Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

11 décembre 2017

comment va le monde ?

j'aime l'idée qu'un jour, on vivra tous en équilibre et respect, mais on en est loin, c'est certain...

si on fait un rapide tour d'horizon : le Yemen vit une des pires crises humanitaires mondiales : "l'Arabie saoudite a pris la tête d'une coalition militaire pour affronter la rébellion houthi qui avait a pris le contrôle d'une partie du Yémen: une guerre qui, depuis mars 2015, a fait plus de 8750 morts et divise la région, l'Iran chiite étant accusé de soutenir militairement le soulèvement. Parmi les tués dans ce conflit, l'ex-président Ali Abdallah Saleh, assassiné le 4 décembre 2017 par des rebelles et anciens alliés, au sud de la capitale Sanaa. Il avait tenu le pouvoir pendant 33 ans. Le Yemen est soumis à un blocus imposé par Ryad, qui héberge le chef de l'État Abd Rabbo Mansour Hadi en exil, alors que pendant ce temps, la menace djihadiste s'est étendue, entre la concurrence d'Al-Qaïda dans la péninsule arabique (Aqpa) et de Daech."

les bactéries Salmonella retrouvées dans du lait maternel industriel Lactalis qui questionnent sur cet hygiène qu'on ne fait que renforcer et qui nous résiste plus encore.

Donald Trump qui reconnaît Jérusalem, la ville trois fois sainte, comme capitale d'Israël, accédant à une demande ancienne d’Israël, sans évoquer la revendication des Palestiniens et se gardant de se prononcer sur un partage de la ville, qu’Israël refuse. le conflit dans cette ville remonte à l’éclatement de l’Empire ottoman, à la fin de la première guerre mondiale. en 1947 les Nations unies (ONU) ont voté le partage de la Palestine en deux Etats : l’un arabe, l’autre juif. Jérusalem est exclue de ce plan et doit passer sous le contrôle de l’ONU, qui garantit la liberté d’accès aux lieux de culte. en 1949, le jeune Etat d’Israël transfère sa capitale de Tel-Aviv à Jérusalem-Ouest. depuis 1967, Israël considère Jérusalem comme sa capitale « indivisible et éternelle ». aujourd'hui, la ville reste séparée en deux : la partie ouest, où se trouvent les institutions d’Israël (la Knesset et la plupart des ministères, la banque centrale…), est presque exclusivement peuplée de juifs (290 000 sur 300 000) ; la partie est, revendiquée par l’Autorité palestinienne, est peuplée par près de 500 000 habitants, dont 60 % d’Arabes et 40 % de juifs. or, depuis des années, Israël encourage la colonisation de Jérusalem-Est, en construisant des logements dans la ville et la banlieue, ou en favorisant l’installation de juifs orthodoxes dans plusieurs quartiers afin d’organiser un « mitage territorial » des quartiers arabes et d’empêcher la continuité entre Jérusalem-Est et le reste du territoire palestinien, en Cisjordanie.

autre sujet de territoire : la Corse. Gilles Simeoni et Jean-Guy Talamoni, principales têtes d’affiche de la coalition nationaliste ont remporté à 56% le premier tour des élections territoriales. les nationalistes attendent un second tour extraordinaire. "Si la question de l’indépendance n’est pas à l’ordre du jour, la coalition nationaliste espère bien pouvoir avancer en cas de victoire sur ses trois revendications-clés : amnistie pour les « prisonniers politiques », coofficialité de la langue corse et statut de résident, pour combattre, selon les nationalistes, la spéculation immobilière sur l’île de Beauté." à suivre...

08:13 Publié dans lamiendo | Lien permanent | Commentaires (0)