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06 avril 2012

pouet pouet !

lui, je l'aime, c'est sans explication.

toujours le petit dessin qui me touche au bon moment. alors, je partage.

bon_anniv.jpg(c) Gynux

il est des jours où on se sent bien. juste bien, à écouter Véronique Sanson, corriger un chouette roman pour le Nuno retrouvé et penser à respirer fort à cause du yoga pour débutants...

le téléphone qui sonne sans arrêt, les corrections qui n'avancent pas, une nouvelle bague au doigt et du thé blanc à la pêche (merci mes amours), la pluie qui s'est arrêtée,la pièce de théâtre à dire et redire, le bonheur ici, le bonheur là...

et voilà, c'est un jour.

un de plus...

19:46 Publié dans lamiendo | Lien permanent | Commentaires (6)

05 avril 2012

RPP

une super orthophoniste m'a parlé de cette méthode ce weekend, je trouve cela très intéressant...

je vous livre ici le principe...

"La relaxation pneumo-phonique, thérapie manuelle, est issue de la rééducation vocale. C’est au départ un outil de restauration du mode respiratoire modifié par le stress.

Il s’est révélé adaptable à de nombreuses pathologies (maladie de Parkinson et autres maladies dégénératives, mais aussi au bégaiement, aphasie, troubles de l'attention et de la concentration) et pertinemment efficace ; la restauration du mode respiratoire originel ayant, de façon intrinsèque, un effet thérapeutique.

Les résultats thérapeutiques obtenus au fil des années ont permis d’ouvrir le champ d’application de la technique RPP au-delà du symptôme initial. 

La RPP est une approche globale de la personne car elle l'appréhende dans sa dynamique respiratoire et donc dans cette fonction qui met en jeu l'ensemble du corps et du phychisme sans qu'il soit nécessaire d'entrer dans une verbalisation ni une analyse consciente de ce qui se joue. 

C'est un chemin du corps vers le psychisme et non l'inverse. La respiration restaurée et les tensions dénouées, le corps retrouve une perception de soi parfois très ancienne et renoue avec.

Les Techniques manuelles de la RPP 
- Toucher
- Vibration
- Bercement 
- Onde vocale
- Manipulation corporelle"

03 avril 2012

le Chéri de Léa et moi...


 

voici le premier exemplaire visible du travail avec Léa la chanteuse pour qui j'écris...

une de mes compositions...

qu'elle interprète...

02 avril 2012

le retour de St-Hippolyte

bon,je l'avais promis (oui Sophie !) j'ai pris des photos du joyeux et pétillant salon de St-Hippolyte.

les voilà.

beaucoup de lecteurs de joie de partages de soleil et de rencontres...

en images : 

30 mars 2012

3e Saint-Hippolyte

je pars 3 jours pour me rendre à ce salon qui est un moment magique de tendresse, de partage et de rire, de lecteurs enchantés et de belle volonté...

j'essaie de ne pas oublier les photos...

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29 mars 2012

terraferma

film sur la vie, le respect, la clandestinité, la légitimé, la loi qu'on fait sienne, celle de son pays, le viol et la fraternité...

magnifique...

"je n'ai pas peur de la route faurdait voir faut qu'on y goûte.."

 

22:19 Publié dans Film | Lien permanent | Commentaires (0)

28 mars 2012

la femme qu'on attendait...

paroles des sans voix

lu en détails et attentions ce supplément proposé par plusieurs quotidiens, hier, qui laisse s'exprimer ceux qui n'ont plus rien à perdre et n'ont espoir que de retrouver un peu de dignité et d'écoute...

j'y ai découvert des témoignages graves et sincères, courageux et combattifs et j'en ai tricoté un espoir d'un lendemain plus solidaire...

peut-être...

parole

voilà ce qu'on peut en lire sur le site de Reporters d'Espoir...

" A l’occasion de l’élection présidentielle, la plupart des quotidiens

ont accepté de publier la deuxième édition de « Paroles de sans voix »,

supplément proposé par Amnesty International France,

TD-Quart Monde, le Secours Catholique. L’opération a été coordonnée

et soutenue financièrement par l’Association Georges Hourdin.

 

« Faire changer le regard porté sur les plus pauvres et les exclus,

interpeller les candidats à, la présidence de la France sur leurs conditions

de vie, les pousser à prendre position sur nombre de situations qui font

scandale : c’est pour nous toute l’ambition de « Parole des

sans voix », déclarent les présidents des trois associations.

 

Ce journal permet à ceux qui ne sont pas entendus de témoigner

sur leur combat au quotidien pour une vie digne en présentant

des initiatives développées partout en France notamment

autour de l’accès au logement, aux soins ou à l’éducation et de l’asile.

 

« J’ai tellement l’impression de crier au fond d’une forêt, au bout,

tout au bout d’un chemin boueux où l’on relègue ceux que l’on

ne veut pas voir, pas entendre.

Enfin, aujourd’hui, on nous donne la parole, à nous les pauvres »,

écrit Marie-France Zimmer, éditorialiste du journal.

 

Illustré par le dessinateur Jul, « Paroles de sans voix » a été rédigé

par des jeunes des quartiers de Boulogne-Billancourt, Stains et Créteil,

participant au projet de formation multimédia de Reporters Citoyen.

 

« Partout nous avons rencontré des “sans-voix” qui arrivent à être

engagés et actifs.

Et qui se posent des questions profondes pour tenter d’aller à la racine des

problèmes », racontent les jeunes Reporters citoyens après cette expérience. "

27 mars 2012

Enzo, 2 ans, mort...

- j'ai jamais été aimé... mon père ? j'en ai pas. j'le connais pas. et l'homme qui vivait avec ma mère, c'était qu'un ivrogne, il m'cognait d'ssus. il buvait et pis, il m'cognait d'ssus... ma mère elle s'en foutait, elle m'aimait pas, tout'façons..

- ben non, moi c'est pas pareil. j'ai eu une enfance choyée, mes parents me gâtaient, mon père dsiait que j'étais sa p'tite princesse... mais y'a eu c'truc, là, quand j'ai eu onze ans et je m'en suis jamais remise. Oui, un viol, comme vous dites. Il m'a tripotée et pis il m'a emmenée dans la chambre du fond et là... j'm'en suis jamais remise. Alors, j'le savais bien que je vivrais soumise aux hommes, ça a toujours été mon drame... faut pas croire, hein, avec le père d'Enzo, j'étais pas heureuse non plus. il était trop possessif et jaloux. fallait que j'sois sa chose, sa femme rien qu'à lui, j'avais pas l'droit d'sortir comme ça, j'devais tout dire, tout raconter... j'en pouvais plus. au moins, avec lui, le Nico, là, j'avais une chance d'être mieux traitée. il m'disait qu'il allait me rendre heureuse, et libre, et belle, et tout ça quoi !

 

je les entends. ils me dégoutent. je les revois en train de me cogner contre le sol, de m'envoyer valdinguer  contre les murs.. il s'énervait lui, il disait que ce n'était pas normal à mon âge de ne pas réagir à la douleur. alors il prenait son pistolet à billes et il me tirait dessus, et aussi la laisse de Max, son chien, il me fouettait avec...


- moi, monsieur, j'ai toujours aimé les chiens. ils sont bien meilleurs que les humains, va ! y'a pas un chien qui m'a tourné le dos, pas comme ma mère qui m'a laissé crever comme une merde, ou ma première nana qui m'a quitté parce que je voulais pas de gosse... quoi ? ouais c'est vrai je picolais pas mal mais par contre l'héro j'avais arrêté. j'prenais du Subutex pour pas replonger... ouais, elle le savait elle que je prenais du Subutex.. hein, tu l'savais ?

- oui, c'est vrai, il n'a jamais rien caché, il disait qu'il allait arrêter qu'il allait devenir clean. j'le croyais, moi, monsieur, il avait l'air sincère. le p'tit ? il pleurait jamais. franchement, ça avait le don de nous énerver grave quoi ! et pis bon, la première fois qu'ils l'ont observé ils nous l'ont rendu le p'tit, c'est qu'on était pas de si mauvais parents que ça, le Nico et moi...

 

moi j'aurais voulu que ce soit ma nourrice ma mère. elle était douce, elle mettait de la crème sur mes bleus et parfois même elle pleurait en regardant mon corps. elle disait : "mon Dieu, mon Dieu, mais ce n'est pas possible de faire ça à un enfant ! comment ils peuvent faire ça ! je ne peux pas, je ne peux pas, faut le dire, faut faire quelque chose..."

elle me chantait des douceurs à l'oreille et elle embrassait le bout de mes doigts. et parfois même elle m'appelait "mon prince".

"le Nico et moi"... écoutez-la... ça me fait trop de peine... elle n'a rien compris... elle m'a laissé partir. je n'y suis pas arrivé, je n'ai pas réussi à faire tenir mon coeur, ça me brûlait tout partout, je hurlais dans ma tête, c'était trop dur... j'ai laissé partir mon coeur...

je suis bien mieux maintenant. je ne souffre plus. j'en ai fini avec les souffrances...

26 mars 2012

Sall versus Wade

"Vainqueur de la présidentielle sénégalaise face à Abdoulaye Wade, Macky Sall fut le "poulain politique" du président sortant avant que les deux hommes ne rompent brutalement."

Macky Sall a su rallier autour de sa candidature l'ensemble des opposants et a obtenu le soutien de Youssou N'Dour, écarte du scrutijn par le Conseil constitutionnel. mais sa présidence va être sous haute surveillance et la démocratie populaire ne lui laissera pas passer grand-chose, je l'espère... il ne reste qu'à croiser les doigts... tellement envie de retourner au Sénégal, dans mon île aux coquillages, prochainement...

Macky Sall

Pépé et Charlotte

alors quoi, je vous prive de Pépé pendant un long moment et vous ne dotes rien, pas de réclamations, de levers de boucliers, de hum hum ???

voilà donc un come back de mon Pépé Roni avec un hommage à ma nièce chérie...

si si...

25 mars 2012

Zebda

hier soir ils ont mis le feu aux Docks du sud de Marseille !

des Toulousains qui pourraient presque être Marseillais...

24 mars 2012

clés - mystère

bon ok, les demosielles mes lectrices préférées, vous vous demandez ce qui se cache derrière la double cloison, qu'est-ce que fabrique ce Marc, à quelle mésaventure a échappé Laurence ?

j'écris les choses assez radicalement, certes, c'est mon côté "pas de quartier" et je ne laisse jamais  empirer une situation où je suis mal, je coupe direct... donc là, j'ai fait partir Laurence.

trop rapide ? pas assez curieuse ?

alors, allez-y et livrez-moi votre version...

et si Laurence arrivait avant les policiers et ouvrait la double cloison, que découvrirait-elle ?

est-ce que ça changerait son regard sur Marc ?

que se passerait-il ensuite ?

elle garde tout et se tire, jetant les clés ? elle retrouve son Marc et... ?

à vos claviers, auteurs de talent !!

22 mars 2012

clés - 3

Laurence se gare devant la maison, puis bizarrement décide de descendre la voiture dans le champ en bas.

elle ne sait pas pourquoi vraiment mais aujourd'hui elle n'a pas envie qu'on la voit.

Marc n'y est pas.

elle n'est jamais venue quand il n'est pas là. derrière le grillage qui sépare les deux maisons, la mère de Marc la salue.

elle se dit que c'est bête mais pour une fois, elle n'a pas envie de la voir.

elle fouille dans son sac... mince, elles sont où ces foutues clés ? elle ne s'en est jamais servie, elle ne se souvient plus où elle les avait casées, quand il lui avait données, quelques années auparavant.

elle s'énerve. revient à l'intérieur de sa voiture, vide son sac, fouille, encore.

et soudain, elle entend l'alarme du girophare.

- Merde, les flics !

là, maintenant, elle a la trouille. elle entre carréement dans la voiture, ferme les portes, actionne le verrou centralisé. se recroqueville sur le siège conducteur.

c'est trop tard, les policiers tambourinent à la porte de chez Marc. ils sont plusieurs, elle les sent énervés, violents presque.

et sous ses doigts, enfin, elle sent les clés. elle vient de les retrouver.

dans un réflexe étrange, elle met le moteur en marche, roule sans jeter un seul regard sur le côté et s'éloigne, droite et fière.

quand elle est au bout de la route, elle stoppe, baisse la vitre et jette le trousseau le plus loin possible.

elle murmure : adieu mon amour.

et part. sachant qu'elle ne reviendra plus jamais ici.

 

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20 mars 2012

protège-moi

10:01 Publié dans lamiendo | Lien permanent | Commentaires (0)

19 mars 2012

clés - 2

elle entend la sonnerie du téléphone. vibrations dans la poche. Laurence plonge la main rapidement dans son pantalon, elle sent l'urgence de l'appel.

fébrile, elle regarde l'écran. c'est "lui".

- chérie, va chez moi...

- eh ! qu'est-ce qui se passe ? ça ne va pas ?

- écoute ma princesse, faut que tu m'aides... je compte sur toi.

- tu veux quoi ?

- mes clés ? tu les as toujours, chérie ?

- oui !

- alors, va à la maison, et ouvre le buffet dans le garage. tu vois, le grand buffet en bois ?

- non, mais je trouverai...

- ouvre la porte de droite en bas. dans le fond, il y a une fausse cloison. appuie dessus, elle va s'ouvrir...

Laurence écoute. son coeur bat. elle aime cet homme depuis plusieurs années. jamais elle n'a utilisé les clés qui lui avait données ce fameux jour à leurs débuts.

- t'es toujours là, ma princesse ?

- oui...

sa voix n'est que murmure.

- prends tout ce que tu trouves et dégage. pars chez José si tu ne te sens pas en confiance chez toi...

- Marc... y'a quoi dans ce buffet ?

- chérie... tu es ma vie, mon amour... rien d'autre ne compte que toi. dans ma putain de vie tu es mon bonheur, je ne pense qu'à nous. 

- Marc...

- va ! fais ça s'il te plait... je te recontacte ce soir. on va se tirer. vivre tous les deux. enfin. aies confiance. je t'aime tellement...

dans le creux de sa main, le trousseau la brûle.

elle aurait du réfléchir plus quelques années auparavant avant d'accepter...

18 mars 2012

une rose dans mon coeur...

quel plaisir de réentendre cette chanteuse hier soir en partageant un bon vin blanc (ben oui, parfois je fais des entourses à ma religion... ;))

je ne résiste pas à vous mettre une de ces chansons.

je l'avais vue en concert à Manosque en 2008, je crois. ou 2007. à cette époque, ma vie était organisée autrement, aucun chamboulement n'avait renversé les règles établies d'une vie classique. il faisait beau, c'était en août, moment joyeux.

et j'ai adoré.

alors voilà c'est pour vous, parce que, comme elle le dit dans une de ses chansons, quand je serai vieille, je veux penser que je me serai bien amusée dans la vie...

vivre intensément et s'y brûler les ailes ou ne vivre que du plat, du "normal", du "linéaire"...

je ne sais pas faire semblant alors go ! que la vie m'emporte...

20:09 Publié dans lamiendo | Lien permanent | Commentaires (1)

17 mars 2012

clés

il tend le petit trousseau devant ses yeux et le balance doucement.

- tiens, c'est pour toi.

Laurence réfléchit vite. pourquoi a-t-il fait ça ?

- j'ai refait un jeu de clé pour toi, a-t-il dit. chez moi c'est chez toi, tu y viens quand tu veux. même quand je n'y suis pas.

- je ne pourrais pas, elle a répondu.

Laurence se demande si c'est un piège.

- je l'ai fait pour toi, seulement pour toi, insiste-t-il.

avant aujourd'hui, il avait dit : depuis que je te connais, je suis l'homme le plus heureux.

qu'elle est magnifique. que quand elle est là, il est bien, détendu, tellement.

avant aujourd'hui, il lui a déjà fait des cadeaux. déjà.

ça fait une semaine qu'elle le voit, boit un café avec lui, qu'ils s'embrassent, se câlinent un peu.

mais ça fait un moment qu'il demande à la voir.

Laurence réfléchit vite. elle n'a pas envie de prendre ses clés. elle a envie de rester libre.

- fais comme tu veux.

il pose les clés sur la table recouverte d'une toile cirée à fleurs. il l'embrasse doucement.

Laurence se laisse aller. dans ses bras. ses bras forts, sa peau douce, mate.

- charmant, il est charmant, pense-t-elle. vraiment séduisant.

puis elle s'en va, monte dans son auto, met le contact.

les clés sont dans son sac. elle réfléchira après. pour l'instant, elle rentre chez elle.

 

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salon du livre de Paris 2012

voilà cette année, je n'y vais pas et pourtant... c'est le Japon qui est à l'honneur...

le salon du livre de Paris a ouvert ses portes pour sa 32e édition.

alors, si vous y allez (hein Gaëlle), racontez-nous ça...

16 mars 2012

glamour

sérieusement, après le tag de Cécile, j'ai reçu un article de Glamour intitulé : "20 preuves qu'on sort avec un con".

alors, là, plus romantique, il faut chercher.

et bizarrement, j'ai une pointe de regret de ne pas avoir reçu cet article quelques semaines auparavant, ça m'aurait peut-être éclairée... qui sait...

donc, je vous sens impatientes mesdames d'en savoir plus, de détecter l'homme que vous aimez, ou avec qui vous sortez, de le percer, le dévoiler un grand jour.

alors con or not con ? that is the question...

mais cessons-là tout suspens et lisez bien ces 20 explications qui vous rendront plus intelligentes, vous...(désolée pour les messieurs de passage mais c'est un post exclusivement féminin...)

1 - il vous parle avec condescendance

bon là, j'ai un doute, on ne va pas non plus choisir que des rustres qui nous parlent avec rudoiement, non ?

2 - il nous décourage

là, encore plusieurs interprêtations possibles : soit il nous décourage en nous répétant inlassablement qu'on est nulles, soit il nous décourage parce qu'on a compris qu'on ne pourra rien en tirer d'intéressant

3 - il nous filtre

4 - il ne nous rend pas belle

5 - il n'invite jamais

ici, je mets un point d'honneur à souligner qu'effectivement c'est un signe important

6 - il crie souvent

donc, gaffe à ne pas s'enticher d'un poissonnier marseillais, ça biaise l'article

7 - il se trompe de prénom

là, il n'est pas con, c'est un goujat !

8 - il se venge

9 - il adore les miroirs

10 - il est mielleux

beurk beurk beurk !

11 - il n'a pas d'humour

12 - il a peur du plastique

essayez de lui enfermer la tête d'un sac plastique, s'il rechigne, quittez-le ! (non, je plaisante !!)

13 - il nous met le seum*

* besoin d'une légende ici (Cécile c'est à toi de jouer !) : n.m. se dit sans complexe afin de signifier les situations désespérantes de zone ultime et de mocheté environnante, s'emploie beaucoup dans le Grand Paris

j'avoue que ça, c'est moche moche moche...

14 - il se croit au Juste Prix

les radins, décidément n'ont pas la côte... je jubile !

15 - il est le roi du "poke"

comprendre ici qu'il drague de longue sur Internet et que ça en devient lassant

16 - il est crevé

17 - il a un tique verbal

je rajouterai bien ceux qui emploient des expressions infantiles mais ça, c'est hyper perso...

18 - il nous calme

(bon, moi, je dois dire que ce n'est pas un mal en ce qui me concerne !! ;)

19 - il monopolise la salle de bains

rien de dramatique si ce n'est pas avec nos shampooings et produits de beauté, moi je dis

20 - il ne change pas l'ampoule

oui, bon, là, c'est à apprécier comme on le sent. mais j'avoue qu'un bricoleur ça a du bon...

 

eh bien, mesdames vous voilà prêtes pour le grand constat. et si vous voulez commenter, n'hésitez pas....


19:59 Publié dans lamiendo | Lien permanent | Commentaires (9)