29 septembre 2011
Melissmell
avant de partir vers Gradignan, je vous glisse cette petite chanson car la fille en vaut la peine, vraiment...
09:39 Publié dans c'est la vie | Lien permanent | Commentaires (0)
nouveau sénat
170 sièges étaient à pouvoir au Sénat en septembre 2011. cela concerne donc les sénateurs de la série 1.
la répartition est celle-ci :
- 150 sièges dans les départements métropolitains (de l'Indre-et-Loire aux Pyrénées Orientales, ainsi que les départements de l’Île-de-France),
- 14 sièges en outre-mer (la Guadeloupe, la Martinique, La Réunion, la Nouvelle-Calédonie, Mayotte et Saint-Pierre-et-Miquelon)
- 6 sièges de sénateurs représentant les Français de l'étranger ;
* à noter qu'actuellement, la série 1 ne se compose que de 163 sénateurs, à la suite des démissions de M. Alain Lambert, sénateur de l'Orne, et de M. Pierre Fauchon, sénateur du Loir-et-Cher, dont les sièges sont vacants.
=> 5 sièges supplémentaires correspondent à l'accroissement graduel de l'effectif sénatorial pour tenir compte des évolutions démographiques.
Un siège supplémentaire a ainsi été attribué aux départements suivants : Isère, Maine-et-Loire, Oise et La Réunion ainsi qu'à la Nouvelle-Calédonie.
Parmi les 170 nouveaux élus, on compte 77 femmes, soit 2 de plus qu’au lendemain des élections de 2008, où 75 femmes avaient été élues. Le Sénat sort également rajeuni de ces élections. La moyenne d’âge des 170 nouveaux sénateurs est de 60 ans. Ils sont 5 à avoir moins de 41 ans et 47 % à avoir moins de 60 ans. Le benjamin des nouveaux élus est une benjamine : il s’agit de Cécile Cukierman, sénatrice communiste élue dans le département de la Loire.
Mais qui sera le futur président du Sénat ? réponse le 1er octobre, car le match est serré entre le sortant Gérad Larcher et le candidat des sénateurs socialistes Jean-Pierre Bel.
09:36 Publié dans c'est la vie | Lien permanent | Commentaires (0)
28 septembre 2011
lire en poche 2011
vendredi samedi et dimanche je serai là...
youppi ! un rendez-vous que je ne veux absolument pas louper...
08:22 Publié dans les salons où je vais | Lien permanent | Commentaires (1)
27 septembre 2011
Impéria
au loin l'horizon, la mer à l'infini, deux cygnes qui se laissent porter, fragiles, au gré de l'eau, somptueux, solidaires, immaculés.
tout près, les odeurs de fritures, délicieuses, le bruit des gens, harmonieux, la douceur d'un jour entre parenthèses, cette culpabilité enfouie quelque part de cet instant volé au temps, à l'urgence, à l'obligé.
demain tout recommencera, mais là, de suite, tout est si merveilleux.
11:30 Publié dans un peu de moi | Lien permanent | Commentaires (2)
23 septembre 2011
école des sables
je commence une aventure avec l'école des Sables, association qui soutient financièrement l'école de Taboye au Mali qui scolarise des enfants dont les parents sont nomades. un recueil de contes édité est l'objectif de cette aventure.
je ne rêve que de partir partager quelques journées d'Ibrahim Ag Assarig, seul enseignant de cette école, avec qui je prépare ce projet...
alors si certains d'entre vous ont des idées, la motivation et l'envie aussi, des sources de subvention pour que j'aille là-bas, pour que ce recueil voie le jour, pour que..., je suis preneuse...
à l'heure d'aujourd'hui, seules quelques écoles d'Aquitaine sont impliquées dans le projet...
10:00 Publié dans c'est la vie, mes ateliers d'écriture | Lien permanent | Commentaires (0)
contrepétrie
la contrepétrie est un jeu de mots consistant à permuter certains phonèmes ou syllabes d'une phrase afin d'en obtenir une autre, présentant alors un sens indécent masqué par l'apparente innocence de la sentence initiale...
« Le contrepet dispense le même bien-être qu'une musique douce. Il use de mots berceurs, farceurs, malicieux », explique Joël Martin, physicien et expert en contrepèterie. Il propose un dictionnaire où chaque entrée (noms communs et noms propres) est un mot contrepétogène. Une troisième partie contient des devinettes, jeux de mots et textes à décrypter. Un guide indispensable pour devenir contrepétiste professionnel, de la lettre A comme Abats à Z comme Zola. Que votre verbe soit en joie.
09:55 Publié dans littérature | Lien permanent | Commentaires (1)
22 septembre 2011
inégalités
j'ai entendu dans l'émission Là-bas si j'y suis de Daniel Mermet sur France Inter, un reportage de François Ruffin sur la fiscalité, les inégalités et les "causes à effet" que l'on méconnait...
voilà la présentation qui en est fait sur le site :
"C’est une vieille histoire que celle de l’impôt. Celle de "l’impot-phobie" également. Et celle de l’inégalité face à l’impôt.
Cette roue des privilèges, on la voit tourner, mais on ne s’y intéresse pas toujours. Pourtant, il existe un lien entre ces infirmières qui se font licencier et les millionnaires qui ne paient pas leurs impôts. Il y a un lien entre les 13% de la population française qui vivent sous le seuil de pauvreté et l’argent que Liliane Bettencourt ne reverse pas au Fisc."
je vous conseille vraiment de l'écouter... c'est terrifiant... la non-communication aussi...
quelle drôle de société que la nôtre...
22:23 Publié dans c'est la vie | Lien permanent | Commentaires (0)
21 septembre 2011
Attila
j'ai reçu dans ma boîte aux lettres ce midi, ces petits ouvrages si légers, si plaisants, si...
mon dernier "bébé" : Attila.
eh bien, franchement, ce n'est pas "de la tarte" lui non plus !! mais il me plait...
23:12 Publié dans mes ouvrages | Lien permanent | Commentaires (3)
équité
il y a les années passées, les démissions, les nuits sans sommeil, les sourires toujours là, l'argent offert, partagé, les épreuves, les ventres qui grossissent pendant que les bouches vomissent, là sur le trottoir, anhilant les vies qui se promettent, les boulots refusés, les accidents douloureux, les morts, les peurs, la solitude, l'abandon, les larmes, les silences, les replis, les "débrouille-toi seule, tu le fais si bien", ce "tout va bien "qui règle tout si vite, les "on est quittes" qui brisent tout si brusquement.
on n'est jamais quittes.
jamais.
on fait comme si.
on se voile la face, ferme les yeux, on oublie ce qui nous arrange, on revendique ce qui est entendable.
on se dit que la vie aurait pu être autrement, mieux, moins pire, plus partagée, plus douce, plus aimante. on accepte et puis, on est "quittes".
mais on n'est jamais quittes.
jamais.
23:10 Publié dans un peu de moi | Lien permanent | Commentaires (6)
20 septembre 2011
Maya Barsony
j'ai craqué sur cette jolie Maya !
...J'ai changé
J'ai pris du recul
J'ai tourné ma langue dans ma bouche
Transformé mes points en virgule
J'ai mis de l'encre bleue dans mes cartouches
Il y avait là
Au fond de moi, l'âge
Et maintenant que j'ai tourné la page
Je suis à mal
D'éviter le conflit
Je mets mes points dans la poésie
Et quand je pense au passé
Ca me saoûle
Quand sur mes doigts
Il y avait des ampoules
C'est révolu
Je les ai mis KO
Je suis à nu
Je repars à zéro...
11:53 Publié dans c'est la vie | Lien permanent | Commentaires (1)
19 septembre 2011
Adieu Cora
13:24 Publié dans c'est la vie | Lien permanent | Commentaires (1)
Sortilèges
voilà ce que l'on peut lire sur la page d'acceuil des éditions Sortilèges :
Bienvenue chez Sortilèges Editions |
Découvrez très bientôt nos romans jeunesse Fantastique et Fantasy. Sortilèges est spécialisée dans lalittérature de l'imaginaire. Nos romans vous emmènent dans des aventures extraordinaires où se côtoient créatures de la nuit et humains aux pouvoirs surnaturels. Vivez des histoires magiques, épiques, sensitives, résolument modernes. Bienvenue dans les nouveaux mondes, laissez-vous ensorceler ! |
différentes collections sont déclinées joliment et les auteurs sont invités à envoyer des textes.
je vous fais donc passer l'information... si d'aventure...
13:17 Publié dans littérature | Lien permanent | Commentaires (0)
16 septembre 2011
DJ Mehdi
il voulait voir Paris d'en haut. la chute fut mortelle. tel Icare qui se brûla les ailes, cet artiste hors normes donnera certainement encore longtemps de l'élan à d'autres musiciens inspirés...
09:57 Publié dans c'est la vie | Lien permanent | Commentaires (6)
4e de couverture
sur le sit du Figaro.culture, trouvé cet article littérairement intéressant de Mohammed Aissaoui :
je vous laisse lire..
«La quatrième de couverture doit créer le désir, c'est son premier but», explique Karina Hocine, directrice littéraire des éditions Lattès. (François Bouchon/Le Figaro)
Le dos d'un roman doit inciter le lecteur à ouvrir le livre. Qui l'écrit et comment ?
C'est un rituel que l'on observe en librairie: d'abord, le lecteur prend le roman en jetant un coup d'œil furtif sur la couverture. Ensuite, il le retourne pour découvrir le petit texte qui figure à la dernière page. Ce moment est très court, mais décisif. Si après ces quelques instants, le lecteur ouvre et feuillette le roman, c'est presque gagné. «Mais l'alchimie d'une quatrième de couverture est très difficile à trouver. Elle échappe aux règles codifiées du marketing. C'est un exercice délicat : c'est ce que le lecteur voit en second, affirme Philippe Touron, de la librairie Le Divan, à Paris. Chaque roman est un prototype. Les bandeaux ou les petits mots des libraires sont une manière d'amener vers la quatrième.»
1- Quel objectif?
«La quatrième de couverture doit créer le désir, c'est son premier but», explique Karina Hocine, directrice littéraire des éditions Lattès. Et de préciser: «Elle doit créer le désir, oui, mais tout en ressemblant au livre: l'équilibre n'est pas toujours facile à trouver. Et le pire est de tromper le lecteur avec une accroche mensongère.»
2- Qui doit l'écrire?
Pour Claire Delannoy, éditrice chez Albin Michel, la réponse ne fait aucun doute: «C'est à l'éditeur de l'écrire.» Et la plupart de ses confrères abondent: la «quatrième» reste la chasse gardée de l'éditeur, avec un droit de regard de l'auteur, bien sûr. L'explication est simple pour Émilie Colombani, du Seuil : «Le romancier ne peut être acteur et spectateur. Or, il faut avoir une distance par rapport au livre, et se mettre du côté du lecteur, pas de l'écrivain. L'auteur est le moins bien placé !» Chez Actes Sud, on va encore plus loin: la quatrième est signée de… l'éditeur. Dans tous les romans figure «Le point de vue des éditeurs», suivi d'un petit texte qui contient le plus souvent deux paragraphes (un résumé et une sorte de critique qui doit séduire). Chez Albin Michel, Richard Ducousset, PDG de la maison, a le dernier mot: il regarde toutes les couvertures. Il n'y a que les éditions P.O.L qui se distinguent: «C'est une règle chez nous, explique Jean-Paul Hirsch : ce sont les auteurs qui écrivent la quatrième de couverture, et aucune consigne ne leur est donnée.»
Il n'y a pas d'exception à la règle, les cinq romanciers de la rentrée ont rédigé le petit texte au dos de leur roman.
3- Quel contenu?
Il n'y a ni règle ni mode d'emploi. Il existe bien des codes classiques - il faudrait pouvoir y lire le titre du roman, le nom de l'auteur avec une biographie express et quelques mots sur le livre. Mais presque aucune maison ne les respecte, à l'instar de Lattès, Grasset, Fayard, Actes Sud, La Table ronde, P.O.L, Le Dilettante… Pourquoi? «J'estime que le titre figurant déjà sur la couverture, il n'y a pas lieu de l'ajouter sur la quatrième. J'aime autant le vide, le blanc. On n'est pas obligé d'occuper tout l'espace», répond Karina Hocine. Chez Gallimard, Albin Michel, Mercure de France ou Léo Scheer, on préfère reprendre le titre et le nom de l'auteur. Chez Stock, on ne reprend que le titre. Une courte biographie est ajoutée à la fin du texte. Chez P.O.L, on est adepte d'une sobriété extrême, «voire d'une certaine austérité et d'une économie de mots, ajoute Jean-Paul Hirsch, jamais de bio de l'écrivain, ni des considérations du genre “il habite à Paris”, “Il a reçu tel prix…” ou même “auteur de L'Adversaire”, par exemple. Chaque livre se suffit à lui-même.»
4- Quel ton adopter?
«Il faut coller à la tonalité du roman, ne pas employer des mots que l'auteur n'aurait pas utilisés», souligne Claire Delannoy. L'éditrice aime beaucoup ce défi: «C'est un exercice de style, mais aussi une technique qui s'acquiert avec l'expérience. Cela fait partie de notre rôle de passeur.» Pour respecter le ton du roman, certains en extraient une phrase, mais tous les livres ne s'y prêtent pas. Le Mercure de France, par exemple, adopte souvent cette méthode : un extrait, suivi d'un petit texte. «Il faut que l'extrait capte l'attention, en dire assez pour donner envie, sans tout raconter… Ce n'est pas évident», explique Karina Hocine, qui a un truc pour savoir si le texte de la quatrième sonne juste: «En général, je le lis à haute voix.»
5- Quelle longueur?
La tendance est au court, très court, même. Exemple, chez P.O.L Marie Darrieussecq, auteur de Clèves, doit attirer avec cette phrase: «Solange se demande s'il vaut mieux le faire avec celui-ci ou avec celui-là.» Eliette Abécassis est peu prolixe, le titre (Et te voici permise à tout homme, chez Albin Michel) est presque aussi long que la phrase de la quatrième : «Femme ? Épouse ? Non. Tu es Agouna. Enchaînée, ancrée, enlisée.» Mais la palme du court revient à Dimitri Bornikov, auteur de Repas de morts (Allia, maison économe en mots): «J'ai rien à faire là.» On se demande si cette tendance ne constitue pas un retour au passé: car il y eut des quatrièmes complètement vierges. Puis, au cours des années où on y a ajouté un extrait du catalogue de l'éditeur avec de la publicité (oui, de la publicité !). Enfin des «prière d'insérer» ou des «déclaration d'intention» de l'écrivain avaient fait leur apparition. Cette forme de quatrième revient aussi à la mode.
09:49 Publié dans littérature | Lien permanent | Commentaires (0)
15 septembre 2011
journées de patrimoine
11:16 Publié dans littérature | Lien permanent | Commentaires (0)
14 septembre 2011
Skrela forfait
bien sûr, la vie ne se résume pas à cette coupe du monde de rugby, et par rapport à cette fillette tuée à coups de hache dans un jardin d'enfants japonais, on peut sourire de cette décevante nouvelle : David Skrela est blessé à l'épaule et se retire du Mondial 2011.
il ne sera pas sur le terrain contre le Canada samedi...
bon, il ne reste qu'à lui souhaiter bon rétablissement...
11:36 Publié dans c'est la vie | Lien permanent | Commentaires (0)
Hamilton
Richard Hamilton n'est plus. cet artiste précurseur du pop art a laissé des oeuvres intéressantes...
11:28 Publié dans c'est la vie | Lien permanent | Commentaires (0)
lycéens apprentis
08:58 Publié dans littérature | Lien permanent | Commentaires (0)
12 septembre 2011
Auguste
Auguste est une revue méconnue d'auteurs inconnus diffusant tous les deux mois, gratuitement et par voie numérique, des nouvelles, feuilletons, entretiens, et autres textes.
je vous invite à la télécharger c'est truculent.
un petit faible pour le texte de Marie Royer (évidemment) sur une certaine Louise... on ne se refait pas !!
13:55 Publié dans littérature | Lien permanent | Commentaires (0)
France-Japon
ils ont gagné samedi au North Harbour stadium et pourtant je lis ici ou là qu'ils ont cafouillé, qu'ils ont été décevants, on note les erreurs...
ils se seraient vus "trop beaux, trop faciles" nos bleus du XV...
ouais bon, peut-être, mais ne devenons-nous pas un peu trop exigeants sur cette planète ?
13:49 Publié dans c'est la vie | Lien permanent | Commentaires (0)