02 novembre 2013
SAS orphelin...
d'aucuns diraient qu'il y a littérature et littérature, que livre ne veut pas forcément dire ouvrage et qu'on ne peut mélanger torchons et serviettes.
soit.
moi je réponds que lire, c'est lire et que la liberté consiste justement à aimer ce qu'on lit, à lire ce qu'on aime sans écouter la bienséance culturelle et parfois imposante qui nous demande de se ressembler tous en bien pensants mondains...
Gérard de Villiers écrivait des romans d'espionnage où le vocabulaire n'était pas "soutenu" et où le héros Malko Linge emportait ses lecteurs dans des pays lointains, dans des aventures épicées.
il avait 83 ans et venait de publier son 200e SAS : "la vengeance du Kremlin"...
franchement, moi, je tire mon chapeau. on connait ce monde de l'édition (enfin moi oui) difficile et incertain. il avait réussi à fidéliser ses lecteurs et à se renouveler à chacun de ses titres, chacune des aventures de Malko et ce n'est pas si évident...
18:48 Publié dans lamiendo, littérature | Lien permanent | Commentaires (3)
Commentaires
Il y a longtemps, j'adorais les "SAS" . Je crois que c'était lui écrivait les "Brigades mondaines" aussi.
Écrit par : Laura Millaud | 02 novembre 2013
moi je lisais les San Antonio... j'adorais.
Écrit par : calouan | 04 novembre 2013
Ah Sana ... Bérurier ... Frédéric Dard, sans polémiquer (un peu quand même)c'était aut' chose. Un très grand monsieur qui savait que sans humour la vie n'était pas vivable et il ne se gênait pas pour nous inventer des formules et des situations hilarantes.
Écrit par : jean | 05 novembre 2013
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