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10 janvier 2016

écoféminsite 2

Phyllis Omido, est jeune maman, allaitant son enfant, quand elle réalise que son propre lait empoisonne son enfant. elle décide de motiver la communauté de Monbassa pour se révolter contre la fonderie qui expose la population à des produits chimiques dangereux.

"L'industrie solaire en plein essor au Kenya a augmenté la demande pour le plomb, récupéré par recyclage des batteries de voiture dans les fonderies. Les bidonvilles à travers Mombasa, où les travailleurs pauvres, les marginalisés sont désespérément du travail, sont des points chauds pour une telle activité industrielle.Parmi eux se trouve Owino Uhuru, où une fonderie fumées émises chargé de plomb, souvent la nuit pour éviter la détection, et libéré eaux usées non traitées qui est déversé dans les cours d'eau que les résidents utilisent pour se laver, cuisiner et nettoyer."

que fait l'entreprise pour protéger ses salariés ? elle fournit une fois par mois des gants en coton qui se désintègrent en quelques jours.

Phyllis Omido, du plomb dans l'air des pollueurs

"Après un combat de cinq ans, cette Kényenne a réussi à obtenir la fermeture d’une fonderie qui empoisonnait des centaines d’habitants d’un bidonville oublié dans le sud du pays.

« Mama Moshi ! Mama Moshi ! » Phyllis Omido ne peut plus poser un pied dans ce quartier sans que les habitants l’interpellent. « Ce surnom signifie ’’ Mère fumée ’’ en swahili, la langue locale. Ils m’appellent comme ça depuis mon combat contre les fumées toxiques », explique-t-elle, tout sourire."

Phyllis Omido a remporté le prix "Afrique de l4est - Erin Brockovich"... tout un symbole !!

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