09 octobre 2012
mardi
photo volée sur le FB de Johanna Krowicz
21:26 Publié dans un peu de moi | Lien permanent | Commentaires (6)
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photo volée sur le FB de Johanna Krowicz
21:26 Publié dans un peu de moi | Lien permanent | Commentaires (6)
Commentaires
"Là une flamme jaillit et résiste au temps
Une étincelle brille, se soulève, être vivant
Une brindille volette sous le vent
Il y a du monde tout autour
Du monde tout autour
Une lumière à presque chaque étage
Où livre s'y livre comme un levant
Tant de limites, de lézards, d'océans
Tant de mobiles, de surfaces, d'éléments
Là je m'attache, là je me rends
Là je m'éloigne, la vie s'écoule lentement
Et c'est en charge collée aisément
Être à la marge caressée par le temps
Là je m'attache, là je me rends
Là je m'éloigne, la vie s'écoule lentement
Une brindille volette sous le vent
Une étincelle brille, se soulève, être vivant."
Écrit par : Sourire | 10 octobre 2012
"Trop de tension !
Pas assez de tendresse.
Seule la caresse
Jugule la pression.
Tout comme le soleil
Perce le tonnerre
Et féconde la Terre
Dans les couleurs universelles
De l'arc-en-ciel.
Trop de détresse !
Pas assez d'affection.
Seule une friction
D'amour diffuse l'allégresse.
Tout comme la Terre
Porte la graine en son sein
Et nourrit la plante de sa chair
Dans le scintillement divin
De la rosée du matin. "
Écrit par : calou an12 | 10 octobre 2012
d'abord l'odeur
qui emporte le coeur
la même encore
une trace sur le corps
ensuite la peau
que tangue le radeau
les courbes connues
les émotions à nu
les sucs les saveurs
sensualité sans peur
jamais plus jamais
ne se frotter au passé
et demain ainsi
recommencer le mardi
Écrit par : calouan | 10 octobre 2012
Lecteur, as-tu quelquefois respiré
Avec ivresse et lente gourmandise
Ce grain d’encens qui remplit une église,
Ou d’un sachet le musc invétéré ?
Charme profond, magique, dont nous grise
Dans le présent le passé restauré !
Ainsi l’amant sur un corps adoré
Du souvenir cueille la fleur exquise.
De ses cheveux élastiques et lourds,
Vivant sachet, encensoir de l’alcôve,
Une senteur montait, sauvage et fauve,
Et des habits, mousseline ou velours,
Tout imprégnés de sa jeunesse pure,
Se dégageait un parfum de fourrure.
Écrit par : Charles B. | 10 octobre 2012
Soyons courageux, soyons fous,
Jamais aucune économie
Jamais se demander jusqu’où,
La sagesse est une momie.
Jean Cocteau
Écrit par : calouan | 10 octobre 2012
On vous laisse entre vous ... :)
Écrit par : Laura Millaud | 10 octobre 2012
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