my city of ruins

my country is of ruins...

my boss...

Titeuf et la guerre

 

l'après 13 novembre...

marcher dans des paysages magnifiques, voir un ciel de couleur irisée virer au rouge sang, apprécier l'harmonie des teintes d'automne et se dire que la vie est là, que la vie reste belle, époustouflante, troublante, motivante, et qu'il ne faut pas se lasser de la savourer, la découvrir, la contempler...

pour que rien ne s'arrête jamais.

 

 

gentillesse

aujourd'hui c'est la journée de la gentillesse..

waouh ! heureusement qu'on nous rappelle de temps en temps qu'il serait bien d'être gentil, sinon nous courons au désastre..

bon ben il n'y a plus qu'à...

allez un effort..

Glucksmann is dead

André Glucksmann était essayiste et philosophe français.

un "nouveau" philosophe qui fut maoïste puis altantiste et était proche de Bernard Henri Levy.

il a changé régulièrement de combat, il a soutenu Nicolas Sarkozy en 2007, il a écrit des ouvrages forts et contreversés, comme "La cuisinière et le mangeur d'hommes, réflexion sur l'Etat" où il établit un parallèle entre nazisme et communisme...

et il est mort.

hier.

20 ans

"votre fille a vingt madame que le temps vite,

hier encore madame elle était si petite..."

c'est aujourd'hui...

il nous restera ça...

on voulait faire une famille...

harcèlement

jeudi 5 novembre c'était la 1re journée pour dire "non" au harcèlement à l'école.

sujet préoccupant, de plus en plus, et qu'il est nécessaire de montrer du doigt pour mieux réfléchir au phénomène et l'endiguer.

jeudi 5 novembre j'assistais à un colloque sur la parentalité et débattais sur la modification de la structure du foyer depuis 50 ans et du coup, modification de la place de l'enfant dans ledit foyer.

les enfant sont de plus en plus intelligents, disait Mustapha Elmiri, maître de conférence en sociologie, ils rationnalisent.

on n'impose plus une autorité à l'aveugle comme nos parents ou grand-parents l'ont vécu, mais on explique, on tergiverse, on négocie pour obtenir une sorte d'obéissance qui est en fait une obtempération volontaire, suite à une compréhension décidée des ordres consignes données.

nos enfants veulent qu'on leur donne en exemple les valeurs que l'on prône et ne demande plus juste une explication, mais également un modèle d'une conduite à tenir.

well, well, well...

avez-vous ces adultes dans la sphère publique ?

qui s'insultent, se dénoncent, se harcèlent ?

qu'a fait Valérie Trieveler en étalant sur la place publique l'intimité d'une histoire, si ce n'est nuire, harceler, détruire ?

que font les émissions de téléréalité qui donnent en pâture la vie des gens pour mieux s'en moquer, s'en délecter, les rouler dans la honte ?

que font nos politiques qui s'écoutent, se pistent, se pressent de tout rapporter à la presse et donc à la population heureuse de se repaître de ces nouveaux faits divers ?

nos enfants rationnalisent de plus en plus et nous demandent d'être les modèles ?

eh bien, sans faire de raccourci bateau et stérile, on ne doit pas chercher bien loin pourquoi soudain ils se sont mis à se harceler entre eux...

on a bien bossé, il n'y a pas à dire...

 

 

love love love...

le message est arrivé le soir juste avant qu'on décide d'éteindre la lumière.

mon internénette numbertwo et moi on se fait une nuit girly bien serrées au chaud sous la couette.

les mots sont touchants, tellement tendres, tellement..

ça vient de mon tiloulou.

- c'est dingue d'écrire un message pareil..

- ben non, chérie, ce n'est pas le premier qu'il m'envoie.

- j'adore notre famille, c'est fou ! il y a tellement d'amour entre nous.

 

bon, ben voilà, si jamais j'en doutais... love is in the air !

Haka de légende

je ne peux pas résister, je me le passe et me le repasse; si d'aventure ma motivation flanche, avec cette piqûre de rappel-là, elle revient !

houg !

 

All Kings Blacks

34 à 17, ça fait pile poil le double.

double de force, de pugnacité, de détermination, de talent.

soyons honnête, ces All Blacks sont des dieux.

et pour cette coupe du monde de rugby, rien ni personne ne les a stoppés.

Twickenham s'en souviendra longtemps. et nous aussi... (un gros soupir pour David Pocock, un valeureux Australien...)

Yuki Toshinari

ses filles sont douces et si "naïves".

j'aime bien.

Yuki Toshinari.

 

les pierres parlent

ma copine Cécile Alix a posté ce message que je trouve superbe, alors je partage...

"Quand les pierres parlent, elle disent tout... Elles racontent ce qu'il y a à raconter... elles sont des messagères, on ne peut que les écouter...
"Les Réfugiés 1" de l’artiste syrien Nizar Ali Badr...
A voir ici : http://www.kedistan.net/2015/10/04/les-pierres-de-lartist..."

les murs de Brad Spencer

Brad Spencer fait des sculptures de briques et je trouve ça vraiment chouette..

ça serait du meilleur goût devant ma nouvelle maison...

 

captagon

c'est un article que j'ai saisi sur Slate.

je ne veux pas commenter, je voulais juste partager.

parce que la chimie ça m'a toujours fait frissonner...

________________________________________

"Deux tonnes. C'est le poids des pilules de captagon saisies à l'aéroport de Beyrouth lundi 26 octobre. Le prince saoudien Abdel Mohsen Ibn Walid Ibn Abdelaziz et quatre autres personnes comptaient se rendre à Riyad en jet privé".  

Les pilules et de la cocaïne étaient réparties dans trente-deux paquets et huit valises. D'après l'Agence nationale d'information (Ani, officielle), il s'agit de «la plus importante saisie à l'aéroport international de Beyrouth».

Le captagon, un stimulant de type amphétamine est largement utilisée par les combattants syriens pour inhiber leur peur lors des comabts. Cette drogue joue également un rôle significatif dans le financement des belligérants de ce conflit. 

Selon un raport de l'UNODC, (United Nation Office on Drugs and Crime) , une pilule coûte quelques centimes de dollars au Liban et se revend plus de 20 dollars en Arabie saoudite, où près de 55 million de comprimés sont saisis chaque année."

____________________________________________

 

l'alcool au travail

je ne suis pas très courageuse, ou alors le sujet me touche, ou il est si bien raconté... mais je voulais vous faire connaître ce reportage (pioché sur France Inter), pour tous les "alcooliques mondains" qui abusent de l'alcool dans les réunions, les signatures importantes de contrats, les nuits solitaires à l'hôtel lors des déplacements..

ça vaut le coup, de lire...

---------------------

 

A l’occasion de la journée nationale de prévention des conduites addictives en milieux professionnels, un colloque réunit à Paris experts, médecins et patients. 7 % des actifs occupés, en France, auraient une consommation à risque d'alcool. Une femme a décidé de sortir du silence. Maxime Debs a recueilli son témoignage.

A l'époque, Laurence Cottet avait 48 ans, un poste à responsabilité chez Vinci. En 2009, sa vie a basculé lors d'un cérémonie de voeux dans l'entreprise.

Je vais donc rester longtemps sur le sol, ivre, sans pouvoir me relever, et perdre en une fraction ma dignité de femme, mon travail

Elle savait qu'elle ne devait  pas boire, ses collègues également. Et pourtant : "Je ne me souviens pas que quelqu’un m’ait dit  "arrête, viens te mettre à l’abri…", se souvient-elle. Au contraire. Tout le monde me regardait. Je n’étais pas la seule à boire. Je vais donc rester longtemps sur le sol, ivre, sans pouvoir me relever, et perdre en une fraction ma dignité de femme, mon travail. Je perds tout, sauf la vie."

►►► Ecoutez l'intégralité du témoignage de Laurence :

 

Six ans plus tard, si Laurence Cottet accepte de témoigner c'est qu'elle s'est relevée. Bénévole, elle vient en aide aux personnes qui traversent aujourd'hui ce qu'elle a vécu. Il faut, dit-elle, davantage de prévention. La question de la prévention des conduites addictives pourrait être évoquée lors de la négociation collective de branche, promet Danièle Jourdain Menninger, qui supervise une interministérielle sur ces addictions et doit faire des annonces aujourd'hui. Autre promesse : à partir de décembre, les  médecins du travail seront aussi formés à mieux détecter les salariés à risque. Ils n'ont jamais été aussi nombreux selon les addictologues, qui réclament plus de moyens.

marseille-cassis

encore une fois la foule était au rendez-vous, les coureurs, nombreux, les badauds, nombreux.

le record du temps a été battu, le soleil était là, et moi non !

deuxième année que je fais l'impasse alors que je m'étais promis...

faut vraiment que je le fasse l'année prochaine...

bravo à tous les courageux qui sont arrivés au bout !

éros et la nuit

cette nuit, alors que nous ajoutons une heure de plus à notre calendrier journalier, je suis engagée dans un concours avec 337 autres participants :

le prix de la nouvelle érotique.

donnés à 23h55 le thème et le mot de la fin, permettront de commencer à rédiger, durant les 8 hueres qui suivent, une nouvelle érotique de 20000 signes.

le challenge est attirant et j'ai intérêt à être en forme...

rdv cette nuit, donc..

 

big foot

l'homme était grand, l'homme était drôle, 'homme était charmant mais elle ne regardait que ses pieds.

des pieds bien dessinés, superbes.

elle se disait qu'un homme avec de tels pieds devait être équilibré, posé, stable...

l'homme se déplaçait face à elle, il riait, elle aussi, concentrée sur l'exercice.. mais elle ne regardait que ses pieds.

et ses yeux verts.

Bigfoot de Idan Zareski

le jeu de peindre

Arno Stern est un être un peu particulier.

oui, je sais, vous allez me dire : on est tous un peu particuliers. certes !

il a commencé à monter des ateliers de peinture pour des orphelins de guerre et il s'est interrogé sur la systématique des dessins des enfants.

en fait, dans son atelier, il n'y a aucune consigne, on vient, on peint ce quo'n veut, on repart sans son oeuvre.

donc, Arno Stern s'interroge sur notre conditionnement et notre émotivité dans nos créations. il part travailler avec des populations d'enfants aux 4 coins du monde, certains de ces enfants n'ont jamais mis les pieds à l'école et il découvre qu'ils peignent tous à peu près les mêmes choses.

fascinant, non ?

aujourd'hui, les ateliers "le jeu de peindre" fleurissent un peu partout.

je compte bien me former à ce principe et pourquoi pas ouvrir un atelier dans ma nouvelle grande maison.

en tout cas, je suis très fan de laisser la créativité de chacun s'exprimer, sans jugement, sans regard ultérieur, impossible de reprendre son oeuvre et de se poser des questions dessus.

on vient, on peint, on s'exprime et on repart en laissant sa feuille peinte.