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24 mai 2013

moustaki barbiki...

on le savait malade, alors on n'est pas vraiment surpris.

même si ça coupe toujours le souffle de savoir que durant toute sa propre vie, un homme a chanté pendant qu'on se contentait de grandir, et que maintenant qu'on est grand, il ne chantera plus.

il est des voix qui tiennent chaud et qui en imposent. la sienne en faisait partie.

adios Georges Moustaki.

Commentaires

C'est triste, infiniment triste, le Georges (il s'est appelé ainsi en hommage à Brassens)s'en est allé discrètement comme il s'est toujours comporté. Eddy Mitchell l'appelait "Monsieur 1 volt", Georges aimait souvent le rappeler, avec ce détachement des choses futiles qui lui était si caractèristique. L'hommage de François Morel ce matin, sur France Inter (chronique tous les vendredis vers 8H55) m'a beaucoup ému voire pleurer (mais ça je ne le vous dirai pas)
Ah oui, bonne nouvelle, histoire de rire un peu, Marine Le pen s'est cassé "le cul" en tombant dans sa piscine qui avait eu la bonne idée d'être vide. Encore un effort la piscine, svp.

Écrit par : amidegeorges | 24 mai 2013

je revenais du jog, fait plus tardivement que d'habitude quand François a commencé à parler. quand il a eu fini, je me suis rendu compte que je frissonnais, l'humidité de la course et certainement aussi l'humidité ambiante, cette émotion qui serre les coeurs pour en torde quelques vibrations encore... c'est con, mais moi quand c'est comme ça, je pense aussi à l'homme que j'aime...

Écrit par : calouan | 24 mai 2013

A récouter de suite sur internet alors pour profiter de la totalité de la chronique de FM.
Sinon, c'est pas con du tout ce que tu écris, on ne dit jamais assez aux gens qu'on aime qu'on les aime parce qu'une fois plus là ... là, pour le coup, ce que j'écris c'est con (traduire : banal) mais malheureusement vrai.

Écrit par : jean | 24 mai 2013

bon ce n'est pas con mon jean, ce que tu dis, c'est justement parce qu'il n'est plus là que je pense à lui dans des moments comme ça et je me dis que là-haut ils doivent commencer à bien se marrer tous ces mecs bien qui d'en vont, nous laissant privés d'eux et ivres de nos souvenirs... et ils ont bien raison.

Écrit par : calouan | 24 mai 2013

la vie est également faite de ce qu'on peut appeler le "non vécu", qu'on aurait pu vivre si ... car heureusement notre esprit, notre imagination, nos souvenirs sont là, en nous bien au chaud, et nous permettent de voyager avec les gens qu'on a aimés et qui ne sont plus là, de vivre ainsi des moments en les associant, en les rendant plus présents encore, à nos côtés, comme une main sur l'épaule. Il faut surtout pas se gèner, surtout si ça fait du bien. Gbisous.

Écrit par : jean | 25 mai 2013

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