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11 novembre 2015

Glucksmann is dead

André Glucksmann était essayiste et philosophe français.

un "nouveau" philosophe qui fut maoïste puis altantiste et était proche de Bernard Henri Levy.

il a changé régulièrement de combat, il a soutenu Nicolas Sarkozy en 2007, il a écrit des ouvrages forts et contreversés, comme "La cuisinière et le mangeur d'hommes, réflexion sur l'Etat" où il établit un parallèle entre nazisme et communisme...

et il est mort.

hier.

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23:12 Publié dans lamiendo | Lien permanent | Commentaires (0)

08 novembre 2015

20 ans

"votre fille a vingt madame que le temps vite,

hier encore madame elle était si petite..."

c'est aujourd'hui...

21:12 Publié dans lamiendo | Lien permanent | Commentaires (2)

Pierrefeu

aujourd'hui, avait lieu la 7e édition du salon du livre de Pierrefeu.

un peu de petits lecteurs, un peu de partages et des petits bonheurs.

de quoi se contenter.

 

8 novembre

ce n'était pas un dimanche comme les autres.

ma grande fille avait 14 ans, la famille était là, une famille boiteuse, chancelante, malade, sclérosée, abîmée sur le déclin. une famille qui n'est plus que l'ombre d'elle-même.

je faisais semblant d'être dans le bain, je jouais le jeu, je ne pensais qu'à lui, à ma vie qui allait prendre un tournant important dès le lendemain, à nos partages à venir, nos inséparables partages.

je recevais ses messages que je lisais en cachette dans la cuisine.

il y avait des tensions autour de la table, ça me pesait.

il y avait la joie de ma fille, ça me plaisait.

ce n'était pas un dimanche comme les autres.

quand il a appelé le soir pour savoir comment ça s'était passé, j'étais en vrac.

il était en vrac également.

ensemble nous allions recoller nos morceaux, faire de ce drôle de puzzle un bonheur incommensurable.

ce n'était pas un dimanche comme les autres.

ce ne sera jamais un dimanche comme les autres.

c'était le 8 novembre 2009.

c'était il y a 6 ans.

07 novembre 2015

il nous restera ça...

on voulait faire une famille...

18:15 Publié dans lamiendo | Lien permanent | Commentaires (0)

prix Médicis

Nathalie Azoulai remporte prix Médicis 2015 avec son roman "Titus n'aimait pas Bérénice"

"Comme son titre l'indique un peu, «Titus n'aimait pas Bérénice» tourne très clairement autour de Racine et de sa terrible vision des passions. Il commence comme l'éternelle histoire d'une femme (nommée Bérénice) qui vient d'être quittée par l'homme qu'elle aime (nommé Titus). Elle trouve alors de quoi se consoler dans les vers et la vie de l'auteur de «Bérénice» (1670), cette tragédie en cinq actes particulièrement épurée, qui présente la singularité de mobiliser essentiellement des passions nobles. 

L'héroïne du roman se récite ainsi de fameux tubes comme «Captive, toujours captive, importune à moi-même» ou «Tout m'afflige et me nuit et conspire à me nuire.» Elle doit même avoir tendance à en gaver son entourage, puisqu'elle se sent obligée, «pour contrebalancer le sérieux que ses citations provoquent quand elle les jette dans la conversation», de lâcher que «Racine, c'est le supermarché de l'amour»

Mais cette homéopathie-là n'a qu'un temps. Au bout d'une dizaine de pages, la Bérénice de Nathalie Azoulai se prescrit donc un traitement de choc, en se lançant dans le récit biographique de son tragédien de chevet: 

C'est un défi plein de dépit. C'est un pari. Si elle comprend comment ce bourgeois de province a pu écrire des vers aussi poignant sur l'amour des femmes, alors elle comprendra pourquoi Titus l'a quittée.»

Ce récit biographique, qui nous fait croiser Molière, de séduisantes comédiennes et quelques courtisans du roi Louis XIV, compose alors 90% du roman, rédigé au présent et à coups de phrases courtes qui s'interrogent sur la manière dont on devient aussi génial que Racine. Il n'est pas dit que Nathalie Azoulai mette au passage le doigt sur la formule magique, mais comment lui en vouloir ? "

 

Nathalie Azoulay Titus Bérénice

 

harcèlement

jeudi 5 novembre c'était la 1re journée pour dire "non" au harcèlement à l'école.

sujet préoccupant, de plus en plus, et qu'il est nécessaire de montrer du doigt pour mieux réfléchir au phénomène et l'endiguer.

jeudi 5 novembre j'assistais à un colloque sur la parentalité et débattais sur la modification de la structure du foyer depuis 50 ans et du coup, modification de la place de l'enfant dans ledit foyer.

les enfant sont de plus en plus intelligents, disait Mustapha Elmiri, maître de conférence en sociologie, ils rationnalisent.

on n'impose plus une autorité à l'aveugle comme nos parents ou grand-parents l'ont vécu, mais on explique, on tergiverse, on négocie pour obtenir une sorte d'obéissance qui est en fait une obtempération volontaire, suite à une compréhension décidée des ordres consignes données.

nos enfants veulent qu'on leur donne en exemple les valeurs que l'on prône et ne demande plus juste une explication, mais également un modèle d'une conduite à tenir.

well, well, well...

avez-vous ces adultes dans la sphère publique ?

qui s'insultent, se dénoncent, se harcèlent ?

qu'a fait Valérie Trieveler en étalant sur la place publique l'intimité d'une histoire, si ce n'est nuire, harceler, détruire ?

que font les émissions de téléréalité qui donnent en pâture la vie des gens pour mieux s'en moquer, s'en délecter, les rouler dans la honte ?

que font nos politiques qui s'écoutent, se pistent, se pressent de tout rapporter à la presse et donc à la population heureuse de se repaître de ces nouveaux faits divers ?

nos enfants rationnalisent de plus en plus et nous demandent d'être les modèles ?

eh bien, sans faire de raccourci bateau et stérile, on ne doit pas chercher bien loin pourquoi soudain ils se sont mis à se harceler entre eux...

on a bien bossé, il n'y a pas à dire...

 

 

18:09 Publié dans lamiendo | Lien permanent | Commentaires (0)

04 novembre 2015

love love love...

le message est arrivé le soir juste avant qu'on décide d'éteindre la lumière.

mon internénette numbertwo et moi on se fait une nuit girly bien serrées au chaud sous la couette.

les mots sont touchants, tellement tendres, tellement..

ça vient de mon tiloulou.

- c'est dingue d'écrire un message pareil..

- ben non, chérie, ce n'est pas le premier qu'il m'envoie.

- j'adore notre famille, c'est fou ! il y a tellement d'amour entre nous.

 

bon, ben voilà, si jamais j'en doutais... love is in the air !

22:59 Publié dans lamiendo | Lien permanent | Commentaires (1)

Renaudot

et après Goncourt, voilà Renaudot...

Delphine de Vigan remporte le prix Renaudot, et là encore je ne connais pas ses livres mais pourquoi pas..

son livre sur sa mère, je veux bien le découvrir.

celui qui vient d'être couronné s'appelle "D'après une vraie vie" et parle d'une auteur qui passe 3 ans sans pouvoir écrire après le succès de son dernier ouvrage, et qui encontre une drôle de bonne femme "L".

cette L connaît tout sur l'auteur, qui se nomme étrangement Delphine" et sous couvert de la booster à reprendre l'écriture, la vampirise et la manipule.

on parle pour ce livre de thriller psychologique, sérieux, moi, ça me donne envie..

d-apres-une-histoire-vraie-de-delphine-de-vigan-1.jpeg

"Ce n’est jamais facile de se remettre d’un échec. Encore moins d'un succès. Delphine, l’héroïne du roman « D’après une histoire vraie », en sait quelque chose. De Salons du livre en séances d’autoflagellation face à son ordinateur, elle sent peu à peu le vide s’installer dans sa tête. Surtout que, depuis quelque temps, L. est entrée dans sa vie. Une amie loufoque, qui la fascine un peu, et qui, surtout, la décrypte en un clin d’œil. L. a des ambitions pour Delphine et va progressivement la vampiriser. Jusqu’au point de non-retour… Evidemment, tout cela est inspiré de faits réels. Et tout n’est pas vrai. Pour son nouveau roman, Delphine de Vigan ose une mise en abyme qui va dérouter le lecteur. Parle-t-elle d’elle-même ? A-t-elle vécu cette angoisse de la page blanche ? Et, surtout, L. a-t-elle vraiment existé ? Entre enquête sur la littérature et ambiance à la Stephen King, l’auteur s’amuse à déjouer les pièges que lui tendait son propre projet. Et arrive à signer un texte fort, posant de nombreuses questions sur la place de l’écriture dans la vie."

Boussole

passage obligé; pas seulement parce qu'on nous en rabâche les oreilles mais aussi parce que je m'occupe aussi de livres maintenant (oh quelle barbe !! ... on, je blague !) : le prix Goncourt.

Mathias Enard a recueilli l'unanimité pour son libre "Boussole" édité chez Actes Sud et ce n'est que la consécration de son travail d'écrivain car chacun de ses ouvrages a toujours reçu un prix.

autant vous dire que j'ai envie de lire, peut-être pas Boussole, mais Zone ou un autre de ses livres.

 

mathias-enard-boussole.jpg

"La nuit descend sur Vienne et sur l’appartement où Franz Ritter, musicologue épris d’Orient, cherche en vain le sommeil, dérivant entre songes et souvenirs, mélancolie et fièvre, revisitant sa vie, ses emballements, ses rencontres et ses nombreux séjours loin de l’Autriche – Istanbul, Alep, Damas, Palmyre, Téhéran… –, mais aussi questionnant son amour impossible avec l’idéale et insaisissable Sarah, spécialiste de l’attraction fatale de ce Grand Est sur les aventuriers, les savants, les artistes, les voyageurs occidentaux.
Ainsi se déploie un monde d’explorateurs des arts et de leur histoire, orientalistes modernes animés d’un désir pur de mélanges et de découvertes que l’actualité contemporaine vient gifler. Et le tragique écho de ce fiévreux élan brisé résonne dans l’âme blessée des personnages comme il traverse le livre.
Roman nocturne, enveloppant et musical, tout en érudition généreuse et humour doux-amer, Boussoleest un voyage et une déclaration d’admiration, une quête de l’autre en soi et une main tendue – comme un pont jeté entre l’Occident et l’Orient, entre hier et demain, bâti sur l’inventaire amoureux de siècles de fascination, d’influences et de traces sensibles et tenaces, pour tenter d’apaiser les feux du présent."

01 novembre 2015

Haka de légende

je ne peux pas résister, je me le passe et me le repasse; si d'aventure ma motivation flanche, avec cette piqûre de rappel-là, elle revient !

houg !

 



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All Kings Blacks

34 à 17, ça fait pile poil le double.

double de force, de pugnacité, de détermination, de talent.

soyons honnête, ces All Blacks sont des dieux.

et pour cette coupe du monde de rugby, rien ni personne ne les a stoppés.

Twickenham s'en souviendra longtemps. et nous aussi... (un gros soupir pour David Pocock, un valeureux Australien...)

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Yuki Toshinari

ses filles sont douces et si "naïves".

j'aime bien.

Yuki Toshinari.

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