Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

12 janvier 2011

tralala

je vous en ai parlé, voilà le magazine avec ma nouvelle à l'intérieur : la lettrine

ceci dit, je vais m'occuper de la rubrique "nouvelles" alors si certains d'entre vous ont envie d'être publiés sur ce magazine, envoyez-moi des nouvelles que vous avez écrites...

et si d'autres veulent me donner avis, impressions, conseils, bienvenus aussi !

09 janvier 2011

toile d'araignée

voici de quoi vous mettre l'eau à la bouche (si si !)...

car bientôt vous saurez ce que signifie cette photo...

 

Photo0063.jpg

la lettrine

La lettrine Culture magazine

je voulais vous parler de ce magazine littéraire en ligne : la lettrine culture magazine

c'est nouveau, c'est sincère et ça a l'air intéressant... alors, bon, je vous en parle... dans certains numéros sera glissée une nouvelle que j'ai écrite...

bon, voilà, fallait bien que je sois dans le coup, non ?

06 janvier 2011

coeur

envie d'un peu de poésie, tiens, aujourd'hui...

mon coeur... pour toi...

(c'est de Mila Marquis)

05 janvier 2011

la nuit

dans le Bambi de ce mois-ci, avec Nancy Delvaux aux illustrations !

sc0090580f.jpg

 

café

ce cher Nicolas m'a "offert" cette vidéo, rapport à mon besoin vital de café le matin...

alors je vous la glisse là, histoire de partager... en plus tout en dessins... un bonheur !

04 janvier 2011

rêve

69767_171698369527669_100000625219201_403342_599140_n.jpg

 

ouvre tes poumons et respire

tend la main et sens, sous tes doigts ma peau
sous tes doigts mon plaisir mes humeurs ma sueur
ouvre tes yeux et découvre
le sourire sur mes lèvres sur les joues sur mon coeur
laisse les odeurs de terre envahir tes narines les odeurs de mer de nous de chair de vie
tend ton âme et sens la vie qui palpite
pose tes pieds sur le socle
celui qui ne s'enfonce pas ne tangue pas
le socle qui s'est ébréché mais tient encore
te porte et nous soutient
c'est maintenant que la vie nous attend
maintenant qu'elle nous appelle
ne soyons pas sourds
osons !

carte

j'ai reçu ça hier... et j'adore !

alors je partage... parce que les créations de Mayalen Goust sont toujours un délice...

Voeux2011.jpg

03 janvier 2011

iphone

juste un mot en passant pour prévenir que j'ai changé de téléphone portable et donc de numéro. pas le courage d'envoyer un message à tous pour l'annoncer. si vous voulez le nouveau numéro, contactez-moi...

trop cool, la fille !

on trinque ?

Robert Giraud, compagnon de Jacques Prévert et de Robert Doisneau, a composé ce dictionnaire de l'argot de l'ivresse, aux éditions La Table ronde.

 

de A comme anisette à Z comme zézette, ce dictionnaire est bien un vrai et nous emmène boire un peu de vin, jamais de l'eau... on se retrouve sur le trottoir dans un drôle d'état.

Robert Giraud a passé son temps au comptoir d'un bistrot à écouter ses amis. son dictionnaire est joyeux poétique passionné et il faut le lire sans modération...

02 janvier 2011

voeux

on y est... en 2011... et je ne vous ai rien souhaité...

j'ai encore quelques jours...

alors...

SDC14695.JPG

que votre vie tourne rond cette année, qu'aucune spirale noire ne l'entraine dans un cyclone, que vous avanciez en roue libre, dans un cercle d'amis sincère, auréolés d'une joie quotidienne, rayonnant d'amour...

 

Jim

- comment t'appelles-tu ?, demandait-il.

- tu connais mon nom

- non, ton vrai nom.

- fut un temps je m'appelais Jim.

- non, ce n'est pas ton nom...

et pourtant, mes années collège portaient ce prénom-là... Jim... à cause de ceux-là.... les Stray Cats.

je trouvais Brian très beau mais j'ai utilisé le surnom de Slim Jim. Jim... le batteur.

alors en souvenir de cette période-là...

30 décembre 2010

Hessel, le succès

je vous en avais parlé et la nouvelle me rend heureuse :

 Avec un tirage de plus de 800.000 exemplaires, "Indignez-vous !" de Stéphane Hessel est devenu, bien plus qu'un succès exceptionnel de librairie, un phénomène de société, une vague de fond qui semble cristalliser le malaise des Français et bien au-delà.

Tiré à 8.000 exemplaires lors de sa sortie le 20 octobre, le livre de Stéphane Hessel, ancien ambassadeur et résistant de 93 ans, caracole depuis en tête des ventes, devançant le Goncourt de Michel Houellebecq.

"La demande s'amplifie encore, nous lançons un nouveau tirage de 300.000 exemplaires pour atteindre maintenant plus de 800.000", se réjouit Jean-Pierre Barou, qui dirige avec Sylvie Crossman la petite maison d'édition Indigène, qu'ils ont fondée en 1996 à Montpellier.

Cet opus de 24 pages, vendu 3 euros, "est très critique vis-à-vis du gouvernement et a rencontré l'indignation d'une grande partie des Français. C'est un cri de ralliement dû à un sursaut moral, presque un nouvel Appel du 18 juin !", s'enflamme-t-il.

"C'est exceptionnel, sans précédent, bien au-delà d'un succès de librairie. C'est un phénomène de société, une vague de fond, le message qu'attendaient les Français", dit à l'AFP cet ancien militant de la Gauche prolétarienne qui a participé à la fondation du quotidien Libération avant de devenir éditeur au Seuil.

"Vive les citoyens et les citoyennes qui savent résister !", lance Stéphane Hessel dans des voeux pour 2011 publiés jeudi par Mediapart. "N'attendons pas. Résistons à un président dont les voeux ne sont plus crédibles", déclare-t-il.

L'effet Hessel dépasse largement les frontières de l'Hexagone. Son éditeur reçoit des appels du monde entier et des traductions sont en projet avec la Slovénie, l'Italie, le Liban, la Corée du sud, le Japon, les Etats-Unis.

Pour le philosophe et sociologue Edgar Morin, "c'est le réveil public d'un peuple qui était jusqu'à présent très passif".

Bientôt centenaire mais indigné comme à vingt ans, Stéphane Hessel dénonce dans son livre l'écart grandissant entre les très riches et les très pauvres, le traitement fait aux sans-papiers et aux Roms, la dictature des marchés financiers, les acquis bradés de la Résistance comme la Sécurité sociale et les retraites.

Justement, les manifestations contre la réforme des retraites, le malaise des enseignants, des salariés, les multiples formes de la désobéissance civile : "tout cela marque un climat dans lequel ces vingt pages simples mais relativement fortes sont reçues comme un message d'espoir", analyse l'auteur dans un entretien récent aux Inrocks.

"Ce qui me redonne un peu d'espoir, c'est la façon dont la gauche française retrouve un certain souffle", ajoute-t-il.

Pour Jean-Pierre Barou, "l'indignation de Stéphane Hessel passe par la raison, elle n'est pas épidermique comme celle d'un Eric Cantona et son appel à vider les banques".

"Ce livre arrive à un moment où les gens attendaient un guide, un message. Ce qu'il dit, c'est tout n'est pas foutu, il faut réagir !", dit Jean-Marie Sevestre, patron de la librairie Sauramps à Montpellier, qui vend "de 300 à 400 exemplaires du livre par jour".

Né en 1917 à Berlin, naturalisé français en 1937, Stéphane Hessel a été résistant, déporté, membre du Conseil national de la Résistance et l'un des rédacteurs de la Déclaration universelle des droits de l'homme de 1948. Il est le fils d'Helen Grund-Hessel, héroïne du roman Jules et Jim.

Il a soutenu Michel Rocard en 1985, s'est présenté l'an dernier sur les listes d'Europe Ecologie et soutient aujourd'hui Martine Aubry, dont il est un ami, et qui a lu son livre avec intérêt.

 

29 décembre 2010

hometown

mon plaisir musical du moment... cette jeune femme est une merveille...

petits mouchoirs

je le sais vivre dans la pinède sudiste a des avantages et des inconvénients.

dont celui d'avoir souvent un train de retard. là, vous me direz, c'est carrément une Micheline... soit !

mais j'ai enfin pu voir "Les petits mouchoirs" de Guillaume Canet et j'en suis restée "retournée"...

certaines scènes en rappellent d'autres et la force du scénario est incroyable.

pas lire

il y a plus d'un an je m'interrogeais en duo sur la raison de l'écriture. pourquoi écrit-on ? était la question à laquelle j'essayais de répondre à deux.

aujourd'hui je souris en voyant cet essai... on écrit pour être lu. mais pourquoi lire ?

 

Pourquoi lire ? C'est le titre du nouvel essai de Charles Dantzig, l'homme qui pose les questions auxquelles on n'a pas pensé. Il y a quelques années, il avait surpris son monde avec A quoi servent les avions ? (éd. Les Belles Lettres), un recueil de poèmes. Il y répondait en partie, mais, là, il botte en touche. "Lire ne sert à rien. C'est bien pour cela que c'est une grande chose. Nous lisons parce que ça ne sert à rien" (p. 235). Le lecteur est bien avancé, dira-t-on. Mais ce n'est pas le problème. La saveur de ce petit traité est ailleurs, dans la manière qu'a Dantzig de ferrer le sujet, celle qui a fait la réputation de son Dictionnaire égoïste de la littérature française (2005). 

Reprenons la question : pourquoi lire de la littérature - puisque sont exclus les manuels, traités et ouvrages destinés à l'acquisition d'un savoir ? L'inspecteur Dantzig mène l'enquête piano. Question de tempérament. Il est du genre procédurier, il en avait donné un aperçu avec son Encyclopédie capricieuse du tout et du rien (Grasset, 2009), où il dressait sur 800 pages des listes en tous genres, de celle des nuages à celle des fessées perdues. Il procède par élimination, en soumettant la lecture à la question. Lit-on pour soi, pour les titres, pour le vice, ou pour la jouissance... ? Par amour, par haine (celle des "écrivains jaloux de leurs confrères et [des] critiques jaloux de tout le monde")...? En avion, à la plage, à voix haute... ? Lit-on pour se contredire, se faire des amis, se masturber, se consoler, se réveiller d'une anesthésie... ? Lit-on pour dépasser la moitié du livre, tel un cycliste atteignant le col dans une épreuve de montagne - avec les deux tomes de 1 000 pages de L'Homme sans qualités, de Musil, en doublure de l'ascension du Galibier ? "Et, patiemment, lentement, rageusement, on grimpe vers la moitié, en se disant que, après, la descente sera plus facile [...] Plus que soixante pages !... Cinquante-neuf !..." 

Si, en ouvrant ce livre, on ne sait pas pourquoi on lit - en particulierPourquoi lire ? - on se fait vite une raison : pour le plaisir de la digression. Charles Dantzig est le genre d'homme à ne pas suivre la direction qu'il a indiquée. Chauffeur de taxi, il se serait retrouvé sur la paille ; écrivain, il a de beaux jours devant lui. Un exemple ? Un auteur, écrit-il, a son salut assuré si un lecteur retient l'une de ses phrases, "une seule, qui contiendra toutes les autres dans sa mémoire et l'aidera à entretenir un intérêt, une affection, une possibilité de relecture". De là, l'essayiste bifurque sur la nature de la maxime, "essence" de l'écrivain, mais aussi "cartouche" utilisée pour tirer à vue sur "l'homme", sujet de prédilection de l'auteur de maximes, un type qui a en général "mal réussi sa vie", dans le genre de La Rochefoucauld (soldat raté), de Vauvenargues (loser sous la Fronde) et de Chamfort (né roturier dans un siècle aristocrate). Conclusion de Dantzig, après tous ces méandres dignes de la fameuse route de Birmanie : "On appelle ces auteurs des moralistes. Voilà pourquoi on ne les trouve qu'en France, le pays des moeurs qui jugent. Pire, qui concluent. Un Français est un homme qui cherche à savoir qui couche avec qui afin d'en déduire des causes." 

Voilà pourquoi Dantzig est grand. Et drôle. Il a dû être jongleur dans une autre vie. Son péché mignon, ce sont les formules. Il aime celle des autres ("La nuance, ennemie de la finesse", Balzac), mais il préfère sans doute les siennes, et il en a de bonnes : "Des phrases courtes, ma chérie... De qui est-ce déjà ? Fouquier-Tinville à Marie-Antoinette ?" Artisan tous corps de métier, il ne se contente pas de bons mots, il fait dans les collages, les montages, l'insertion de tableaux (Picasso, Magritte, Harold Knight), de photos (John Wayne, Pasolini, Sharon Stone - exhibant son sexe dans Basic Instinct...). Il invente des catégories - avis aux libraires - par exemple, les livres à ne pas lire "quand on a perdu son emploi depuis des années dans un pays à forte inflation", avec au premier rang un best-seller allemand : Mein Kampf. 

Cet homme n'est jamais en repos. Le titre de son prochain essai, c'est sûr, sera "Pourquoi vivre ?" Il a déjà une citation en réserve, page 81 : "Nous ne vivons jamais, mais nous espérons de vivre, et nous disposant toujours à être heureux, il est inévitable que nous ne le soyons jamais" (Pascal). 

 

 

et vous pourquoi lisez-vous ? donnez-moi vos raisons et vos déraisons...

 

28 décembre 2010

chut !

silence tant que revient le calme 

si lent ce temps pour que revienne le calme

douceur du vent

danseur pour vous

sérénité des jours

serrée ni tes jours ni tes nuits

nuisible cette vie partagée

paisible cette nudité âgée

repos de l'âme

repas de l'homme

silence en émoi

si lancinante en moi

l'envie de calme de doux de chaud

chou

dos

clame : silence !

chut !

 

Adèle

hum...

27 décembre 2010

mystère...

et si c'était la photo de mon prochain roman ado à venir aux éditions Kirographaires ???

vous en pensez quoi ?

toiledaraignee.JPG

 

pause

pause

appose

repose

pose-toi

dépose-moi

opposé

oser…

…se poser

pause

dispose

dis…

… ne suppose pas

s'imposer

s'exposer

postiche

pause ? chiche ?!

 

33-nu-artistique-15045