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31 octobre 2013

Allo ? Ween !

Gynux a réalisé cette petite illustration, parce qu'aujourd'hui, c'est le jour des citrouilles creusées, de la distribution des bonbons et des sorcières à chaque coin de rue. j'avais oublié combien on a aimé ça, les p'tits loups et moi quand ils étaient petits justement. la relève semble bien assurée et c'est tant mieux !

23:29 Publié dans lamiendo | Lien permanent | Commentaires (0)

30 octobre 2013

same love

j'ai du déjà vous la poster ici cette chanson, mais je l'aime tellement... ce Macklemore, je l'écoute en boucle en ce moment... alors prenez cinq minutes et écoutez encore...

21:58 Publié dans lamiendo | Lien permanent | Commentaires (0)

Thibo et compagnie

je m'interroge sur cette (trop grande) facilité que j'ai à m'attacher aux gens que je croise. je me voulais aventurière solitaire, allant de lieux en lieux, n'ayant pas de famille, pas de lien pour me retenir, apportant tout le bien-être que je pouvais avant de m'éclipser sur la pointe des pieds.

libre.

au lieu de cela, je passe une journée avec une personne et déjà la quitter me paraît difficile.

un drame, je vous dis...

aujourd'hui je pense particulièrement à Thibo, ce petit bout d'homme, âgé de trois ans, aux yeux délicieusement coquins, qui a eu le culot de me gagner au Uno en plus (eh, je vous vois en train de ricaner dans le fond...), avec sa tétine transparente visée dans sa bouche et son adorable maman, patiente et courageuse... une journée passée ensemble dans des conditions que je qualifierai d'"hospitalières" et partir en les laissant nous fut comme un arrachement.

petit Thibo si pertinent, si craquant !

jolie Estelle si forte et si douce...

faut que je m'entraîne, faut que je m'entraine... plus un sourire, plus un mot partagé, le vide sidéral, le froid de banquise et plus aucun lien avec personne... sinon, mon âme morcelée va devenir cendres...

21:50 Publié dans lamiendo | Lien permanent | Commentaires (2)

29 octobre 2013

marseille-cassis 2013, la preuve !

et ça, c'est juste pour faire ma crâneuse parce que ce bonheur-là n'est pas prêt de partir et que ça coule dans mes veines comme un sang chaud et énergétique, que ça me porte et me transporte, que je cherche déjà à retrouver ces sensations-là et que je vais devoir attendre un an... alors, je vous glisse ça en dessous, et si ça vous saoule, vous ne regardez pas..

 

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23:18 Publié dans lamiendo | Lien permanent | Commentaires (4)

perfect day

juste comme ça, parce qu'il n'est plus là et que j'aimais bien... voilà...

23:13 Publié dans lamiendo | Lien permanent | Commentaires (0)

la nuit

" La nuit nous dicte sa tâche magique.
Détisser les mailles de l’univers,
les ramifications inépuisables
des effets et des causes, qui se perdent
dans ce vertige insondable – le temps
la nuit exige que cette nuit même,
tu oublies ton nom, ton sang, tes ancêtres,
chaque parole humaine et chaque larme,
ce que la veille a pu te révéler,
le point illusoire des géomètres,
la ligne, le cube, la pyramide
et plan, sphère, cylindre, mer et vagues,
ta joue sur l’oreiller et la fraîcheur
du drap neuf
les empires, les Césars et Shakespeare
et, plus difficile, ce que tu aimes."

Jorge Luis BorgesLe sommeil

28 octobre 2013

she

un petit bijou...

18:48 Publié dans lamiendo | Lien permanent | Commentaires (4)

prisoners

je vous parlais il y a deux jours de ces parents qui maltraitent leurs enfants et il y a aussi ceux qui feraient n'importe quoi pour eux.

ce n'est qu'un film, OK, mais il est réellement hallucinant et si j'ai beaucoup sursauté, planqué ma tête dans le siège du cinéma, j'ai vraiment aimé...

06:10 Publié dans Film | Lien permanent | Commentaires (0)

marseille-cassis 2013

il y avait ceux qui couraient pour les enfants atteints de leucémie, pour le don d'organes, pour les opérés du coeur, pour le cancer de la prostate, ceux qui couraient pour leur fille ou un être disparu, il y avait celui déguisé en Zoro, celui en lapin, il y avait Mario, Luigi et la clique du jeu vidéo, il y avait un couple en mariés et un garçon de café, et toutes ces enseignes de grandes sociétés qui fournissent l'eau, l'électricité, le téléphone, les services bancaires et des assurances..

on m'avait prévenu : ce sera dur, attention à la descente, gère tes efforts, untel l'a fait il s'est pêté un genou, un autre n'a jamais récidivé il a perdu 10 kilos après...

je vous jure j'en avais entendu...

mais je l'ai fait. sans aucun souci, et même avec un plaisir indescriptible...

au huitième kilomètre, j'ai senti que la montée commençait à tirer et j'ai eu peur de ne pas tenir. je ne voulais pas m'arrêter, même pas aux ravitaillements, j'étais lancée, j'ai quand même pris un quart d'orange, histoire de me rafraîchir la bouche... et une dosette d'énergie en sucré concentré direct dans le gosier... beurk ! j'ai failli ne plus pouvoir respirer...

au quatorzième kilomètre, je me suis dit que j'allais passer ma vie à courir, comme si j'étais rentrée dans un monde un peu parallèle où la vie se vivait en courant. je pensais à des choses de ma vie, je ne sentais pas mon corps, juste je courais...

au quinzième on est arrivés sur la baie de Cassis. point de vue magnifique en plongée, soleil se reflétant sur l'eau, c'était juste divin. toute cette descente avec ce paysage de rêve ! et sur les côtés les gens qui nous encourageaient, explosant de chaleur et de dynamisme, ça me filait des frissons, une sorte de gloire anonyme, ne pas être n'importe qui mais perdue dans une foule de 15000 coureurs au moins... se dire que les gens étaient là aussi pour moi mais pas que, et que d'ailleurs personne ne me connaissait... c'était juste délirant...

au dix-septième kilomètre, il y avait une banderole tenue par deux gamins qui portait l'inscription "Kiki l'a fait !", et je me suis dit : moi aussi ! et ça m'a donné un beau coup d'énergie...

à l'arrivée, j'ai senti mon coeur fou de joie, de fierté et d'allant. j'ai sauté comme une gamine en poussant des cris une fois passée la ligne fatidique... 2h15 !

voilà, je ne suis pas morte, j'ai survécu plutôt vachement bien et je le referai l'an prochain, juste pour améliorer mon score.

mais je l'ai fait !!

je l'ai fait avec elles deux à mes côtés "invisibles" mais quand même tellement présentes : ma soeur et ma Ga(z)ëlle, avec "lui" à qui je tenais à prouver que je savais avancer malgré mes coups de blues...

et si je l'ai fait, c'est parce qu'un homme m'y a emmenée, m'a déposée sur la ligne d'arrivée et m'a attendue, surpris de mon temps et de ma belle forme à l'arrivée.

avec pour ceux quatre-là, je dis un grand merci et rendez-vous l'année prochaine !

05:58 Publié dans lamiendo | Lien permanent | Commentaires (1)

26 octobre 2013

Fiona et les autres...

on a retrouvé le corps d'une fillette d'un an à peine, dans le coffre d'une auto. elle était nue, baignait dans son urine et était déshydratée complètement.

cet enfant n'a pas été déclaré à la naissance.

il y a celle qui a été enterrée dans un parc par sa mère alors que tout le monde s'est mobilisée à sa recherche. elle aura succombé aux coups reçus.

je ne vais pas vous faire une lugubre liste mais il semble que deux enfants meurent par jour à cause de mauvais traitements...

alors bêtement, je m'interroge : la contraception fait aujourd'hui partie de nos vies, pilule, stérilet, préservatif et quand je vois qu'on peut même décider du jour de son accouchement, on peut décider également de ne pas accoucher, je veux dire : de ne pas tomber enceinte, non ?

et si on est perdus dans son rôle de parents, il existe des structures pour nous aider.

rien n'est simple, je le sais, et surtout pas l'éducation des enfants mais quand même, ces fillettes, elles avaient fait quoi ? 

j'enrage, j'enrage, j'enrage..

20:27 Publié dans lamiendo | Lien permanent | Commentaires (2)

safran

ce week end à la Tour d'Aigues dans le Luberon, l'association "Luberon safran de pays" organise un weekend portes ouvertes avec une exposition sur le safran, sur sa culture, son utilisation, son histoire, avec une visite de la safranière. 

j'espère avoir le temps de passer demain, après ma big course dans la Gineste..

Comme les champignons, la fleur de safran s’épanouit pendant la nuit, grâce au froid. et ce n’est pas une fleur mais des milliers qui poussent et qui vont éclore le matin.

Le défi pour les producteurs de safran est de tout récolter pendant la journée, d’émonder et de sécher dans la foulée. 

Les fleurs se coupent délicatement par la tige avec l’ongle du pouce. combien de fleurs donnent un bulbe ? plusieurs, entre six ou sept.

toutes les fleurs ouvertes doivent être cueillies sinon les stigmates, c’est-à-dire les filaments, risquent de s’abîmer et d’être de mauvaise qualité. 

l'étape suivante, ce sera l’émondage. les stigmates sont séparés de leur fleur.

après l’émondage, la dernière étape : le séchage. les fleurs sont placées quarante-cinq minutes dans un déshydrateur.  

une fois sec, le safran sera placé et conservé dans un pot. dès lors, les utilisations peuvent être multiples. mais une chose est indispensable : il faut absolument l’infuser avant de l’utiliser.

 

25 octobre 2013

Gradignan : les coulisses

vous avez vu, si vous suivez les quelques notes de ce blog, les photos de mes interventions à Gradignan, mais voilà les photos de ce que l'on ne sait pas sur les salons, les soirées bien préparées, les repas entre auteurs/illustrateurs, les discussions de couloirs et les retrouvailles joyeuses...

c'est avec plaisir que je partage quelques-uns de ces moments-là avec vous...

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l'accueil des auteurs et remise de badge..

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 ici c'est Caroline Nardi-Gileta et Marianne Barcillon

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les dédicaces... avec les mains, s'il vous plait. et Eric Sanvoisin à côté de moi...

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d'autres dédicaces... d'autres auteurs... avec Bernard Werber et David Vann en dessous..

 

 

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 et après l'effort, le réconfort, je file manger...

repas avec Jérôme Brasseur, Grégoire Vallacien, Philippe Barbeau, Christian Heinrich, Jean-Philippe Arou-Vignod...1380018_597840373605869_1541762093_n.jpg

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et les soirées dans des domaines viticoles très raffinés...

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blablas de filles avec Florence Thinard et scientifiques avec Christophe Galfard (en bas)...

24 octobre 2013

per-te

parce que je n'ai pas eu de père, je manquais de repères avec mes pairs et même mes impairs.

alors quand cet homme hors-pair, si pertinent, m'a percutée, j'ai quitté mon repaire, persuadée que ce serait pour perpette.

et j'ai perdu.

perdu.

Copyright Strobox (Cesar de la Hoz)

22 octobre 2013

Frida Kahlo

fin novembre, je viens à Montreuil, au fameux festival qui rassemble tous les auteurs et illustrateurs jeunesse qui frétillent d'impatience de s'y frotter, alors je voudrais en profiter pour aller voir cette expo de Frida Kahlo et Diego Rivera. franchement, je croise les doigts... et je fais un clin d'oeil à ma frangine à qui ça plairait certainement aussi...

Si Frida Kahlo (1907-1954) est aujourd’hui l’une des artistes les plus connues et les plus populaires de l’art mexicain du XXe siècle, c’est bien sûr grâce à sa personnalité et à l’originalité d’une oeuvre qui échappe à toute tentative de classification. L’oeuvre est ici avant tout l’expression du récit d’une vie. Vie tragique et tumultueuse, échappant à son tour à toute convention, connue dans le moindre détail et récemment portée à l’écran, faisant d’elle une véritable icône.

L'originalité de l'exposition consacrée au couple mythique incarné par Diego Rivera et Frida Kahlo consiste à présenter leurs oeuvres ensemble, comme pour confirmer leur divorce impossible, effectif dans les faits mais aussitôt remis en question après une seule année de séparation. Elle permettra aussi de mieux entrevoir leurs univers artistiques, si différents, mais également si complémentaires, par cet attachement commun et viscéral à leur terre mexicaine : cycle de la vie et de la mort, révolution et religion, réalisme et mysticisme, ouvriers et paysans.

nuits de champagne

Festival Nuits de Champagne

chaque année, l'équipe des Nuits de Champagne propose au public de Troyes, de l'Aube et des régions Champagne et Bourgogne un voyage dans l'univers artistique et le répertoire d'un auteur-compositeur de la chanson.

et c'est en ce moment.

la programmation artistique, élaborée comme une carte blanche, illustre l'essentiel des influences, tendances et préférences de l'artiste invité.

en guise d'ouverture les festivaliers se donnent rendez-vous pour chanter à l'unisson les principaux refrains de l'auteur-compositeur, accompagnés par les 700 collégiens-chanteurs du choeur de l'Aube.

le programme du festival se conclut chaque année par le " Grand choral " consacré aux chansons les plus représentatives du répertoire de l'artiste invité et interprétées par 800 choristes de la région, de France et de la francophonie.

alors si vous habitez dans le coin, cette année c'est le groupe Tryo qui est l'invité d'honneur, c'est d'ailleurs une première dans l'histoire du festival, un groupe en invité d'honneur, et "quand la nuit devient blanche" la fête devient partagée !

20 octobre 2013

chiffon

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draps chiffonnés, corps renversé, sens inversés, souffle coupé, silence opposé, 

pose ton doigt que je te reprenne, t'entortille, te retrouve...

le retour de la Bégude

de retour de ce salon de la Bégude où je n'ai pas arrêté, sans exagération, où je n'arrivais à aller manger le midi, tant les dédicaces se sont succédées, c'est juste sidérant, presque affolant et tellement grisant...

les auteurs et illustrateurs étaient vraiment cools et les rencontres bien agréables... comme toujours, on a bien du mal à se dire qu'on ne reverra plus les gens ou lointainement, qu'il ne restera que des souvenirs fugaces, parce que si on devait rester fusionnels avec tous les auteurs-illustrateurs que l'on croise, on ne vivrait plus et parce que c'est ainsi, le temps qui passe et qui efface.

on finit par s'habituer en espérant tout de même qu'une de ces rencontres marquera un peu plus que les autres... qui sait ?

 

18 octobre 2013

e-Provence

elle marche pieds nus dans le thym, une douce odeur un peu âcre s'en dégage, l'odeur de son enfance, de ce temps où elle passait ses vacances chez ses grand-parents et courait après les lézards qui se faufilaient entre les pierres des restanques, elle regarde le soleil à travers la dentelle des feuilles d'oliviers, les fruits sont presque mûrs, petits ovoïdes verts qui s'accrochent fièrement aux branches basses, elle se dit qu'elle en a de la chance d'être là, avec ce soleil qui réchauffe son corps à cette période de l'année, qu'il fait si bon vivre là, elle se sent bien, un peu ivre, un peu grisée, mais juste bien, là, et nulle part ailleurs, là, juste bien.

l'homme s'approche d'elle, costume impeccable, chemise blanche que l'on croirait presque fluorescente tant le blanc est immaculé, un sourire Colgate aux lèvres. il s'approche d'elle, il avance tel un cowboy prêt à dégainer, sûr de lui, de sa réplique, de sa vie et de ce qu'il en a fait, on ne sent aucune remise en cause dans son chemin qu'il s'est tracé à coups de projets réussis.

il a un drôle de boîtier à la main, elle a la sensation qu'il va prendre sa commande, comme au fast food : et pour vous, ça sera quoi ? hamburger-frites-coca ? le menu classique...

et elle ne se trompe pas tant que ça, finalement, il appuie sur une touche, son sourire de grande surface bien polissé sur les lèvres, dents brillantes et blanches, à croire qu'il n'a jamais rien mangé de sa vie, celui-là, ou alors juste des gélules, comme ils le font tous pour garder cette ligne impeccable, il appuie sur une des touche du clavier miniature et le paysage disparait. elle n'a même pas le temps de respirer que le rideau se lève aussi vite que s'il avait le diable aux trousses, vuiiit, ça monte si vite si vite. et au même moment, le sol se dérobe sous ses pieds, ce n'est pas un tremblement de terre, non, ça ne ressemble pas à ça du tout mais sans qu'elle ait besoin de décoller ses pieds, l'herbe fraîche détale et les petits bosquets de thym frais aussi. il ne reste qu'un lino fade et froid, il ne reste que de vagues effluves de thym, les murs sont blancs, "encaladas", et l'homme au costume-chemise-dentifrice se tient devant elle, patient.

alors, vous voulez tester un autre paysage ?

non, ça va, elle en a assez vu comme ça. elle avait juste oublié que le bonheur ça n'existait plus pour de vrai, qu'on devait le commander et se le faire livrer en kit à installer chez soi. 

File:Paysage près de Vitrolles-en-Lubéron 4.JPG

grrrr !

en ce moment, je suis en colère... je crois que je me prépare à la date qui arrive, cette date qui me brûle les tripes et me remplit de peine, de douleur et de rage...

j'enrage à l'avance de ce qui est arrivé quatre ans plus tôt, je sens venu le moment de l'explosion finale comme un feu d'artifice qu'on laisse aller jusqu'à l'apohéose... 

je me révolte contre les privilèges, l'injustice, les choses installées, les gens cons... je suis en colère, je me révolte.. et comme à chaque anniversaire, je relis ce message où elle me dit qu'elle a rêvé de lui, qu'il était heureux de nous, que... 

en ce moment, je suis en colère. 

alors, gare à ceux qui s'approchent de trop près...

je me demande encore aujourd'hui s'il va revenir un jour...

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17:38 Publié dans lamiendo | Lien permanent | Commentaires (5)

festival à la Bégude

c'est demain !!

Photo : et voilà l'affiche... en plus y'aura Erik Lhomme ! hu hu !