Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

18 septembre 2015

le vendredi bricolo-écolo

c'est vendredi... la séance bricolo-écolo...

je ne vais pas vous surprendre, je suis dans les palettes-cagettes en ce moment...

et vivement que j'ai le temps et l'espace pour les décorer, je pense que j'écumerai alors tous les endroits stratégiques du coin...

 

idées de déco meubles-palettes-bois-vert-étagères-cuisine

autre idée : les volets.

je vais en récupérer un paquet et d'après un spécialiste ils ont été coupés à la "lune" (??) donc un truc qui ne se fait plus, un truc de qualité et donc, je vais les garder...

Idée Déco 21 : Les volets

bon, alors dans la famille, on en a vu passer des vélos et je suis devenue légèrement allergique aux cyclistes..

voilà donc une très bonne façon de recycler les vélos mis au clou..

 

je vous rappelle que j'attends toujours vos idées

roue crevée

il me regarde avec un oeil pénétrant.

j'essaie de me souvenir et soudain, ça revient.

la dernière fois que je l'ai vu, si on peut appeler ça "voir", il avait un plâtre sur le nez, qui lui mangeait le visage. un boxeur, peut-être ?

on s'était âprement attrapés pour une place de parking non officielle, devant chez lui ou pas, privilège dans le village ou pas, droit du sol, du pouvoir, prétention malvenue, vanité homme contre femme, cette sensation qu'il se sentait "intouchable" alors qu'il avait dû baisser la garde et se rendre à l'évidence : pour ce coup-là, je l'avais fait plier.

moi, la victoire, je m'en foutais, je refuse les gens qui se croient supérieurs et je l'avais renvoyé dans ses quartiers. petit con, va !

il me regarde, la haine au bord des lèvres et je ricane, idiote et immodeste que je suis, pas du tout impressionnée par sa magnifique Mercedès, par sa gueule de beau gosse (ben oui, là, il n'a plus de plâtre) et sa carrure balèze.

bien mal m'en pris de lui ricaner au pif comme une sale gamine. car, bizarrement, le lendemain matin, je trouvais mon pneu crevé.

juste avant un rendez-vous important, ça tombait mal, bon sang (genre un pneu crevé, ça peut tomber bien !!!). avec mon pantalon blanc et ma tenue soignée, je n'étais pas hyper à l'aise pour filer sous la bagnole à déplacer des roues dégueulasses...

je ne suis pas super forte au jeu du "push" dans le coffre de la voiture pour faire tomber la roue de secours ni dans "je pose l'embout du cric dans l'encoche prévue à cet effet sous la voiture"..

moi non.

mais c'est sans compter sans la comtesse S.

parce que la comtesse S, elle est geolée comme une tige de bambou, elle est sapée avec soin et elle vit une vie de... comtesse.

mais s'il y a un truc qu'elle revendique c'est "se démerder seule".

je l'avais croisée dans une soirée voisins, bien arrosée et on avait discuté une demi-seconde... les comtesses, ça n'a jamais été mon truc...

mais là, quand elle s'approche pour proposer son aide, c'est "oui" sans aucune pensée.

alors, quand elle a eu son permis, elle a fait une formation "je sais changer une roue" auprès de son paternel bienveillant.

la comtesse S prend les choses en mains, donne des consignes au pauvre type qui passait dans le coin pour qu'il nous fasse profiter de ses 85 kilos pour dévisser les écrous et ni une ni deux, elle orchestre mon changement de roue, toutes deux mains noires, mais sourire aux lèvres.

il n'y a pas à dire, il y a des femmes sur cette planète, qui n'ont pas fini de m'impressionner...

 

 

 

haka lumo...

c'est certainement de mon ancêtre de Néandertal que je conserve ce goût "bestial" et "animal" du combat cordial, de la détermination, de la lutte acharnée...

faut être honnête, aussi loin que je remonte dans mes gênes, les femmes de ma lignée avaient toutes la même gnak, même si toutes n'ont pas fait du rugby, de la boxe ou du judo...

alors ce spectacle-là, ça résonne en moi..

à quelques heures de la coupe du monde de rugby, je surkiffe Jonah Lumo et son haka urbain.

hhhhha ! (un clin d'oeil tout tendre pour Txomin !)

 

 

19:28 Publié dans lamiendo | Lien permanent | Commentaires (0)

17 septembre 2015

les mots du malaise : part 5

on en a bientôt fini avec les mots de le discorde, et vous serez bientôt bien équipés pour éviter, affronter ou mettre en route une belle dispute dans votre couple.

le 5e mot est donc : d'accord.

ah, ça j'adore.

"d'accord" ou "ok" j'en use et j'en abuse tant ça a le don de désarmer l'autre qui était parti pour une déferlante digne du Niagara et qui se retrouve avec quelques gouttes perlant d'un robinet mal fermé.

"d'accord" ça ferme toutes les vannes. pas de discussion possible, l'autre entérine les propos lancés brutalement, s'en fout même complètement et ne prend surtout pas la peine de vous démontrer que vous avez tort, ouvrant en grand les portes d'un débat houleux.

"d'accord" et pouf ! le soufflet retombe !

de quoi vous renvoyer, comme un effet boomerang bien orchestré toutes vos critiques si habilement préparées.

- quoi "d"accord" ? mais dis quelque chose.

- ben, d'accord. si tu penses ça, c'est ton droit.

je vous assure, ça fait criser.

dire "d'accord" avec un sourire, tourner les talons et partir en sifflotant, ça vous bousille un conflit en deux-deux.

et hop ! jusqu'au prochain !

 

13:42 Publié dans lamiendo | Lien permanent | Commentaires (0)

l'eau vive

j'ai toujours aimé et fredonné cette chanson et je crois que c'est à cause du béal qui était au fond du jardin de mon grand-père. 

la maison est vendue à présent et Guy Béart est mort, mon grand-père aussi d'ailleurs, mais c'est toujours aussi adorable d'entendre cette chanson.

 

13:36 Publié dans lamiendo | Lien permanent | Commentaires (0)

second chance ?

j'aurais aimé voir ma mère rentrer du travail en combinaison de cuir, casque de moto coincé au coude, cheveux ébouriffés, j'aurais aimé voir la maison emplie de potes de passage, venus boire un verre, gratter un morceau de musique sur leur guitare, et plaisanter avec la petite gamine que j'étais.

les écouter en cachette alors qu'ils me croyaient endormie, parler de politique, d'art, de culture en sirotant de la Vodka ou du rhum..

j'aurais aimé voir ma mère danser dans la cuisine en lançant les cuillères en bois jusqu'au plafond.

j'aurais aimé ne pas sentir la peur, la crainte, la difficulté, le vide.

ado, j'aurais aimé avoir un Dax pour rejoindre mes potes, pouvoir sortir le soir, ne pas douter ni de moi ni de l'autre. avoir le droit de faire du dessin mon travail, dire merde aux garçons malveillants et me sentir suffisamment équilibrée.

j'aurais aimé ne pas me poser autant de questions, ne pas avoir un caractère si rude, ne pas affronter tout comme une guerrière, mettre des fleurs dans mon jardin et de l'eau dans mon moulin. 

j'aurais aimé dire merde aux hommes malveillants et me sentir suffisamment équilibrée.

voilà voilà...

une autre vie, peut-être ?

15 septembre 2015

les mots du malaise : part 4

un grand bravo à Betty qui savait déjà que "laisse tomber" étant dans le dictionnaire amoureux des engueulades du couple.

"laisse tomber" c'est pire que peu importe.

"laisse tomber" connote une certaine agressivité qui n'a rien de la tiédeur d'un "peu importe" qui se manifeste par un tourné de talons et un haussement d'épaules.

"laisse tomber" ça veut dire : mais que tu es nul/le, tu ne comprends décidément rien, je ne vois même pas pourquoi on parle ensemble. ça veut dire "tu m'agaces profondément", ça veut dire "je n'aime pas parler avec toi" et "je suis super en colère contre toi !"..

franchement, ce "laisse tomber" acide et brusque est une vraie bombe, le pire du pire des mots de discorde, l'allumette qui met le feu au poudre, le détonateur, le bouton de la boîte rouge..

22:09 Publié dans lamiendo | Lien permanent | Commentaires (0)

nage synchronisée

cette vidéo est un bonheur, ces nageuses sont des sirènes, à n'en point douter, et leur chorégraphie une pure merveille...

je vous laisse admirer :

21:22 Publié dans lamiendo | Lien permanent | Commentaires (0)

true doll

j'ai envie de vous montrer des choses drôles, insolites, différentes en ce moment, alors, voilà une femme, pas si jeune de ça, qui n'a pas enore guérie son plaisir de petite fille : les poupées.

mais pas celles qui ont des yeux aux rappeuses dans le clips et des bouches en canard à la Cameron Diaz. des poupées qui ressemblent à n'importe quelles gamines "normales".

alors, elles les achète et les transforme.

et je trouve assez "cute", je dois dire...

regardez : (avant/après)

alors qui est cette dame et pourquoi elle fait ça, je m'en moque, mais le résultat est bluffant... no ?

 

21:20 Publié dans lamiendo | Lien permanent | Commentaires (1)

14 septembre 2015

les mots du malaise : part 3

en réponse au commentaire de Betty, voilà donc le 3e mot (un couple de mots) qui peut faire exploser l'ambiance amoureuse entre un homme et une femme :

"peu importe".

ça ressemble au "laisse tomber" de Betty, et c'est une réplique totalement chargée de dédain, mépris, "rien à foutre de ce que tu me racontes", "tu fais toujours des histoires pour rien" "ce qui tu es pénible à chipoter pour des broutilles"...

"peu importe", ça signifie que ce qui agace l'un n'a pas d'importance" pour l'autre, que ce n'est pas la peine de poursuivre la conversation, que le débat est clos, pas de possibilité de continuer, et en plus, tu ne comprendrais pas ce que je pourrais t'expliquer.

après tout, pourquoi pas, quand les mots ne se répondent plus, autant laisser tomber, autant laisser l'autre avec sa colère et ses doutes, autant ne pas envenimer la discussion, la "dispussion" pourrais-je dire.

être entendu, vouloir faire adhérer l'autre à notre point de vue, espérer par là-même le faire changer d'avis, est-ce une bonne façon de faire évoluer les choses ?

je n'en suis pas certaine..

exposer les faits, les dire pour ne pas les garder mais ensuite ? vraiment attendre une approbation, compréhension, acceptation de l'autre ? bof..

peu importe...

10:51 Publié dans lamiendo | Lien permanent | Commentaires (0)

droit d'auteur

"La gratuité c'est le vol".

c'est en ces termes que Richard Malka, avocat de Charlie Hebdo et auteur de bandes dessinées a décliné une plaquette pour le Syndicat national de l'édition, dans ces termes également que Denis Olivennes, grand patron de la Fnac défendait son opposition à une culture gratuite, favorisée par Internet.

Richard Malka s'interroge donc sur le fin du droit d'auteur en 2015, à cause du projet de loi d'Axelle Lemaire et à cause de la réforme de la directive de 2001 régissant le droit d'auteur au sein de l'union européenne.

dans la plaquette on peut lire que : « la remise en cause du droit d’auteur serait un mirage de la modernité »  et « C’est la menace du retour à l’Ancien régime où le bon vouloir du roi est remplacé par celui des grandes entreprises du Net : GoogleAmazonApple. »

 

Richard Malka rappelle que c'est l'émergence à la fin du XVIIe siècle du droit d'auteur qui a permis aux auteurs ou écrivains de vivre de leur plume.

cette plaquette imprimée à un grand nombre d'exemplaire est disponible gratuitement dans les librairies. ça vaudrait le coup de se la procurer...

 

 

12 septembre 2015

les mots du malaise : part 2

je vous ai parlé hier des mots qui fâchent, ces petits mots de rien du tout qui peuvent faire naître dans un couple une onde de colère et d'incompréhension que cela peut amener à la rupture...

le 2e mot est donc "sérieux ?"

demander à l'autre si ce qu'il vient de dire est sérieux, ne même pas le demander mais juste suggérer que vous en doutez avec cette petite question entraîne une réaction de vexation terrible chez celui à qui on la pose.

"sérieux ?" c'est comme "t'okasse" chez les jeunes. d'accord on doute de ce que l'autre vient de dire, mais on ne le prend suffisamment pas au sérieux que poser la question en entier est inutile.

en variante on peut avoir "t'es sérieux/se, là ?", mais là, certainement avec un ton au-dessus, qui laisse pressentir qu'il ne faut pas pousser trop loin mémé dans les orties et accuser la bonne de l'avoir fait.

je pourrais généraliser en écrivant que si une femme qui reçoit un "sérieux ?", la moutarde va monter très vite dans ses narines et il faudra prendre les jambes à son cou pour ne pas vivre l'effet Tsunami.

si c'est adressé à un homme, le retour sera un simple "laisse tomber" qui coupe raide les pieds à toute discorde annoncée.

parce que quand même oui, c'est sérieux, quand il y a un truc qui cloche et qu'on voudrait en parler...

vous me racontez un peu, vos discordes à vous ??? allez !!

 

18:52 Publié dans lamiendo | Lien permanent | Commentaires (1)

Petite dictionnaire... pour amants

aujourd'hui à la journée "tous lecteurs" de La Tour d'Aigues, j'ai acheté un ouvrage un peu particulier..

la couverture avec ces ramages style japonais rose, le nom de l'auteur : Xiaolu Gui et le titre "Petit dictionnaire chinois-anglais pour amants" m'ont attirée.

j'ai déjà commencé à le lire, c'est surprenant et émouvant, intime et réservé...

j'avais envie de vous glisser un extrait (mais il y en a tant qui me plaisent) : 

"En Chine, on dit que des centaines de réincarnations sont nécessaires pour réunir deux personnes dans la même barque. Peut-être es-tu l'homme avec qui je suis réunie dans la même barque. Je n'ai jamais rencontré un homme comme toi avant. Je pense que nous sommes parfaits : tu es assez yin, je suis très yan. Tu es terrien, je suis métal. Tu es un peu mouillé et je suis un peu sèche. Tu es froid et je suis chaude. Tu es vent et je suis feu. Nous sommes accordés. C'est le mutualisme. Chacun profite. Tout cela nous rend des amants efficaces."

 

le langage est approximatif, ce qui amène encore plus de charme à l'écriture.

je suis totalement séduite.

 

bourse aux vélos

une bourse aux vélos, ce n'est pas nouveau, Décathlon en fait régulièrement et ps que..

mais là, c'est sur le Parvis de l'Hôtel de ville à Paris, alors, ça vaut le coup d'en parler.

voilà voilà :

"L’association Mieux se Déplacer en Bicyclette (MDB) a décidé d’organiser la vente géante sur le parvis de l’Hôtel de Ville.

Le concept est simple : si vous voulez vendre un vélo, vous venez le matin entre 10h et 12h et si vous voulez acheter un vélo, vous venez l’après-midi entre 14h et 17h30.

 

Dès 14h, vous pourrez aussi participer à l’opération Bicycode afin de faire marquer votre vélo (n’oubliez pas de venir avec une pièce d’identité). 

 

Vous pourrez aussi en profiter pour faire réparer votre monture grâce à un stand atelier de réparation tenu par l’Atelier Vélorution Bastille."

 

bourse2

 

Bourse aux vélos
Parvis de l’Hôtel de Ville – 4e

Dimanche 20 septembre
De 10h à 17h30
Entrée libre

 

16:18 Publié dans lamiendo | Lien permanent | Commentaires (0)

11 septembre 2015

abîme

il avance en se tenant le bras, une cicatrice barre son visage du côté gauche, son souffle est irrégulier.

en face de lui, elle se rapproche, traînant une jambe estropiée, un corset enserrant son corps trop faible.

ils se sourient. mais ne lâchent rien. 

elle tend sa main et caresse son visage. il ferme les yeux et de sa main valide il entoure sa taille. puis plongeant son nez dans son cou, il respire son odeur.

- je me souviens de ton odeur.

- moi aussi. 

- je me souviens de tes formes.

- je me rappelle ta chaleur et ta force.

elle se tait.

ça ne sert à rien. tout est cassé, abîmé, irréparable. trop d'années, de blessures, de résistance, de manque.

- tu veux une cane ?

elle sourit encore.

- non, je devrais m'en sortir toute seule, va.

il soupire, il aurait bien aimé mais tant pis !

- d'accord !

elle le regarde, doucement.

- quoi que... pourquoi pas ?

 

les mots du malaise : part 1

un article dans le Huffington post révèle qu'il existerait 6 mots à éviter à tout prix entre une femme et un homme qui s'aiment, s'ils veulent rester ensemble. bien sûr, si l'objectif c'est de quitter l'autre, alors, go !

quand on sait que c'est en région PACA que le taux de divorce est le plus important, on peut sourire de cette faconde réputée des méridionaux, cette réputation d'être extravertis si reconnue...

mais quels sont ces mots ?

le premier est : "rien".

ça n'a l'air de rien, "rien", quatre lettres qui normalement signifie une non-existence. mais quand le "rien" répond à "qu'est-ce qu'il y a ?" il est juste une clé à l'amorce d'une dispute qui gronde.

demander "qu'est-ce qu'il y a ?" ne vient que lorsqu'on sent que quelque chose cloche et reste tu. on cherche à gratter là où le silence couvre le mécontentement et en grattant on fait exploser la bombe. "rien" = bombe en attente d'être dégoupillée.

"rien" signifie qu'il y a quelque chose et qu'on attend de l'autre qu'il le devine. mais si la question est posée c'est que non seulement, l'autre a fait quelque chose qui nous déplait mais qu'EN PLUS, il ne sait même pas quoi. la loose totale !

"rien" qui connote "tu n'es même pas capable de t'en rendre compte, alors qu'on est ensemble depuis..."

"rien" qui crache "tu ne vaux même pas la peine qu'on en discute !"

"rien" qui est un immense "tout" de mauvaises ondes, pensées, émotions et qui va créer une belle occasion de laisser exploser notre colère.

si vous voulez sans tricher, deviner les autres mots, je vous en parlerai dans les jours à venir...

20:13 Publié dans lamiendo | Lien permanent | Commentaires (0)

bricolo-écolo

j'ai décidé que la rubrique bricolo-écolo, ce serait le vendredi.

histoire de ne pas vous saouler avec ça...

1) récupération de vieilles chaises de jardin, repeintes et utilisées en rangement original. sympa, non ?

2) les légos des enfants qui dorment dans de vieux caissons, et ne servent plus, peuvent devenir d'astucieux porte-clés, accrochables 

3) mon grand délire du moment : les palettes-sièges... là, on est presque au cinéma avec des niveaux de sièges différents pour mieux voir... trop bien !

je rappelle que j'attends toujours vos idées..

10 septembre 2015

illettrisme

hier c'était la journée d'action régionale de lutte contre l'illettrisme.

lire, écrire, chercher des informations sur Internet, se repérer dans l'espace,... autant de verbe que d'actions que de nombreuses personnes sont infoutues de mener à bien.

donner à tous la chance d'évoluer sereinement et complètement dans cette société qui va vite, si vite, qui ne prend pas le temps de considérer ceux qui ne suivent pas.. est un soupir à écouter.

chaque région devait mener des actions... espérons que...

09:32 Publié dans lamiendo | Lien permanent | Commentaires (0)

le suicide au travail

cette semaine, le service de santé au travail ST Provence (donc en Provence) organise une sensibilisation sur le mal être et le suicide au travail.

thème délicat, voire même un peu tabou qui est, pourtant, cruellement d'actualité.

chaque période de l'histoire de l'Homme a engendré des stress : quand les Homo sapiens sapiens ne trouvaient pas à manger pour nourrir la tribu ou se gelaient les pieds nus dans la neige... quand les enfants devaient bosser à 8 ans et les femmes étaient pire que des esclaves, quand on ne savait pas si on n'aurait au moins un pauvre quignon de pain pour manger, quand on a subi des épidémies, des tremblements de terre...

bref... aujourd'hui, si on se base sur un quidam lamba, on a à manger, un toit, des souliers, un parapluie, et un travail. homme ou femme.

mais ce n'est pas le paradis.

et le travail est devenu un motif de harcèlement, d'humiliation, de revendication. il faut faire du chiffre, il faut gagner de l'ragent, être rentable, plus toujours plus. le chômage augmente et il paraît qu'une émission de télé vient d'être créée mettant en concurrence deux demandeurs d'emploi.

pas étonnant que dans un tel contexte les gens vivent mal au travail et en perdent 'abord le sommeil, ensuite l'envie de continuer.

une initiative telle que celle du ST Provence est importante et mérite d'être soulignée.

l'objectif ? "accompagner les salariés et les chefs d’entreprise qui présentent une détresse psychologique avec des idées noires. Comment prévenir ? Comment réagir ? Comment en parler au sein même de l'entreprise ?"

Du mal être au suicide au travail : une semaine thématique au ST Provence

09:26 Publié dans lamiendo | Lien permanent | Commentaires (0)

09 septembre 2015

illusion

allez, je vous embobine... un tronc d'arbre, visiblement mort, un truc inutile, qu'on mettrait facilement au feu...

29-5 Trädstam konst0

on s'approche ? allez, on s'approche...

eh, mais il y a du monde là-dedans !

on s'approche !

truc incroyable ! une sculpture en toute petite dimension...

il a fallu quatre années à Chunhui pour sculpter cette magnifique fresque... aussi minutieuse que merveilleuse..

OK, il est chinois, il est habille, il est patient... mais c'est juste fabuleux !!

 

01:05 Publié dans lamiendo | Lien permanent | Commentaires (2)