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29 mai 2016

trepalium

Travail vient du latin tripalium.

Sous l'Antiquité, le terme bas latin trepalium (attesté en 582) est une déformation de tripalium, un instrument de torture formé de trois pieux, deux verticaux et un placé en transversale, auquel on attachait les animaux pour les ferrer ou les soigner, ou les esclaves rebelles pour les punir en les écartelant, en leur arrachant leurs membres.

Trepalium est une série basée sur une dystopie : un monde où le travail régit la société en deux clans.

Est-ce que travailler signifie « souffrir » ? Est-ce que le travail rend libre ?

A-t-on besoin d’un emploi pour avoir de la valeur ?

Est-ce obligatoire de travailler pour avoir le droit d’exister ? Pour avoir le droit d’être quelqu’un ?

Une série très troublante, futuriste et philosophique.Afficher l'image d'origine

16:20 Publié dans lamiendo | Lien permanent | Commentaires (0)

incertitude

naître

et déjà vouloir tout savoir

quand on va mourir et comment ? sera-t-on heureux, malade ? qui on va rencontrer ? va-t-on s'aimer toujours ? aura-t-on des enfants ? quelles études ? quelle profession ? aura-t-on un boulot toujours-la-vie ? (euh... ça s'appelle un CDI, ça, non ?) une maison ? de l'argent ? où vivra-t-on ?

sera-t-on grand, fort, gentil ? cheveux frisés ou calvitie, kilos en trop ou anorexie ?

 

naître.

et déjà vouloir tout connaître.

pour soi. pour ceux qu'on aime.

aujourd'hui demain un jour jamais... pourquoi pour qui ? combien de temps ? au nom de quoi de qui ?

s"inquiéter ? trembler ? chercher ? questionner ? analyser, comprendre ? grandir ? pleurer ? souffrir ? avancer ? commander ? régner ? gagner ? lutter ? réussir ?

 

naître.

et ne jamais être certain.

de rien

vivre

sans savoir sans connaître sans avoir sans paraître

respirer

respirer

 

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photo Jean-Philippe Morelle

11:08 Publié dans lamiendo | Lien permanent | Commentaires (2)

28 mai 2016

le jardin des lettres

la journée du livre de Saint-Maximin s'est déroulée sous un soleil de feu, avec des belles rencontres et des auteurs sympas...

quincados

il faut croire que "ma" génération intrigue car je découvre plusieurs articles relatant des recherches sociologiques "nous" concernant.

d'abord l'âge (Libération). il semble que les 45-55 ans forment ce qu'on appelle les quincados, des individus dédouanés de contrainte, qui vivent à la cool, pas de boulot en CDI, pas d'engagement ou de plan retraite, s'habillant comme des jeunes, Converses et sweet à capuche, heureux, accomplis. qui sortent tard, vivent en colocation

si je me poste devant la glace, j'adhère complètement, moi qui me sens si proche de mes étudiants, eux qui me jugent "indispensable" "impliquée" et "multicompétente". je parle leur langage, connais leurs chanteurs, conçois leurs pensées, n'ai peur de rien, . 

et puis le sexe (Huffington post).

les femmes ont abandonné la recherche de l'homme idéal au profit de l'indépendance.

elles vivent seules, avec leurs enfants en garde alternée, leur job, leurs sorties entre copines, leurs loisirs, leurs amants. leur emploi du temps qu'elles gèrent à leur gré. finie cette peur saugrenue de la solitude, de ne pas trouver chaussure à leur pied et d'avoir l'air gourde en soirée, sans compagnon à leur bras.

alors une femme quincado serait-ce la conjugaison idéale de l'épanouissement et de l'assurance libre et joyeuse ?

 

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22:03 Publié dans lamiendo | Lien permanent | Commentaires (0)

le bronze de Charlotte

j'ai oublié de vous parler de Charlotte Bonnet.

au championnat d'Europe qui avait lieu à Londres la semaine dernière, Charlotte Bonnet s'est placée 3e donc médaille de bronze, au 200 m nage libre en 1/56/51 devant une Italienne (Federica Pelligrini) et une Néerlandaise (Femke Heemskerk), première fois pour elle où elle décrochait un podium en solitaire, en pensant fort à sa copine Camille Muffat, qui n'est plus en vie pour la soutenir.

alors, un big bravo à Charlotte !

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27 mai 2016

arrogance

Suivre son chemin sans retour en arrière

prendre des décisions déterminée et fière

toujours vouloir le meilleur

savoir reconnaître les imposteurs

sans un bruit, en silence

encore et encore cultiver son arrogance

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photo Anita Andrzejewska

Dédicaces à Saint-Maximin

demain toute la journée, je serai en dédicace à Saint-Maximin en compagnie de chouettes auteurs...

et pour la fête des mères, ce sera l'occasion de proposer cet album pour les mamans "Toi, ma maman à l'infini"...

alors, qui je vois là-bas ?

24 mai 2016

Molière

après le cinéma, le théâtre à l'honneur. hier soir, avait lieu la remise des Molière pour les gens de la scène, les théâtreux passionnés et passionnants.

voilà donc les lauréats, et comme je ne suis pas originale, je kiffe Catherine Frot, et j'ai regretté de ne pas habiter Paris pour ne pas voir "Fleur de Cactus"...

donc, je suis vraiment contente pour son prix !!!

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Molière du Comédien dans un spectacle de Théâtre public : Charles Berling dans Vu du Pont d’Arthur Miller, mise en scène Ivo Van Hove.

Molière de la Comédienne dans un spectacle de Théâtre public : Dominique Blanc dans Les Liaisons Dangereuses de Pierre Choderlos de Laclos, mise en scène Christine Letailleur. 

Molière du Comédien dans un spectacle de Théâtre privé : Wladimir Yordanoff dans Qui a peur de Virginia Woolf ? d'Edward Albee, mise en scène Alain Françon.

Molière de la Comédienne dans un spectacle de Théâtre privé : Catherine Frot dans Fleur de Cactus de Pierre Barillet et Jean-Pierre Gredy, mise en scène Michel Fau.

Molière du Comédien dans un second rôle : Didier Brice dans A tort et à raison de Ronald Harwood, mise en scène Georges Werler.

Molière de la Comédienne dans un second rôle : Anne Bouvier dans Le Roi Lear de William Shakespeare, mise en scène Jean-Luc Revol.

Molière de l’Auteur francophone vivant : Joël Pommerat pour Ça ira (1) Fin de Louis. 

Molière du Metteur en scène d’un spectacle de Théâtre public : Joël Pommerat pour Ça ira (1) Fin de Louis de Joël Pommerat.

Molière du Metteur en scène d’un spectacle de Théâtre privé : Alain Françon pour Qui a peur de Virginia Woolf ? d'Edward Albee.

Molière de la Révélation féminine : Géraldine Martineau dans Le poisson Belge de Léonore Confino, mise en scène Catherine Schaub.

Molière de la Révélation masculine : Alexis Moncorgé dans Amok de Stefan Zweig, mise en scène Caroline Darnay.

19:15 Publié dans lamiendo | Lien permanent | Commentaires (0)

Bayer + Monsanto = amour éternel

bon bon bon, on n'est pas vendredi, alors vous pouvez chipoter, mais je me sens l'âme écolo-bobo-intello même le mardi...

il y avait le "tueur d'abeilles" et "l'assassin d'hommes", chacun détruisant pour l'argent, le pouvoir, la gagne, surtout pas pour le confort de notre vie, pour le respect de l'environnement et pour le développement équilibré de nous tous.. (pardon, je vis dans un monde décalé, faut croire)

ils étaient concurrents, ils pourraient devenir fusionnels... 

Bayer veut racheter Monsanto, des noms qui nous font fondre de plaisir juste en les entendant (et que dire en les écrivant !) à moins que je ne me trompe et que ce soit juste mes os qui fondent, mes muscles, ma constitution même, avec un tel taux de pesticides cancérigènes, allez savoir...

lisez un peu :

"Soixante-deux milliards de dollars américains (81 milliards de dollars canadiens), soit environ 55 milliards d'euros. C'est l'énorme prix que Bayer met sur la table. Le succès de cette fusion en ferait la plus grosse acquisition d'un groupe étranger par une entreprise allemande, loin devant celle à quelque 36 milliards de dollars américains de Chrysler par Daimler à la fin des années 90."

imaginez : un géant mondial du pesticide-engrais-semences ! on en rêvait !! si si !!

Monsanto a mauvaise réputation ? en voilà un méga-défi à relever !! rien n'effraie Bayer, qui se vante de cultiver une "science for a better life"...

la voilà, elle arrive la vie meilleure, n'en doutez pas !!

merci qui ??

 

Hugo, 2e série...

ils sont enfin arrivés entre es mains, je les trouve beaux, vraiment et j'espère qu'ils plairont..

les petits Hugo continuent à se développer...

23 mai 2016

Potomak

dans Le Potomak, sorti en 1919, Jean Cocteau écrit : "Ce que le public te reproche, cultive-le, c'est toi."

si cette phrase a marqué les esprits et sert souvent aux artistes marginalisés à garder une raison d'être et de faire, ce livre est un peu spécial dans le travail de Jean Cocteau.

voilà ce que j'ai trouvé sur le site du Fonds Jean Cocteau de Montpellier :

"Ce livre marque une étape décisive dans le rapport de Cocteau à la littérature et à l’art : il y a un avant et un après. Avant : des recueils de poèmes, des nouvelles, des pièces inédites, des activités de presse, mais une perception frivole de la condition de l’artiste et de sa vocation, organisée dans la continuité d’une vie mondaine pleine d’un « besoin de gloire, de contagions et d’épidémies » (« Prospectus »). Après : une découverte des exigences de l’art, une plongée dans les profondeurs. 
À sa manière hirsute, dispersée, contradictoire, inachevée, Le Potomak met en scène ce passage (beaucoup moins radical dans les faits que sa mise en scène ne le laisse entendre). C’est pourquoi Cocteau lui donne le statut d’une préface. « Une préface à quoi ? », se demande-t-il. À ce qu’il va devenir au sortir de cette mue et qu’il ne connaît pas encore. Aux œuvres qu’il va créer, aux livres qu’il va écrire…"

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Collage de Jean Cocteau sur une enveloppe à en-tête du Mercure de France, qui devait éditer le livre en 1914. Les Eugènes, microbes de l’âme, apportent malaise et inquiétude dans les vies trop installées, mais leur action est nécessaire pour vivre des mues. Dans ce projet sans doute promotionnel, la couleur les rend presque désirables.

 

22 mai 2016

salon du livre de Gonfaron

aujourd'hui, le soleil était au rendez-vous au salon du livre de Gonfaron, les lecteurs aussi et la belle humeur également.

"Toi, ma maman à l'infini" mon nouvel album paru aux éditions La Pimpante a rencontré un beau succès, encore une fois et c'était un vrai plaisir.

 

élections en Autriche

"Les deux candidats à la présidentielle autrichienne, Norbert Hofer pour l'extrême droite FPÖ, et l'écologiste Alexander Van der Bellen, étaient à égalité dimanche selon des projections après dépouillement de la quasi-totalité des bulletins déposés dans les urnes.

Le nom du nouveau chef d'Etat autrichien ne sera par conséquent connu que lundi une fois décomptés les bulletins des 900 000 électeurs qui ont demandé à voter par correspondance. Ces votes par correspondance représentent plus de 14% du corps électoral et départageront les deux candidats. Selon les analystes, ces votes pourraient faire pencher la balance du côté d'Alexander Van der Bellen. 

Au premier tour, le 24 avril, le candidat du Parti de la liberté (FPÖ), islamophobe et eurosceptique, était arrivé largement en tête avec 35% des voix contre 21% pour Alexander Van der Bellen.

Eliminés de la course, les sociaux-démocrates du SPÖ et les conservateurs chrétiens de l'ÖVP, qui dominaient la vie politique autrichienne depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, n'ont donné aucune consigne de vote dans l'entre-deux tours. Ils ont notamment estimé qu'un appel à faire barrage à l'extrême droite aurait conforté la stature de candidat "anti-système" de Hofer.

Une victoire de Hofer ferait de l'Autriche le premier pays de l'Union européenne à élire un chef d'Etat appartenant à l'extrême droite. Elle confirmerait de façon spectaculaire la poussée des partis nationalistes et xénophobes dans un continent où les migrants sont perçus par une large part de l'électorat comme une menace et où l'Union européenne provoque un rejet grandissant.

D'ores et déjà, le séisme du premier tour a provoqué des changements radicaux à Vienne. Le chancelier social-démocrate Werner Faymann, à la tête d'une grande coalition de gouvernement avec l'ÖVP, a démissionné et a été remplacé par Christian Kern, ancien patron des chemins de fer."

(article récupéré sur le site de la RTBF)

Je croise les doigts pour Van Der Bellen... la suite demain...

 

22:10 Publié dans lamiendo | Lien permanent | Commentaires (1)

le Festival de Cannes

Le palmarès complet de cette édition 69ème édition du Festival de Cannes qui s'est terminé ce soir : 

  • La Palme d’or à I, Daniel Blake, du Britanique Ken Loach
  • Le Grand Prix à Juste la fin du monde du canadien Xavier Dolan 
  • Le prix de la mise en scène ex-aequo au Français Olivier Assayas (pour Personal Shopper) et au Roumain Cristian Mungiu (pour Baccalauréat).
  • Le prix du scénario à l’Iranien Asghar Farhadi pour Le Client (Forushande)
  • Le prix d’interprétation féminine à Jaclyn Jose, pour son rôle dans Ma'Rosa de Brillante Mendoza
  • Le prix du jury à American Honey de la Britannique Andrea Arnold 
  • Le prix d’interprétation masculine à Shahab Hosseini, pour son rôle dans Le Client (Forushande) de l’Iranien Asghar Farhadi
  • La Caméra d’or à Divines, premier long-métrage de la Franco-Marocaine Houda Benyamina (Quinzaine des réalisateurs)
  • La Palme d’or du court-métrage à Timecode, de l’Espagnol Juanjo Gimenez, ainsi qu’une mention spéciale du jury pour le Brésilien Joao Paulo Miranda Maria, pourLa Jeune Fille qui dansait avec le diable

Le comédien Jean-Pierre Léaud a par ailleurs reçu lors de cette cérémonie une Palme d'Or d'honneur au Festival de Cannes, le public réservant une ovation debout à celui qui était venu à Cannes pour la première fois à l'âge de 14 ans.

22:05 Publié dans Film | Lien permanent | Commentaires (0)

21 mai 2016

la femme de l'ambassadeur

elle n'ouvre la bouche que pour acquiescer, boire une gorgée de café, mieux écouter.

la femme parle, parle, parle. son flot de paroles est fluide, tellement riche. elle parle du Nigéria, de Légos, de la Hongrie, Séville, Vienne, Haiti, la Lybie, Israël, de la politique, les élections demain à Vienne qui s'avèrent dangereuses, des concepts humanitaires, l'eugénisme, la transhumanité, de la Silicone Valley, GAFA, Hilary Clinton, Donald Trump, le CRISPR-Cas9, le trafic d'enfants, de sexualité, de Xaviera Hollander, de films à voir, de livres à lire, des années 70, 80 ou 90, des articles qu'elle a écrits.

elle est fascinée. la femme est journaliste. Le Monde, Libération, L'Evènement du Jeudi...

elle a connue la femme à Vienne, en Autriche. elle avait eu un coup de foudre, une nuit entière passée à parler, à écouter, à partager, à rire.

depuis, elles se revoient. et toujours ces moments sans heures, où elle peut lancer la femme sur de multiples sujets, et écouter.

elle se demande comment on peut vivre une vie aussi chargée, aussi palpitante, retenir autant de choses depuis tellement d'années, la vie des gens qu'elle peut raconter avec tant de détails, tant de gens, de personnalités, d'histoires. avoir été dans tant d'endroits, le faire encore et encore, comprendre toutes les politiques, toutes les civilisations, les périodes de l'Histoire...

la femme est imbibée de tous ces souvenirs qui sont si entiers, si réels.

elle se dit que tant de gens vivent des vies fades. que c'en est même dingue !

la femme est passionnée, humble, inquiète mais consciente. elle ne côtoie que des gens comme elle. elle a vu tant et tant. elle a vécu tant et tant. rien n'est insipide dans ce qu'elle raconte. rien, rien, rien. et parfois un éclat de rire qu'elles partagent, soulagées de pouvoir être aussi légères. après les mots nobles, les mots crus. 

elle se dit que la femme ne doit jamais disparaître. 

 

 

 

20 mai 2016

Cabannes

aujourd'hui, enfin cet après-midi, je serai en dédicace à l'école primaire de Cabannes, joli village du sud de la France, avec un soleil divin et des petits lecteurs tout choux. 

et je pense qu'il y aura mon dernier magnifique album : "Toi, ma maman, à l'infini", édité chez La Pimpante et illustré par Jérémy Parigi !

Ma Loute

Bruno Dumont est un réalisateur du nord (les hauts de France, sorry) beau gosse mais tellement étrange... ancien prof de philosophie, il fait des films qui ne laissent pas indifférents, mais qui ne séduisent pas toujours.

je n'ai pas toujours aimé, loin de là.

"Ma loute" se promettait loufoque, toujours étrange, mais moins statique que les films classiques de Dumont, moins taciturnes..

il n'empêche... faut adhérer...

sérieusement, je trouve que ça vaut la peine de rester scotcher deux heures sur un siège de cinéma (oui, d'accord, moi je suis accro à ça) pour arriver au bout de ce film. mais tout le monde n'est pas de cet avis..

alors allez-y et dites-moi...

13:24 Publié dans Film | Lien permanent | Commentaires (0)

kidzania

connaissez-vous Kidzania ??

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c'est un parc d'attractions pour enfants qui se voient offrir à l'entrée une liasse de billets qui leur permettra, si elle est complétée par d'autres billets gagnés en bossant, d'obtenir une carte bancaire.

un parc d'attraction donc qui fait plonger les enfants, et parfois les jeunes enfants, dans le monde de la vie active sans scrupules.

un parc d'attraction qui fait travailler les enfants...

rappelons-nous quand même que la convention n° 138 de l'OIT impose de définir ce qu'est un travail léger et non dangereux pour les mineurs comme "ce qui peut « compromettre la santé ou la sécurité physique ou morale d’un enfant »".

bon, donc, pas de souci, ce concept mexicain ne nuit pas à l'intégrité de l'enfant, et vouloir une carte bancaire à 5, 7, 8, ou 10 ans, ça n'est pas inquiétant... si ?

attention, pas de confusion stupide et rapide, c'est une mission pédagogique qui est ici défendue : "On leur enseigne les valeurs de la vraie vie. Il s'agit d'apprendre aux enfants de la prochaine génération que rien ne tombe du ciel", promet le directeur général de Kidzania de Londres.

sans déconner.... (pardon, je m'emporte... moi qui rêve encore, avec mes livres, d'emmener les enfants dans un univers immatériel où le bonheur c'est avant tout d'être juste soi, juste, juste... c'est peut-être parce que je suis une intello-bobo-écolo et je m'en fous, mais bon...)

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13:16 Publié dans lamiendo | Lien permanent | Commentaires (0)

16 mai 2016

vieillesse

je regarde ces acteurs/trices, ces chanteurs/ses que je trouvais si beaux, si éclatants et qui aujourd'hui sont vieux, bouffis, sans cheveux, gros, difficilement reconnaissables.

je vois mes amis/ies dont le visage se creuse de sillons profonds, dont les yeux se cernent de noir, dont les cheveux blanchissent, et qui portent désormais des lunettes et parfois un double menton.

j'ai oublié certainement de constater que le temps faisait aussi des ravages sur ma personne, il faut croire, mais ce ternissement des choses est très douloureux à accepter.

s'apercevoir, par les autres, que les années passent et que chacune d'elle nous rapproche d'une dégradation inévitable est un choc toujours moins facile à encaisser.

je pleure ces êtres dans la lumière qui ne sont plus aussi majestueux. et je redoute mon heure à venir.

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17:02 Publié dans lamiendo | Lien permanent | Commentaires (1)

15 mai 2016

Lionel Borla

au Sm'art, j'ai découvert un autre artiste Lionel Borla.

ses toiles au brou de noix est superbe.

ce sera un futur achat je pense...

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