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30 juillet 2012

amour-eux

- comment on sait qu'on est amoureux, il m'a demandé ça, tu te rends compte ? tu aurais répondu quoi toi ?

- je ne sais pas s'il y a des signes précis, non ? juste qu'on ne peut plus respirer sans l'autre, on a cette torsion au milieu du ventre qui nous brûle...

- c'est ce que je lui ai dit : rien qu'à le voir, on sait qu'il est amoureux. il est malade dès qu'il la croise. il devient bizarre, je te jure... mais toi, comment tu tiens maintenant ?

- ça fait preque 3 ans que je suis en apnée, mais j'ai ma bouteille d'oxygène greffée au-dedans, et c'est lui. et toi ? tu es toujours amoureuse ?

- je n'en sais rien, c'était peut-être juste une histoire d'amitié et on s'est trompés ?

28 juillet 2012

british cérémony

pendant qu'Alep saigne sous les bombardements des forces du régime de Bachar Al Assad, Londres est en liesse...

nous avons pu assister hier à une cérémonie tellement émouvante sur l'histoire du Royaume-Uni que ne verront pas les Syriens....

je ne sais combien de personnes se sont relayées pour passer la flamme olymique pour qu'elle arrive sur le stade mais sont-ils autant à oeuvrer pour soutenir les rebelles syriens sensés occuper la deuxième ville de la Syrie ?

inutile questionnement, mais quand certains dégagent autant de belle joie, j'en arrive à souhaiter que ce soit juste contagieux..

que les sportifs nous montrent aujourd'hui que la force peut être un bonheur, une honorable valeur...

God save the Queen... and everybody...

27 juillet 2012

ballade en train

Dans la vie, il y a toujours un avant, un après, vous avez remarqué ? Avec, entre les deux, une cassure franche et nette, heureuse ou malheureuse - c'est une question de chance. Elle ne peut pas sourire à tout le monde évidemment. Je suis sûre que personne n'y échappe.

voilà la début du prologue de "la ballade de Lila K" de Blandine Le Callet.

"c'est un livre d'été, facile à lire" m'a dit la femme qui avait beau se vouloir classe avec sa tenue classique de la femme classe, toutes les marques qui vont bien, mais qui mâchait son chewing-gum très bruyamment, assise à côté de moi dans le train en 1re classe.

elle me l'a laissé.

le livre.

pas le chewing-gum.

parce qu'il y a des gens qui peuvent faire ça : abandonner un livre, comme on laisse un chien sur une aire d'autoroute.. ?? une fois qu'on a bien joué avec, qu'il nous a donné un peu de contentement, de joie, on l'abandonne il devient encombrant.

bien entendu, tous les livres ne sont pas des chefs d'oeuvre que l'on garde précieusement, et laisser un livre dans un train à une inconnue est un geste assez amusant.

un brin méprisant si on ne veut y voir que le mauvais côté...

car quand même... abandonner un livre, je trouve ça cruel.

du coup, j'emporterai ce livre lors d'un de mes prochains voyages en train et le laisserai à mon voisin de siège.

après tout, d'un abandon, faisons un lien...

La Ballade de Lila K (pll)

je vous laisse participer à cette chaine nouvelle...

26 juillet 2012

l'atelier du lapin

elle s'appelle Ikuko et elle tisse ces merveilleuses écharpes qu'elle vend le dimanche matin au marché d'art de Lyon... et elle fait bien d'autres choses encore...

Lyon ou panthère ?

j'aurais pu voir ça, et ça, et ça...

Fontaine des Terreaux gelée

 mais je n'ai fait que bosser pendant 3 jours...

des tissus, des fils, des gabarits, des patch and rugg... 

à l'envers, à l'endroit, assembler, doubler, retourner, surpiquer, faufiler...

heureusement, je vais revenir souvent par ici...
alors youpi !
 

22 juillet 2012

20 ou 40...

avoir 20 ans, en avoir 40.

boire du champagne, pieds nus dans un camion en roulant vers un but imprécis.

ou ranger, nettoyer, frotter, aller au boulot, payer ses factures.

boire un café, avoir mal aux pieds, manger des dragées, couper du parmesan, enlever sa robe.

avoir 20 ans. en avoir le double.

quelle importance ?

photo de Life Is aRT

20 juillet 2012

Les Bonnes

il est des jours où on se dit qu'on avait oublié que l'émotion pouvait nous submerger autant.

des jours où on est emporté dans une vague, une houle de sensations qui nous laisse collée au siège en velours rouge d'une salle de spectacle.

cela fait deux ans que j'attendais ce jour.

le jour où j'allais voir "Les Bonnes" de Jean Genet joué(es) au théâtre.

 

Blog de theatreauboutlabas : Théâtre Au Bout Là-bas - Avignon, Genet, Beckett et Sartre font salle comble!

Deux sœurs, Claire et Solange, décident d’assassiner leur maîtresse. Entre jeu et vérité, cette pièce brutale nous plonge dans les méandres de l’âme humaine ! Ces deux cœurs qui souffrent essayent désespérément de trouver un chemin dans cette vie misérable ou dans une autre, imitant leur maîtresse afin d’attiser leur haine. Rien n’est laissé au hasard. Chaque mot est comme une flèche qui transperce notre âme. On se reconnait malgré nous dans ces meurtrières en devenir. On s’attache, on vibre, on a peur et on se noie dans leur peine.

je n'ai pas vu que ça à Avignon, mais ça, ça m'a laissée par terre, sans voix, époustoufflée. le jeu des comédiennes et la mise en scène...

il est des jours où on réalise qu'on a encore rien vu sur cette terre...

17 juillet 2012

sound of silence

deux fois ce soir que Simon & Garfunkel venaient taper à la porte de ma vie (bon, ok, là, c'est le ébut d'un nouveau jour...).

ces deux hommes ont soulevé mes émotions d'adolescentes, j'ai écouté, aimé, écouté, aimé... et je les avais presque oubliés. presque.

il y a trois jours j'en parlais à mon internénette number one et ce soir, ils étaient là, à nouveau.

merci pour ce bain de jouvance d'un bonheur sans bornes.

16 juillet 2012

méfaits...

la bétise de l'Homme reste insupportable quel que soit son degré.

il y a 70 ans, parce qu'il fut décidé d'une "race supérieure" des millions d'innocents ont péri. aujourd'hui c'est la commémoration de la rafle du Vel d'Hiv' qui est en première ligne. combien de destins brisés, de vies vollées, de larmes versées ?

il y a un jour, un imbécile jetait des clous de tapissier sur la route où passaient les coureurs du tour de France. détruisant ainsi des ambitions, des entraînements, des espoirs.

hier également, un terrible feu se déclarait à Feliceto, en Haute-Corse, ravageant une nature superbe. j'ose espérer que ce n'est pas là le résultat de la main humaine.

rien de comparable certes entre ces agissements, mais n'empêche, notre seul objectif est-il toujours de nuire à l'autre ?

de détruire ? de ne pas respecter ?

ça m'interpelle...

67000 juifs de France ont transité au camp de Drancy (ici, en 1942) avant d'être déportés dans les camps d'extermination nazis.

17:34 Publié dans lamiendo | Lien permanent | Commentaires (0)

14 juillet 2012

les copains de Ninou

Ninou aime les petits copains qu'elle trouve dans la nature mais elle ne peut pas tous les loger dans sa chambre... quoi faire ?

réponse dans le Charlotte aux fraises de juillet avec Judicaël Porte aux illustrations..

Maélys voyage...

il y a quelque temps déjà que ce bel ouvrage a été réalisé mais Eric, le magicien des enfants malades continue de le faire vivre auprès des enfants et des artistes...

de quoi être fière et heureuse pour ces petits lecteurs à qui Maélys va permettre de voyager...

avec Maud Fontenoy..

avec Daniel Herrero...

Laure Manaudou...

 

et les beaux gosses du FC Tours...

13 juillet 2012

vendredi 13

La phobie du vendredi treize s'appelle la « paraskevidékatriaphobie ». Le vendredi 13 est souvent associé au vendredi 13 Nissan de la crucifixion de Jésus-Christ, qui précède le dimanche de laRésurrection. Dans le récit biblique de la création du monde, le vendredi, veille de Shabbat, est le sixième jour ; le treizième jour est donc également un vendredi. De plus, dans la religion chrétienne, la Cène (le dernier repas du Christ) comportait 13 membres, dont Judas, l'apôtre qui trahit le Christ (la treizième personne). Dans cette légende, le nombre treize est associé au malheur qui mènera le Christ au martyre, et Judas, au suicide. Pour d'autres, le vendredi 13 est censé porter chance

11 juillet 2012

blue, it's blue...

What I got to do to make you love me?
What I got to do to make you care?
What do I do when lightning strikes me?
And I wake to find that you're not there?

What I got to do to make you want me?
What I got to do to be heard?
What do I say when it's all over?
Sorry seems to be the hardest word.

profondeur

il me disait : va chercher au fond de toi, va puiser loin dans tes émotions ton écriture et tu en sortiras des pépites.

il croyait en mon écriture mais en déplorait le survol que j'en faisais.

il a fallu tant de jours et tant de mois, tant de larmes et de sursauts énergiques pour que j'y arrive. enfin je crois.

on a chacun en nous un  truc (un caillou qui fait déraper la machine) à régler. il avait le sien, je laisse le mien remonter à la surface.

envie d'une série, pour ados, où je laisserais cette profondeur fleurir.

un éditeur m'a répndu, illico : pourquoi pas ? le sujet est séduisant !!

alors me voilà partie sur l'écriture du premier tome de cette série. alors que s'empilent les écrits en retard, je fonce. et je jure que si ça aboutit, si ça plait, si les lecteurs accrochent, je... je... je ne sais pas... j'arrête définitivement de fumer ? je ne ronge plus mes ongles en train de repousser ? je change de maison ?

je ne sais pas bien encore, mais je serai infiniment heureuse, soyez-en sûrs et c'est à lui que je le vaudrai...

 

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photo Margaut Segui "everything is dust"

20:31 Publié dans lamiendo | Lien permanent | Commentaires (2)

09 juillet 2012

je voudrais...



fierté

j'ai trouvé sur Internet, via un site parlant philosophie, une définition multiple de la fierté.

ne sachant comment expliquer ce sentiment entier qui m'envahit alors que je regarde ses yeux pétillants, ses yeux découvrant ses notes obtenues grâce à un courage sans faille, une motivation, une curisoisté, une richesse qui n'appartiennent qu'à elle, je me sers de cette "définition multiple" pour y trouver un sens.

ces notes, je ne les ai pas obtenues, elle en est la seule responsable et pourtant tout mon être frémit de fierté en la regardant.

parce que je te dois tout ça, dit-elle. parce que sans toi, je n'en serais pas là...

non, c'est faux, elle est seule tricoteuse de ce qui lui arrive et cela me rend fière.

égoïsme ou prétention, je ne sais mais là, vraiment, je ne contrôle plus.

quelle reine ce bout de bonne femme, tout de même !!

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La fierté

 

On considère couramment que la fierté est par définition un sentiment noble, voire une vertu. Cette opinion s’appuie premièrement sur le fait que le sentiment contraire, la honte, est évidemment négatif, et deuxièmement sur la distinction de la fierté et de l’orgueil, le second étant, contrairement à la première, injustifié. La fierté apparaît alors comme un “juste milieu” entre la honte et l’orgueil.

Cette conception commune mérite pourtant quelques remarques. D’abord, il semble bien qu’il y ait non pas une, mais des fiertés :

- On peut être fier de ce qu’on est (Catalan ou Marseillais, Français ou Américain, ou encore Dupont ou Tartempion…). Cette fierté-là est-elle une “bonne” fierté, c’est-à-dire une fierté justifiée ? Sans même entrer dans le débat concernant les mérites respectifs des uns et des autres, on peut observer qu’il n’y a nul mérite à être ce qu’on est, puisqu’on n’a rien fait pour l’être. Tout au plus peut-on aimer sa communauté ou sa famille, ou se trouver chanceux de lui appartenir, si l’on croit qu’elle vaut plus qu’une autre – à moins bien sûr que l’on aitpersonnellement contribué à cette supériorité, auquel cas on tombe précisément dans un autre type de fierté.

- On peut être fier de ce que d’autres ont fait, ce qui suppose une certaineidentification à ces autres (phénomène qu’on rencontre notamment chez le supporter sportif : « On est les champions ! »), identification qui génère généralement bien plus de fierté que de honte, toutes choses étant pourtant égales par ailleurs : de nombreux supporters de football se sont davantage “sentis” Français lors de la victoire à la coupe du monde de 1998 que lors de la piteuse défaite de 2002. Il ne semble pas, là non plus, y avoir un motif valable de fierté, mais “seulement” de joie.

- On peut être fier de ce qu’on a partiellement ou indirectement “fait”, comme les parents qui sont fiers de leurs enfants, ou l’employé fier de travailler dans telle entreprise ou administration. La question est ici : dans quelle mesure celui qui est fier a-t-il contribué à ce dont il est fier ? L’humanité étant là encore souvent plus réceptive à la fierté qu’à la honte, on rencontrera certains parents fiers de ce que font leurs enfants… même s’ils ont tout fait auparavant pour les dissuader de le faire !

- On peut enfin être fier de ce qu’on a soi-même fait : victoire sportive, réussite à un examen, œuvre d’art, militantisme, “bonne action”… Si ce type de fierté semble plus légitime que les autres, voire le seul légitime, il reste à savoir ce qu’est exactement cette fierté : ce n’est pas une simple joie, mais une satisfaction de soi ; autrement dit, le caractère agréable de cette fierté tient précisément au fait qu’on en est soi-même l’origine.

On peut également remarquer que l’opinion généralement positive sur la fierté tient entre autres au fait qu’on la confond souvent avec l’honneur. Etre un homme ou une femme d’honneur, ce n’est pas être fier d’être ceci ou d’avoir fait cela. On a pu dire que l’honneur est ce qui reste à celui qui a tout perdu, et qui n’a nul motif de fierté : s’il faut assurément une bonne raison pour être fier, il n’en faut pas pour avoir de l’honneur. Et même si nous avons, à tort ou à raison, honte d’un échec, celui-ci ne doit pas pour autant porter atteinte à notre honneur : ce qui montre bien que l’honneur n’est pas la fierté, c’est-à-dire le contraire de la honte.

Reste enfin à savoir si la honte est en elle-même un sentiment toujours “mauvais”. Qu’elle soit un sentiment désagréable, cela va de soi. Remarquons pourtant qu’on aura généralement une certaine considération pour l’individu qui aura, après coup, sincèrement honte de la mauvaise action qu’il aura commise.

La question à se poser n’est donc pas : « la fierté est-elle bonne et la honte mauvaise ? », mais : « De quoi faut-il être fier, de quoi faut-il avoir honte ? ».

22:24 Publié dans lamiendo | Lien permanent | Commentaires (2)

08 juillet 2012

devils and dust

il est des jours où tout semble insondable.

les sourires, les beaux mots, le soleil brûlant, les envies, les espoirs, les projets...

sensation étrange de ne toujours comprendre le sens de tout cela, le sens de la vie mais avec cette certitude qu'on y peut pas grand-chose d'autre que de composer au mieux.

et d'être heureux.

ces jours-là, il reste un compagnon délicieux...

 

I got God in my side

I'm just trying to survive

What if what you do to survive

Kills the things you lose

Fear's a powerful thing

It can turn your heart black you can trust

It'll take your God filled soul

And fill it with devils and dust

20:08 Publié dans lamiendo | Lien permanent | Commentaires (2)

06 juillet 2012

des nouvelles....

pour ceux qui ont le clavier qui les démangent...

concours de nouvelles "vacances"

Concours de nouvelles Edilivre/BSC News sur le thème des '' Vacances '' du 1er juillet au 31 août 2012


Participez du 1er juillet au 31 août au Concours de nouvelles Edilivre/BSC News sur le thème des « Vacances »

Edilivre et BSC News vous invitent à participer du 1er juillet au 31 août à leur Concours de nouvelles sur le thème des « Vacances ». Ce concours est gratuit et ouvert à tous, quel que soit votre âge, votre nationalité et votre lieu de résidence.

 

Comment participer au concours ?
Pour concourir, envoyez votre nouvelle par mail ànouvelles@edilivre.com. Pour être acceptée, votre nouvelle devra :
- être au format Word ou PDF
- respecter la thématique imposée
- ne pas dépasser les 6 000 caractères (espaces compris)
- être écrite en police Times New Romans de taille 12 avec interligne simple
- être anonyme, votre nom ne doit pas y figurer

 

Le mail accompagnant votre nouvelle devra contenir les informations suivantes :
- votre nom et prénom
- titre de votre nouvelle
- écrivez en toutes lettres : « En participant à ce concours, j’accepte pleinement son règlement disponible sur Edilivre.com »

Chaque participant ne pourra présenter qu’une seule et unique nouvelle dont il garantira être l’auteur et le détenteur des droits. Ce concours est gratuit, aucun frais d'inscription n'est demandé.

Règlement du Concours de nouvelle Edilivre - BSC News


Prix à gagner ?

Les récompenses qui seront attribuées aux trois gagnants sont les suivantes :
- 1er prix :
. l'édition de votre propre manuscrit, la création de votre couverture illustrée ainsi que la relecture et correction de votre manuscrit offerts par Edilivre
. un exemplaire du livre L’étoile à 6 branches de Johann G.Louis offert par BSC News

- 2ème prix :
. l'édition de votre propre manuscrit et la création de votre couverture graphique offerts par Edilivre
. un exemplaire du livre L’étoile à 6 branches de Johann G.Louis offert par BSC News

- 3ème prix :
. l'édition de votre propre manuscrit et la création de votre couverture personnalisée offerts par Edilivre
. un exemplaire du livre L’étoile à 6 branches de Johann G.Louis offert par BSC News

 

Quand seront dévoilés les résultats du concours ?
Le jury lira l’ensemble des nouvelles participantes afin de déterminer les 10 nouvelles finalistes et les 3 gagnants. Edilivre communiquera les résultats du Concours de nouvelles le jeudi 15 novembre 2012 sur son site internet www.edilivre.com.

Si vous avez des questions, n’hésitez pas à nous écrire par mail ànouvelles@edilivre.com

04 juillet 2012

corrections

j'ai reçu ce matin ces deux ouvrages que j'ai corrigés pour les éditions Physalis et qui vont vivre une belle vie, je pense.

comme j'ai aimé travailler sur ces ouvarges, je vous les glisse ici...

et vous invite à les lire.... si vous avez le coeur bien acroché !!