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04 février 2013

histoire d'eau

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la nuit je mens

je m'en lave les mains...

Commentaires

Joli photo. :)

Écrit par : Laura Millaud | 05 février 2013

ha ha...c'est bon ce jeu de mots...tu crois que ponce pilate avait une aussi jolie chute de reins???

Écrit par : Babelle | 05 février 2013

MaBelle, c'est extrait d'une chanson de Bashung.. ne me dis pas que tu ne connais pas...
"j'ai dans mes bottes des montagnes de questions..."

Écrit par : calouan | 05 février 2013

...et non, j'aime pas trop Bashung, je préfère Charlélie....le machin qui vole sans ailes...

Écrit par : Babelle | 05 février 2013

eh bien voilà, maintenant tu connais.. d'où l'intérêt d'aller fouiner chez les copines... ;)

Écrit par : calouan | 05 février 2013

Ah si tiens ça me revient, je connais, je me rappelle même la voix trainante...

Écrit par : Babelle | 05 février 2013

ceci dit j'aime beaucoup Charlélie aussi, et son oiseau qui vole toute la nuit, je l'ai beaucoup écouté aussi !

Écrit par : calouan | 05 février 2013

Mais les mains elles ne mentent jamais, "ces mains qui vous font du fla-fla, ces mains ruminantes qui meuglent" . Tout petit extrait de l'une des plus belles chansons du monde "La mémoire et la mer" de Léo Ferré qu'il suffit d'écouter en se laissant bercer par la beauté des mots et ainsi voyager gratos. Comme "La nuit je mens", pas besoin de tout comprendre (à quoi bon) pour trouver ça magnifique et envoutant. Ah oui, sans rapport avec le Mali (quoi que ...) La nuit je mens fait partie de l'album "Fantaisie militaire" ... Bien à vous.

Écrit par : J'en ris car | 07 février 2013

on peut citer aussi :
"J'voudrais travailler encore - travailler encore
Forger l'acier rouge avec mes mains d'or
Travailler encore - travailler encore
Acier rouge et mains d'or"

de Bernard Lavilliers...
mais là en l'occurrence, les main s ne me semblent pas être ce qui se lavent le plus...

Écrit par : calouan | 07 février 2013

Certains se sont essayés à interpréter La mémoire et la mer. La version de Bernard Lavilliers est sans doute l'une des plus réussies, avec celle de Philippe Léotard. Sa voix profonde et chaude s'y prêtait parfaitement.

Rappelle-toi ce chien de mer
Que nous libérions sur parole
Qui gueule dans le désert
Des goèmons de nécropole
Je suis sûr que la vie est là
Avec ses poumons de flanelle
Quand il pleure de ces temps-là
Le froid tout gris qui nous appelle
Je me souviens des soirs là-bas
Et des sprints gagnés sur l'écume
Cette bave des chevaux ras
Au raz des rocs qui se consument
...

Écrit par : le fantôme Jersey | 08 février 2013

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