20 février 2011
princesses
mon prochain projet se fait en duo avec cette illustratrice : June Leeloo
si c'est pas girly, ça !!
14:12 Publié dans mes ouvrages | Lien permanent | Commentaires (1)
Bruxelles 2011
me voilà de retour de 4 jours à Bruxelles...
des livres, des rencontres, des restau et du bon vin... que bonita es...
14:01 Publié dans les salons où je vais | Lien permanent | Commentaires (0)
16 février 2011
duo-love
avec ça, si les jeunes ne comprennent rien, c'est un comble !
09:28 Publié dans littérature | Lien permanent | Commentaires (0)
Afrique...
l'article est un peu long, mais très intéressant... je me musèle depuis quelque temps mais là, je voulais vous proposer ça :
"Tripoli, Libye - La vague des protestations qui a secoué depuis près de deux mois la Tunisie, puis l’Egypte, ont clairement révélé l'impuissance de l’Etat-Providence à venir à bout des problèmes sociaux que les populations rencontrent dans leur vie quotidienne. Le chômage, la famine, la pauvreté, le manque de justice sociale, la marginalisation, la corruption et d’autres maux sociaux, poussés à leur paroxysme, au nom d’un certain libéralisme, ne peuvent conduire qu’à l’explosion sociale qu’ont connue la Tunisie et l’Egypte.
Les Etats du Tiers-Monde, aussi bien que ceux du monde industrialisé, ne sauraient être à l’abri de ces problèmes de l’heure, sans une reforme politique mettant l’Homme au centre de leurs préoccupations.
Mais que peuvent les dirigeants arabes et africains, face à ces soulèvements populaires qui réclament, au prix de vies humaines, un 'changement' que désormais les micronationalismes ne sauraient s’offrir le luxe d’entretenir, hors des exigences de la globalisation dont les grands blocs socio-économiques ne cessent de démontrer le bien-fondé ?
La rue a certes mis en déroute en Tunisie comme en Egypte, deux régimes dont la politique anti-démocratique, pour avoir muselé toute velléité de libre expression au sujet des maux qui gangrenaient la société, n’avait réussi qu’à repousser l’échéance et favoriser l’autre forme d’expression, plutôt explosive, de rancoeurs longtemps comprimés.
Zine El Abidine Ben Ali et Hosni Moubarak partis, l’euphorie des premiers instants de la « libération » consommée, il va falloir revenir à la réalité et s’interroger sur la capacité de ces pays et de leurs nouveaux dirigeants à réduire le fossé tant décrié entre les riches et pauvres, satisfaire les besoins en logements, en soins de santé et résoudre l’équation produits alimentaires dont les prix ne cessent de flamber au niveau mondial.
Des observateurs de la vie politique africaine se demandent si la liberté d’expression retrouvée, l’accès à l’Internet, aux tweeters, aussi bien que la liberté d’association avec sa longue liste de partis d’opposition pourront faciliter le dialogue et le consensus autour des meilleurs moyens de réduire la file des chômeurs, nourrir les affamés, sans qu’il soit besoin de retourner de nouvelles fois à la rue.
En Tunisie et en Egypte, comme dans tout pays d’Afrique, l’ère de l’Etat-providence, autant que celle du microétat, semble révolue. Elle relance le débat au sujet de l’intégration arabo-africaine qui, à l’instar des autres blocs socio-économiques européennes, américaines et asiatiques, apporte l’appui nécessaire aux démembrements les plus fragiles, en faisant sien l’adage populaire selon lequel « l’Union fait la force ».
La leçon est si cinglante que l’on se rend à l’évidence, souvent trop tard, qu’un continent uni et solidaire vaut mieux qu’un allié puissant, et qu’aujourd’hui, plus qu’auparavant, les relations internationales sont fonction des intérêts en jeu.
Les chefs d’Etat égyptien et tunisien l’auront appris à leur dépens, au regard de la manière dont leurs relations avec les Etats-Unis ont tourné court, au plus fort de la crise qui a secoué leurs régimes respectifs.
De nombreux observateurs estiment que le président tunisien déchu, Zine El Abidine Ben Ali n’a pu être sauvé par les excellentes relations qu’il entretenait avec les administrations américaines depuis 23 ans passés à la tête de l’Etat ni par ses services rendus plusieurs années avant son accession au pouvoir en Tunisie.
Le même scénario s’est répété en Egypte, mais sous une forme quelque peu compliquée, eu égard au poids prépondérant de l’Egypte et à son rôle stratégique au Moyen-Orient et dans cette région arabe en proie à l’agitation.
Mais à Tunis comme au Caire, il s’agit pour les puissances étrangères de s’assurer les faveurs des nouveaux dirigeants, dans le prolongement des intérêts stratégiques que confèrent leurs relations avec ces deux pays.
L’exercice n’est pas si aisé, à observer de près les sorties de certains Etats islamiques qui, comme l’Iran de Mahmoud Ahmadinejad, brandissent la menace d’opérer une réelle mutation des rapports de force au sein du Moyen-Orient."
09:01 Publié dans c'est la vie | Lien permanent | Commentaires (0)
l'amour en livres
pour continuer dans la thématique romantique, j'ai trouvé quelques titres évocateurs que je vous glisse ici :
Antonio José Bolivar Proano est le seul à pouvoir chasser le félin tuer d'hommes. Il connaît la forêt amazonienne, il respecte les animaux qui la peuplent, il a vécu avec les Indiens Shuars et il accepte le duel avec le fauve. Mais Antonio José Bolivara découvert sur le tard l'antidote redoutable venin de la vieillesse : il sait lire, et il a une passion pour les romans qui parlent de l'amour, le vrai, celui qui fait souffrir.
Partagé entre la chasse et sa passion pour les romans, le vieux nous entraîne dans ce livre au style naïf et plein de charme dont le souvenir ne nous quitte plus.
Prix France Culture étranger 1992 et Prix Relais H du roman d'évasion 1992.
Alors que le Festival d'Avignon 2003 s'enlise dans la grève des intermittents, une actrice célèbre retrouve sa ville natale, après dix ans d'absence. Elle y a vécu un amour passionnel avec le directeur d'un théâtre du festival off, qu'elle a quitté pour faire carrière. Ce dernier met en scène une pièce d'un auteur inconnu, sorte de poète maudit décédé dans des circonstances obscures...
Après "Les Déferlantes", qui lui a amené la consécration (Prix des lectrices de Elle 2009), Claudie Gallay explore avec toujours autant de singularité les mystères enfouis au creux de chaque vie.
On siffle sa première pièce ? Musset s'en moque, il publiera les autres pour son seul plaisir, insouciant d'aucune règle, sauf celle de ses caprices et de sa fantaisie douloureuse et si légère. Ce sera son «spectacle dans un fauteuil». C'est pourquoi on ne cessera jamais de jouer ses comédies et proverbes. Dans quel rêve, quel château, quel parc mélancolique sommes-nous ? Le jeune seigneur Perdican devrait y épouser sa cousine Camille, mais en un instant il décide d'aimer une jeune bergère. Soudain dédaignée, Camille, qui ne croyait pas à l'amour, connaît le dépit, la jalousie, l'égoïsme de la passion. Autour d'eux, s'agitent des personnages fantoches d'une cocasserie irrésistible.
Dans ce théâtre féerique, on se croise, on se déchire, on s'ennuie, on croit que tout est vain, on triche, on se désire, on souffre jusqu'à en mourir. Comme dans la vie.
Le charme de Marivaux réside dans une alliance unique de cruauté et de grâce, de tristesse et de gaieté profondes.
Mais le marivaudage, qui évoque le badinage, le duel amoureux pour rire, le ballet sentimental, n'existe dans aucune de ses pièces. Rien de plus précis, inflexible, réaliste, que son regard sur les mouvements et les intermittences du c?ur humain et de l'amour, dont il connaît tous les sentiers, toutes les méprises, toutes les ruses. A vrai dire, le hasard tient peu de place dans cette comédie où Silvia, pour éprouver la sincérité de son fiancé Dorante, se fait passer pour sa servante Lisette, tandis que Dorante fait de même avec son valet Arlequin.
Et voilà l'amour à l'épreuve de la méfiance, du préjugé social, de la timidité, de l'hésitation, du sourire et des larmes. Rien n'a changé.
L'invention du mariage d'amour devait répondre aux malheurs du mariage classique : rétablir l'égalité entre époux, privilégier le sentiment sur l'obligation. Mais depuis une quarantaine d'années, la nuptialité décline, le divorce explose, le célibat s'étend, les familles monoparentales se multiplient. Nul besoin de se marier désormais pour vivre ensemble ou avoir des enfants. Comment expliquer cette désaffection alors que l'idéal du couple reste entier ? Sommes-nous si sûrs que le mariage d'intérêt n'a pas d'avenir ?
Lui un peu voyou, elle un peu bêcheuse, ces deux bambins qui totalisent moins de vingt-trois printemps vont se rencontrer, se flairer, se reconnaître et vivre dans l'incompréhension générale ce qu'il est légitime d'appeler un grand amour...
Tout quitter pour ouvrir la librairie de ses rêves, voila le pari fou que fait Emma, une milanaise énergique et romantique, à l'aube de ses cinquante ans. Unique en son genre, la librairie Rêves&Sortilèges, spécialisée dans les romans d'amour, devient le lieu de rendez-vous des cœurs brisés, amoureux ou solitaires passionnés. Et c'est justement entre les rayons « Pour l'éternité » et « A corps libres » qu'Emma va retrouver Federico, son flirt de jeunesse. Marié, il vit aujourd'hui à New-York. Pourtant une correspondance secrète s'établie entre les anciens amants qui, au fil des jours, vont réapprendre à se connaître et à s'aimer. Un roman hors normes, vibrant hommage au pouvoir des mots et de la littérature.
et bien d'autres encore... n'hésitez pas... partagez...
08:49 Publié dans littérature | Lien permanent | Commentaires (1)
15 février 2011
photo
elle regarde la photo comme si celle-ci appartenait à ses souvenirs. les deux fillettes ne sont pas les siennes, et pourtant... moment volé de bonheur partagé. deux billes rondes et noires d'un côté, grand sourire hilare de l'autre. deux fillettes soutenues par un homme présent, solide, tout en confiance.
l'homme est là, placé derrière.
il est plus jeune que dans ces clichés à elle.
elle a l'impression de l'avoir connu ainsi. que déjà à cette époque ils s'aimaient. ses yeux fixent l'objectif et elle y lit une vie en demi-teinte. cette même vie qu'elle croisera plus tard. Lisiane regarde la photo et elle sait qu'elle a toujours aimé cet homme. même si les fillettes ne sont pas les siennes.
sa bouche semble murmurer un message. peut-être est-ce pour cela qu'une des fillette rit. rit aux éclats. elle y devine un message où il dit qu'il l'attend. qu'il saura l'attendre. qu'un jour, ils seront deux, unis, ensemble.
Lisiane voit les mains de l'homme et reconnait celles qui se posaient sur son corps. rondes, douces et fortes. elle ne sait plus pourquoi cette photo est là devant elle, ou plutôt si, elle le sait si bien. elle ferme le livre, ferme les yeux, ferme l'histoire. ça, c'était avant.
avant.
avant.
15:16 Publié dans un peu de moi | Lien permanent | Commentaires (1)
Mes petits albums
reçu ces petits fascicules couverture souple, 3 histoires à l'intérieur, reprise des histoires de fées et de princesses qui ont eu tant de succès !
à 2,50 euros le fascicule, c'est tout mimi...
15:06 Publié dans mes ouvrages | Lien permanent | Commentaires (2)
again...
va falloir que j'arrête avec la semaine "love" sinon ça va finir en année, mais là, impossible de résister :
c'est toujours de Mila Marquis... oui oui !
14:58 Publié dans c'est la vie | Lien permanent | Commentaires (1)
14 février 2011
Lettrine
le numéro de février de La Lettrine est en ligne... avec une nouvelle de Babelle... si si ! allez vite le consulter !
09:23 Publié dans littérature | Lien permanent | Commentaires (5)
Saint-Valentin
pour tous les amoureux, et j'espère qu'ils sont nombreux !!
(c) Marie-Pierre Emorine
09:09 Publié dans c'est la vie | Lien permanent | Commentaires (0)
13 février
hier mon Hautetfort ne fonctionnait pas alors avec un jour de retard, je dépose juste une goutte d'absolu pour souhaiter un "tout merveilleux anniversaire"...
après tout, on est la St-Valentin aujourd'hui...
08:23 Publié dans un peu de moi | Lien permanent | Commentaires (1)
11 février 2011
c'est quoi ?
en plein dans le mille !
10:08 Publié dans littérature | Lien permanent | Commentaires (1)
10 février 2011
aussi...
et ça, c'est spécialement pour Anne... euh moi aussi.. et toutes les filles !
si ! l'amour c'est ça aussi ! l'envie...
17:30 Publié dans c'est la vie | Lien permanent | Commentaires (4)
romantic love
je ne sais pas pourquoi mais ce que fait cette Mila Marquis, ça me plait vraiment...
17:27 Publié dans c'est la vie | Lien permanent | Commentaires (7)
09 février 2011
amours d'illustrations
et les histoires pour enfants, parlent-elles d'amour ?
(pioché ça et là...°
(c) Mila Marquis
(c) Laure Philipon
... (c) Anne Cresci
14:52 Publié dans littérature | Lien permanent | Commentaires (0)
love paint
et en peinture, l'amour ça donne quoi ?
voilà quelques toiles sur le sujet :
Adam et Eve de Tamara de Lempicka
La vie, l'amour de Pablo PIcasso
le fameux Baiser de Gustave Klimt
ou le même de Théodore Guericault :
celui-là, je l'adore :
Pluie d'amour de Géraldine Cornière
et bien d'autres encore... des suggestions ??
14:02 Publié dans c'est la vie | Lien permanent | Commentaires (4)
08 février 2011
toi
Volo
"tu es"- Jours heureux (2007)
On est tout en partage
Grand ciel bleu sans aucun nuage
On se connaît tout en douceur
On se promet tout en couleur
Je suis, je parais souvent trop sûr
Tu es tout ce qui me rassure
Tu es ce qui peut me tuer
Ce qui peut me tuer{x13}
On est tout en échange
Tout ce qu’on est se mélange
Nos odeurs, nos caresses
Notre sueur tout en tendresse
Nous sommes, on le sait, tout en blessures
Tu es tout ce qui me rassure
Tu es ce qui peut me tuer
Ce qui peut me tuer{x13}
14:02 Publié dans c'est la vie | Lien permanent | Commentaires (1)
déclaration
mais, oui, c'est le moment, alors allez-vous vous adonner au plaisir d'écrire une lettre d'amour ?
si cela vous tente, venez vous entrainer ici... j'attends vos messages...
10:51 Publié dans c'est la vie | Lien permanent | Commentaires (1)
Andrée
je vous ai prévenus, semaine thématique sur l'amour...
elle nous a quittés il y a deux jours, et je pense à cette autre "grand-mère" qui s'est endormie aussi si récemment...
alors, voilà un poème d'Andrée Chédid, "Pour tous ceux qui s'aiment" :
Qu'entre leurs mains la rivière s'émerveille
Qu'entre leurs lèvres les souffles soient étoilés
Et la brise prodigue à leur accord
Qu'ils parlent le même langage
Qu'ils partent et puis qu'ils veillent
Surtout qu'ils veillent
Les pièges sont tendus
Jusqu'en leur coeur.
Andrée Chedid.
10:47 Publié dans littérature | Lien permanent | Commentaires (0)
07 février 2011
lettre
"Mon grain de sable,si important,si merveilleux,Mon grain de sable, pareil à une planète d'amour,Mon grain de sable qui prend tant de place en moi,Mon grain de sable qui n'est pas du tout un grain de sable,Un monde, une goutte d'absolu, pas un grain de sable.(...)Je t'aime.Si fort que si tu étais vraiment un grain de sable je te retrouverais au milieu des dunes du désert juste en me guidant à la boussole de mon âme. Aimantée à la tienne.Je t'aime."
09:31 Publié dans un peu de moi | Lien permanent | Commentaires (3)