09 mai 2012
crions, enfants...
des cris j'en ai poussés.
passionnée. concernée. rassurée. enchantée. peut-être un brin enivrée, je l'avoue.
des cris j'en ai poussés.
mais aucun n'aura jamais cette valeur-là. pénucnière la valeur bien sûr. parce que pourquoi pas une valeur émotive, une valeur convaincue, une valeur de sincérité.
mais si pécune se rapporte à l'argent, aucun donc de mes cris n'atteindra la valeur de celui-ci...
diantre, mais comment ouvrir la bouche désormais sans peur d'être affichée au top 10 des comptes en banque...
Munch est un génie.
pas moi.
voilà...
Le cri, Edvard Munch
15:00 Publié dans c'est la vie | Lien permanent | Commentaires (0)
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