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16 octobre 2013

La Bégude-de-Mazenc

samedi 19 et dimanche 20 octobre, je serai à La Bégude de Mazenc, un magnifique village de la Drôme provençale, pour dédicacer mes ouvrages au salon du livre et de la BD...

pfffuuu ! encore un endroit paradisiaque où je vais adorer passer deux jours... je vous laisse admirer un peu les photos... c'est vraiment dur cette vie d'auteur, moi, je dis... et comptez sur moi pour prendre les baskets !! hu hu !!

 

mazenc, village, drômedrôme provençale, visites, découvertes

Festival des nuits pianistiques

BRAHMS TRIO : un trio venu tout droit de Russie !

Diplômés du Conservatoire Tchaïkovsky de Moscou et de l’Académie de musique Gnessine,les membres du Brahms Trio s’inscrivent dans la grande tradition de l’école russe. Un concert qui redonne vie à des pages oubliées de l’héritage musical russe ! 

En partenariat avec le Festival des nuits Pianistiques
Infos et réservations : 04 42 54 93 10 / culture@venelles.fr
Tarifs : 11€ / 9€ / 4€ / 3€ & abonnements
Plus d'infos sur le concert : http://culture.venelles.fr/ai1ec_event/brahms-trio-tchaikovsky-shostakovitch/

15 octobre 2013

expire

fragments, frottements, feulements, follement, finalement...

caresses, maîtresse, enchanteresse, express, souplesse, est-ce que...

revenir, repartir, délire, c'est peu dire, se souvenir, se retenir, soupir, soupir, soupir...

un Belmondo à Lyon

quand j'étais jeune, j'étais fan, et c'est peu de le dire, de ce comédien. et que dire de son fils quand il s'est mis à faire de la course automobile... glups !! bon, passons...

hier, pour le festival des Lumières, il a été mis à l'honneur (le père, pas le fils..) et c'était certainement bien mérité (j'ai eu peur sur le coup d'avoir à entendre l'annonce de son décès mais non... on peut aussi rendre des hommages aux personnalités encore vivantes, faut croire !!) et en ouverture, les spectateurs ont pu voir "un singe en hiver", un film que j'ai revu, à l'époque, plein de fois, tant j'adore ces moments entre Gabin et Belmondo, ces délires dans la rue noire...

évidemment, le comédien a vieilli, beaucoup même mais je trouve extra cet hommage qui lui est rendu...

pourvu qu'il vive encore longtemps pour voir d'autres hommages, dis donc, hein !!

 

Un singe en hiver affiche ()

09:37 Publié dans Film, lamiendo | Lien permanent | Commentaires (2)

14 octobre 2013

Margaux Motin

elle s'appelle Margaux Motin et j'aime bien son style... là c'est un travail pour les femmes atteintes du cancer mais elle sait être très corrosive, cette Margaux-là !

Chaine rose couleur

20:53 Publié dans lamiendo | Lien permanent | Commentaires (2)

Lisa s'envole

j'ai reçu aujourd'hui ce nouvel opus des livres en deux langues, collection p'tit Bili chez Zoom éditions. les illustrations ont été réalisées par Gwenaëlle Doumont et je trouve ça vraiment très sympa.

alors pour apprendre à parler des jeux d'extérieur dans une autre langue, c'est l'occasion. avec la version audio téléchargeable gratuitement sur le site des éditions zoom et des fiches à la fin du livre pour se poser des question en langue étrangère....

car Lisa va monter pour la première fois en montgolfière avec son père et va admirer d'en haut les sportifs qui s'agitent en dessous d'elle...

Lisa-gb-cover.jpgLisa-all-cover.jpgLisa-esp-cover.jpgLisa-it-cover.jpg

13 octobre 2013

in my Luberon

je suis en mode préparation de la course Marseille-Cassis, qui a lieu dans deux semaines, alors ce matin, je me suis offerte 20 kms dans un lieu magique, perdu dans la féérie du Luberon, je me demandais ce que je faisais là au lieu de dormir au chaud sous ma couette mais finalement, je ne sais comment le dire, mais mon corps est en pilote automatique et je ne me rends compte qu'à la fin que j'ai fait tout ce trajet, que j'ai mal et que je vais adorer rester longtemps sous la douche...

le sport est une drogue, dit-on.. je ne sais pas... mais c'est une liberté ça, j'en suis convaincue !

19:42 Publié dans lamiendo | Lien permanent | Commentaires (8)

mots et images

te parler avec les mots que j'écris, mon cowboy suisse... c'est promis...

et pourquoi pas avec des images aussi ?

19:17 Publié dans lamiendo | Lien permanent | Commentaires (0)

recueil de haïkus

lors de mes ateliers dans les classes à Gradignan, alors que les élèves et moi travaillions sur les haïkus, ils m'ont offert un recueil, pas réellement réalisé dans les règles, mais tellement beau, de haïkus qu'ils avaient écrits pour moi. je n'avais pas eu le temps de le feuilleter, c'est chose faite. un vrai bonheur !

 

12 octobre 2013

La Bastide des Jourdans

en ce moment se tient au Mans un grand salon du livre où ma copine Anne mange des cockies au chocolat en dédicaçant ses ouvrages...

et moi je me rends à La Bastide des Jourdans pour les 30 ans de la bibliothèque, au milieu d'autres auteurs sudistes, pour dédicacer mes ouvrages aux éditions Le lutin malin...

un bel après-midi en prévision...

image.jpg

 

 

chats et chatons

j'ai reçu hier ces petits recueils qui sont une reprise en allégé du grand recueil rose d'histoires de chats et chatons.... la couverture est différente et ils sont touts mimi ces recueils...

9782508011139.gif

c'est aux éditions Hemma et on est plusieurs à y participer.

miaou !

corps encore...

j'ai le corps comme un pantin désarticulé en ce moment, comme un fantôme pas à sa place. je cours, je nage, je danse, mais je me sens en dehors de mon corps, il ne répond pas à mes injonctions.

désarticulé.

alors je vous glisse cette photo et ce texte de Louise Markise, que j'ai piqués sur son FB parce que j'aime vraiment bien...

Photo : « Mon corps a de drôles d'histoires; je lui scotche des lumières et l'encadre d'images, j'en fais un objet à regarder et le laisse dériver entre vos cils; mon corps de petite fille qui se déguise; mon corps d'amoureuse qui s'ennuie, qui attend la prochaine étreinte; mon corps de rêveuse qui funambule aux frontières de tous les autres, qui ne prend pas garde à la fatigue des uns et à la déception des autres, qui n'entend pas les mélodies tristes, les nuits silencieuses... Quand je ne sais vraiment plus de quelles drôles d'histoires je dois rire, quand je n'ose plus me demander dans quel corps j'ai encore pied, je me dis qu'il restera toujours celui que je laisse dériver entre vos cils... et ça  me rassure un peu, parce que si tous les autres s'éclipsent, il y aura éternellement celui-là, le plus imaginé, mais au fond, sans doute, le plus connu, le plus touché. »
Archives lointaines, clignotantes et argentiques.

« Mon corps a de drôles d'histoires; je lui scotche des lumières et l'encadre d'images, j'en fais un objet à regarder et le laisse dériver entre vos cils; mon corps de petite fille qui se déguise; mon corps d'amoureuse qui s'ennuie, qui attend la prochaine étreinte; mon corps de rêveuse qui funambule aux frontières de tous les autres, qui ne prend pas garde à la fatigue des uns et à la déception des autres, qui n'entend pas les mélodies tristes, les nuits silencieuses... Quand je ne sais vraiment plus de quelles drôles d'histoires je dois rire, quand je n'ose plus me demander dans quel corps j'ai encore pied, je me dis qu'il restera toujours celui que je laisse dériver entre vos cils... et ça me rassure un peu, parce que si tous les autres s'éclipsent, il y aura éternellement celui-là, le plus imaginé, mais au fond, sans doute, le plus connu, le plus touché. »

13:45 Publié dans lamiendo | Lien permanent | Commentaires (0)

11 octobre 2013

la petite robe noire

j'ai acheté une petite robe noire

je voulais aller au bal

je suis allée sur la place je t'ai attendu

nue sous la robe je t'ai attendu

 

Pierre, Paul, Jacques et les autres...

je ne sais pas si vous avez remarqué, mais il est des prénoms comme des signes du zodiaque.

je m'explique.

j'ai eu dernièrement une conversation avec divers illustrateurs bien talentueux sur l'importance des signes du zodiaque, de celui qui était dans notre "maison" lors de notre naissance, des ascendants, l'importance donc de ces signes sur notre caractère mais également des "emboitements" de signes du zodiaque bénéfiques ou non.

une femme de tel signe ne devrait, et je reste prudente avec mon conditionnel, pas s'entendre avec un homme de tel signe.

ou alors, vous-mêmes vous vous etes rendus compte que systématiquement une personne de tel signe ne vous plaisait pas, nous nuisait ou au contraire, vous alliez régulièrement vers des gens de ce signe-là.

eh bien, pour les prénoms, ça me fait le même effet.

il est des gens portant tel prénom, femme ou homme, qui régulièrement, pour ne pas dire systématiquement, me jouent des tours pendables, ont un comportement incorrect envers moi ou m'apportent au contraire de la douceur et du bonheur vrai.

étrange, me direz-vous. et je pourrais vous suivre, mais là, avec les années qui passent et les rencontres qui s'enchainent, il y a des prénoms qui se détachent nettement des autres, systématiquement avec un grand soleil ou une pluie orageuse et je crois que je vais devenir "superstitieuse" sur les prénoms.

07:58 Publié dans lamiendo | Lien permanent | Commentaires (2)

10 octobre 2013

chut !

glisse tes doigts entre mes cuisses

tes doigts chauds, tes doigts doux

glisse ta langue

laisse monter l'envie, laisse fleurir mes humeurs, 

insère ta force et ta douceur, laisse venir le balancement

demain sera un autre jour

Nobel de littérature

elle a 82 ans, elle est canadienne, on dit d'elle qu'elle est la souveraine de l'art de la nouvelle contemporaine, elle sort bientôt son 14e recueil de nouvelles, et elle dormait dans sa chambre d'hôtel quand le téléphone a sonné pour l'avertir... Alice Munroe vient de décrocher le prix Nobel de littérature pour l'ensemble de ses nouvelles.

« Munro est appréciée pour son art subtil de la nouvelle, empreint d’un style clair et de réalisme psychologique», a indiqué l’Académie suédoise dans une biographie. «Ses histoires se déroulent généralement dans des petites villes, où le combat des gens pour une existence décente aboutit souvent à des problèmes relationnels et des conflits moraux - question qui est ancrée dans des différences de génération ou des projets de vie contradictoires», a-t-elle poursuivi.

Alice Munro en juin 2009, recevant le prix Man Booker International à Dublin.

nuit magique

je vous en avais parlé, j'avais hâte d'y aller mais j'étais loin d'imaginer que le spectacle serait de cette qualité. une soirée magique dans ces "Mille et une nuits" de Angelin Preljocaj.

et à chaque fois, cette émotion vraie de me dire que je sais pourquoi je suis vivante... 

Angelin Preljocaj revisite les Mille et une Nuits

Des danseurs interprètent "Les Nuits", nouveau spectacle d'Angelin Preljocaj, le 27 avril 2013 sur la scène du Grand Théâtre d'Aix-en-Provence [Boris Horvat / AFP]

Des danseurs interprètent "Les Nuits", nouveau spectacle d'Angelin Preljocaj, le 27 avril 2013 sur la scène du Grand Théâtre d'Aix-en-Provence [Boris Horvat / AFP]

"Premier acte de ces "Nuits" créées au Grand théâtre de Provence, dans le cadre de Marseille, capitale européenne de la culture, une scène de hammam: douze femmes, torses nus, un foulard dans les cheveux, ondulent dans la vapeur d'eau, au son de la musique lancinante de Natacha Atlas.

Voyant en Shéhérazade, l'héroïne courageuse de ces contes orientaux, un "prémisse du féminisme", le chorégraphe français de 56 ans explique à l'AFP avoir voulu rendre hommage avec ce ballet à chacune de ces femmes qui comme elle, "par sa culture, son intelligence, son imagination, son verbe, se (dresse) tel un rempart contre la barbarie", citant en exemple la Yéménite Tawakkol Karman, récente prix Nobel de la Paix.

"C'est elle qui fait en sorte d'arrêter ce flot de cruauté, de massacres, que provoque ce roi qui veut se venger d'une tromperie et qui, chaque jour, épouse une femme et la tue au petit matin pour être sûr qu'elle ne le trompe pas", ajoute le danseur, dont la troupe est installée au Pavillon Noir à Aix-en-Provence depuis 2006.

Chacune des danseuses porte quelque chose de Shéhérazade, le "modèle de toutes les femmes méditerranéennes" qui luttent au quotidien contre la violence d'une société machiste. Habillées d'une petite robe rouge moulante et de hauts talons, alignées face au public, elles se déhanchent sur une version revisitée de "it's a man's world" par la musicienne d'origine anglo-égyptienne, en adressant doigts et bras d'honneur au public.

Enchaînant les tableaux, Preljocaj joue avec l'érotisme et les relations soumission/domination, dans des corps-à-corps sensuels, les formes déliées des douze femmes et six hommes magnifiés par les costumes du couturier d'origine tunisienne Azzedine Alaïa.

"Azzedine Alaïa était ravi, ça lui permet de renouer avec des choses qu'il connaît très bien avec son style épuré et radical", se réjouit le chorégraphe, comparant l'art du couturier à de la "calligraphie".

Dans une autre scène, les danseuses fument la chicha, une pratique majoritairement masculine dans les pays musulmans, en soufflant la fumée sur des hommes couchés à terre.

Emblème de la world music, Natacha Atlas, qui reprend également dans le spectacle "You only live twice", un thème de James Bond, représente pour Preljocaj un temps "où on croyait encore que de l'autre, l'étranger, peut venir l'avenir", à l'opposé du monde actuel "qui se referme de plus en plus sur ses propres valeurs, où chacun s'accroche et s'arc-boute sur ses convictions".

Les Milles et une Nuits, "des contes écrits à plusieurs mains, inspirés d'histoires qui viennent d'Inde, de Perse, d'Arabie et jusqu'au Maghreb", formant comme "un arc culturel extrêmement riche autour du pourtour méditerranéen face à Marseille", sont très "inspirants, à la fois mystérieux et sensuel: une sorte de feu d'artifice pour les cinq sens", souligne le quinquagénaire, qui avait déjà réussi en 2008 l'adaptation de "Blanche Neige", un autre conte inscrit dans nos mémoires collectives."

08 octobre 2013

2015

pose tes mains chaudes sur ma peau, redessine les contours de mon corps, prends ton temps, lentement, doucement, laisse couler cette chaleur en moi, laisse-la me donner de la force, comme une vie qui se reconstruit sous tes doigts.

caresse-moi, réchauffe-moi, laisse-moi me remplir de toi...

 

l'homme et la chapelle 3

l'homme n'avait qu'un objectif : déposer son paquet et se tirer d'ici rapido.

quelles étaient les consignes reçues déjà ? placer le paquet derrière l'autel dans une boite en fer prévue à cet effet, et envoyer un message au numéro de portable qu'on lui avait laissé. le numéro d'un téléphone "jetable", anonyme, c'était certain.

il n'avait pas eu la curiosité de regarder ce que contenait le paquet, il s'en foutait d'ailleurs.

ce qu'il voulait juste c'était mener à bien sa mission et foutre le camp d'ici. il avait empocher la moitié du fric, il récupérerait l'autre dans sa boite aux lettres à son retour si tout s'était bien passé. et il n'aurait plus rien à craindre, toute trace et preuve susceptible de le mettre en cause serait détruite.

il pensa à sa vie. il en avait assez, il étouffait, il avait envie d'autre chose en ce moment.

d'où cela venait ? qu'est-ce qui avait causé ce malaise et faisait que celui-ci se développait chaque cjour ? il n'en savait rien mais il avait décidé de réagir.

avec l'argent de cette "mission" il comptait partir, mettre les voiles, vivre sa vie.

oui, il avait déjà presque tout planifié : son départ, son parcours, la gestion de l'argent, les premiers kilomètres,   ce qui fallait savoir pour tenir la distance. une bouffée d'excitation l'envahit. il se sentait presque heureux à présent.

quand il entendait un bruit derrière la colonne sur le coté, il crut qu'il avait rêvé.


(à suivre)

cher Patrice

il n'y avait plus de places pour aller voir Elektra cet été, on a été voir Don Giovanni et on a adoré, mon internénette numberone et moi.

on aurait du aller voir Elektra. mise en scène de Patrice Chéreau.

parce qu'on ne le verra plus.

parce que Patrice Chéreau ne mettra plus cet opéra de Richard Strauss en scène.

parce que Patrice Chéreau n'est plus.

et c'est vraiment une bien triste nouvelle.

Description de cette image, également commentée ci-après