30 novembre 2017
La Villa
je pleure et déplore le manque de bienveillance dans cette société qui détruit les hommes et les femmes, l'environnement, les liens, le respect de l'autre, la créativité...
Robert Guédiguian m'a offert deux heures de bienveillance délicate et subtile, d'amour diffusé en dose mousseline, de réflexion sur ce qui importe dans la vie, sur la réparation, avec Marseille, le beau Marseille, celui des calanques, celui de la mer et des instants précieux...
(et la musique de Bob Dylan, c'est cadeau !)
08:20 Publié dans Film | Lien permanent | Commentaires (0)
Les commentaires sont fermés.