Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

31 janvier 2012

sirène

407544_2633900602495_1104827226_32150677_438539053_n.jpg

corps évanescent, noyade incertaine, milieu aqueux, dentelle fragile...

juste respirer au-dessus le niveau de l'eau

pousser sur les jambes et respirer au-dessus le niveau de l'eau

demain le rivage

30 janvier 2012

old ideas

c'est le dernier opus de Leonard Cohen et je vous en livre un morceau comme une friandise à savourer lentement.. "Show me the place"

cet homme est une perle rare de bonté, de talent et discrétion...

thank you, man...

Angoulême 2012

ce serait cruel de faire l'impasse sur le festival d'Angoulême de cette année qui vient de fermer ses portes.

on y a consacré Jean-Claude Denis et son Luc Leroi, entre autres, puisque c'est lui qui a eu le Grand Prix de la ville. après des débuts dans Pilote ou chez Dargaud ou Futuropolis, Jean-Claude Denis a un palmarès incroyable chez Casterman. et ailleurs ensuite encore. roman graphique, one shot, livres pour la jeunesse, récits de viyage, CD-livres... cet homme est impressionnant (et en plus il ressemble à mon coapin Michel qui tient le restau bio à Pertuis...).

bon, il y avait aussi à Angoulême, Art Spiegelman et son mythique Maus, comme président du jury, il y avait Cosey, chez Le Lombard, un ami au célèbre libraire de Lausanne qui s'occupe de Raspoutine, lieu magique et étrange, il y avait les Tebeos, bandes dessinées espagnoles, Margerin,... et la bande dessinée suédoise aussi...

bref, ce devait encore être un très beau salon, à ne pas manquer... c'est certainement pour cela que je l'ai manqué d'ailleurs...

29 janvier 2012

sur les flots

67577_1681515081496_1346141362_31839323_943058_n.jpg

être une barque posée sur l'eau calme, bercée par les flots tranquilles.

réchauffée par le soleil qui se couche, dans le silence du soir qui tombe.

plus un bruit, plus un mouvement.

ressource.

apaisement.

Millénium

je n'ai jamais été portée à voir les gros succès, les "incontournables" que l'on se vante tous d'avoir vus.

jamais vu "la Guerre des Etoiles" ou "Matrix", vu "le grand bleu" et "ET" bien longtemps après à la télé...

je suis une entêtée ne cherhez pas.

là, j'étais réfractaire mais j'y suis allée quand même, accompagnée sinon ce n'était pas la peine, et j'ai adoré ce film.

bon, voilà, je l'avoue... j'ai adoré. j'ai été profondément touchée par certains passages, très émue, très bousculée, très perturbée aussi mais j'ai adoré...

il ne me reste plus qu'à faire comme tout le monde : à lire les 3 tomes !

non, mais, j'vous jure !!!

16:35 Publié dans Film | Lien permanent | Commentaires (0)

Wade le malfaisant

le président Abdoulaye Wade a vu sa candidature validée par le conseil constitutionnel et partout au Sénegal on se révolte. cet homme est une plaie pour son pays. c'est sa 3e candidature, il a 80 ans et c'est un malfaisant...

le chanteur Youssou'n Dour, lui ne pourra pas se présenter alors que le peuple le réclame. non seulement il y a eu "magouille" du vieux Wade pour que sa candidature soit refusée mais en plus il a subi des menaces physiques...

le coordinateur du principal mouvement d'opposition le M23 (mouvement du 23 juin) a été arrêté par la police et gardé en prison dans la nuit de samedi à dimanche. il n'était pas seul, ils étaient des dizaines responsables et militants de tout le pays à subir le même sort.

en France, la prudence est de mise. on nous demande de respecter la légalité contitutionnelle... non, mais c'est abusé là !

j'y suis allée et j'ai vu. on devrait interdire ce genre de validation constitutionnelle..

je suis en colère ! j'y retournerai bientôt. 

La validation de la candidature du président Wade à la présidentielle de février par le Conseil constitutionnel qui a provoqué de graves violences dans plusieurs villes.

24 janvier 2012

vibrations

398008_3093558456231_1182143306_33359950_1871712063_n.jpg

vibrations. vibrons. rations. vrai. bras bâtir bâton. ton. son. nos. vos.

rions tairons. art. bris bans. soir. soin. avoir.

noirs. avion. vis. va. anti. anvi... ravis.

train. tain. tirons. rat. ras. bas. bon.

toi.

23 janvier 2012

lescop est dans la fôret

dans la forêt je te retrouve à l'heure opportune

un rendez-vous improvisé sous la Lune

sourires crispés

situation compliquée

je sens ton souffle qui me frôle le cou

un pistolet chargé me caresse la joue

tu dis : cette fois c'est moi qui joue...

 

21:00 Publié dans lamiendo | Lien permanent | Commentaires (0)

Fire design, le retour

voilà c'était ce weekend au salon de la sécurité et de je-ne-sais-plus-quoi, mes mots étaient enroulés autour d'extincteurs, comme des écharpes subjectives, ils avaient bien chaud, ils étaient bien heureux...

espérons qu'ils soient nombreux à les rêver chez eux...

photo-1.JPG

la folie Almayer

j'ai entendu ce matin dans ma radio préférée parler de ce film qui est apparemment bouleversant et qu'il faut défendre.

alors je vous en parle vaguement ici, en glissant la bande annonce.

et je croise les doigts pour que ce film vive !


17:01 Publié dans Film | Lien permanent | Commentaires (0)

22 janvier 2012

The "golden" artist

The Artist

j'allais presque oublier d'en parler. voilà ce que j'ai trouvé dans "Libération" :

"Décidément, si The Artist n'obtient pas un gros quelque chose à la prochaine cérémonie des Oscars, ce sera limite un désaveu. Car la moisson de prix et des nominations se poursuit pour le film. Samedi soir, c'est le producteur français Thomas Langmann qui a reçu samedi soir à Los Angeles le prix du Syndicat des Producteurs Américains (PGA), pour le film The Artist, a annoncé dimanche sa société La Petite Reine.

«Le prix Darryl F. Zanuck est le prix le plus important aux Etats-Unis récompensant un producteur», souligne la société de production française. Et surtout, ces quatre dernières années,rappelle le Los Angeles Times, les oscars ont systématiquement récompensé le film primé par le syndicat des producteurs.

«The Artist» et Thomas Langmann, patron de La Petite Reine, étaient opposés à de grosses pointures – sous leur casquette de producteurs – telles que George Clooney (Les marches du pouvoir), Martin Scorsese (Hugo Cabret), ou Steven Spielberg (Cheval de guerre). Les producteurs de Mes meilleures amies,Millénium, les hommes qui n’aimaient pas les femmes, ouMidnight in Paris étaient également en lice.

The Artist, signé Michel Hazanavicius et qui connaît un succès inattendu aux Etats-Unis, a marqué la 69e cérémonie des Golden Globes le 15 janvier, en remportant trois trophées, notamment celui de la meilleure comédie et du meilleur acteur comique pour Jean Dujardin.

Le film, lettre d'amour à l'âge d'or du cinéma hollywoodien, séduit aussi le public américain avec 9,5 millions de dollars de recettes à ce jour, soit plus d’un million d’entrées, selon Unifrance. Bien que muet et en noir et banc, le numéro de claquettes de Michel Hazanavicius, porté par la performance de Jean Dujardin et Bérénice Béjo, est actuellement distribué sur 216 copies aux Etats-Unis, après avoir pourtant démarré dans une extrême discrétion le 25 novembre sur quatre écrans, a précisé jeudi l’organisme chargé de la promotion du cinéma français à l’étranger.

Autre source de satisfaction, The Artist a bien entamé sa carrière au Royaume-Uni, territoire réputé difficile pour les films français, avec 320.000 entrées depuis sa sortie le 30 décembre – un résultat jugé «exceptionnel» par Unifrance.

Tout aussi exceptionnel est d’ailleurs le nombre de ses nominations au Bafta : le film est en tête des nominations aux «César britanniques» avec douze citations dont meilleurs film, scénario original, musique originale, costumes et bande son.

Après son succès aux Golden Globes, The Artist a gagné ses galons de candidat incontournable aux prochains Oscars, dont les nominations seront annoncées le 24 janvier. La cérémonie se tiendra le 26 février."

(AFP)

22:09 Publié dans Film | Lien permanent | Commentaires (0)

21 janvier 2012

j'étais là...

j'étais là quand son mec s'est tué en moto et qu'il fallait l'aider dans les vignes, dans les champs, j'étais là quand elle a dit il est revenu il me tape mais je suis accro je l'ai dans le sang dans les tripes j'étais là quand il a dit je ne sais plus où dormir j'suis paumé,j'étais là quand elle a dit il ne m'écoute jamais ce que je fais c'est de la merde je suis nulle, j'étais là quand elle m'a dit je dois chercher du travail tu peux garder mes enfants je suis coincée, j'étais là quand il tournait en rond sur la place marmonnant des mots sans queue ni tête, j'étais là quand elle pensait qu'à 40 ans sa vie était foutue qu'elle ne vivrait plus rien de beau, j'étais là quand elle m'a dit je n'ai pas de travail je suis trop jeune pour rester comme ça mes parents ne m'aident pas, j'étais là quand il lui a dit je ne sais plus si c'est toi ou elle et qu'elle ne dormait plus la nuit, j'étais là quand elle a dit j'ai besoin d'un stage un boulot n'importe quoi fais-moi bosser, j'étais là quand sa mère est morte quand son mec a tué une femme et est parti en prison, j'étais là quand il a quitté son boulot son appart et qu'il a dit je pars me reconstruire, j'étais là quand il m'a dit je n'ai plus de permis je ne peux pas aller à pieds, j'étais là quand elle m'a appelée en larmes me disant viens, j'étais là quand ils l'ont tous traitée de folle de salope de mauvaise, j'étais là quand elle est tombée dans le métro, tremblante, rien dans le ventre, yeux fermés, j'étais là quand il a claqué la porte lui disant je ne supporte plus ça tu ne changeras jamais, j'étais là quand elle m'a dit aide-moi à retrouver mon père ne me laisse pas seule emmène-moi avec toi, j'étais là quand ils/elles ont dit écoute-moi aide-moi porte-moi soulève-moi.. j'étais là...

00:08 Publié dans lamiendo | Lien permanent | Commentaires (3)

20 janvier 2012

the boss

you can be the boss... hé hé !!

chaud dedans

393813_153773658069293_100003099780465_234659_1778426984_n.jpg

s'il y a bien quelque chose qu'elle ne supportait pas c'était qu'on la voit en situation inconfortable.

et là, indéniablement, la situation était non seulement inconfortable mais humiliante.

se retrouver contorsionnée sur un siège d'une voiture d'occasion, parce qu'elle en était sûre désormais cette voiture n'avait rien d'une première main, avec toutes options en prime, c'était une voiture de fonctionnaire moyen, de pauvre type à la petite semaine...

et dire qu'elle l'avait pris pour du lourd, pour un vrai mec bien tanqué.

maintenant l'odeur de la voiture lui soulevait le coeur et son visage ahuri en face d'elle qui la matait sans gène, ça l'insupportait.

ravalant son orgueil qui partait en bouillasse sur le sol de cette vulgaire bagnole, elle s'extrait de son siège avec un sourire délicieux. s'approcha de lui avec une sensualité qu'elle cultivait volontiers dans le situations difficiles.

lui, restait stoïque devant tant de charme. il riait encore à l'intérieur de l'avoir vue, jupe relevée, hanche de côté, tirant la langue, la minute d'avant. il l'avait trouvée si classe cette fille, enfin une qui n'avait pas cet air populaire qu'il trouvait chez toutes celles qu'il croisait. il la pensait différente, hors du commun, au-dessus du lot.

et l'image qu'il avait eue sous les yeux avait brisé le mythe. il n'était plus aussi sûr de vouloir faire un bout de route avec cette simple gonzesse.

en roulant des hanches, elle approcha son corps puis sa bouche de l'homme qui ne bougeait pas.

ellle releva totalement sa jupe comme pour mieux câler sa cuisse contre sa jambe et délicatement elle saisit son revolver, un automatique Browning GP35 qu'elle gardait toujours dans la ceinture de sa jupe.

et alors qu'il allait lui décocher un : "je pense qu'on va en rester là, ma chère !" ou un truc du genre, il n'avait pas encore bien choisi la formule adéquate, elle lui colla le Browning dans le ventre et tira.

un seul coup.

19 janvier 2012

du temps

entendu et vu cela hier, par un pur hasard, et suis restée collée à l'écran.

alors ça, si ce n'est pas un concentré d'énergie, de "je-tape-du-pied-sur-le-sol-et-je-remonte-très-haut"...

"moi je veux vivre

aller haut !"

mais oui, moi ausssssiiiii !!!!!

09:57 Publié dans lamiendo | Lien permanent | Commentaires (8)

18 janvier 2012

chaud dehors...

408890_1800064896678_1691487002_963953_83687504_n.jpg

ça faisait un quart d'heure qu'il était sorti de la voiture.

- attends-moi s'il te plait et surtout surtout surtout ne t'en va pas, d'accord ?

il avait vraiment la trouille qu'elle ne se tire, il avait une surprise pour elle, cette fille lui plaisait vraiment, et pour une fois il ne voulait pas se manquer, il voulait l'épater, la surprendre, la séduire...

elle s'était préparée pendant une heure. sexy ? classe ? classique ?

elle avait opté pour un chic un brin sexy. ce gars c'était du lourd. un vrai mec, comme elle les aimait. elle en avait marre des gars qui roulaient des mécaniques et qui se faisaient la malle dès que les choses devenaient sérieuses, les plein de mots, plein de promesses qui ne tenaient jamais la distance.

lui, elle le voulait et pas que pour un soir.

cheveux montés en chignon, rouge à lèvres Coco, traits sous les yeux nickel, petite jupe tailleur...

elle passait tout en revue avant qu'il ne revienne quand elle la vit.

- merde, connerie de bas ! murmura-t-elle.

une maille filait son bas et rendait sa tenue ridicule.

- heureusement que j'ai toujours une paire de recharge dans le sac, soupira-t-elle.

avec rage, elle releva sa jupe, se dépêchant avant qu'il ne revienne. elle se contortionnait, serrée sur son siège.

c'est à ce moment-là qu'elle s'aperçut qu'il était là, à l'observer...

polar aux trousses

c'est un concours que je vous mets en partage, si cela vous intéressait, allez savoir...

 

Description du concours :

 

 

"Tolérance, tolérance, il y a des maisons pour ça" --- Claudel

 

Intolérance, Intolérance, il y a la société pour ça...

 

Séparer, distinguer, établir des différences, ranger... La société, pour se rassurer, classe les individus dans des catégories qui pourtant ne les définissent pas. Elle les enferme et les propose au rejet d'autrui. 

 

On devient un homo, un noir, une femme, un musulman... le représentant malgré soi d'un groupe mais pas d'un individu. 

 

On devient... une discrimination.

 

Prenez la discrimination comme sujet d'un roman policier et rétablissez la justice par la plume.


Contraintes

 

Le texte publié sur WeLoveWords devra :

- ne pas dépasser 23.000 signes (espaces compris)

- contenir un synopsys de 3000 signes maximum et les 20.000 premiers signes du texte.

À terme, le texte publié par Numériklivres fera environ 200.000 signes.

 

Planning

 

Phase 1 - Du 17 janvier au 17 mars 2012. Les candidats sont invités à publier leur contribution sur WeLoveWords.

 

Phase 2 - Du 18 mars au 31 mars 2012 : sélection du jury et identification du lauréat.

 

Phase 3 - Début avril 2012 : annonce du sélectionné

 

Phase 4 - L'auteur sélectionné doit écrire le reste de son texte et l'envoyer directement à Numériklivres. Il sera mis en relation par l'intermédiaire de WeLoveWords.

 

Phase 5 - Publication

 

Prix :

 

 

Un contrat d'édition chez Numériklivres (rendez-vous sur www.numeriklivres.com pour découvrir cet éditeur 100% numérique).

À l'issue du concours, il sera procédé à la désignation d'un lauréat. Numériklivres se réserve le droit de publier d'autres auteurs ultérieurement.

 

Jury :

 

 

  • Jean-Basile Boutak, directeur de collection chez Numériklivres
  • Sophie Blandinières, directrice artistique de WeLoveWords

 

17 janvier 2012

Ernest et Célestine au Muz

j'ai toujours adoré lire pour moi et à mes enfants les aventures de ces deux compagnons insolites : Ernest et Célestine, le grand ours nonchalant et la petite souris fragile et tendre.

Gabrielle Vincent en est l'auteur et Casterman lui a consacré un gros recueil hommage il y a quelques années, que j'ai sur mes étagères, bien entendu...

là, le Muz, musée d'oeuvre d'enfants sur Internet, propose un concours sur ces deux chéris.

laissez-vous tenter...

la vie après

 

Virgnie Linhart était invitée ce matin sur ma radio préférée pour parler de son livre témoignage : "la vie après" paru au Seuil. sa voix qui déraillait parfois, la douceur de ses mots profonds, la modération de ses propos... c'était très touchant.

en plus de ce qu'elle disait.

sur Simone Weill et les autres.

voilà comment elle explique l'origine de ce livre :

« L’amour de mon grand-père pour la Suisse où nous passions nos vacances m’a toujours agacé. A ses yeux, c’était le pays le plus formidable au monde. Comme si le fait que la Suisse se soit tenue à l’écart de la Seconde Guerre mondiale lui permettait d’échapper à son histoire tragique de juif polonais. Nous, ce n’était pas une chape de plomb qui recouvrait notre passé mais un épais manteau blanc de neige immaculée : jamais mon grand-père ne parlait de ce qu’il avait vécu, jamais il n’aurait toléré que ma grand-mère le fasse.

Pour comprendre leur histoire, il m’a fallu aller à la rencontre d’autres juifs survivants, rescapés de l’enfer des camps d’extermination. A eux, j’ai osé poser les questions qui m’ont été si longtemps interdites : comment renouer avec le fil d’une existence interrompue dans une telle violence ? Comment se reconstruire quand tant des vôtres ont disparu ? Comment croire en l’avenir, à l’amour, en la descendance ? Comment vivre après ?

C’est en les regardant, en écoutant leur récit, en riant avec eux, même du pire, que j’ai enfin compris ce qui plaisait tant à mon grand-père en Suisse. »

 

La Vie après - Virginie Linhart

16 janvier 2012

blablas du lundi

ne prenons pas de mauvaises habitudes, les blablas c'est pour tous les jours, alors le lundi aussi c'est permis..

hier soir, mon internénette numbertou me montre une vidéo touchante, les larmes plein les yeux, bras autour de mon cou, bisous tout partout..

je vous mets la version avec les paroles pour que vous sentiez bien l'ambiance "émue" qui régnait...

ouech ! la famille !!!!!!

 

ce matin, mon Tiloulou me questionne en pleurant : pourquoi y'a tout qui merde en ce moment ?

bon, alors, oui, ce gosse est intelligent mais j'ai tendance à soudain penser qu'il sait pour la note française dégradée, pour le Costa Condordia, pour les manifestants à Lagos au Nigéria... ou même pour ma voiture chez le garagiste qui a l'air mal en point, la lettre de la Caf ce matin...

et puis, je me suis demandée si durant mon absence, dans le courrier, il y aurait pas eu une lettre du toubib, des résultats d'examen, ou si l'un d'entre eux avait eu une prémonition...

ce n'est pas déjà ma fin ? si ???

ben non, faut voir à retarder les horloges de la vie, je n'ai pas fini, hééééé !!!

"c'est abusé, là !"

 

allez, je plaisante, et puis, bon, on s'en moque, hier l'OM a gagné contre Lille et dans la famille lillo-marseillaise que nous sommes, c'est un signe. comme quoi, y'a pas tout qui merde !!!

13:08 Publié dans lamiendo | Lien permanent | Commentaires (0)