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12 mars 2011

en descendant la rivière

pour un matin douceur caresse sur la joue sur le haut de l'épaule souffle d'âme en harmonie... pour oublier les jours de tempête les mots qui grondent les nuages qui pleuvent...

11 mars 2011

la récréation d'Aglaé

il fait ses premiers pas au salon du livre de Paris... yopuppi !!

 

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aux éditions Samir éditeur...

À l'école, ce matin une nouvelle élève est arrivée : elle s'appelle Aglaé. 
Le maître a demandé : « Ne la laissez pas seule. Elle a besoin d'amis. »

 

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Toile d'@raignée

 

arrivé tout chaud dans ma boite aux lettres...

Brute de coffrage

aux éditions Kirographaires

 

"Sancie est une adolescente ordinaire de treize ans... presque quatorze. Elle habite avec ses parents et sa grande sœur Béatrix, va au collège et partage son temps libre avec ses copines Mathilde et Fantine. Tout irait pour le mieux si son entourage cessait de la considérer comme une gamine. Sa vie bascule quand elle rencontre Arthur, un jeune homme de dix-neuf ans, et plus encore lorsque Peterpan, un adolescent de dix-sept ans, devient son confident sur Internet. Pourtant, elle n'a pas été réellement honnête avec ce dernier : elle lui a menti sur son âge par crainte qu’il se détourne d’elle. Une relation fondée sur le mensonge peut-elle durer ?"

 

10 mars 2011

faena

à la radio ils ont dit : deux carrés de chocolat noir et un verre de vin rouge pour vivre vieux. par jour bien sûr.

les copines ont dit : rester sur les rails et avancer pour tenir le coup. chaque jour. sans défaillir bien sûr.

le vin le chocolat les rails les vidéos les mots les promesses les défis les souvenirs.

elle mélange tout écrit des mots en rouge remonte ses cheveux colore ses yeux met les boucles d'oreille de Sabrina fait des promesses.

elle écoute les mots dans le téléphone lit les mots sur l'écran. ne sait plus à qui ils s'adressent ni qui elle est. il y a si longtemps. une autre femme. une autre flamme.

ils sursautent : tu te souviens, bien sûr !

oui. eux, il, elle. elle se souvient. elle tire un trait. elle boit du café mange du chocolat noir. a mal aux dents. ailleurs. ne sait plus bien.

elle vit. tous les jours bien évidemment. et bien au-delà...

 

 

09 mars 2011

calligramme

c'est le nom d'une maison d'édition mais c'est surtout un poème dont la disposition graphique sur la page forme un dessin, généralement en rapport avec le sujet du tete, mais il arrive que la forme apporte un sens qui s'oppose au tete. cela permet d'allier l'imagination visuelle à celle portée par les mots.

il y a les célèbres calligrammes de Guillaume Apollinaire mais je serai ravie que vous m'en proposiez d'autres par des liens à visiter...

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« Le pont Mirabeau »

Sous le pont Mirabeau coule la Seine

calligramme.gifEt nos amours
Faut-il qu'il m'en souvienne
La joie venait toujours après la peine.

Vienne la nuit sonne l'heure
Les jours s'en vont je demeure

Les mains dans les mains restons face à face
Tandis que sous
Le pont de nos bras passe
Des éternels regards l'onde si lasse

Vienne la nuit sonne l'heure
Les jours s'en vont je demeure

L'amour s'en va comme cette eau courante
L'amour s'en va
Comme la vie est lente
Et comme l'Espérance est violente

Vienne la nuit sonne l'heure
Les jours s'en vont je demeure

Passent les jours et passent les semaines
Ni temps passé
Ni les amours reviennent
Sous le pont Mirabeau coule la Seine

Vienne la nuit sonne l'heure
Les jours s'en vont je demeure.

08 mars 2011

femme

il parait que c'est la journée de la femme...

dimanche c'était la fête des grands-mères...

à quand la fête des femmes de 40 ans, de celles de 30, des femmes mariées, des célibataires, des qui ont un boulot artistique, d'autres un salaire merdique, celle qui porte des cheveux longs, et celles qui mettent des escarpins à talons ????

non, mais des fois...

on n'a pas fini de faire couler l'encre à notre sujet...

allez, j'ai trouvé ce petit clip touchant et l'actrice très belle... touchante et vraie...

07 mars 2011

crack

sur le FB de Nina Bouraoui, une auteur à lire, j'ai "capturé" ceci : 

Bill Clegg est agent littéraire chez William Morris Endeavor Entertainment. Portrait d’un fumeur de crack en jeune homme est son premier livre. Il en écrit actuellement la suite.

« J’ôte mon pull et mon torse apparaît dans le petit miroir. Je ne vois que des côtes saillantes, des os, partout, sous une peau gris clair. Mes bras, ma poitrine et mon ventre sont tachetés de petites croûtes, éraflures et brûlures. Je suis, pour la première fois, au-delà de l’envie de baiser, comme si j’avais atteint un nouveau stade de défonce, où la baise n’a plus d’importance. J’en suis bien content, parce que je ne voudrais montrer ce corps à personne. Je regarde de plus près, sur mes mains et mes avant-bras, les plus grosses brûlures et coupures et je frissonne. Je regarde à nouveau dans le miroir et me rends compte que j’ai très peu de peau, comme si mon squelette était recouvert d’un drap infime tendu à l’extrême. J’ai l’air d’avoir échappé à un incendie et d’être à jeun depuis des jours. » Récit glaçant, quasiment dénué d’émotion, Portrait d’un fumeur de crack en jeune homme est l’histoire d’une déchéance, celle de l’auteur devenu dépendant de la drogue. La lente décrépitude du corps, la voix qui n’est plus qu’un souffle, les crises de paranoïa, les chutes et les rechutes, rien n’est ici laissé sous silence et l’on ne peut nier une certaine puissance dans l’art de ce troublant témoignage. Travaillant la lave tout aussi sordide qu’ardente de son sujet, Bill Clegg atteint une vérité qui ne tient pas seulement au réalisme, mais au souffle de générosité et à l’idéal de sacrifice dont tout son ouvrage est imprégné. La structure rigoureuse de l’œuvre coexiste avec la création d’un univers quasi-fantasmagorique, reflet de la confusion de son état physique et moral passé. Cette poursuite toujours vaine d’un bonheur inaccessible qui a fini par avoir raison de ses forces, la pagaille mentale, l’angoisse et le désarroi, tout cela est noté au fil de la plume avec ce qu’il faut de justesse, mais sans aucune lourdeur.

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Tentation d'Eve

au Palace, en ce moment (8, rue du fbg Montmartre dans le 9e à Paris), se contemple "la Tentation d'Eve", véritable voyage chorégraphique et poétique à travers la mémoire des femmes.

je rêvais d'y aller mais le temps fut trop court et l'envie pas partagée... je crois.

alors si vous pouvez, allez-y !

MARIE CLAUDE PIETRAGALLA

Marie-Claude Pietragalla dit au sujet de ce spectacle : "je suis multiple, à travers cette histoire collective, qui nous révèle nos peurs et nos chimères, j'avance, je tatônne, je trébuche mais je reste "l'éternel féminin"".

alors tenté ?

toile et araignée

sur Wikipédia, j'ai trouvé ceci : 

Une toile d’araignée est un des types de pièges en soie que fabriquent les araignées pour capturer leurs proies. Si toutes les araignées fabriquent de la soie, toutes ne tissent pas de toile. Ce fil de soie (non gluant chez certaines espèces comme la tégénaire des caves) est à la fois un support chimique (de phéromones déposées par le mâle, ou la femelle, ou les petits) et un vecteur vibratoire.

On considère que l’usage initial de la soie était la fabrication du cocon pour protéger les œufs car les araignées considérées comme primitives ne tissent pas de toile.

Beaucoup d’araignées d’espèces fileuses femelles (genre Tegenaria notamment) laissent derrière elles un fil enduit de phéromone qui est presque systématiquement suivi par les mâles. (chez les araignées vagabondes, des signaux visuels remplacent ces signaux hormonaux olfactifs)1

Le fil transmet aussi très bien les vibrations. Ils alertent ainsi l’araignée sur le fait qu’une proie est tombée dans son piège ou qu’un mâle s’approche. L’araignée peut aussi détecter la position d’une proie immobile en impulsant une vibration à la toile et en analysant l’écho de cette vibration en retour. Chaque espèce produit des signaux particuliers par vibration de l’abdomen ou par vibration produite par les pattes, à la manière d’un doigt qui fait sonner la corde d'une guitare.

 

intéressant non ?

06 mars 2011

never...

Never Let Me Go

terrifiant. magnifique, déconcertant !

je le dédie à un homme dont la mort a empêché notre histoire de continuer...

 

 

23:39 Publié dans Film | Lien permanent | Commentaires (2)

herbe folle

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sur ce site, vous trouverez les 3 haïkus les plus appréciés du mois de février et serez invités à participer pour le mois de mars...

je vous en glisse un :

"Jonquilles à trois euros

sur les genoux de l'homme
en fauteuil roulant"

Christophe Jubien