05 juin 2016
Kidélires
pendant deux jours, je dédicace mes ouvrages jeunesse au festival Kidélires, à la Roque d'Anthéron en compagnie de chouettes auteurs, sur le stand de la librairie aixoise Oh les Papilles !
une belle occasion de partager du champagne, comme chaque année !
11:08 Publié dans les salons où je vais | Lien permanent | Commentaires (0)
le double gagnant
franchement ces deux femmes sont un bonheur pour les yeux.
charmantes, complices, motivées et efficaces, ces deux tenniswomen sont des championnes.
Kristina Mladenovic et Caroline Garcia sont en finale du double femmes aujourd'hui à Roland Garros et c'est un pur plaisir de les voir jouer. les Russes Ekaterina Makarova et Elena Vesnina n'ont qu'à bien se tenir...
11:01 Publié dans lamiendo | Lien permanent | Commentaires (0)
Mohammed Ali
A la croisée du mythe et du scénario hollywoodien, la vie de Cassius Clay – le nom d’origine de Mohamed Ali – bascule sur un banal larcin. Et qui sait, celle-ci aurait été sans doute radicalement différente si, cet après-midi d'automne 1954, parti s'empiffrer de pop-corn, l'étourdi n'avait pas laissé son vélo tout neuf à la merci du premier voleur de passage. Vexé, le jeune Clay veut en découdre et se rend dans une salle de boxe. Douze ans, quarante kilos tout mouillé, mais déjà plein d'aplomb. «Ce gars est foutu, je vais le terminer à la première reprise», prédit-il à la gazette locale avant son premier combat.
Fils d'une famille modeste, Clay grandit à Louisville, cité industrielle du Kentucky déchirée par la ségrégation raciale. Plus à l'aise sur les rings que sur les bancs de l'école, il remporte, en 1959, le prestigieux tournoi des Golden Gloves. A Rome, l'année suivante, il surpasse sa peur de l'avion pour s'adjuger l'or olympique, chez les mi-lourds. Après une centaine de rencontres amateurs, le phénomène passe professionnel à 18 ans sous la tutelle d'Angelo Dundee, son homme de coin de toujours.
Spectaculaire, par son jeu de jambes et ses esquives d'un temps nouveau, Clay monte rapidement dans la hiérarchie des poids lourds. A peine quatre combats à son actif, il ridiculise Ingemar Johansson, ex-roi de la catégorie, lors d'une séance de sparring. Insolent, il déclame, parfois en vers, des odes à son talent devant la presse qui se délecte. En 1962, il envoie au tapis Archie Moore, ancien champion du monde des mi-lourds. Un an plus tard, il triomphe d'Henry Cooper à Wembley et s'offre une chance mondiale face à Sonny Liston."
10:52 Publié dans lamiendo | Lien permanent | Commentaires (0)