dans les années 90 avant le règne des stars de la téléréalité. C'était un monde à part, alors que de nos jours, le Château est devenu le centre du microcosme, l'oeil du cyclone. C'est pourquoi si je n'avais pas pu tourner là-bas, Somewhere n'aurait pas vu le jour."

Construit en 1929 sur le modèle du château d’Amboise, cet hôtel situé sur Sunset Boulevard à Los Angeles est devenu, au fil des années, un lieu mythique et le théâtre d’événements parfois cocasses ...

En 1954, lors de son audition pour le film La fureur de vivre, James Dean n'hésite pas à grimper à une fenêtre. Quelques années plus tard, Jim Morrison tentera une acrobatie similaire mais avec moins de succès. Voulant atteindre la fenêtre de sa chambre en sautant du toit de l'hôtel et en s'accrochant à un tuyau d'évacuation, il tomba, se blessa au dos et perdit ainsi la huitième de ses neuf vies, selon ses dires. Les membres de Led Zeppelin ont fait de la moto dans le hall de l’hôtel, sous le regard médusé des autres clients. L’histoire ne dit pas si la direction de l’hôtel leur a présenté la facture pour les dégâts causés.

... ou d'événements beaucoup plus tragiques :

Scott Fitzgerald y a succombé à une crise cardiaque. Le 5 mars 1982, John Belushi (l’un des Blues Brothers) meurt d’une overdose dans l’un des bungalows situés dans les jardins de l’hôtel. En janvier 2004, Helmut Newton percute, au volant de sa voiture, un mur de l’allée de l’hôtel et meurt dans l’accident.

Et puis, il y a la légende.

Il se dit que Billy Wilder refusait de descendre dans tout autre hôtel à Los Angeles quitte à dormir dans une baignoire si le Château affichait complet, que derrière ces murs, Jean Harlow, alors en pleine lune de miel, aurait trompé son mari avec Clark Gable ou encore que Natalie Wood et Nicolas Ray y ont vécu une folle passion... Info/Intox. Who knows ?

D'Errol Flynn à Robert Pattinson, en passant par Marilyn, Brando, Johnny Depp ou Di Caprio, toutes les générations d'Hollywood y ont séjourné. Robert de Niro a l’habitude de réserver un penthouse. En 1956, c'est également un penthouse qu'Elizabeth Taylor loua pour Montgomery Clift. Victime d’un grave accident de voiture, il y passa sa convalescence.

Le Château Marmont offre 63 chambres, suites et bungalows. Si vous avez envie de vous offrir une nuit sur place il vous en coûtera de 370$ pour une simple chambre jusqu'à 3700$ pour la suite penthouse de 500m² avec vue panoramique sur Hollywood....

 

22:47 Publié dans Film | Lien permanent | Commentaires (6)