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19 mars 2014

Ô mon printemps !

bon, voilà, demain c'est le printemps alors je vous propose de m'écrire une petite poésie (on est dans la semaine du printemps des poètes, non ?) sur le printemps.

vos émotions en cette saison, ou vos souvenirs, vos espoirs avec le chant des oiseaux et les fleurs revenus...

et mardi prochain, je vous livrerai le podium de mes trois préférés...

haikus des saisons

aujourd'hui, j'ai été animer un atelier haïkus dans la librairie La petite fabrique, située à Venelles et gérée par la délicieuse Perl.

un atelier dans le cadre du Printemps des poètes, avec comme thématique "les saisons".

et c'était génial, vraiment génial !

pub coup au coeur

j'ai reçu cette pub sur ma messagerie et franchement je me dis que les choses sont bizarres, vraiment bizarres...

mais si c'est pour communiquer avec "lui" alors OK je veux bien recevoir le nouvel Iphone.

Bonjour corinne,

Je viens de recevoir cette offre incroyable pour peut-être recevoir le nouvel iPhone 5s gratuitement (ci-dessous).
Vous avez juste à valider vos coordonnées. Faites-le maintenant :)

Bien à vous,
Pierre.

21:24 Publié dans lamiendo | Lien permanent | Commentaires (1)

18 mars 2014

porte-bonheur

(c) Mila Marquis

j'en aurais bien cultivé tout un champs, des doux des beaux des grands, pour les distribuer ici ou là, autour de moi, ou même plus loin, chez les voisins... et puis je me suis penchée et il y en avait un petit tout riquiqui qui m'attendait, ou alors j'ai rêvé, mais je me suis penchée, je lui ai parlé, je sais c'est n'importe quoi mais j'aime bien parler aux fleurs parfois, et il s'est laissé cueillir, sans un mot sans un soupir, il m'a dit : "waouh tu es belle !", j'ai répondu : "arrête tes ritournelles" mais il n'a pas voulu se taire, et il m'a mise KO par terre avec des murmures et des secrets, des mots comme on en effeuillerait... 

j'ai emporté chez moi mon trèfle à quatre feuilles, et croyez-moi je lui ai fait bon accueil...

10:29 Publié dans lamiendo | Lien permanent | Commentaires (1)

les résultats des racines..

c'est quoi ce délire ?????

il n'y a que Betty qui a participé cette fois-ci...

là, je m'arrache les cheveux, je me désole à genoux... vous n'avez plus envie de mes concours ??? bon, ben dites-le alors et j'arrêterai... parce que, là, ça me fait peine...

enfin, il y avait Betty-la-courageuse et elle a pratiquement tout juste :

il n'y a que 13 - A, 14 - D a ajusté... mais pour le reste : chapeau bas, parce que certaines racines n'étaient pas évidentes..

donc c'est à Betty d'être couronnée cette semaine... hé hé !!

17 mars 2014

sur les rails

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s'il faut attendre, je préfère

s'il faut avoir peur, c'est gagné

s'il faut avancer, je reculerai

et s'il faut reculer, laisse-moi t'embrasser

Trets au soleil

hier, il faisait beau temps sur Trets, alors avec ma copine Sophie, en plus de dédicacer, on a été manger du nougat et prendre une petite salade en terrasse...

boum boum !

avez-vous vécu les vacances chez mémé ou tata ?

tata Fernande ou mémé Juju, toutes les mêmes, celles qui voudraient nous voir bien remplies...

alors, un petit clin d'oeil au retour complexé !!

 

 

 

19:22 Publié dans lamiendo | Lien permanent | Commentaires (0)

15 mars 2014

couch gag Simpsons

je n'aime pas les Simpsons, mais ce "couch gag" que m'a envoyé mon illustrateur chouchou me fait délirer...

je vous laisse découvrir...

13 mars 2014

lettre à Zoé

je regarde le paysage défiler par la fenêtre du train qui nous emmène à nouveau...

23:04 Publié dans lamiendo | Lien permanent | Commentaires (0)

Philoménon

mars c'est me mois des bêtises et Philoménon le sait bien qui saute partout, se roule et se gratouille...

mais que se passe-t-il ?

vous le saurez en lisant le magazine Winnie de ce mois-ci...

les illustrations sont de Marie Quentrec... un délice !

concours "racines"

aujourd'hui (je suis en retard désolée mais je pars sur Paris, je reviens je bosse, je pars en interventions, bref, je ne suis plus) un jeu d'étymologie :

je vous propose d'associer la racine grecque (les lettres) à sa signification (les chiffres). 

mais sans tricher. vous faites cela d'après vos connaissances.

allez, c'est trop facile, cette semaine !

au boulot !

1 - soleil

2 - qui se tourne

3 - eau

4 - dieu

5 - qui vénère

6 - qui aime

7 - froid

! - tout

9 - temps

10 - feu

11 - à l'envers

12 - chaud

13 - de bas en haut

14 - de haut en bas

15 - beau

 

A - ana-                   B - pali-               C - calli-                  D - cata-                E - -trope

F - hydro-              G - pan-              H -  hélio-               I - -phile                J - théo-

K - -lâtre                L - chrono-        M - cryo                 N - pyro-                O - thermo 

 

 

 

11 mars 2014

la nouvelle...

voilà la nouvelle intitulée "douleurs et tremblements" telle que je l'avais écrite à l'époque et qu'on retrouve dans le fameux recueil :

 

Je me réveille en sursaut. Mon cœur bat à tout rompre. Décidément, ça devient une habitude. Cette peur du noir.

Je voudrais me retourner.  Dormir sur le ventre. J’adore dormir sur le ventre. Jambes écartées, à demi repliées.

J’appelle « Pete, tu es là ? » J’ai l’impression d’entendre un vague murmure : « Oui, ma Diane, je suis là. »

Ca fait trente ans que Pete et moi dormons ensemble. Je ne sais plus dormir sans lui. Sa peau. Son odeur. Lui.

Quelle heure peut-il bien être ? Je n’ai pas moyen de le savoir.

Allez Diane, fais un effort, rendors-toi, tu n’as que ça à faire.

Je pense à Joy. Ma Joy. Ma fille. Notre fille. Ma force, mon courage.

Elle va bientôt avoir vingt-six et un bébé aussi. Joy est enceinte. Je vais être grand-mère. Je lui ai demandé : « C’est une fille ou un garçon ? » Elle ne sait pas. Joy ne veut pas savoir, elle dit qu’elle préfère la surprise. Mais moi, je sais, je sens que ce sera une fille. Ma petite-fille.

Je vais être grand-mère. Je l’emmènerai au parc et on se fera des orgies de glace. Chocolat-pistache. Parce qu’elle sera comme moi, elle adorera la pistache. Comme Joy. Il y a des choses qui se transmettent de génération en génération, comme l’amour de la pistache. Mélangée au chocolat glacé fondant.

Quand elle était petite, Joy avait des jolies boucles qui entouraient son visage poupin. Je replonge dans ces images d’un autre temps. Je sais bien que ce n’est pas possible de revenir en arrière mais ces souvenirs me font du bien.

Je ferme les yeux. D’autres clichés viennent se superposer.

Celles d’enfants blessés, malades, démunis.

J’ai vu tellement des enfants en souffrance. Je ne pouvais accepter que la chair de ma chair ait mal. C’est pourquoi, nous avons choisi de n’avoir qu’un enfant. Joy. Une enfant « facile » comme on dit, très peu malade, une vraie joie de vivre. Pete et moi en étions fous.

Ici, à Concepcion, je suis venue faire une nouvelle expérience.

Dans un hôpital au « bout du monde ».

Je vois défiler des prisonniers. Des jeunes. Des adultes aussi.

L’autre jour - c’était quand déjà ? Trois jours ? Quatre jours ? – un homme a débarqué à l’hôpital  avec une blessure d’une profondeur d’au moins sept centimètres dans la zone hypogastrique de la paroi abdominale. Il n’était pas très vieux – comment s’appelait-il celui-là ? allez, Diane, fais fonctionner ta mémoire, il faut que tu retrouves son nom… Ra… Ramon, c’est ça ! Ouf ! Ma tête n’est pas trop engourdie encore ! – mais son état était bien grave. Une plaie à l’abdomen, une au bras. C’était un « comunero » qui faisait la grève de la faim.

Pas facile d’assister à tant de déserrence.  Je revois ses yeux cernés, son corps amaigri et cette plaie si profonde. Les médecins de l’hôpital ont réussi à saturer les deux blessures, mais j’ai compris que j’ai fait un choix délicat en venant au Chili.

Et puis, les enfants bien sûr. Je dois avouer que j’ai mal encaissé ces quatre enfants – ils n’avaient même pas deux ans – qui n’ont pas survécu aux diarrhées et vomissements dont ils étaient sujets. Ils n’ont pas été soignés à temps. Issus de la communauté indigène sawhoyamaxa qui vit à Santa Lisa, ils n’ont eu droit à aucun soin médical. Devant l’ampleur du problème, la cour interaméricaine des droits de l’homme a décidé que ces communautés ne pouvaient vivre sur des terres ancestrales et que les autorités du Paraguay avaient l’obligation légale de leur fournir des services de base visant à assurer leur survie, notamment des soins médicaux, de la nourriture et une eau potable saine. Drôle de pays.

 

J’ai mal au pied gauche. Ce n’est pas vraiment que ça me gratte mais c’est une douleur sourde. Mon pied s’endort. J’essaie de ne pas y penser.

Je voudrais me rappeler pourquoi j’ai accepté cette mission.

« Pete, je ne te l’ai pas dit depuis longtemps, mais je t’aime. Ca fait si longtemps maintenant que nous vivons côte à côte et j’en oublie souvent les mots qui cajolent et rendent heureux… »

Je me souviens de l’annonce. Un hôpital à Concepcion cherchait un médecin avec une spécialité de pédiatre. Concepcion… J’ai pensé au Christ, immédiatement. Je me demande ce qu’il fait en ce moment le Christ. Il doit être en vacances. Février, c’est l’époque du ski,  l’après Noël, le redoux qui s’annonce.  Ici, il fait beau. Je me suis souvent sentie fâchée contre ce Christ qui laisse les gens dans une telle misère physique. Les enfants surtout. Des innocents.

Je ne dois pas m’énerver. Je dois positiver.

Mary, c’est joli comme prénom. Ma grand-mère s’appelait Mary. C’était une femme formidable. Si douce et si courageuse. Elle me faisait tellement rire. Joy pourrait donner ce prénom à sa fille.

Voilà. Penser à ce petit bébé qui va arriver. Je lui achèterai son premier vélo. Sa première paire de patins à rouettes. Sa première robe de princesse aussi pour le carnaval. Avec des paillettes. Et un diadème aussi. Une vraie princesse. On ira au cinéma ensemble voir les films de Disney. Rien qu’elle et moi.

C’est ma grand-mère qui m’a appris à faire du vélo quand j’allais en vacances chez elle à Cromer. On allait sur le port voir les arrivées des pêcheurs. Je roulais à côté d’elle qui marchait. Et me surveillait du coin de l’œil.

Il fallait voir les crabes qu’ils sortaient fièrement de leurs cageots. Grand-mère Mary savait si bien les cuisiner. Hum… J’ai faim. C’est vrai j’avais oublié que j’avais faim. Mais là, ça ne sert à rien de me faire mal avec ça. Régime forcé ma petite dame. Je vais avoir une de ces lignes si je m’en sors.

Si je m’en sors.

Non, non, ne pas pleurer.

Je vais me mettre au yoga. Depuis le temps que j’en ai envie... Ca me ferait du bien. Je pourrais apprendre à gérer mes stress mes angoisses mes peurs.

Pour un peu, je regrette de ne pas m’y être mise plus tôt.

Apprendre à contrôler sa respiration, ses pensées. J’en aurais tellement besoin actuellement. Ce noir me terrifie. J’ai toujours eu cette peur de ce que je ne vois pas. Quand j’étais enfant je pensais avec effroi que la pire chose qui aurait pu m’arriver c’était d’être aveugle. Ma mère laissait toujours une veilleuse allumée à côté de mon lit. Sans cela, je ne pouvais m’endormir. Finalement, quand on n’a pas le choix on s’y fait. Dans ma tête je m’imagine la petite lumière près de moi. Ca va me rassurer. Il le faut !

 

« Diane Lackey, acceptez-vous de prendre pour époux Pete Waldon ici présent ? » Oui. J’ai dit oui et si c ‘était à refaire aujourd’hui encore je dirais oui. Repenser à ce magnifique jour… Je sens que je déraille, je dois me concentrer sur des beaux souvenirs tels que celui-là, sinon c’est sûr je vais devenir folle. Complètement folle. Ca fait combien de temps que ça dure tout cela ? Je suis bien incapable de le dire.

« Pete Waldon voulez-vous prendre pour épouse Diane Lackey, ici présente, de l’aimer, de l’honorer jusqu’à la fin de vos jours ? » Tu as dit oui aussi. Emu. J’entendais ma mère qui reniflait derrière nous. C’est d’un classique les larmes d’une mère au mariage de sa fille. Mais n’empêche, ça m’a touchée. Maman, tu ne serais pas à ton aise si tu me voyais aujourd’hui. Je crois qu’encore une fois, on te verrait pleurer. Tu étais tellement sensible.

J’entends les applaudissements de nos amis quand nous nous sommes embrassés après ce serment éternel.

Oui, je les entends aussi nettement que si c’était aujourd’hui. Mais non… ce ne sont pas des applaudissements. J’entends des coups. Il y a du bruit au-dessus de moi. Je ne dois pas m’emballer. Je dois rester calme me contrôler.

Les coups s’intensifient. Je voudrais crier. Je pousse l’air dans mes poumons, le peu d’air qu’il reste et je me concentre. J’ouvre la bouche mais aucun son ne sort. Envie de pleurer. Je ne dois pas laisser passer ma chance, ah non, sinon, tout est fini pour moi.

Comment faire pour alerter de ma présence ?

Le bruit se précise. Je prie : Seigneur tout puissant je ne vous ai jamais rien demandé mais là je mets toute ma foi dans cette prière, laissez-moi vivre, laissez-moi revoir Joy et Mary qui va arriver. Et peu importe, même si c’est un garçon, laissez-moi être la grand-mère de cet enfant !

Il y a beaucoup de grabuge au-dessus de moi, j’entends des voix maintenant. Je veux croire que c’est bon signe. J’essaie à nouveau de crier mais une fois encore aucun sort ne se fait entendre. Comment faire ? Ne pas paniquer. Réfléchir si je le peux encore.

Tant que le bruit est là, je dois garder espoir.

Ca se rapproche. Je sentirais presque un filet d’air si je ne m’imaginais pas sombrer dans la folie. Mais oui, je sens un peu d’air. Je tente de tourner un peu ma tête. Bloquée. Shit ! Les voix encore. Des voix d’hommes.

« Je suis là, je vous en prie, sortez-moi de là… Venez me sauver, ne me laissez pas… »

Maintenant je vois un peu de lumière. La pression sur ma poitrine se relâche. C’est un miracle ! Je distingue plus nettement les paroles échangées.

Ces hommes recherchent des corps. Ils n’ont pas l’air convaincus d’y arriver. « Mais si ! Je suis là, messieurs, n’abandonnez pas, je suis là ! » Et toujours ma voix qui ne dit rien.

Le trou de lumière s’agrandit. Il faut que je me fasse entendre avant qu’ils ne décident de cesser leur recherche. J’entends un homme qui dit : « On arrête tout ! Depuis quatre jours, il n’y a plus aucune chance de sauver quiconque ! Peu d’espoir de retrouver des survivants… »

Je sens mon coeur qui lâche prise au-dedans. Tout est perdu. Ils vont me laisser crever sous terre, ensevelie par ce tremblement de terre qui a fait s’écrouler l’hôpital de Concepcion. Je n’ai plus qu’à me laisser mourir. Tout est fini.

« Non, attends, je vois un pied, là… regarde, je ne rêve pas, c’est bien un pied… je distingue des orteils… »

« Je ne donne pas cher de ce corps s’il y a vraiment quelqu’un en dessous… On risque de trouver un cadavre… »

Et là, je mobilise toute l’énergie que j’ai en moi, toute la volonté dont je n’ai jamais su faire preuve et j’ordonne à mon pied de bouger. A mes orteils de faire un mouvement.

« Si ! Regarde, il a bougé ! Le pied a bougé, j’en suis sûr ! Dépêchons-nous, il y a quelqu’un vivant sous ces décombres ! »

Merci, mon Dieu !

résultat concours blabla...

alors merci encore une fois à Mademoiselle Lo, Jean et Calou pour leur participation à ce nouveau concours où il vous fallait inventer...

et pour vous trois, je dépose un bouquet de violettes...

Photo : violettes bon anniversaire a visoflora

je mets ici la version courte (et je rajoute ma touche perso) :

"Je me réveille en sursaut. Complainte passagère, ta voix en écho. Je suis seule dans cette chambre. Le néon blafard se balance légèrement illuminant difficilement les quelques pensées qui m'agitent encore. Une porte s'est ouverte dans la nuit. Puis elle s’est refermée, bruyamment. Je revois ses yeux cernés, son corps amaigri et cette plaie si profonde."

parce que Jean nous avait fait une version longue...

dommage que les participations soient rares, ça aurait pu déboucher sur un truc sympa.

09 mars 2014

un été à Osage County

cela faisait longtemps qu'un film ne m'avait pris aux tripes ainsi. et pourtant des films, j'en vois, je peux vous l'assurer.

pas du misérabilisme, pas du fataliste mais une profondeur vertigineuse dans les relations de famille, quand secret et souffrance se mélangent, quand l'enfance ne s'oublie pas, laissant des cicatrices béantes, quand tromperie rime avec obligations...

je n'ai pas nourri de secret de famille envers mes enfants et la relation mère/fille est, par essence, une des plus difficiles au monde. alors je dédie ce film à mes filles, mes enfants, mes amours...

Sam Shepard, Merul Streep, Julia Roberts...

20:13 Publié dans Film | Lien permanent | Commentaires (0)

des bêtises !!

ce mois dans le magazine Winnie, Pjiloménon le petit cochon vous emporte dans un univers de bêtises...

c'est Marie Quentrec qui fait les illustrations. que je ne manquerai pas de vous montrer...

 

Photo : vous invite à faire des bêtises dans le magazine Winnie du mois de mars... étonnant, non ?

08 mars 2014

femme, femme, femme...

avoir le droit de voter, de travailler, de choisir la personne avec qui on veut se marier, avoir le droit d'exprimer ses opinions et même de dire des gros mots, celui d'être respectée, écoutée, respectée (ben oui, ça, on ne l'est jamais assez...), celui d'être une vedette, celui de s'habiller comme on en a envie, gérer notre argent, suivre des études, être élue, choisir d'avoir des enfants ou pas, de bricoler sa maison et réparer sa voiture, avoir le droit de courir, de prendre soin de soi, d'être chef d'entreprise, de demander l'impossible, de faire le tour du monde, de conduire, de parler aux étoiles, de vivre seule, de ne rien faire, d'être juste aimée...

bref, être une femme !

22:46 Publié dans lamiendo | Lien permanent | Commentaires (0)

go Switzer !

en 1967, cinq ans avant que les femmes ne soient officiellement autorisées à concourir, Kathrine Switzer est la première femme enregistrée à courir le marathon de Boston. 
lorsque l'organisateur de la course réalise qu'une femme est en train de participer, il se met à l'attraper, lui hurle de foutre le camp et tente de lui arracher son dossard.

malgré tout, Kathrine réussit à terminer la course grâce à la protection de son petit ami et d'autres coureurs qui se mettent à l'entourer et à la soutenir jusqu'à la ligne d'arrivée. 
sept ans plus tard, elle gagnera le marathon de New York en 3 heures 07 minutes 29 secondes ! 

 

aujourd'hui c'est la journée mondiale des droits de la femme.

en l'honneur de Katherine,je suis allée courir dix-neuf kilomètres. et franchement, quand je lis ça, je ne suis pas prête d'arrêter de courir.

comme une liberté à savourer longtemps...

 

Photo : En 1967, cinq ans avant que les femmes ne soient officiellement autorisées à concourir, Kathrine Switzer est la première femme enregistrée à courir le marathon de Boston. 
Lorsque l'organisateur de la course réalise qu'une femme est en train de participer, il se met à l'attraper, lui hurle de foutre le camp et tente de lui arracher son dossard. Malgré tout, Kathrine réussit à terminer la course grâce à la protection de son petit ami et d'autres coureurs qui se mettent à l'entourer et à la soutenir jusqu'à la ligne d'arrivée. 
7 ans plus tard, elle gagnera le marathon de New York en 3:07:29! 
Alors mesdames, en cette journée de la femme, courez ! Pour toutes celles qui n'ont pas eu ce droit et qui ne l'ont toujours pas, courez  !

06 mars 2014

Georges Briata

Georges Briata est à l'honneur au château des Remparts à Trets.

des peintures vives et lumineuses respirent la Provence mais pas que... et c'est tant mieux.

je vous laisse apprécier !

 

Georges Briata : Événements Georges Briata : L’œuvre Georges Briata : Nus et portraitsGeorges Briata à la Galerie de l'Isle Georges BRIATA : Lithographie originale signée et numérotée ...

08:09 Publié dans lamiendo | Lien permanent | Commentaires (1)

Fluide Marcel

Marcel Gotlib aura quatre-vingts ans le 14 juillet de cette année.. une sacrée fête nationale..

je suppose que vous connaissez tous Signature de Gotlib...

moi j'ai été fan de ses BD quand j'étais ado, et j'achetais en cachette Fluide Glucial, dont il est le créateur...

grâce à lui j'ai découvert Maester et Jimenez...

j'ai adoré les "Rubrique à brac", "Pervers pépère", "Gai-Luron"...

sa petite coccinelle qui le suit de page en page, d'album en album...

alors si vous ne connaissiez pas encore, allez découvrir ce grand artiste... si drôle..

je vais acheter Fluide Glacial tiens moi aujourd'hui ! ça fait si longtemps.

 

Gotlib Fluide GlacialLe talent décalé de Gotlib | Imaginaires CréatifsGotlib (Marcel Gotlieb) | Lambiek Comiclopedia

08:02 Publié dans lamiendo | Lien permanent | Commentaires (0)