29 janvier 2017
écriture
au commencement il y avait la peur, le souvenir des mots durs, des regards sans âme, des absences, des oublis, des manquements.
il y avait la peur devenue familière, ancrée, encrée dans l'histoire pour longtemps.
la peur a porté l'encre, le stylo, la main. la peur a brouillé les pistes, tordu les tripes, entortillé les courages, tué les initiatives, démoli la confiance.
il y a eu ensuite les coups du sort, les coups du hasard ou les mauvais coups tout courts, enchainés, accumulés, déstabilisants, déroutants.
pas facile de croire.
pas facile d'avancer. de continuer, de ne plus avoir peur, de prendre des risques, de le faire..
18:13 Publié dans un peu de moi | Lien permanent | Commentaires (0)
Cézanne et moi
Paul Cézanne, Auguste Renoir, Emile Zola, Frédéric Bazille, Guy De Maupassant, Camille Pissaro, Berthe Morisot, Jacqueline Marval et tant d'autres ont vécu à une époque et l'art était une façon de vivre, une vraie profession de foi, une gageure sans faille.
dans ce filme, on y retrouve ces artistes et une force qui me bouleverse.
si on me permet de remonter le temps, je reviendrai à cette époque-là...
17:56 Publié dans Film | Lien permanent | Commentaires (3)
recyclage des déchets électriques/troniques
Nathalie Fontrel, journaliste d'investigation environnementale qui anime une chronique sur ma radio préférée a parlé dernièrement d'un sujet intéressant.
je vous transmets intégralement sa rubrique :
"le bilan du recyclage des déchets électriques et électroniques .
Conservez-vous chez vous un appareil qui ne fonctionne plus et que vous n’avez pas mis à la déchetterie. ?
Depuis 10 ans les déchets électroniques et électriques sont collectés et recyclés. 10 kilo par habitant et par an. Mais 8 objets en moyenne restent stockés chez les gens. Que l’on appelle Les gardeurs
En tête, l’appareil photo que l’on conserve alors qu’il est cassé ou dont on ne se sert plus en se disant « je vais le donner ». Et on ne le donne pas.
La machine à pain dont on s’est servi trois fois et qui dort dans un placard.
L’effet de mode remplit nos domiciles de produits qu’on n’utilise plus comme la yaourtière. Ces gardeurs-là se disent « ça pourra toujours servir ».
Et il y a le lien affectif
Les cadeaux, les héritages. Que l’on conserve même s’ils ne fonctionnent pas.
Enfin, le produit qui a coûté cher à l’achat. Même si on ne s’en sert pas ou qu’il en panne. On le garde.
« Nous avons des mines chez nous » dit Christian Barbant le directeur d’éco système. Mais ce sont des mines inexploitables. Tant qu’elles sont chez vous on ne peut pas les recycler. Cela signifie qu’on est obligé de continuer à épuiser les ressources naturelles, la terre, pour y trouver les matériaux nécessaires que nous stockons chez nous.
Il faut déstocker ! Ça fait de la place dans la maison. Et ça fait du bien à la planète.
Mais certains ont des doutes sur la filière du recyclage
Oui. Les filières illégales sont toujours là. Pour récupérer des réfrigérateurs par exemple. Quand ils sont déconstruits en Chine, inutile de dire qu’ils ne sont pas dépollués. Les gaz réfrigérants partent dans l’atmosphère. Ils participent au réchauffement climatique."
17:48 Publié dans éco'logique | Lien permanent | Commentaires (2)
26 janvier 2017
une éolienne flottante
il fait froid, on chauffe à gogo et on n'est pas certains d'avoir de l'énergie pour passer l'hiver si les températures restent aussi basses...
l'énergie, voilà bien un problème actuel et les ressources renouvelables semblent être la meilleure voie pour oublier les fossiles qui polluent et s'épuisent.
et si, à l'avenir, on s'éclairait grâce à des éoliennes flottantes, installées au large de nos côtes ? Des industriels tentent de créer une filière française dans ce domaine.
une éolienne flottante devrait être installée cette année au large du Croisic, en Loire-Atlantique. Ce sera d'ailleurs l'une des premières au monde à être testées… En ce moment, à Saint-Nazaire, on construit des paquebots, et à quelques encablures des chantiers navals, on construit aussi une éolienne flottante. Des dizaines d'ouvriers s'affairent pour bâtir le flotteur de ce moulin à vent, un immense anneau de béton.
une éolienne qui flotte comme une bouée, alors que d'habitude une éolienne en mer est posée, fixée au fond de l'eau comme un phare. Le tout, loin de la vue des riverains qui bloquent systématiquement les projets d'éoliennes fixées le long du littoral.
la première éolienne en mer à produire de l'électricité sera une éolienne flottante
elle va être remorquée au large du Croisic, dans un site d'essais unique en France, celui de l’École centrale de Nantes. On appelle cela un démonstrateur en mer : il n'en existe que sept au monde. Et dans ce périmètre de 1 km² en mer, l'éolienne va subir une batterie de tests.
l'éolien flottant peut-il aller plus loin que le stade expérimental ? C'est toute la question. Pour l'instant, quatre fermes pilotes (donc expérimentales) sont prévues : au large de Groix en Bretagne et en Méditerranée, en face de Narbonne et de Fos-sur-Mer.
les services de l'État cartographient déjà les sites possibles d'implantation d'éoliennes flottantes. si l'éolien flottant se développe, toute la question sera de trouver un mode de cohabitation entre ce nouvel engin et les autres usagers de la mer.
Christian Berhault, directeur du site d’essai de l’école centrale de Nantes : " Identifier des zones propices, c'est trouver des endroits où il y a du vent, là où il y a de la ressource mais aussi là où il y a le moins d'impact possible. Les service de l'État mènent les études de cumul des autres usages, de l'impact environnemental, la distance à la côte, les possibilités de raccordement... C'est un sujet qu'on fait aujourd'hui avec les autres usagers surtout les pêcheurs, savoir comment on gère l'éolien flottant vis à vis de la pêche par exemple."
les promoteurs des éoliennes flottantes attendent maintenant le vrai coup d’envoi de l’éolien flottant en France : que le gouvernement lance des appels d'offre pour des parcs commerciaux... D’après le syndicat des énergies renouvelables (le SER), l’éolien flottant a un potentiel de six gigawatt en 2030, l’équivalent (si l’on tient compte de l’intermittence d’une éolienne) de trois réacteurs nucléaires.
22:08 Publié dans éco'logique | Lien permanent | Commentaires (0)
Prométhée, l'enchaîné
"Prométhée enchaîné" est la première d'une trilogie perdue d'Eschyle. Olivier Py nous a offert l'œuvre du tragédien grec sur une scène mobile dans un village près de chez moi..
"Avec des dieux et des humains en conflit, Eschyle présente Prométhée, un Titan qui a subit la colère du nouveau dieu en vogue, Zeus, pour avoir amené le feu aux hommes, métaphore des connaissances et des arts. Le héros sera puni, alors que ses amis les dieux se lamentent sur son sort, il pleure et déclare à voix haute son malheur, mais cache bien son jeu, sa revanche qu'il mangera froide.
Prométhée n'accepte pas les solutions intermédiaires. Il se révolte contre la fainéantise des autres dieux qui acceptent la position de Zeus, contre la corruption et la traîtrise. Le fatalisme bat son plein, mais les dieux n'ont-ils pas une marge de manœuvre? L'œuvre est politique par excellence.
Trois acteurs sur scène, trois acteurs formidables, récitent le texte du premier des auteurs de l'Histoire. Les deux volets suivants étant perdus, la pièce a été complétée par un discours politico-religieux en faveur de la condition humaine et de sa liberté d'expression. Rapide est alors le parallèle avec ce qui s'est passé ces derniers temps dans les pays nord-africains, en comparant les dieux aux politiciens ayant des pouvoirs et privilèges, bien que Py ait commencé à travailler sa pièce et ses thèmes avant ces révolutions."
et c'était magnifique...
22:07 Publié dans lamiendo | Lien permanent | Commentaires (0)
les experts le retour
c'est ce soir, la demi-finale de handball : la France contre la Slovénie...
on croise les doigts...
21:24 Publié dans lamiendo | Lien permanent | Commentaires (3)
22 janvier 2017
tomber derrière
je tomberai derrière ou devant, mais je tomberai, je ne pourrai plus supporter le manque d'oxygène, je tomberai, et il sera là, loin loin derrière mais il sera là...
I want to marry him...
18:05 Publié dans lamiendo | Lien permanent | Commentaires (0)
love...
I want to marry him..
17:15 Publié dans lamiendo | Lien permanent | Commentaires (0)
19 janvier 2017
Ekwateur
Catherine Boullay a parlé d'une start up hier sur ma radio préférée et cela m'a interpelée.
voilà de quoi il s'agit...
"Ekwateur une start-up qui propose des alternatives pour éviter les coupures lors des périodes de pic. Elle s’approvisionne en énergie écolo, chez ses fournisseurs Smartgrid Energy à Capbreton, et elle les revend à ses 4300 clients à travers la France. Mais les deux fondateurs d’Ekwateur, Julien Tchernia et Jonathan Martelli se sont fixé un autre objectif : que leurs clients soient plus que des clients, des consommateurs responsables. Pour ça, ils ont donc mis en place un système d’alerte par SMS qui vous dit : "Attention ça va être tendu sur le réseau électrique aujourd’hui et demain. Donc évitez les machines à laver, les sèche cheveux, les fers à repasser entre 18h et 20h".
Mais leur idée c’est d’aller bien plus loin que le message d’alerte qui tourne déjà sur les ondes. Ce qu’il veulent c’est créer une communauté qui se sent impliquée. Cela commence par faire partager les infos sur l’état du réseau (pour ça ils aimeraient bien que RTE, Réseau Transport d’Electricité, la filiale d’EDF leur en donne un peu plus). Ensuite ça passe par l’auto-production : faire de leurs clients des fournisseurs d’énergie, en encourageant les particuliers à s’équiper en panneaux solaires photovoltaïques etc..
Alors évidemment, ça concerne en premier lieu les propriétaires de maison, mais Ekwateur a déjà une idée sous le coude pour les citadins et leurs appartements. Idée confidentielle pour le moment. Mais vous voyez la préoccupation ? C’est de créer un réseau qui se développerait en parallèle d’EDF. Dans leur système économique il y a d’autres idées encore, mais qui posent peut-être plus de questions en termes de droit du travail. Ils proposent aussi à leur clients de travailler pour eux.
Question d’état d’esprit : impliquer la communauté. C’est le client collaboratif qui répond aux nouveaux clients sur Facebook par exemple. Il est alors payé 3 euros la réponse. 25 euros de l’heure. Mais les deux fondateurs d’Ekwateur, ont aussi un œil rivé sur cette idée qui vient de germer aux Etats-Unis et qui peut révolutionner le système. Elle émane d’une fondation américaine. Pourquoi ne pas payer ses factures d’électricité en « Solar Coins », une monnaie virtuelle qui ne concernerait que l’énergie que vous produisez vous-mêmes. Toujours dans le même esprit: renforcer les liens de la communauté sans passer par le dollar et les euros. Car si demain, la transition énergétique était faite par chacun d’entre nous, disent-ils chez Ekwateur, elle prendrait 6 mois."
10:30 Publié dans éco'logique | Lien permanent | Commentaires (0)
avant...
avant, on pouvait rentrer dans une église et prier librement, n'importe quand de la journée, les portes étaient ouvertes ; on pouvait entrer dans un commissariat quand on se sentait en danger sans devoir justifier du pourquoi du comment longtemps, on pouvait aller à la CAF ou à l'ANPE et une personne nous recevait
avant, on ne tuait pas des milliers de canards, on ne parlait pas de perturbateurs endocriniens, on ne mangeait pas autant de "merdes", il n'y avait pas autant d'allergie, d'intolérance et les laboratoires ne créaient pas autant de produits qui nous détruisent, la couche d'ozone tenait le coup, les hommes politiques ne fanfaronnaient pas autant.
avant, on n'avait pas d'ordinateur, pas de téléphone portable, on devait rester coincé dans le salon pour téléphoner, à discuter devant des oreilles indiscrètes sans pouvoir se cacher, on faisait des soirées copains de dingue sans faire de selfies ou de post FB, je connaissais le nom de tous mes voisins...
avant...
je me sens en décalage complet avec cette société qui "brime" les gens, où tous les services de l'état deviennent payants, où les gens sont de plus en plus pauvres, désemparés, où on a peur de l'autre, on s'enferme, on se surveille, on se déteste...
depuis aujourd'hui, appeler le 22, c'est-à-dire la police, devient payant. comme tout le reste. et plus personne n'est là pour nous répondre humainement, on nous taxe, on nous punit, on nous interdit, mais aucune compassion, pas de soutien, d'encouragement.
j'en pleurerais.
j'en vomirais.
10:01 Publié dans lamiendo | Lien permanent | Commentaires (6)
Loyle Carner
il fait du rap, apparemment il aime Cantona et je sais qu'il est "fan" de sa mère.
et moi, j'apprécie sa voix et sa musique.
un clin d'oeil à la supportrice que j'ai été.
09:54 Publié dans lamiendo | Lien permanent | Commentaires (0)
14 janvier 2017
poings et pieds liés
je ne sais plus comment c'est arrivé, comment j'en suis arrivée, là.
je l'aime bien, mon gosse, pourtant.
mais je ne sais pas assumée. ma mère m'a souvent répété que je n'étais qu'une godiche, elle me surnommais "Oneba, l'idiote".
oui, je me nomme Oneba, et je suis le cinquième enfant d'une famille d'agriculteurs ivoriens, mes parents n'ont jamais passé beaucoup de temps avec nous, on a grandi par nos propres moyens, on a poussé à l'air libre, comme on n'a pu. je ne sais pas ce que c'est qu'éduquer un enfant, je ne sais pas ce que c'est qu'être mère.
mais je voulais étudier. ça, je me l'étais jurée. oh, pas devenir énarque, ni avocate, mais avoir un diplôme, un vrai et trouver un travail respectueux.
c'est pourquoi je rêvais de venir en France. pour nous, en Côte d'Ivoire, la France c'est l'Eldorado. j'allais chaque jour à l'école et je travaillais dans un coin, le soir, pour faire tous mes devoirs. j'étais une élève sage, courageuse. pas très futée, mais travailleuse.
je ne sais plus vraiment, ou je refuse de savoir, comment j'ai laissé Cauphy m'approcher, alors que je serrais les dents pour réviser mon bac, mais il m'a mise dans son lit et il m'a engrossée.
enceinte, pleine, et mon rêve qui s'envolait. j'allais avoir dix-huit ans.
David, c'est un enfant facile, comme s'il avait toujours senti qu'il ne fallait pas me déranger, il s'est toujours adapté à tout, il ne pleure jamais, il ne demande rien.
je ne sais plus comment c'est arrivé, mais Kevin l'a trouvé "empoté" dès les premiers jours. il n'est pas empoté mon gosse, il est juste réservé, il n'ose pas, il ne dit rien, il s'adapte, il accepte, il ne demande rien.
Kévin, je l'ai connu quand j'ai enfin pu venir en France. mes grands-parents m'ont gardé David pendant que je bossais dans un bar en travaillant mes cours.
je m'en sortais comme je pouvais, Cauphy s'est vite fait la malle, avoir un gamin ce n'était pas pour lui, merci, au revoir.
mais j'ai réussi, et avec David dans mes bagages, je suis venue en France.
je voulais juste un homme, qui m'aime, me respecte et me permette de rester vivre là.
je ne voulais pas ce qui est arrivé. je ne suis vraiment qu'"Oneba, l'idiote".
Un petit garçon, âgé de 8 ans, a été retrouvé mort dans une baignoire à Saint-Herblain (Loire-Atlantique) mercredi 11 janvier. La mère de la jeune victime et son compagnon, soupçonnés de l'avoir torturé et tué. Depuis plusieurs mois, l'enfant aurait, "de manière régulière, fait l'objet de sévices très appuyés, de coups et à certaines occasions était entravé par des liens", a-t-on indiqué de même source. Le jour du drame, l'enfant aurait été à nouveau puni et frappé avant de devoir supporter "la punition de la baignoire", emplie d'eau froide. Il aurait été entravé aux chevilles et aux poignets avec des liens, retrouvés ensuite dans l'appartement. Né en Côte d'Ivoire et élevé par sa grand-mère, David avait rejoint sa mère en France fin août dernier. Âgée de 26 ans, celle-ci était venue en France en 2008 pour poursuivre des études de droit. Elle était actuellement femme au foyer. Âgé de 31 ans, son compagnon travaillait comme ouvrier au moment des faits.
14:07 Publié dans un peu de moi | Lien permanent | Commentaires (2)
Angels
j'aime beaucoup, je vous l'offre pour ce samedi angélique...
13:30 Publié dans lamiendo | Lien permanent | Commentaires (1)
Jeanne Lorioz
c'est ma période "grosses cuisses", à croire qu'à cause des bonnes résolutions de début d'année, je pense à maigrir, comme toutes les femmes (je blague !), alors je vous présente le travail d'une autre artiste amatrice de "femmes joufflues" : Jeanne Lorioz, qui aime voir la vie de dos ou de derrière, comme on veut..
13:20 Publié dans lamiendo | Lien permanent | Commentaires (0)
13 janvier 2017
le 2e cerveau
on croit que l'intestin ne sert qu'à digérer ? mais en fait, non !
il prédomine nos comportements, ce que nous pensons, ce que nous faisons.
on parle d'un deuxième cerveau, c'est dire : "Notre ventre contient en effet deux cents millions de neurones qui veillent à notre digestion et échangent des informations avec notre "tête". Les chercheurs commencent à peine à décrypter cette conversation secrète. Ils se sont aperçus par exemple que notre cerveau entérique, celui du ventre, produisait 95 % de la sérotonine, un neurotransmetteur qui participe à la gestion de nos émotions. On savait que ce que l'on ressentait pouvait agir sur notre système digestif. On découvre que l'inverse est vrai aussi : notre deuxième cerveau joue avec nos émotions."
mais ce n'est pas tout, notre intestin contient une bonne partie des 90% des bactéries qui nous composent : "Le microbiote est ce qu'on appelait la flore intestinale ; cela représente 100 000 milliards de bactéries. Parmi elles, des bactéries dominantes, des sous dominantes, et d'autres enfin qui ne sont que de passage. C'est cet équilibre qui est important et qui détermine notre immunité (et donc notre santé)."
s'il y a déséquilibre du microbiote, des tas de soucis apparaissent dont des manifestations "classiques" (gaz, diarrhées, vomissements...) mais aussi des troubles de l'humeur, de la fatigue, des problèmes dermatologiques...
il faut savoir, par exemple, que le candida albican, un champignon qui vit en nous, et ne nous embête pas.. mais si nous sommes stressés, ce champignon se met alors à nous nuire et nous rend addict au sucre, nous rend irritable, dépressif..alors, attention quand vous mangez du sucre, car celui-ci nourrit aussi les cellules cancéreuses..
voilà, en-dessous, le chemin de la nourriture :
- La bouche. Déjà, quand on met un aliment en bouche, on le met en petit morceaux (ce qui permettra à l'estomac de faire son boulot) et on l’imprègne de salive (la digestion commence dès ce niveau avec les amylases).
- L'estomac. L'acide gastrique, antibactérien, sépare les protéines et les met en petits morceaux
- Le petit intestin. Ici se fait l'assimilation (les nutriments passe dans la circulation) : le glucose, les acides aminés, les acides gras à courte chaîne et le glycérol passent dans les vaisseaux sanguins ; les acides gras à longue chaîne et les triglycérides passent dans les vaisseaux lymphatiques ; l'eau, les sels minéraux et les vitamines quant à eux peuvent passer dans les deux types de vaisseaux.
- Le gros intestin (ou colon). Il récupère ce qui reste - là, 100 000 milliards de bactéries attendent à manger.
- ... Et dans les selles, on trouve : ⅓ de fibres ; ⅓ de cellules mortes ; ⅓ de bactéries
alors... prenez soin de votre moral, veillez à votre intestin..
10:08 Publié dans lamiendo | Lien permanent | Commentaires (0)
il va bien falloir que ça s'arrête....
sinon, je ne tiendrai pas au-delà des cinquante ans...
09:53 Publié dans dessous dessus | Lien permanent | Commentaires (1)
08 janvier 2017
Emilio Casarotto
connaissez-vous Callipyge ?
"La Vénus callipyge est un type particulier de statue grecque représentant la déesse Vénus, ou plus exactement Aphrodite, soulevant son péplos pour regarder ses fesses, nécessairement superbes, par dessus l'épaule."
de ce fait, on appelle généralement "callipyges" les femmes aux formes généreuses, aux cuisses généreuses devrais-je dire, des femmes peintes ou sculptées avec des postures assez séduisantes.
Emilio Casarotto sculpte des femmes aux cuisses généreuses, à la manière de Fernando Botero, il les nomme ses chubby models, ce qui signifie "modèles joufflus", c'est bien le cas de le dire.
moi, j'aime bien..
11:30 Publié dans lamiendo | Lien permanent | Commentaires (0)
06 janvier 2017
on respire !
à l'occasion du CES 2017, qui se tient du 5 au 8 janvier à Las Vegas, la start-up parisienne Plume Labs dévoile Flow, un capteur personnel mobile qui permet à son utilisateur de mesurer le degré de pollution auquel il s'expose chez lui, à l’extérieur ou dans les transports.
" Fruit de plusieurs mois de R&D et développé en partenariat avec le CNRS, le capteur personnel nomade est connecté à une application mobile grâce à une connexion Bluetooth Low Energy et permet de mesurer la présence de particules fines, de dioxyde d’azote, d’ozone et des composés organiques volatils. Il permet également de connaître le niveau d’humidité et la température. Grâce à un système de LEDs et à un code couleur, l’utilisateur peut directement visualiser le niveau de pollution auquel il est exposé en appuyant sur le capteur. Une petite anse en cuir permet de l’attacher à un sac à dos, un vélo ou encore à une poussette."
"Comme Netatmo et ses stations météo, Plume Labs entend aller au-delà du simple objet connecté et souhaite bâtir une véritable communauté d’utilisateurs pour créer une carte temps réel de la pollution des différentes grandes villes du globe. Outre le marché grand public, la jeune pousse vise également un marché B2B et propose une API permettant d’accéder aux prévisions de la pollution de l’air, le tout grâce aux données collectées en temps réel, à l’historique de la pollution des villes et à des algorithmes de machine learning."
08:57 Publié dans éco'logique | Lien permanent | Commentaires (0)
à la rue
je sais, le vendredi c'est en général le jour des écolo-ras-le-bolo-revendico, mais on reste dans l'esprit avec ce post.
avant-hier, je vois le film "la part du gâteau" dans lequel Gilles Lelouche, traider, explique clairement qu'il est possible de faire couler une entreprise qui roule bien, en la rachetant, en empochant les subventions octroyées par le gouvernement, l'Europe et toute institution désireuse de conserver la production de ladite entreprise...
de déposer le bilan ensuite, de mettre les ouvriers au chômage avec des indemnités inexistantes et de se la couler douce ensuite avec une belle somme dans la poche.
Karine Viard en vomit presque dans le film mais ce n'est pas juste un sujet de fiction. Ecopla dans l'Isère a vécu la même situation, avec cette différence que les salariés ont tenté de reprendre l'activité sous forme de Scop, après avoir été totalement dépossédés de tout par le racheteur, le groupe italien Cuki, mais que le tribunal a refusé cette initiative, argumentant une gestion "limite-limite".
déjà, je sentais que ça bouillonnait en moi.
parce qu'évidemment, lesdits salariés se retrouvent sans emploi, au chômage et donc avec des moyens financiers moindres.
eh bien, justement, des personnes qui se sont soudain retrouvés au chômage, il y en a d'autres et notamment dans la métropôle du Rhône où des enfants et ados dorment à la rue car leurs parents n'ont plus les moyens de se loger, car au chômage..
pour leur venir en aide, les enseignants du collège Henri-Barbusse à Vaulx-en-Velin ouvrent depuis une semaine, à la nuit tombée, les portes d’une salle de l’établissement à trois familles sans domicile. « Ces couples avec huit enfants, âgés de 2 ans à 19 ans, dorment sur des matelas et repartent le matin pour libérer la salle », explique un prof de maths mobilisé.
de même, plusieurs familles sans toit de l’école Glibert-Dru, dans le 7e arrondissement de Lyon, ont fini par être relogées après la mobilisation des parents d’élèves, des enseignants et des gens du quartier.
moi, je dis qu'on vit dans une société merveilleuse... y'a pas !
08:43 Publié dans lamiendo | Lien permanent | Commentaires (0)
les drôles d'aventures en fourgonnette
hier, a débuté un projet avec une classe d'élèves en CM1, autour de l'univers des enfants...
en observant cette photo, ils ont imaginé un voyage folklorique, rempli d'aventures pour les trois enfants Timéo, Jean et Emilie, partis en vacances avec leur tonton Pierre.
les quatre aventuriers iront en Espagne, en Irlande, Egypte, Chine, Inde et Laponie et si nous avons le temps, nous ferons un carnet de voyages de ces aventures...
que du bonheur !
08:28 Publié dans mes ateliers d'écriture | Lien permanent | Commentaires (0)