30 septembre 2017
Chrotomis
ma copine Stéphanie crée des univers cotonneux, imagés, délicats...
avec ces Chrotomis, elle a inventé une autre approche de la vie...
le numéro de septembre du magazine Vivre Bordeaux lui consacre un bel article :
17:11 Publié dans lamiendo | Lien permanent | Commentaires (0)
le maître est l'enfant
Il y a dix-sept ans, je faisais mes débuts d'enseignante Montessori, à l'école Jean d'Arc de Roubaix (dans le Nord) et sur le temps de pause du repas, Christian Maréchal m'apprenait tout ce que je ne savais pas de la partique.
quelle émotion de retrouver Christian et l'école, l'essence même de cette pédagogie, sa pratique dans sa vraie exploitation. tellement envie de revivre ça.
17:08 Publié dans Film | Lien permanent | Commentaires (0)
enfin
en silence tu attendais
que les douleurs s'en aillent vraiment
que les doutes s'estompent lentement
que je retrouve ce que j'avais perdu, cassé
que je me relève, que je marche à nouveau sans boiter
en silence tu espérais
que je reparte en avant
que je retrouve mon allant
que reviennent nos fougues d'avant
que je cesse enfin de trembler
comme tu as eu raison...
15:34 Publié dans dessous dessus | Lien permanent | Commentaires (0)
22 septembre 2017
culture sans eau
et comme le vendredi, c'est e jour écolo-agricolo-sans-eau, voilà un agriculture qui est particulier et qui remet le monde en cause, en douceur..
10:30 Publié dans éco'logique | Lien permanent | Commentaires (1)
Mon garçon
par contre, Guillaume Canet, qui ces derniers temps, ne semble pas attirer l'intérêt des spectateurs, joue bien, juste et sincère..
un joli film, un brin poignant...
10:13 Publié dans Film | Lien permanent | Commentaires (0)
Mother !
Javier Barden est un bel homme et Jennifer Lawrence une bonne jeune actrice...
Mais que ce film est insupportable... j'ai tenu parce que mon corps en vrac ne me permettait pas de m'éclipser.. mais beurk, beurk, beurk !
10:06 Publié dans Film | Lien permanent | Commentaires (0)
hauts et bas
pour celle qui me donne l'énergie tous les jours de me lancer un défi..
10:04 Publié dans lamiendo | Lien permanent | Commentaires (1)
15 septembre 2017
Noël... déjà !
dans le sud, l'été se termine à peine, on a du mal à sortir les petits pulls et à quitter les nus-pieds, mais chez Hemma, on ne perd jamais une occasion de prévoir les bons moments, les moments festifs, décorés, enluminés et heureux.
c'est presque déjà Noël pour les petits lecteurs et c'est sûr, ils vont adorer !
15:09 Publié dans mes ouvrages | Lien permanent | Commentaires (1)
pirates
les pirates écument les mers à la recherche d'un trésor, d'une merveille, d'une surprise..
retrouvez-les dans ce recueil Hemma qui sort dans quelques jours..
15:07 Publié dans mes ouvrages | Lien permanent | Commentaires (1)
dommage
souvent, on hésite, on n'ose pas, on se dit que c'est "la honte" qu'on pourrait se prendre un refus, qu'on a le temps, que notre heure viendra, que...
et évidemment, rien ne se passe, rien de beau, rien de nouveau, rien de salvateur, puisqu'on a rien fait, rien changé, rien osé...
cette chanson de Bigflo et Oli est tellement émouvante...
je vous laisse la déguster :
15:05 Publié dans lamiendo | Lien permanent | Commentaires (0)
10 septembre 2017
Eva, little princess
on l'appelait "la petite princesse", sa mère, les amis de sa mère, les dandys anglais.. mais elle a vécu une enfance tyrannique, exploitée par une mère abusive, un brin dérangée qui a bafloué son image et son intégrité.
Eva Ionesco raconte cela dans un film d'abord "My Lillte Princess" en 2011 et aujourd'hui dans un livre "Innocence"
"Père flou, mère abusive... Pour chasser les images noires de son enfance, Eva Ionesco s'en remet aux mots, les siens, lumineux et incisifs.
Le beau titre du livre évoque ce transfert pervers de la photographe qui entacha la pureté de sa fille, et se drapa sa vie entière derrière un alibi artistique pour évacuer toute culpabilité. Innocence : le bilinguisme — qu'Eva Ionesco doit à une parenthèse enchantée de sa petite enfance, à San Francisco — fait aussi forcément tinter ce titre à l'anglaise : « in no sense », littéralement « dans le non-sens ». Récit d'une avancée insensée vers l'âge adulte, ce livre funambulesque marche au-dessus d'une béance incompréhensible : l'absence de père. Toute la force de l'écriture d'Eva Ionesco, incisive et lumineuse, fend le brouillard que sa mère a toujours maintenu autour de l'identité de son géniteur. Question de regards croisés, encore et toujours : les rares photos de la petite Eva avec son père ont été prises par sa mère avant ses 3 ans, mais les images imprimées sur la rétine de l'enfant lui appartiennent.
Celle qui aime tant les vêtements, les étoffes, les chiffons, livre le tout dans un patchwork cousu serré, une tapisserie de réparation faite de lambeaux de souvenirs. « Très vite, j'ai voulu apprendre à apprivoiser ma solitude dans toutes sortes de lieux », confie-t-elle. Puisque ses parents défaillants ne parviennent pas à lui donner l'amour qu'elle attend, la fillette a développé une hyper-acuité à son environnement. Troènes, menhirs, sable, bitume, briques, sans oublier les cinq pierres paternelles glissées dans sa main lors d'une rencontre éclair... Innocence n'est jamais aussi beau que lorsqu'il se laisse gagner par une force immobile, venue de très loin. Celle qui a permis à Eva Ionesco de rester debout. — Marine Landrot (Télérama)"
11:59 Publié dans littérature | Lien permanent | Commentaires (0)
Sisley à Caumont
l'hôtel de Caumont qui accueille le centre d'art où sont visibles de belles expositions est un lieu enchanteur.
on peut découvrir la salle de musique et la chambre de Pauline de Bruny, épouse de Caumont qui n'a pas vécu longtemps avec son époux.
Les Rolland de Réauville ont fait de ce lieu un monument classé historique.
actuellement, on peut y voir une exposition consacrée à Alfred Sisley, un impressionniste qui ne peignait jamais des personnages, seulement des paysages. on le disait "peintre des ciels", tant il accordait de l'importance à cette partie de la nature.
"Culturespaces et le Bruce Museum de Greenwich (Connecticut) coorganisent cette exposition monographique itinérante sur le peintre impressionniste Alfred Sisley (1839-1899). Une soixantaine d'oeuvres, dont certaines ont rarement été présentées au public, sont réunies pour cette exposition qui parcourt les différentes étapes de l'oeuvre de Sisley à travers les lieux de prédilection du peintre.
Pour cette première exposition monographique consacrée à cet artiste en France depuis 2002, des institutions internationalement reconnues ont accordé d'importants prêts. Parmi elles : le Metropolitan Museum of Art de New-York, la National Gallery de Washington, le Cincinnati Art Museum, la Tate Gallery et la National Gallery de Londres, les Musées royaux des Beaux-Arts de Bruxelles."
l'impressionniste n'est pas le courant de peinture qui me plait le plus, mais l'exposition est vraiment belle à voir.
Le Pont de Villeneuve La Garenne (1872)
Le Pont de Moret (1893)
A la lisière de la forêt - Les Sablons (1884 - 85)
La Place du Chenil à Marly, effet de neige (1876)
11:44 Publié dans lamiendo | Lien permanent | Commentaires (0)
08 septembre 2017
Barbara
Barbara, j'aime.
pour beaucoup de raisons, et surtout pour elle, toute entière.
mais là, j'avoue que... je n'ai pas bien saisi...
09:24 Publié dans Film | Lien permanent | Commentaires (0)
Gaël Faye
De mauvaises herbes insoumises
lézardent les trottoirs
Je ne dors pas j'ai l'insomnie de
ma cité dortoir
Toute ma vie j'ai rempli mon
caddie d'illusions
Moi je téléphone, je télécommande
et je télévision
Silence on tourne, on vit, on rit
mais ça ressemble à du playback
Mon banquier c'est James Brown
et tous les mois c'est payback!
Des millions d'Andy Warhol
s'impatientent sur le quai de la gare
Pour un quart d'heure de trajet
dans le train de la gloire
On veut être star à l'instar des étoiles
L'intimité s'étale en prime time
Se vend sur paypal
On intronise le médiocre, plus de caviar que du Big Mac
On prépare une pensée fast food
dans les cuisines de l'audimat
Du pain et des jeux pour calmer
les ventres creux
Du Xanax dans l'émeute
Du Prozac pour miséreux
Fermez vos livres s'ils vous apprennent à hésiter
Méfiez-vous à vouloir vivre on peut finir par exister
A trop courir après mes rêves
j'fais des claquages au cœur
Quand j'y crois plus je prends la
plume pour prendre de la
hauteur
A trop courir après mes rêves
A trop courir après mes rêves
A force des courbes se dessinent
sous mon regard somnifère
J'ai voulu décourber l'échine
A courir après mes chimères
J'ai envolé mes rêves dans des
avions de papiers
Et j'ai voulu la vie d'château en
m'endormant dans un clapier
La mer est belle Monsieur!
J'ai gommé les nuages
Voyez les valises sous mes yeux
elles m'invitent au voyage
Le ciel est beau Madame!
J'ai dessiné l'image
Ecoutez donc l'oiseau qui chante
enfermé dans sa cage
A trop courir après mes rêves
j'fais des claquages au cœur
Quand j'y crois plus je prends la plume
Pour prendre de la hauteur
A trop courir après mes rêves
A trop courir après mes rêves
J'ai fabriqué des mondes,
J'ai mis des mots, des rires et des pleurs
Et puis le temps, lui, a buriné mes rides et j'ai peur
Du coup je veux d'autres odeurs pour mes narines
Je danse, je tourne, petite ballerine sur baril de poudre
La poésie que je brode, c'est de la dentelle à coudre
Quand c'est l'orage dehors, j'en ai plus rien à foudre
J'ai fait des rêves d'un rien, maintenant j'ai rien que mes rêves
Et c'est leur loi des reins qui fait que je dérive loin au large
J'ai vu mon île, tu sais.
Toucher au but, j'y vais enfin, j'essaie
Des paquets de rime pour que mon âme affleure
Je veux faire des victimes avec des armes à fleur
Je ralentis,
Je reprends mon souffle, parfois...
Il y a mes rêves qui tardent face au cadran qui tourne
A trop courir après mes rêves
j'fais des claquages au cœur
Quand j'y crois plus je prends la plume
Pour prendre de la hauteur
A trop courir après mes rêves
A trop courir après mes rêves
Gaël Faye - A trop courir
09:23 Publié dans lamiendo | Lien permanent | Commentaires (0)
Mireille Darc
elle est douce, candide, forte, sensuelle aussi parfois, humaine, tournée vers les autres, présente et absente... elle était juste talentueuse..
j'ai toujours beaucoup aimé cette scène, et j'en garde un souvenir impressionné.. elle et Pierre Richard, dans ce film désopilant : Le Grand blond avec une chaussure noire..
09:20 Publié dans lamiendo | Lien permanent | Commentaires (0)
Marrakech, jour 9
Pour ce dernier jour, nous avons enfin cédé au plaisir d'un taxi-guide qui nous a emmenés à l'Ourika, journée berbère donc, à boire un thé à la menthe en mangeant son pain fait maison, avec son fromage, miel et huile, toujours faits maison, avec surtout le sourire de Malika, ses conseils pour réussir un bon thé, la gentillesse de Mustafa..
Ensuite, repas dans une guinguette les pieds directement dans l'eau du petit torrent qui passe.
Et marche des heures à escalader des sources, des falaises, des chemins à flan de falaise...
un bonheur inénarrable...
09:04 Publié dans Voyage | Lien permanent | Commentaires (0)
Marrakech, jour 8
il faut que je termine le récit de nos aventures marocaines. je dis "il fut" mais c'est juste par cohérence du récit pas par obligation imposée..
ce 8e jour, on avait prévu les achats, cadeaux pour les amis, les amours, se laisser un peu aller, se faire plaisir dans les souks et les boutiques d'artisans, sans pression, sans excès..
08:57 Publié dans Voyage | Lien permanent | Commentaires (0)
06 septembre 2017
antispécifisme
avant de poursuivre les aventures marrachies, je voulais vous parler d'une démarche, d'un livre, d'une philosophie de vie qui est la mienne, qui prend force de plus en plus en moi : l'antispécifisme.
plus ça va et plus je ne me résous pas à accepter l'exploitation égoïste que l'home fait de l'animal depuis si longtemps, d'abord pour des raisons de survie et puis après pour son propre plaisir, sa distraction, son envie de dominer, d'être le maître du monde.
l'équitation, le cirque, le zoo, mais aussi avoir un chien qu'on promène en laisse, utiliser les ânes pour porter des charges, élever des vaches dans un pré carré... tout ça, ça me navre...
Jean-Baptiste Del Amo a écrit un ouvrage pour dénoncer cela et j'ai bien envie de le lire.
ça vous tente ?
19:42 Publié dans éco'logique, littérature | Lien permanent | Commentaires (0)
05 septembre 2017
Marrakech, jour 7
on était décidés pour une longue marche et pour du grandiose :
- quartier Guéliz (qui doit son nom à l'église (prononciation déformée ?) installée juste à côté d'une mosquée, peut-être bien la seule église de Marrakech) qui est une copie du monde occidental avec ses buildings, ses galeries marchandes aux enseignes tellement françaises, son luxe, ses mendiants...
- et le jardin de la Ménara, inénarrable car cette oliveraie antique, toujours cultivée, est irriguée grâce à un bassin rectangulaire, alimenté, depuis plus de 700 ans, par une conduite d'une trentaine de kilomètres, depuis les montagnes. les badauds s'y prélassent lentement, profitant de la vue, de l'espace et de l'ensoleillement..
- repas délicieux au café littéraire Karma, un lieu empli de livres, avec de gros fauteuils bien moelleux et un personnel adorable
11:55 Publié dans Voyage | Lien permanent | Commentaires (1)
Marrakech jour 6
visite de la médina, avec la surprise de trouver dans un recoin de rue un peu perdu le musée du Patrimoine, un riad magnifiquement rénové qui nous permet de découvrir l'histoire du Maroc, plus précisément de Marrakech, d'admirer des tapis, bijoux et objets traditionnels d'un autre temps, des reconstitutions de scènes...
tout en haut, une terrasse incroyable, qui nous a laissés béats, avec cette envie étrange de ne jamais plus vouloir en redescendre, et qui surplombe toute la médina.
ensuite, visite d'un ensemble artisanal, où différents artisans fabriquent et vendent leurs créations. notre préférence a été pour un fabricant d'instruments de musique, au sourire doux et humble, au talent immense..
11:39 Publié dans Voyage | Lien permanent | Commentaires (0)