12 janvier 2011
tralala
je vous en ai parlé, voilà le magazine avec ma nouvelle à l'intérieur : la lettrine
ceci dit, je vais m'occuper de la rubrique "nouvelles" alors si certains d'entre vous ont envie d'être publiés sur ce magazine, envoyez-moi des nouvelles que vous avez écrites...
et si d'autres veulent me donner avis, impressions, conseils, bienvenus aussi !
11:56 Publié dans littérature | Lien permanent | Commentaires (11)
09 janvier 2011
toile d'araignée
voici de quoi vous mettre l'eau à la bouche (si si !)...
car bientôt vous saurez ce que signifie cette photo...
00:43 Publié dans mes ouvrages | Lien permanent | Commentaires (6)
la lettrine
je voulais vous parler de ce magazine littéraire en ligne : la lettrine culture magazine
c'est nouveau, c'est sincère et ça a l'air intéressant... alors, bon, je vous en parle... dans certains numéros sera glissée une nouvelle que j'ai écrite...
bon, voilà, fallait bien que je sois dans le coup, non ?
00:39 Publié dans littérature | Lien permanent | Commentaires (5)
06 janvier 2011
coeur
envie d'un peu de poésie, tiens, aujourd'hui...
mon coeur... pour toi...
(c'est de Mila Marquis)
11:30 Publié dans c'est la vie | Lien permanent | Commentaires (2)
05 janvier 2011
la nuit
dans le Bambi de ce mois-ci, avec Nancy Delvaux aux illustrations !
12:14 Publié dans mes publications presse | Lien permanent | Commentaires (2)
café
ce cher Nicolas m'a "offert" cette vidéo, rapport à mon besoin vital de café le matin...
alors je vous la glisse là, histoire de partager... en plus tout en dessins... un bonheur !
12:04 Publié dans c'est la vie, un peu de moi | Lien permanent | Commentaires (3)
04 janvier 2011
rêve
ouvre tes poumons et respire
14:37 Publié dans un peu de moi | Lien permanent | Commentaires (1)
carte
j'ai reçu ça hier... et j'adore !
alors je partage... parce que les créations de Mayalen Goust sont toujours un délice...
14:35 Publié dans c'est la vie | Lien permanent | Commentaires (3)
03 janvier 2011
iphone
juste un mot en passant pour prévenir que j'ai changé de téléphone portable et donc de numéro. pas le courage d'envoyer un message à tous pour l'annoncer. si vous voulez le nouveau numéro, contactez-moi...
trop cool, la fille !
10:58 Publié dans c'est la vie | Lien permanent | Commentaires (3)
on trinque ?
Robert Giraud, compagnon de Jacques Prévert et de Robert Doisneau, a composé ce dictionnaire de l'argot de l'ivresse, aux éditions La Table ronde.
de A comme anisette à Z comme zézette, ce dictionnaire est bien un vrai et nous emmène boire un peu de vin, jamais de l'eau... on se retrouve sur le trottoir dans un drôle d'état.
Robert Giraud a passé son temps au comptoir d'un bistrot à écouter ses amis. son dictionnaire est joyeux poétique passionné et il faut le lire sans modération...
10:56 Publié dans littérature | Lien permanent | Commentaires (2)
02 janvier 2011
voeux
on y est... en 2011... et je ne vous ai rien souhaité...
j'ai encore quelques jours...
alors...
que votre vie tourne rond cette année, qu'aucune spirale noire ne l'entraine dans un cyclone, que vous avanciez en roue libre, dans un cercle d'amis sincère, auréolés d'une joie quotidienne, rayonnant d'amour...
22:59 Publié dans c'est la vie | Lien permanent | Commentaires (6)
Jim
- comment t'appelles-tu ?, demandait-il.
- tu connais mon nom
- non, ton vrai nom.
- fut un temps je m'appelais Jim.
- non, ce n'est pas ton nom...
et pourtant, mes années collège portaient ce prénom-là... Jim... à cause de ceux-là.... les Stray Cats.
je trouvais Brian très beau mais j'ai utilisé le surnom de Slim Jim. Jim... le batteur.
alors en souvenir de cette période-là...
22:45 Publié dans un peu de moi | Lien permanent | Commentaires (0)
30 décembre 2010
Hessel, le succès
je vous en avais parlé et la nouvelle me rend heureuse :
Avec un tirage de plus de 800.000 exemplaires, "Indignez-vous !" de Stéphane Hessel est devenu, bien plus qu'un succès exceptionnel de librairie, un phénomène de société, une vague de fond qui semble cristalliser le malaise des Français et bien au-delà.
Tiré à 8.000 exemplaires lors de sa sortie le 20 octobre, le livre de Stéphane Hessel, ancien ambassadeur et résistant de 93 ans, caracole depuis en tête des ventes, devançant le Goncourt de Michel Houellebecq.
"La demande s'amplifie encore, nous lançons un nouveau tirage de 300.000 exemplaires pour atteindre maintenant plus de 800.000", se réjouit Jean-Pierre Barou, qui dirige avec Sylvie Crossman la petite maison d'édition Indigène, qu'ils ont fondée en 1996 à Montpellier.
Cet opus de 24 pages, vendu 3 euros, "est très critique vis-à-vis du gouvernement et a rencontré l'indignation d'une grande partie des Français. C'est un cri de ralliement dû à un sursaut moral, presque un nouvel Appel du 18 juin !", s'enflamme-t-il.
"C'est exceptionnel, sans précédent, bien au-delà d'un succès de librairie. C'est un phénomène de société, une vague de fond, le message qu'attendaient les Français", dit à l'AFP cet ancien militant de la Gauche prolétarienne qui a participé à la fondation du quotidien Libération avant de devenir éditeur au Seuil.
"Vive les citoyens et les citoyennes qui savent résister !", lance Stéphane Hessel dans des voeux pour 2011 publiés jeudi par Mediapart. "N'attendons pas. Résistons à un président dont les voeux ne sont plus crédibles", déclare-t-il.
L'effet Hessel dépasse largement les frontières de l'Hexagone. Son éditeur reçoit des appels du monde entier et des traductions sont en projet avec la Slovénie, l'Italie, le Liban, la Corée du sud, le Japon, les Etats-Unis.
Pour le philosophe et sociologue Edgar Morin, "c'est le réveil public d'un peuple qui était jusqu'à présent très passif".
Bientôt centenaire mais indigné comme à vingt ans, Stéphane Hessel dénonce dans son livre l'écart grandissant entre les très riches et les très pauvres, le traitement fait aux sans-papiers et aux Roms, la dictature des marchés financiers, les acquis bradés de la Résistance comme la Sécurité sociale et les retraites.
Justement, les manifestations contre la réforme des retraites, le malaise des enseignants, des salariés, les multiples formes de la désobéissance civile : "tout cela marque un climat dans lequel ces vingt pages simples mais relativement fortes sont reçues comme un message d'espoir", analyse l'auteur dans un entretien récent aux Inrocks.
"Ce qui me redonne un peu d'espoir, c'est la façon dont la gauche française retrouve un certain souffle", ajoute-t-il.
Pour Jean-Pierre Barou, "l'indignation de Stéphane Hessel passe par la raison, elle n'est pas épidermique comme celle d'un Eric Cantona et son appel à vider les banques".
"Ce livre arrive à un moment où les gens attendaient un guide, un message. Ce qu'il dit, c'est tout n'est pas foutu, il faut réagir !", dit Jean-Marie Sevestre, patron de la librairie Sauramps à Montpellier, qui vend "de 300 à 400 exemplaires du livre par jour".
Né en 1917 à Berlin, naturalisé français en 1937, Stéphane Hessel a été résistant, déporté, membre du Conseil national de la Résistance et l'un des rédacteurs de la Déclaration universelle des droits de l'homme de 1948. Il est le fils d'Helen Grund-Hessel, héroïne du roman Jules et Jim.
Il a soutenu Michel Rocard en 1985, s'est présenté l'an dernier sur les listes d'Europe Ecologie et soutient aujourd'hui Martine Aubry, dont il est un ami, et qui a lu son livre avec intérêt.
19:04 Publié dans littérature | Lien permanent | Commentaires (6)
29 décembre 2010
hometown
mon plaisir musical du moment... cette jeune femme est une merveille...
20:07 Publié dans c'est la vie | Lien permanent | Commentaires (2)
petits mouchoirs
je le sais vivre dans la pinède sudiste a des avantages et des inconvénients.
dont celui d'avoir souvent un train de retard. là, vous me direz, c'est carrément une Micheline... soit !
mais j'ai enfin pu voir "Les petits mouchoirs" de Guillaume Canet et j'en suis restée "retournée"...
certaines scènes en rappellent d'autres et la force du scénario est incroyable.
11:07 Publié dans c'est la vie | Lien permanent | Commentaires (10)
pas lire
il y a plus d'un an je m'interrogeais en duo sur la raison de l'écriture. pourquoi écrit-on ? était la question à laquelle j'essayais de répondre à deux.
aujourd'hui je souris en voyant cet essai... on écrit pour être lu. mais pourquoi lire ?
Pourquoi lire ? C'est le titre du nouvel essai de Charles Dantzig, l'homme qui pose les questions auxquelles on n'a pas pensé. Il y a quelques années, il avait surpris son monde avec A quoi servent les avions ? (éd. Les Belles Lettres), un recueil de poèmes. Il y répondait en partie, mais, là, il botte en touche. "Lire ne sert à rien. C'est bien pour cela que c'est une grande chose. Nous lisons parce que ça ne sert à rien" (p. 235). Le lecteur est bien avancé, dira-t-on. Mais ce n'est pas le problème. La saveur de ce petit traité est ailleurs, dans la manière qu'a Dantzig de ferrer le sujet, celle qui a fait la réputation de son Dictionnaire égoïste de la littérature française (2005).
Reprenons la question : pourquoi lire de la littérature - puisque sont exclus les manuels, traités et ouvrages destinés à l'acquisition d'un savoir ? L'inspecteur Dantzig mène l'enquête piano. Question de tempérament. Il est du genre procédurier, il en avait donné un aperçu avec son Encyclopédie capricieuse du tout et du rien (Grasset, 2009), où il dressait sur 800 pages des listes en tous genres, de celle des nuages à celle des fessées perdues. Il procède par élimination, en soumettant la lecture à la question. Lit-on pour soi, pour les titres, pour le vice, ou pour la jouissance... ? Par amour, par haine (celle des "écrivains jaloux de leurs confrères et [des] critiques jaloux de tout le monde")...? En avion, à la plage, à voix haute... ? Lit-on pour se contredire, se faire des amis, se masturber, se consoler, se réveiller d'une anesthésie... ? Lit-on pour dépasser la moitié du livre, tel un cycliste atteignant le col dans une épreuve de montagne - avec les deux tomes de 1 000 pages de L'Homme sans qualités, de Musil, en doublure de l'ascension du Galibier ? "Et, patiemment, lentement, rageusement, on grimpe vers la moitié, en se disant que, après, la descente sera plus facile [...] Plus que soixante pages !... Cinquante-neuf !..."
Si, en ouvrant ce livre, on ne sait pas pourquoi on lit - en particulierPourquoi lire ? - on se fait vite une raison : pour le plaisir de la digression. Charles Dantzig est le genre d'homme à ne pas suivre la direction qu'il a indiquée. Chauffeur de taxi, il se serait retrouvé sur la paille ; écrivain, il a de beaux jours devant lui. Un exemple ? Un auteur, écrit-il, a son salut assuré si un lecteur retient l'une de ses phrases, "une seule, qui contiendra toutes les autres dans sa mémoire et l'aidera à entretenir un intérêt, une affection, une possibilité de relecture". De là, l'essayiste bifurque sur la nature de la maxime, "essence" de l'écrivain, mais aussi "cartouche" utilisée pour tirer à vue sur "l'homme", sujet de prédilection de l'auteur de maximes, un type qui a en général "mal réussi sa vie", dans le genre de La Rochefoucauld (soldat raté), de Vauvenargues (loser sous la Fronde) et de Chamfort (né roturier dans un siècle aristocrate). Conclusion de Dantzig, après tous ces méandres dignes de la fameuse route de Birmanie : "On appelle ces auteurs des moralistes. Voilà pourquoi on ne les trouve qu'en France, le pays des moeurs qui jugent. Pire, qui concluent. Un Français est un homme qui cherche à savoir qui couche avec qui afin d'en déduire des causes."
Voilà pourquoi Dantzig est grand. Et drôle. Il a dû être jongleur dans une autre vie. Son péché mignon, ce sont les formules. Il aime celle des autres ("La nuance, ennemie de la finesse", Balzac), mais il préfère sans doute les siennes, et il en a de bonnes : "Des phrases courtes, ma chérie... De qui est-ce déjà ? Fouquier-Tinville à Marie-Antoinette ?" Artisan tous corps de métier, il ne se contente pas de bons mots, il fait dans les collages, les montages, l'insertion de tableaux (Picasso, Magritte, Harold Knight), de photos (John Wayne, Pasolini, Sharon Stone - exhibant son sexe dans Basic Instinct...). Il invente des catégories - avis aux libraires - par exemple, les livres à ne pas lire "quand on a perdu son emploi depuis des années dans un pays à forte inflation", avec au premier rang un best-seller allemand : Mein Kampf.
Cet homme n'est jamais en repos. Le titre de son prochain essai, c'est sûr, sera "Pourquoi vivre ?" Il a déjà une citation en réserve, page 81 : "Nous ne vivons jamais, mais nous espérons de vivre, et nous disposant toujours à être heureux, il est inévitable que nous ne le soyons jamais" (Pascal).
et vous pourquoi lisez-vous ? donnez-moi vos raisons et vos déraisons...
10:55 Publié dans littérature | Lien permanent | Commentaires (1)
28 décembre 2010
chut !
silence tant que revient le calme
si lent ce temps pour que revienne le calme
douceur du vent
danseur pour vous
sérénité des jours
serrée ni tes jours ni tes nuits
nuisible cette vie partagée
paisible cette nudité âgée
repos de l'âme
repas de l'homme
silence en émoi
si lancinante en moi
l'envie de calme de doux de chaud
chou
dos
clame : silence !
chut !
18:33 Publié dans un peu de moi | Lien permanent | Commentaires (1)
Adèle
hum...
14:36 Publié dans c'est la vie | Lien permanent | Commentaires (0)
27 décembre 2010
mystère...
et si c'était la photo de mon prochain roman ado à venir aux éditions Kirographaires ???
vous en pensez quoi ?
13:17 Publié dans mes ouvrages | Lien permanent | Commentaires (5)
pause
pause
appose
repose
pose-toi
dépose-moi
opposé
oser…
…se poser
pause
dispose
dis…
… ne suppose pas
s'imposer
s'exposer
postiche
pause ? chiche ?!
13:13 Publié dans un peu de moi | Lien permanent | Commentaires (1)