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30 novembre 2017

Evreux

je ne connais pas Evreux. je sens qu'il doit y faire froid actuellement, comme partout me direz-vous, sauf que par chez nous, l'automne est super ensoleillé (et je sens que les nappes phréatiques vont le payer chèrement) et que je rêve de chaud de chaud de chaud...

mais je vais aller à Evreux, ce weekend, pour dédicacer mes livres au Cultura, parce que la libraire rêvait de me recevoir, a tout en place pour cela après m'avoir sollicitée avec passion...

je vais aller à Evreux, je ne vais pas avoir le temps de découvrir parce que ce sera rapide, mais je devine que je reviendrai à Evreux...

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La Villa

je pleure et déplore le manque de bienveillance dans cette société qui détruit les hommes et les femmes, l'environnement, les liens, le respect de l'autre, la créativité...

Robert Guédiguian m'a offert deux heures de bienveillance délicate et subtile, d'amour diffusé en dose mousseline, de réflexion sur ce qui importe dans la vie, sur la réparation, avec Marseille, le beau Marseille, celui des calanques, celui de la mer et des instants précieux...

(et la musique de Bob Dylan, c'est cadeau !)

08:20 Publié dans Film | Lien permanent | Commentaires (0)

écriture inclusive

voici un extrait d'un article du journal Libération :

«Le masculin l’emporte sur le féminin» : des générations d’écoliers ont répété cette règle de grammaire, qui régit l’accord de l’adjectif au pluriel. «Quand il y a plusieurs noms de genre différent, l’accord se fait au masculin pluriel», résume ainsi à sa page 205 le Bescherelle collège. Une règle contestée par des féministes depuis plusieurs années, et plus récemment par des professeurs de français, qui l’accusent de renforcer les stéréotypes. Plus de 300 d’entre eux se sont engagés début novembre dans une tribune à enseigner à la place l’accord de proximité (qui vise à accorder les adjectifs et/ou participatifs avec le nom commun le plus proche, comme dans «Les pâturages et prairies sont verdoyantes»), règle qui primait avant le XVIIe siècle. Une initiative, survenue en plein débat sur l’écriture inclusive (qui ne se réduit pas au «point médian» et dont on vous explique le principe ici), à laquelle le ministre de l’Education Jean-Michel Blanquer s’est dit immédiatement «défavorable».

c'est vrai j'ai entendu quand j'étais jeune cette phrase "le masculin l'emporte sur le féminin" et si ça me faisait râler par rapport aux garçons qui faisaient les malins derrière leur pupitre en bois en rigolant, alors que j'étais en tête de classe pour les résultats, même si je trouvais injuste ce genre de règle, je n'ai pas pensé que cela conditionnerait le respect des hommes envers les femmes, que c'est ce qui leur permettait de nous mettre la main aux fesses ou la main aux seins, de nous hêler comme si nous étions une voiture en vitrine dans la rue, voire de nous frapper dessus après nous avoir mis dans leur lit, de nous violer lorsque leur envie devient trop pressante...

pourtant la réflexion vaut le détour.

si j'étais enseignante en primaire, est-ce qu'aujourd'hui j'emploierais cette phrase devenue il me semble désuète "le masculin l'emporte sur le féminin" ? je ne sais pas.

se poser la question de "l'écriture inclusive", c'est grammaticalement intéressant, vraiment, de là à penser que cela conditionne une mentalité de machos, je veux aller y regarder de plus près.

qui de ces abrutis qui sifflent, agressent, insultent les femmes sans aucune honte se soucie de l'orthographe du mot "salope" (alors que le masculin s'écrit "salaud"), de l'accord du participe dans "elles ont été violées" ? je dérape. les sales cons sont et restent de sales cons, et là je suis d'accord, c'est bien le masculin qui est concerné ici dans l'irrespect le plus répandu sur notre planète.

pour autant, je trouve plus important de se battre contre les abus en tout genre, physique, psychique, sociétal, que sur ce genre de  débat. je me trompe peut-être.

dites-moi...

08:14 Publié dans lamiendo | Lien permanent | Commentaires (0)

27 novembre 2017

homozygotes, quelle peau !

ils étaient homozygotes, donc issus du même oeuf, avec une vraie chance de duplication identique de chromosomes, ça a sauvé la vie de l'un d'eux.. alors qu'on le donnait mort... pour ça, j'aime la biochimie...

"Le patient, âgé de 33 ans, était brûlé sur la presque totalité de son corps (soit 95 % de la surface corporelle), en raison d'un accident du travail survenu en septembre 2016. "Je déversais un bidon dans une cuve qui m'a explosé dans les mains, c'était un produit inflammable. J'ai brûlé à vif une quinzaine de secondes", a raconté à l'AFP l'homme de 33 ans.

En acceptant de lui donner sa peau, son frère jumeau homozygote (issu du même œuf) lui a sauvé la vie. Avant cela, des brûlés avaient déjà été greffés à partir de leur jumeau, mais jamais sur une telle surface de peau et sur un brûlé aussi mal en point. Les cas publiés jusque-là dans le monde allaient de 6 à 68% environ et portaient sur 45% de la surface du corps en moyenne, a précisé le chirurgien.

Les deux frères ont été opérés trois fois à l'hôpital Saint-Louis (AP-HP) sur une période de 44 jours. Les interventions ont été réalisées en même temps afin de réaliser le transfert immédiat de la peau. Au total, une dizaine d'opérations ont été nécessaire. Les prélèvements de peau sur le donneur ont été faits en prenant de minces couches de peau sur des zones du corps qui cicatrisent rapidement (crâne, dos et cuisses)."

11:41 Publié dans lamiendo | Lien permanent | Commentaires (1)

salon du livre jeunesse aux Pennes Mirabeau

et dimanche, conclusion après deux jours d'intervention dans les écoles, avec le salon du livre jeunesse aux Pennes Mirabeau, et c'était tout chouette aussi....

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festival BD de Trets

ce weekend c'était chargé.

d'abord samedi le festival de la bande dessinée à Trets (oui, d'accord je n'écris pas encore de BD mais ça pourrait venir un jour..)

 

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et c'était bien sympa, même si j'ai mal au genou...

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23 novembre 2017

Eunice et les pesticides

aujourd'hui dans une classe de primaire, on a parlé environnement, pesticides, déchets, pollutions, Monstao et Bayer (si si !), couche d'Ozone...

et les élèves ont inventé ceci :

"Planète en danger
Environnement à sauver
Si ça continue, on va mourir
Toute la Terre à sauver
Il est temps pour nous de régair
Catastrophe, les ours polaires ne mangent plus
Interdit de polluer l'eau
Déserts et sécheresse, il fait chaud
Espèces en voie de disparition comme les papillons
Stop aux déchets dans les océans et la nature"

 

 

Augustine et les expressions idiomatiques

aujourd'hui, j'étais en ateliers dans des classes primaires, et nous avons travaillé les expressions idiomatiques, nous en avons inventées et écrites en calligramme...

ça donne ça :

 "avoir des coccinelles dans la tête" = tout oublier

 

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"étirer son cou comme une girafe pour trouver les secrets cachés" = "être curieux"

 

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"piailler comme un flamant rose" = parler bruyamment

 

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tout va bien

va-t-on se mentir encore longtemps ainsi ? fermer les yeux ? ne pas voir la réalité en face ?

 

20:39 Publié dans lamiendo | Lien permanent | Commentaires (0)

22 novembre 2017

better...

quand c'est "better", c'est plutôt mieux, non ?

merci Haley Reinhart

10:40 Publié dans lamiendo | Lien permanent | Commentaires (1)

lunettes à 18 euros

Voilà un article paru sur le JDD en ligne de Europe 1, par Rémi Dessarts, que je trouve fort intéressant.

à cause de cette société où tout se paie très cher, et ne se fabrique pas en France..

là, au moins..

 

L’entrepreneur Marc Simoncini révèle comment il veut révolutionner le marché avec ses montures fabriquées en France.

"C'est le calme avant la tempête. On a préparé beaucoup de choses. J'espère que l'on n'a rien oublié." Dans son bureau de la rue François Ier, Marc Simoncini sait qu'il a passé un point de non-retour. Lundi, il a relancé la bataille des lunettes pas chères en France. Le fondateur du site de rencontres Meetic a de la suite dans les idées. Fort de son succès sur le marché de la vente en ligne de lentilles, il s'est attaqué fin 2015 au segment des montures et des verres de correction avec la marque Sensee. Deux ans plus tard, le succès n'est pas encore au rendez-vous. Alors, il a décidé de passer à la vitesse supérieure. Il révèle au JDD les secrets de sa nouvelle offensive.

Les deux années qui viennent de s'écouler lui ont beaucoup appris. "Le projet initial de Sensee, c'était de vendre des lunettes sur Internet beaucoup moins cher qu'en magasin, raconte-t-il . Il a d'abord fallu passer par six à sept années de combats juridiques et réglementaires pour obtenir enfin une loi – la loi Hamon – qui assure une stabilité à cette activité. On a très vite compris que l'on n'arriverait pas à s'approvisionner avec des lunettes et des verres de marque si on cassait les prix. On a donc décidé de produire des lunettes en France et de les vendre peu cher. Nous avons créé une collection de 400 montures portant le label “Origine France garantie” fabriquées dans le Jura. Mais cela supposait que les consommateurs puissent les toucher et les voir. Ils ne devaient pas penser qu'à ce prix, ce n'était pas des bons produits. D'où la décision de créer des showrooms, et nous en avons ouvert quatre."

Ainsi a-t-il pu tester son concept. Voir comment la clientèle réagissait. Et, surtout, adapter sa politique tarifaire. Les prix des paires étaient fixés entre 59 et 89 euros, deux à trois fois moins que les prix du marché. Mais pour faire enfin décoller les ventes, il va aller beaucoup plus loin.

 

"Puisque les gens ne connaissent pas notre marque, puisqu'ils sont habitués à avoir des promotions complètement dingues dans l'optique, on s'est dit que l'on allait proposer, en maintenant le standard de qualité origine France garantie, le tarif le plus bas possible, annonce Marc Simoncini. Nous sommes arrivés à un prix coûtant de 17 euros auquel nous ajoutons 1 euro, notre marge. Nous lançons donc une grande campagne de pub pour promouvoir des lunettes avec deux verres de correction simple à 18 euros."

Son objectif : débloquer le marché de la vente en ligne de lunettes. Le consommateur ne prend plus de risques. S'il n'est pas satisfait, il dispose de trente jours pour retourner son produit et pour être remboursé.

Le plan média est puissant : 3 millions d'euros brut vont être investis pendant trois semaines. Marc Simoncini pense que son offre va séduire un large public, à commencer par celui des étudiants et des personnes qui ne disposent pas de mutuelle. Dans le même temps, il étoffe son réseau de showrooms pour mieux couvrir le territoire. Il innove là encore en s'associant à la Fnac. Deux corners viennent d'être ouverts à Vélizy et à Bordeaux. Les clients des magasins peuvent déjà y acheter des lunettes de protection contre la luminosité des écrans et découvrir tout la gamme de lunettes Sensee. "Si l'expérience est concluante, nous pourrions être présents à terme dans plusieurs Fnac, espère-t-il . Nous parlons également avec d'autres enseignes. Nous visons un réseau de 50 showrooms. Nous n'avons pas besoin de plus car notre métier reste l'Internet."

En changeant aussi brutalement les règles du jeu d'une profession, il est conscient de s'exposer à des représailles. Ses partenaires sont en première ligne. "Je ne peux pas citer le nom du grand verrier avec qui nous travaillons car il risquerait d'être écarté par les opticiens", explique-t-il. Même inquiétude pour son fournisseur de montures jurassien. "Nous avons beaucoup de mal à trouver des fournisseurs qui acceptent de travailler avec nous."

Une tempête s'annonce, mais cela ne l'effraie pas. "On va se faire réattaquer à nouveau par nos petits camarades, médiatiquement et probablement juridiquement, prévoit-il. Mais nous voulons mettre de la transparence dans le marché le plus opaque qui soit. La France est le dernier pays européen où on ne vend pas de lunettes sur Internet, assure-t-il . Je veux toujours faire baisser les prix et ubériser ce marché." 

 
 

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20 novembre 2017

entr'ouvrir

Image du Blog solitude1966.centerblog.net

entr'ouvrir un espace

laisser à chacun sa place

mais quand dans la glace

on retrouve cette trace

à jamais tatouée sur les corps

quand l'envie crie encore et encore

il faut oser y croire et avancer

tout ne peut pas s'effacer

entr'ouvrir un espace

doux, rond, chaud, tenace

 

fête du Var à Toulon

la fête du livre du Var est terminée, Toulon a remisé son chapiteau, les libraires ont cartonné leurs livres..

ce fut un weekend de dingue, j'ai enchainé les signatures grâce à l'article dans le Hors série Var, j'ai fait de belles rencontres, j'ai retrouvé des vieux ami(e)s, des nouveaux, des gentils, des sérieux..., j'ai noué des complicités, j'ai recueilli des confidences.. bref, c'était chouette !

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18 novembre 2017

fête du livre du Var

je me mets en route, direction Toulon, pour un weekend de rencontres et de partages, de sourires et de dédicaces.. youpi !

 

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les frontières et les humains

bien longtemps que je ne viens vous raconter, en effet, pas parce que je ne vous aime plus mais parce que je manque cruellement de temps.

alors pour ce retour un film, très court, avec lui, que je trouve depuis bien longtemps, très bon acteur, elle dont je suis archifan..

et un sujet, tellement important..

Réfugiés

07:08 Publié dans lamiendo | Lien permanent | Commentaires (1)