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17 décembre 2012

crâneuse

ne rien dire, crâner, faire illusion

rester campée sur sa déciison

faire taire les crampes les torsions

parce que je le vaux bien, attention !

18:30 Publié dans dessous dessus | Lien permanent | Commentaires (8)

Commentaires

Elle peut ! :)

Écrit par : Laura Millaud | 17 décembre 2012

non, pas forcément... elle se sent un peu conne d'avoir tout gâché, d'avoir rien voulu entendre, de s'être crue plus forte de les autres...
mais bon, maintenant, elle doit faire face, alors elle serre les dents...

Écrit par : calouan | 17 décembre 2012

Tu es dans un soir noir ... :)

Écrit par : Laura Millaud | 17 décembre 2012

mais non, t'inquiète, c'est juste histoire de jouer avec les mots... ;)

Écrit par : calouan | 17 décembre 2012

:)

Écrit par : Laura Millaud | 18 décembre 2012

Histoire plutôt de jouer avec les maux avant qu'ils ne se jouent de nous et en se faisant pourquoi pas, soyons fous, des bisous sur les joues (et ailleurs)

Écrit par : Herji | 18 décembre 2012

oui voilà jouer aussi avec les maux, parce que finalement on en mourra pas.. pas encore en tout cas...

Écrit par : calouan | 18 décembre 2012

Pas encore, pas encore, comme tu y vas. Ce vendredi, selon le calendrier Maya, la terre devrait fricoter avec une autre planète et tel notre petit coeur rencontrant une abeille qui lui plait, ça devrait faire BOOM.

Alors comme le chante si bien Ricardo Cocciante :

Aimons-nous pour l'instant présent
Pour aujourd'hui pour maintenant
Aimons-nous juste en attendant
L'apocalypse, la fin des temps

Le monde n'est pas trop rassurant
Les bombes font du bruit en tombant
Et nous font vivre intensément
L'instant présent
Intensément

Aimons-nous pour l'instant présent
Pour aujourd'hui pour maintenant
Aimons-nous juste en attendant
L'apocalypse, la fin des temps

Si je pouvais arrêter le temps
Je t'emmènerais sur un bateau blanc
Pour aller vivre intensément
L'instant présent
Intensément

Et on s'en irait, la clé sous la porte
On s'en irait ou le vent nous emporte
Laissant derrière nous les sirenes qui sonnent
On décrocherait le téléphone

Ou sont les rêves de nos vingt ans
On court après la gloire et l'argent
Au lieu de vivre intensément
L'instant présent
Intensément

Et on s'en irait sans laisser d'adresse
Absents quelque temps pour cause de stress
Laissant derrière nous les affaires qui pressent
On dirait bonjour à la tendresse

Aimons-nous pour l'instant présent
Pour aujourd'hui pour maintenant
Aimons-nous juste en attendant
L'apocalypse, la fin des temps

Avons-nous perdu nos cœurs d'enfants
A trop vouloir être des gagnants
Sans savoir vivre intensément
L'instant présent
Intensément

Écrit par : Ricardo | 19 décembre 2012

Les commentaires sont fermés.