24 novembre 2012
holes
11:50 Publié dans un peu de moi | Lien permanent | Commentaires (0)
Hanaé et les fées
j'ai rencontré Hanaé au slaon du livre de Six-Fours, cette année, et elle m'avait demandé qu'on se prenne en photo toutes les deux.
la photo s'est perdue mais pas la tendresse de notre rencontre.
elle m'a envoyé ces photos pour me dire combien elle aime mes histoires...
et qui ose dire qu'être auteur est un dur labeur ????
pas moi...
11:00 Publié dans les salons où je vais | Lien permanent | Commentaires (1)
23 novembre 2012
enfance
- toi quand tu étais petit, tu voyais ça comment la vie ? plus tard ? le monde des grands ? t'avais des projets ?
- ben, je crois que j'avais envie d'être super fort, le genre de type qui marque le but qui fait gagner son équipe, ou qui découvre le super vaccin qui guérit tout le monde, un astronaute ou celui qui créerait la machine qui révolutionnerait le monde.. tu vois, un truc comme ça ? et toi ?
- je ne sais pas, peut-être être celle qui courrait le plus vite, ou plutôt non, ce sont des conneries ça, je crois que je voulais être libre, voyager tout le temps, traverser le monde, rencontrer des tas de gens, ne plus jamais être malheureuse. ouais, voilà, c'est ça je crois que ce que je me disais c'est que je ne laisserais plus jamais personne me faire pleurer.
- ah bon ? et ?
- et quoi ?
- t'as pleuré quand tu es devenue grande ?
- être celle qui court le plus vite ce n'était pas si con, finalement...
16:44 Publié dans un peu de moi | Lien permanent | Commentaires (0)
violences
16:36 Publié dans c'est la vie | Lien permanent | Commentaires (0)
22 novembre 2012
piment
à genoux
reins cambrés
épaules nues
bouche offerte
21:47 Publié dans dessous dessus | Lien permanent | Commentaires (2)
Manifeste des 313
Sortir du tabou du viol.
C'est l'objectif du manifeste « Je déclare avoir été violée » publié dans Le Nouvel Observateur . En France, un viol toutes les 8 minutes se produit, et chaque année 75.000 femmes en sont victimes. Un acte trop banal et massif pour Clémentine Autain. À l'origine du texte, la militante d'Osez le féminisme victime d'un viol à 22 ans est la première signataire.
La honte doit changer de camp
Elles sont pour l'instant 313 femmes à évoquer ce drame. Agées de 18 à 87 ans, issues de toutes catégories socioprofessionnelles, elles ont rejoint l'appel de Clémentine Autain pour dénoncer « le silence massif » qui entoure le viol en France. Seulement une victime sur neuf porterait plainte, explique-t-elle, car « le tabou fait la loi du violeur ».
L'idée de ce manifeste lui est venue à la suite de l'affaire DSK : « Des femmes ont osé parler, le voile s'est un peu levé, je ne voulais pas qu'il retombe. Il faut en finir avec l'hypocrisie des images d'Épinal, le viol est un fait social qu'il faut maintenant prendre à bras-le-corps. »
L'auteur Frédérique Hébrard, la joueuse de tennis Isabelle Demongeot ou encore l'ancienne épouse de l'ex-premier ministre, Marie-Laure de Villepin, font partie des personnalités qui rejoignent le témoignage de ces femmes. « Il est temps de libérer la parole, condition sine qua non pour en finir avec le viol. Nous voulons briser le silence sur ces millions de femmes violées. Je déclare que je suis l'une d'elles. Je déclare avoir été violée. Le dire publiquement, ensemble, est un acte politique », écrivent-elles.
Un cri d'alarme
En France, contrairement aux idées reçues, 80% des viols sont commis par un proche de la victime. La militante de la gauche radicale a lancé un appel aux pouvoirs publics sur Europe1.
« Il faut que les pouvoirs publics entendent notre cri d'alarme et soient capables d'accompagner le personnel de justice, les professionnels de la police, de les former et de faire en sorte qu'il y ait un grand mouvement d'éducation populaire dans la société pour changer le regard sur le viol. »
« Ce n'est que le début d'un combat qui doit être mené », a-t-elle insisté. Le 25 novembre aura lieu la Journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes.
21:37 Publié dans c'est la vie | Lien permanent | Commentaires (0)
21 novembre 2012
Mathieu Maillefer
je ne vous ai pas parlé de l'illustrateur qui a réalisé la couverture de mes deux tomes des "Quatre filles au soleil" parus aux éditions Oskar (Oslo) : Mathieu Maillefer.
j'aime vraiment beaucoup les quatre "nanas" qu'il a créées pour ma série et je ne l'ai pas assez dit.
cet illustrateur a bien des talents que je vous invite à aller découvrir.
j'ai omis d'en parler jusqu'à présent, voilà chose réparée.
22:46 Publié dans mes ouvrages | Lien permanent | Commentaires (1)
sensualité
pulpeuse
sensuelle
enroulée
embarquée
22:40 Publié dans dessous dessus | Lien permanent | Commentaires (2)
l'attente
photo Célia Melesville et Maxime Warnier
les mots filent d'un écran au clavier
les moments s'enfilent comme sur un collier
les jours se faufilent dans le monde entier
l'attente se profile loin des cocotiers
22:20 Publié dans lamiendo | Lien permanent | Commentaires (0)
20 novembre 2012
madame butterfly
Madama Butterfly est un opéra italien en trois actes de Giacomo Puccini, livret de Giuseppe Giacosa et Luigi Illica, représenté pour la première fois à La Scala deMilan le 17 février 1904.
21:24 Publié dans c'est la vie | Lien permanent | Commentaires (0)
dansez
"Dansez sur moi dansez sur moi
Qui tourne comme un astre
Etrennez-vous, étreignez-vous
Pour que vos cuirs s'encastrent
Tel un tapis, tapis volant
Je me tapis sous vos pieds
C'est pour vous tous que sur mes doigts
La nuit je compte mes pieds
Dansez sur moi
Dansez sur moi
Dansez sur moi"
Claude Nougaro - "Dansez sur moi"
21:11 Publié dans dessous dessus | Lien permanent | Commentaires (0)
one day
la chanson du moment
21:01 Publié dans lamiendo | Lien permanent | Commentaires (0)
19 novembre 2012
poupée vs nounours
j'adore cette pub !
allez savoir pourquoi...
à cause du "ben nounours", je crois... ou de la couleur de la robe fourreau assortie aux cheveux...
18:30 Publié dans lamiendo | Lien permanent | Commentaires (4)
vengeance
l'homme debout la regarde, hébété.
il ne peut croire qu'elle a vraiment fait ça, sa fille, son bébé, sa toute-petite...
pourtant elle tient le couteau serré dans la main et ne bouge pas, fixant celui qui gise dans son sang, sur le sol carrelé de la cuisine, la gorge tranchée.
Alexandra ne pleure pas, ne frémit pas, ne tremble pas. elle reste juste immobile, l'arme à la main devant le corps allongé.
- il faut faire vite, ils ne doivent rien savoir. sinon, tu risques gros, ma fille.
ça fait onze ans que l'homme reste sourd et aveugle aux souffrances de sa fille, qu'il ne veut se laisser entraîner par ce qu'il croit, onze ans qu'il espère que ce n'est pas si grave, que ça va s'arranger, s'arrêter même.
mais qu'il ne fait rien.
onze ans qu'il laisse sa fille se faire rouer de coups par son connard de mari sans réagir car on lui a appris ça, qu'on ne doit pas se méler de la vie privée des autres, pas entrer dans l'intimité d'un couple, pas se méler de la vie des autres.
sauf que les autres c'était sa fille et que la vérité c'est qu'il avait la trouille de ce grand costaud qui dérouillait sa fille lorsque la porte de leur maison se refermait. qu'il avait la trouille de se tromper, la trouille tout court.
sa fille camouflait les traces de coups sous un maquillage pas toujours bien efficace mais tout le monde faisait semblant d'y croire.
et les années ont passé.
quand elle l'a appelé en début d'après-midi "papa, viens s'il te plait, je n'en peux plus, aide-moi, il va finir par me tuer, tu sais..." il a compris qu'il était temps.
temps de bouger, de la défendre, de sortir de sa trouille...
mais trop tard !
il est arrivé aussi vite qu'il a pu à la rescousse de sa fille mais il a découvert cette scène de crime.
il se souvient avec tendresse d'Alexandra quand elle était petite, il la prenait sur ses genoux et elle lui lisait ses livres de contes préférés, des histoires de princesses aimées par le prince charmant, heureuses et comblées...
il n'a pas su la protéger contre le mmonstre qu'elle a épousé. il l'a abandonnée, seule avec son désarroi...
il retire le couteau de sa main glacée en prenant soin de se munir d'un torchon pour ne pas laisser d'empreintes...
il le place dans la main de l'homme ignoble qui git par terre et, dans un geste un peu brusque, déloge sa fille de là.
désormais il ne la laissera plus jamais en danger.
c'est sa fille, son bébé, sa toute-petite...
Alexandra Lange était jugée depuis mercredi pour avoir, dans la nuit du 18 au 19 juin 2009 à Douai, tué son époux, qui la battait depuis onze ans, d'un coup de couteau à la gorge. A ses côtés dans le box des accusés, Marc, son père, jugé pour avoir avoir placé un couteau dans la main de son gendre mort, dans l'espoir d'atténuer les charges contre sa fille.
18:23 Publié dans un peu de moi | Lien permanent | Commentaires (4)
rapsodie sur canapé
(c) photo volée sur le FB de johanna.krowicz
ABCD elle a décidé de céder
EFG le corps nu le désir léger
HIJKL elle rampe sur le cuir, sensuelle
MNOPQ elle sent la chaleur sur sa peau nue
RSTU elle s'abandonne au plaisir, perdue
VWYZ trop tard pour demander l'aide !
18:07 Publié dans dessous dessus | Lien permanent | Commentaires (0)
18 novembre 2012
avertissement
mon fils est fan de ces BD de Lucyen ("la Horde" de Nico et Sanz) et ce strip-là, je le trouve juste exprès pour moi...
19:02 Publié dans lamiendo | Lien permanent | Commentaires (0)
a long way
ne plus avoir aucune retenue
une route longue, foncer dessus
avec envie, ébouriffer ses cheveux
laisser pétiller ses yeux
18:38 Publié dans dessous dessus | Lien permanent | Commentaires (0)
affiche au mur
je n'aime pas vraiment ce que fait ce groupe mais là, cette chanson me hante :
18:27 Publié dans un peu de moi | Lien permanent | Commentaires (0)
15 novembre 2012
que ça brille !
pétard ! entre ses yeux toujours pétillants, son anneau de pirate des Caraïbes toujours aussi brillant, son sourire de jeune premier, pas une ride le bougre, et ses muscles toujours autant boursouflés, je suis étonnée de voir que Monsieur Propre est né la même année que moi.
comme quoi, de faire le ménage ça conserve parce que franchement, il encaisse bien ses 45 ans.
j'aurais du m'appliquer plus avec l'éponge et la serpillière. ça m'apprendra à vouloir jouer les femmes modernes... elles ne le disaient pas assez les vieilles du coin que c'était-y pas une honte de délaisser ses fourneaux et son p'tit mari pour s'en aller jouer les coquettes dans des bureaux à 50 étages ???
elles le disaient non que la place d'une femme c'était dans sa cuisine, tablier autour de la taille, bigoudis sur le crâne ??
ben voilà si j'avais écouté, je serais aujourd'hui rutilante comme un sou neuf, sourire Colgate et menton toujours volontaire.
quand je serai grande, je veux être produit de nettoyage, na !
23:31 Publié dans lamiendo | Lien permanent | Commentaires (7)
jeudi oui merci...
le lundi c'est reparti
le mardi c'est ra-vi-o-li
le mercredi, jour de folie
le jeudi c'est loin d'ici
le vendredi c'est presque fini
le samedi c'est tout permis
et le dimanche jour de chance...
23:10 Publié dans dessous dessus | Lien permanent | Commentaires (0)