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31 août 2008

en vérité...

mon idéal, ce serait partir là

à l'aventure...

écumer les mers et terrasser les pirates...

non... même pas peur !

30 août 2008

si j'osais...

... je répondrais que mes vacances idéales ça serait ici :

Hotel Makunudu 4 **** / Îles Maldives

dans ces bras-là :

 

     George Clooney is at home in water

 

ça le fait, non ???

bon, c'est juste pour me faire plaisir... quelques instants !!

c'est reparti !

bientôt la reprise.

pour les petits.

et les grands.

alors je voulais vous proposer un petit concours... allez, vous adorez ça !

et plutôt que de vous demander d'écrire la traditionnelle rédaction de rentrée : "où avez-vous passé vos vacances ?"

je vous questionnerais sur : "où aimeriez-vous passer vos vacances ?" c'est-à-dire : comment imaginez-vous le lieu idéal pour vos vacances ?

ne me répondez pas : au Mexique ou en Afrique. mais décrivez le lieu de vos rêves, un lieu inventé par vous...

vous m'envoyez ça par mail et quand j'ai plusieurs textes je les expose et les laisse au vote des visiteurs de ce blog.

cela vous convient-il ? êtes-vous partants ?

vous devez vous être suffisamment reposés pour repartir du bon pied.. alors zou !

 

29 août 2008

centre de l'illustration

venez assister à la conférence "l'illustration et l'entre-deux poétique" par Gérard Dessons, le mercredi 3 septembre 2008 à 18h au Centre de l'illustration.

l'illustration introduit un dispositif qui propose au lecteur un lieu fictionnel situé dans un entre-deux utopique qu'est le dialogue entre l'image et le texte, la lecture se déroulant dans ce rapport double entre l'imaginaire produit par le texte et les discours dont l'image est pleine. la valeur de "poéticité" de l'illustration se mesure alors à ce bruissement de paroles dont est capable le silence d'une image particulière.

Gérard Dessons est professeur de littérature française à l'université Paris 8, où il travaille sur la poétique, la théorie du langage et la théorie de l'art. Il est membre du groupe Polart - poétique et politique de l'art.

l'entrée à cette conférence est gratuite, mais il est conseillé de réserver par téléphone, EMail (centredelillustration@cg03.fr ) ou à l'accueil du Centre de l'illustration : 26 rue Voltaire 03016 Moulins Cedex - Tel. : 04 70 35 72 58

 

27 août 2008

résidence

Vous pouvez dès maintenant déposer une candidature pour un séjour en résidence d’écriture l’année prochaine.

Notre résidence d’auteurs est située à La Laune, sur la commune de Vauvert (30).
Nous mettons deux studios à disposition des auteurs, gratuitement.
La résidence sera ouverte du lundi 5 janvier au vendredi 18 décembre 2009.
Les séjours en résidence durent au minimum 2 semaines et au maximum 3 mois.
Notre résidence peut accueillir deux auteurs simultanément.

Pour toutes informations, n’hésitez pas à consulter notre site Internet:
http://avocatsdudiable.free.fr/resid.htm

La résidence est ouverte aux auteurs ayant déjà publié.
Le séjour demandé se justifie d’un projet d’écriture et si possible d’un projet d’animations, que l’on mettra en place conjointement avec les structures locales.

Notre association ne fournit pas de bourse. L’auteur devra se renseigner auprès du Centre National du Livre et des structures régionales pour les auteurs français, auprès des ambassades et des gouvernements de son pays pour les auteurs non français.
Nous vous fournissons l’ensemble des coordonnées et des sites Internet à contacter sur notre site:
http://avocatsdudiable.free.fr/resid.htm

Pour connaître la procédure d’inscription, rendez-vous sur notre site:
http://avocatsdudiable.free.fr/resid_inscription.htm

Vous pouvez nous envoyer votre dossier avant le 30 septembre 2008 par mail à l’adresse suivante: residence@audiable.com
Ou par courrier:
Association Les Avocats du Diable Vauvert
La Laune
BP72
30600 VAUVERT
France

25 août 2008

don't cry

24 août 2008

la der !

ils se font appeler "les experts" mais avec cet or dans leurs mains (et à leur cou), je les surnommerai bien "les alchimistes".

c'était notre dernière médaille et elle est magnifique.

 

“On est les champions !”

HANDBALL France - 0

l'arbre qui cache la forêt

la 13e édition de la forêt des livres aura lieu les samedi 30 et dimanche 31 août 2008 à Chanceaux-Près-Loches. cette fête culturelle ouverte à tous invite une nouvelle fois le public à rencontrer plus d’une centaine d’auteurs qui feront la rentrée littéraire.

samedi 30 août : la manifestation débutera par un colloque animé par les journalistes Emmanuel de La taille et Claude Sérillon sur le thème : « Renaissance et nouvelle renaissance».

dimanche 31 août, cette fête culturelle réunira 150 des meilleures plumes de France. avec ses signatures d’écrivains sous les arbres centenaires de Chanceaux-près-Loches, la “Forêt des Livres” est devenue en un peu plus d’une décennie l’avant-première de la rentrée littéraire.

chaque année, l’évènement est présidé par une personnalité charismatique du monde des lettres. c’est Hélène Carrère d’Encausse, Secrétaire perpétuel de l’Académie française, qui sera la présidente de cette 13e édition.

 

 

alors, tentés par une promenade en forêt ??

 

23 août 2008

mariposas

Louise-cerise créé des petites pinces et chouchous pour cheveux de fillettes décorés de papillons de perles, qu'elle vend

 

elle les confectionne sur mesure, couleurs au choix.

 

allez faire un tour sur sa boutique, ça vous donnera des envies de perdre la tête !!

 

Mariposa tutti frutiMariposa tutti fruti

femmes

femmes d'aujourd'hui

la douceur et la force

la gloire et la pudeur

raffinées et entreprenantes

gagnantes et modestes

battantes...

surprenantes...

merveilleuses...

 

l'or et l'argent

mélés

forts

Gwladys Epangue

le bronze

lumineux

éclatant

ensorcelant...

 

22 août 2008

une île entre le ciel et l'eau...

depuis 1999, l'île d'Ouessant (Finistère) organise chaque année, à la fin du mois d'août, lle salon du Livre insulaire : la 10e édition se déroulera du mercredi 20 au samedi 23 août 2008.

et cette année, naissance d'une nouvelle catégorie : la littérature jeunesse...

 

 

21 août 2008

contes au Sénégal

aujourd'hui j'ai reçu mon premier soutien au projet "impression des livres de Joal-Fadiouth".

chouette !

du coup, j'ai eu une idée : je vous propose de commander un ouvrage parmi mes livres et le paiement (+ frais de port) sera intégralement versé à ce projet. je viens d'avoir une commande justement, je rajoute le montant au don reçu.

je croise les doigts pour que d'autres arrivent prochainement.

merci à tous...

 

 

classe Jérôme-Khadiatou.JPG

 

 

médiocrité

Maria Montessori disait :  " je passe tout mon temps avec les enfants parce je n'aime pas les gens médiocres et que les enfants sont l'espoir de l'humanité."

 

si elle ne l'avait dit, je ne me serai pas privée.

vraiment.

 

Image:Montessori-school007.jpg

20 août 2008

doublé !!

déconcertant de facilité, Usain Bolt, 21 ans, s'adjuge donc la médaille d'or de l'épreuve reine des Jeux, la première de l'histoire pour la Jamaïque sur cette distance, ainsi que le meilleur chrono de l'histoire, en 9 s 69, soit trois centièmes de mieux que son précédent record établi à New York en mai. On n'ose même pas imaginer quel aurait le temps si le jeune sprinter n'avait laissé filer la dernière partie de la course. 

"Je me fichais du temps", a déclaré le tout frais champion olympique.

ce succès est pour Bolt le sommet d'une ascension fulgurante. spécialiste de 200 m, il ne s'est mis sur la ligne droite qu'à l'été 2007. au bout de cinq courses, il s'appropriait le record du monde en 9 s 72.

aujourd'hui, aux 200 m, il a fait 19 s 30 , battant le précédent record de Mickaël Johnson (19 s 32). il n'a pas relâché la pression. et c'est tant mieux.

un doublé en or !!

on l'attend aux 400 m demain..

 

A 10 mètres de la ligne d'arrivée, Bolt fête déjà un titre attendu par toute la Jamaïque.

Loin derrière Bolt, le Trinidadien Thompson et l'Américain Dix.

 

Usain Bolt gagne le 200 m avec un nouveau record du monde, le 20 août à Pékin.

 

je ne sais pas vous, mais moi, ça me fait littéralement kiffer !!!

(demain, il aura 22 ans ! incroyable, non ?)

 

11

voilà la fin. dernier épisode. la saison est close.

j'en ouvrirai une autre.

de saison.

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- Je ne vous laisserai pas rentrer seule. Je veille sur vous. Ne vous inquiétez pas, ça va aller.

Qui va me fourrer comme tu le faisais Vita ? Qui vais-je griffer jusqu’au sang, lacérer, faire mouiller comme toi ? Vita… Qu’est-ce que j’ai fait ?… Pourquoi t’es retournée vers lui ?

Le corps de Lupa tremblait désormais.

- Je suis là… Lupa… Vous la connaissiez ?

- N…Non.

- Lupa, on va s’occuper du salaud qui a fait ça. On va sauver son bébé. Je vous le promets. Je ferai tout ce qui est en mon pouvoir.

Un faible sourire illumina enfin le visage de Lupa Beckett.

- C’est idiot, je sais… Mais je trouve les hommes tellement… dangereux quelques fois…

- Je comprends… Mais maintenant, je suis là, il ne vous arrivera rien.

 

Lupa laissa l’homme grand, hirsute et déjà voûté glisser sa main sous son bras.

Je sais ce que tu veux. Ils veulent tous pareils. Ils se croient les plus forts mais ils tiennent jamais la distance.

- Je ne me suis même pas présenté : inspecteur Paul Desmarets.

Lupa allait tendre sa main droite quand elle sentit l’ongle cassé accrocher le tissu de sa poche. Elle referma le poing sur ses griffes qui pointaient et se jura de couper tous ses ongles à ras. Elle devait être prudente. Elle passa sa langue sur ses dents acérées et respira un grand coup avant de prendre un sourire angélique. Elle se détendit. Les griffes se rétractèrent.

- Enchantée !

Elle semblait plus fragile que jamais. L’homme qui lui faisait face sut qu’il était définitivement amoureux d’elle. Eperdument.

Jubile, Paul Desmarets, tu vas payer… je vais te faire crever à petit feu pour tous ces salauds qui engrossent les jolies chiennes…tu vas en baver… je le jure…foi de Lupa…foi de louve.

 

 

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19 août 2008

demain

prendre le meilleur de chaque chose et regarder vers demain pour avancer...

pas à pas...

 

 

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17 août 2008

épisode 10

- Je m’en doutais. Vous êtes trop sensible, Lupa, vous ne devriez pas assister à tout ça. Et puis, je ne suis pas certain… Mais il faut que les secours arrivent vite maintenant. Je les appelle…

Lupa s’éloigna un peu. Elle se tenait courbée, comme si une douleur au ventre l’empêchait de se redresser.

- Attendez, ne partez pas, s’il vous plaît. J’appelle et je vous raccompagne.

 

Paul s’était rapproché d’elle. Il souleva une mèche de ses cheveux grisonnantes entre ses doigts carrés et les repoussa derrière l’oreille si fine de la jeune femme.

Elle acquiessa, lèvres pincées.

Vita, je me souviens de notre rencontre. Un soir, dans l’ascenseur de chez moi. Tu venais voir ce couple au cinquième. C’était la première fois que tu faisais ça avec un couple. Tu ne savais pas trop. Mais tu n’avais pas peur. Au contraire, ça t’amusait… Tu me l’as dit après. Quand la porte de l’ascenseur s’est fermée, on était face à face. Tu as souri. Je voyais tes lèvres gourmandes, tes yeux qui brillaient. Quand la porte s’est rouverte au cinquième, j’ai appuyé sur le rez-de-chaussée et tu t’es approchée de moi. « Tu veux jouer ? » tu m’as demandé. Tu te frottais contre moi. Je t’ai répondu « lève ta jupe » et tu l’as fait. Tu portais rien en dessous. T’as jamais rien mis sous tes jupes. J’adorais ça. J’ai glissé ma main là entre tes cuisses que tu gardais serrées… juste exprès pour m’exciter. Quand mon doigt est entré en toi, c’était chaud, humide. Alors t’as léché mes lèvres, t’as ouvert ma bouche avec ta langue et tu l’as fourrée toute à l’intérieur. Putain, ce que j’ai aimé ça…

- Lupa ?… Lupa ?

 

La jeune femme sursauta. Elle semblait ailleurs et Paul devina qu’une certaine panique s’emparait d’elle.

 

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15 août 2008

petits secrets entre filles

écoute...

                                                 oh !!

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tu crois ?

                                                                                oui

                                                                                       oui

                                                                                                  oui

                    chut...        

14 août 2008

talons aiguille

 

Luz Casal - Piensa en mi

 

Si tienes un hondo penar, piensa en mi 
Si tienes ganas de llorar, piensa en mi 
Ya ves que venero tu imagen divina 
Tu parvula boca, que siendo tan nina 
Me enseno a pecar 
Piensa en mi cuando sufras 
Cuando llores, tambien piensa en mi 
Cuando quieras quitarme la vida 
No la quiero, para nada 
Para nada me sirve sin ti 
Piensa en mi cuando sufras 
Cuando llores, tambien piensa en mi 
Cuando quieras quitarme la vida 
No la quiero, para nada 
Para nada me sirve sin ti 

 

9

Lupa s’agenouilla près de l’inspecteur. Son épaule frôla le bras de l’inspecteur et il sentit une vague de chaleur l’envahir. Il aurait bien le temps de repenser à cela par la suite. Là, il y avait urgence.

- Son ventre… J’ai touché son ventre en la retournant… J’ai senti un coup…

La jeune femme le dévisageait sans saisir. Paul n’était même pas surpris d’être là, penché sur un corps dévasté en compagnie d’une inconnue aux yeux de biche apeurée. Pas surpris non plus de lui faire part de ses découvertes comme si elle était son adjointe. Il ne savait rien d’elle excepté son identité. Et qu’il avait envie de la revoir. Intensément envie de la revoir.

- Dans son ventre… ça bouge… ça vit… Elle est…

- Enceinte ?

- Oui… Je crois bien. Pas de beaucoup. Quatre, cinq mois… Mais je suis prêt à parier qu’elle a un bébé dans son ventre et qu’il n’est pas mort, lui…

Lupa eut un hoquet de dégoût. Elle se releva précipitamment et respira un grand coup.

- Un… bé…bé ?

Putain, Vita, c’est pas possible, t’as pas fait ça… t’as pas pu me faire ça. Te faire engrosser… Par ce connard… C’est pour ça… Pour cette raison que tu voulais me quitter… Vita… On l’aurait gardé ce bébé… Ca aurait été notre bébé… Je t’aurais regardé lui donner le sein et puis je t’aurais tétée aussi un peu comme un louve, je t’aurais tartinée de salive partout, tu aurais mis de ton lait sur moi, tu aurais léché et j’aurais aimé ça… tes seins gonflés… tes gros seins plein de lait…Je me rappelle comme t’aimais ça quand je te mordillais le mamelon, ça te plaisait tellement… Un bébé…

- Mais… comment… est-ce possible ?

Des larmes coulaient sur ses joues à présent.

 

 

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