17 novembre 2011
concours "petits bonheurs"
bon, alors, go ! parce que G-Rare doit venir plus souvent sur ce blog, je réinstalle les petits concours.
et pour commencer je vais m'inspirer de ce petit livre des éditions Escabelle, pour vous demander de me décrire votre plus beau "petit bonheur d'enfant".
soyez original et étapez-nous si vous voulez avoir une chance de monter sur le podium. résultat : mercredi prochain...
et en attendant, je vous laisse déguster ce petit ouvrage...
10:35 Publié dans littérature | Lien permanent | Commentaires (9)
Commentaires
Quand j'étais petit, j'allais faire de la natation les mercredis après-midi. On terminait en général vers 16h00, et j'avais dans mon sac un petit pain viennois en forme de bonhomme que je mangeais dehors en attendant mon papa ou ma maman. Et j'adorais par dessus tout déguster mon petit pain en hiver, tout emmitouflé dans mon anorak, la tête encore fumante et humide de l'eau tiède de la piscine.
Je ne sais pas si c'est mon plus beau "petit bonheur", mais j'en ai souvent la nostalgie :)
Écrit par : Gynux | 17 novembre 2011
je ne saurais répondre à "est-ce ton plus beau petit souvenir" mais je le trouve tellement mignon... à croquer... justement, moi, qui reviens à l'instant de la piscine, je m'y verrais bien...
bon, attendons de voir les autres "petits bonheurs".
je t'embrasse mon pirate !
Écrit par : calouan | 17 novembre 2011
Pas assez de souvenirs. :(
Écrit par : laura Millaudl | 17 novembre 2011
Petite, j'habitais à Nîmes, aux beaux jours le dimanche nous allions passer la journée au Grau du Roi, un vrai déménagement, siéges pliants, parasol, rabannes, glaciéres ... Un ami de la famille avait fabriqué un tellinier, engin d'une autre époque pour ratisser ces délicieux petits coquillages. La journée se passait entre jeux , baignades, repas et pêches diverses. Le soir en rentrant, nous nous arrêtions en bord de route pour ramasser sur le fenouil sauvage de petits escargots blancs qui bouillis se dégustaient en vinaigrette en les sortant de leur coquille avec un épingle ... le bonheur, non ?
Écrit par : Betty | 18 novembre 2011
J'avais 4-5 ans et j'accompagnais mon grand-père qui arrosait le jardin. Pendant qu'il arrosait, je plantais des petits bâtons. Il me demande pourquoi et je lui réponds que c'est pour faire pousser des fleurs. Le lendemain matin, à mon réveil, je pars voir mes petits bâtons et incroyable!!! Il y avait des petites fleurs à la place ;-) J'étais super heureuse, mais pas autant que mon grand-père ;-) Des années plus tard, mon père m'a avoué que mon grand-père avait passé sa soirée à planter des fleurs à la place de mes bâtons :-)
Écrit par : Christine Pompéï | 18 novembre 2011
D'abord il y avait la petite route qui serpentait. Celle défoncée par les racines des platanes, ça cahotait de partout dans la voiture, et si on s'était endormis pendant le trajet, ça avait le mérite de nous réveiller directement. Ensuite on passait sur le petit pont (celui d'où parfois, on voyait la cascade gelée quand il faisait très froid l'hiver). Et puis, au milieu de nulle part, le petit chemin de cailloux, très droit, lui, dominant l'immense terrain, qui menait jusqu'à la chaumière. Garer la voiture, descendre en courant, pressée de les voir. Griffon et Bijou, puisque nous les appelions ainsi, puis Griffon toute seule (un sale coup du crabe qui avait emporté le Grand-père en 2 mois de temps). Se lover chez eux comme nulle part ailleurs, faire le tour de la maison pour la redécouvrir à chaque fois, la cheminée, les escaliers qui craquent, retrouver nos jouets, descendre en bas du jardin dire bonjour à la rivière qui y serpentait. Et surtout, surtout, le plus incontournable dans tout ça: l'odeur du pain grillé, le matin, quand on est encore un peu ensuqué. Cette odeur si particulière, parce que c'était un vieux grille-pain, un où il fallait retourner soi-même ses tartines, et que régulièrement on oubliait. Alors ça sentait un mélange de brûlé et de grillé-juste-comme-il-faut. Et on s'asseyait sur les horribles chaises en formica, très années 70, pour profiter du petit déjeuner en regardant les oiseaux qui picoraient les graines sur le rebord de la fenêtre.
Écrit par : gaëlle | 18 novembre 2011
attention, le concours se finit demain soir.... résultats : mercredi !!!
(G-Rare ????)
Écrit par : calouan | 21 novembre 2011
Ce G-Rare s'en était allé dans la capitale des Gaules non pour le Forum de Liberation sur le thème des nouvelles frontières, qui commence aujourd'hui, mais pour un séminaire professionnel de deux journées et n'a pas trouvé le temps de se pencher sur son passé. Il est est désolé et s'en excuse auprès de la Maitresse.
Écrit par : Gérard | 25 novembre 2011
t'inquiète, vagabond, on t'attend pour la suite des aventures... n'empêche, te revoilà fidèle on dirait... ;) pari réussi !!!
Écrit par : calouan | 25 novembre 2011
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