12 mai 2012
Let's forget
toi, moi, eux,
cette ivresse dans nos yeux
leur air vieux
notre manque de sérieux
...
je vois des flocons de plumes
assis sur la dune
et nos corps brulent dans l'écume
...
je me souviens je me souviens
non pas des mots
mais de la paume de ta main
dans ma main...
I am you,
You are ready
Like my heart
To be true.
I will stay
You have all
I smith hold you
In a way
Is nothing else to do.
Chorus:
The frost is slowly falling
And my heart it's calling you
Ice is slowly melting away
Let's forget all the thinghs that we say.
09:28 Publié dans lamiendo | Lien permanent | Commentaires (0)
contes de fées
hier, j'ai passé ma journée à inventer de drôles d'aventures avec les personnages secondaires des contes de fées dans une école au Brusc, dans le Var.
enfants bouillonnants d'idées. enseignantes au top.
le soleil, la mer, le bien-être...
repas le midi au bord de l'eau avec lesdites enseignantes.
restau le soir encore au bord de l'eau mais ailleurs,...
alors bon, la vie d'auteur c'est quand même du bonheur !
je vous posterai ici le résultat de ces travaux d'écriture, je pense que ça en vaut la peine...
et en plus ça m'a donné des idées...
09:24 Publié dans mes ateliers d'écriture | Lien permanent | Commentaires (0)
09 mai 2012
Maxi Maurice
trouvé sur la page de Libération :
"Maurice Sendak, célèbre auteur et illustrateur américain, s’est éteint ce mardi 8 mai à l’âge de 83 ans.
L’auteur et illustrateur américain pour enfants Maurice Sendak, surtout connu pour son ouvrage Max et les Maximonstres, est décédé mardi à 83 ans, a-t-on appris auprès de sa maison d’édition Harper Collins. Il est mort à Danbury de complications d’une congestion cérébrale, a précisé la maison d’édition dans un communiqué. «Max et les Maximonstres» («Where the Wild Things Are»), sorti en 1963 et traduit dans de nombreux pays, est considéré comme l’un des des plus grands classiques de la littérature américaine pour enfants. Il décrit les aventures imaginaires d’un petit garçon nommé Max, que sa mère envoie se coucher sans dîner. Furieux, Max, qui porte un costume de loup, part alors dans un voyage imaginaire qui va faire de lui le roi des Maximonstres, dans une île peuplée de monstres aussi drôles que cruels avec lesquels il fait une fête «épouvantable».
Mais le petit garçon finit par choisir de quitter ce royaume pour retourner dans sa chambre. A sa sortie, cet album avait été jugé par certains transgressif car trop sombre et inquiétant pour des enfants. En France, la psychanalyste Françoise Dolto l’avait au départ déconseillé. Preuve de l’importance de l’oeuvre de Sendak dans la culture populaire américaine, le président Barack Obama avait lu à voix haute et avec force mimiques «Max et les Maximonstres» le 9 avril dernier à des enfants lors de la traditionnelle chasse aux oeufs de Pâques à la Maison Blanche. «Max et les Maximonstres» a fait l’objet de nombreuses adaptations, dont un opéra pour enfants, deux dessins animés et un film de Spike Jonze en 2009. Il avait reçu la Médaille Caldecott en 1964, qui récompense aux Etats-Unis le meilleur ouvrage illustré pour enfants.
Parmi la cinquantaine d’oeuvres qu’il a produites, Maurice Sendak est aussi l’auteur de «Cuisine de Nuit» («In the Night Kitchen») paru en 1970, et parfois censuré parce qu’il montre un petit garçon nu. Sendak, qui à partir des années 70, s’était également lancé dans la réalisation de décors de théâtre, opéras et ballets, était né à Brooklyn, de parents juifs polonais. Il aurait décidé de devenir illustrateur de livres pour enfants après avoir vu le film de Disney «Fantasia» à l’âge de 12 ans. Il avait grandi très marqué par la Shoah, dans laquelle une partie de sa famille était morte. Selon le New York Times, il restera comme l’auteur ayant «dégagé les livres illustrés du monde aseptisé et rassurant de la garderie d’enfants, pour les plonger dans les recoins sombres, effrayants et magnifiques de la psyché humaine»."
17:31 Publié dans littérature | Lien permanent | Commentaires (0)
anaphore
savez-vous ce qu'est une anaphore ?
voilà la définition (Cécile, tu sors, toi tu sais tout...) :
L'anaphore (substantif féminin) (du grec ancien ἀναφορά / anaphorá (« reprise, rapport »)), est une figure de style qui consiste à commencer des vers, phrases ou ensembles de phrases ou de vers, par le même mot ou le même syntagme. Elle rythme la phrase, souligne un mot, une obsession, provoque un effet musical, communique plus d'énergie audiscours ou renforce une affirmation, un plaidoyer, suggère une incantation, une urgence. Syntaxiquement, elle permet de créer un effet de symétrie.
si j'en parle c'est pour ceux qui se sont plongés, dernièrement, dans les évènements nationaux français, qui viennent de bouleverser un paysage politique vieux de cinq ans au minimum...
l'anaphore dernièrement entendue donc commençait par cette syntagme : "moi, président..."
ça vous parle ? ah ! quand même !
alors allez-y de votre propre anaphore. faites-moi un discours, une déclaration, un poème.... sous forme d'anaphore. et je voterai pour ma préférée... si ! j'ai gardé mon enveloppe bleue et mes bulletins... même un isoloir... donc, j'ai dit, je voterai...
15:06 Publié dans un peu de moi | Lien permanent | Commentaires (0)
crions, enfants...
des cris j'en ai poussés.
passionnée. concernée. rassurée. enchantée. peut-être un brin enivrée, je l'avoue.
des cris j'en ai poussés.
mais aucun n'aura jamais cette valeur-là. pénucnière la valeur bien sûr. parce que pourquoi pas une valeur émotive, une valeur convaincue, une valeur de sincérité.
mais si pécune se rapporte à l'argent, aucun donc de mes cris n'atteindra la valeur de celui-ci...
diantre, mais comment ouvrir la bouche désormais sans peur d'être affichée au top 10 des comptes en banque...
Munch est un génie.
pas moi.
voilà...
Le cri, Edvard Munch
15:00 Publié dans c'est la vie | Lien permanent | Commentaires (0)
08 mai 2012
férié...
il est des jours où il faudrait vraiment s'y mettre, les mots s'impatientent, les projets s'enkilosent et les retards s'accumulent...
mais c'est férié, il faut aller commémorer, le soleil brille, la soirée belote de la veille fut nocturne, les meubles de la terrasse attendent un coup de peinture joyeuse, il faut s'occuper des plans de tomates et de concombre, une des blondinettes se colle sur le ventre maternel longtemps longtemps, tendresse et caresses, le petit oisillon manque à l'appel, l'apéro partagé est toujours bienvenu et...
ben voilà... pas un clic sur le clavier, pas une nouvelle ligne sur l'écran, pas de boulot réalisé...
là, c'est sûr, c'est juste a-bu-sé...
21:43 Publié dans lamiendo | Lien permanent | Commentaires (3)
grande lessive
21:38 Publié dans c'est la vie | Lien permanent | Commentaires (0)
07 mai 2012
matin gaieté
il est des matins où on court sous le ciel de provence le coeur léger, où les oisillons quittent leur nid et les oiselles le feraient bien aussi.
des matins de papillons et de fleurs au crochet.
des matins où tant d'horizons nous attendent qu'on se dit soudain qu'on ne devrait jamais oublier d'être libre...
(c) Mila Marquis
11:29 Publié dans c'est la vie | Lien permanent | Commentaires (3)
04 mai 2012
Ansouis
un pied devant l'autre, un lieu sublime, un peu de soleil, du bonheur pour les esprits posés...
Un village juste à côté...
22:14 Publié dans un peu de moi | Lien permanent | Commentaires (1)
02 mai 2012
red blablas...
je viens de terminer le dernier chapitre du tome 2 de ma série filles pour Oskar, je dois retravailler encore mon livre pour Samir éditions, trois chansons à écrire pour Léa, un texte pour... et un projet avec...
- contraction musculaire, a dit le médecin. vous êtes fatiguée ? vous arrivez à dormir ? Vous n'en faites pas un peu trop ?
- moi ? ben comment dire ? je bosse tous les weekends, le soir tard, je corrige, écris, théâtralise, tiens le bureau de vote, compose en rimes... fatiguée ? c'est une blague ?
j'ai rongé tous mes ongles et la piscine a fermé pour trois semaines. j'ai loupé ma séance de yoga jeudi cause Rome. la séance chez la kinésio a été bouleversante. et non, je ne dors pas bien la nuit.
mais sinon, j'ai un moral d'enfer !
alors, résultat des courses, j'ai un traitement pour trois mois qui devrait réparer aussi mon dérèglement hormonal.
j'ai lu il y a peu que ma vie était trépidante, riche, bouillonnante. certes, mais je crois que je devrais savoir freiner parfois un peu...
allez, ce soir concert de Russian Red à Marseille, ce n'est pas une pause ça ?
16:57 Publié dans lamiendo | Lien permanent | Commentaires (1)
01 mai 2012
1er mai
pour vous, ce joli brin...
(c) Sandrine Lhomme
16:38 Publié dans un peu de moi | Lien permanent | Commentaires (0)
Tangonéon
aujourd'hui, 3e représentation de notre "Tangonéon", textes argentins mis en scènes par Isabelle Sanchez... sous le soleil, devant un public conquis....
16:06 Publié dans un peu de moi | Lien permanent | Commentaires (0)