15 octobre 2008
Mômaix
le festival Mômaix dès le 15 octobre à Aix-en-Provence
l’évenement culturel de cet automne pour les enfants à Aix-en-Provence
du 15 octobre au 10 décembre, Aix donne la parole aux spectacles pour enfants. Un tourbillon de nouveautés danse, théâtre et musique à découvrir en famille dans les différents lieux culturels aixois, du théâtre Antoine Vittez au Jeu de Paume en passant par le Grand Théâtre de Provence, le Centre Chorégraphique National et le Pavillon Noir. Voici une jolie sélection de spectacles pour vos enfants.
la magie du théâtre
redécouvrez le conte populaire de Charles Perrault La Barbe-bleue avec vos enfants grâce à La Compagnie Badaboum Théâtre qui redonne vie à ce personnage un brin effrayant. la deuxième partie du spectacle prend la forme d’un opéra. le conte passe brusquement de la barbarie à la poésie la plus pure. à redécouvrir avec ses enfants.
autre pièce de théâtre à partager en famille, Pierrot faché avec la lune. c’est une jolie rencontre entre des musiciennes de renom et deux comédiens mimes, alias Pierrot, Colombine, Janácek et Debussy qui décrochent la lune. un spectacle à la fois tendre, burlesque et poétique.
la féerie de la danse
la troupe de danse d’Angelin Preljocaj s’approche au plus près de la version des frères Grimm : miroir, pomme empoisonnée, chasseurs, courses en forêt, cercueil de verre et arrivée d’un prince. la version danse s’inscrit dans une tradition du ballet classique, superbement chorégraphiée par les 26 danseurs de la compagnie, costumés par Jean-Paul Gaultier. ce spectacle de danse est une véritable paranthèse enchantée, Blanche Neige ravive notre goût pour les histoires de Disney.
bestiaire fabuleux, créatures enchantées, arbre à lumières pour des aventures dans la veine d’un Lewis Carroll… tel est l’univers onirique imaginé par la chorégraphe Carolyn Carlson dans sa première pièce destinée aux enfants. cinq danseurs endossent les costumes les plus fantaisistes pour interpréter "Les rêves de Karabine Klaxon".
la beauté de la musique
la Clarinette Enchantée de Mozart n’est autre qu’un merveilleux spectacle de musique pédagogique. tendre et fraternel, le Concerto pour clarinette est la dernière oeuvre achevée de Mozart et l’une des plus célèbres du répertoire pour cet instrument. c’est Paul Meyer, un des plus grands clarinettistes actuels, qui l’interprétera. c’est le moment ou jamais d’initier ses tous-petits à la musique classique.
bref, il y en a pour tous les goûts !
pour les mômes...
20:51 Publié dans littérature | Lien permanent | Commentaires (0)
13 octobre 2008
104
et pour ne pas être taxée de régionalisme exacerbé, je voulais vous parler du 104, nouveau lieu culturel; établissement artistique de la ville de Päris.
au démarrage deux artistes qui comptaient s'exiler à l'étranger pour créer librement et espérer vivre de leur art, et un appel à projet paru dans Télérama...
installé dans l'ancien bâtiment des pompes funèbres, ce nouveau lieu de création et de production est dirigé par les metteurs en scène Robert Cantarella et Frédéric Fisbach. il doit accueillir plusieurs formes d'art, incluant les les arts plastiques, la musique, le cinéma, les arts numériques, le théâtre, le design, mais aussi la littérature, puisque le 104 a son propre pôle d'édition, et sera bientôt pourvu d'une librairie.
les ouvrages du pôle d'édition 104 sont co-édités avec les Nouvelles éditions Lignes, dirigées par Michel de Surya, et diffusés par Les Belles Lettres. Le tout premier ouvrage, paru le 12 septembre, est signé Olivia Rosenthal, qui a travaillé sur la mémoire du lieu en rappelant ses anciennes fonctions : entre documentaire et fiction, le livre Viande froide. Reportages fera l'objet d'une installation sonore le jour de l'inauguration.
"Il s'agissait surtout pour moi de saisir la mort comme un lieu, et l'histoire d'un lieu, explique l'auteur. Un lieu de l'entre-deux, entre visible et invisible. Un entre-deux étrange et paradoxal, où le corps est là sans être là, où il insiste encore pour ne plus paraître que dans le désordre de ses chairs, et dans sa bouleversante humanité. Où il ne s'offre qu'à son corps défendant, où il vit d'une autre vie, à lui-même inconnue."
le 18 septembre, en co-édition avec La Découverte cette fois, le 104 a publié Paris, dernier voyage. Histoire des pompes funèbres municipales (XIXe-XXe siècle), de Bruno Bertherat et Christian Chevandier. le prochain ouvrage, à paraître le 14 novembre, sera une pièce de théâtre de l'auteur japonais Toshiki Okada, intitulée Free Time, et qui sera jouée du 25 au 29 novembre au 104 en coproduction avec le Festival d'automne.
le programme des publications dépend de la production du lieu, visant à y instaurer une dynamique par le biais des livres. Une revue est également prévue sur Internet, et la librairie, conçue par Yannick Burtin, le fondateur du Merle Moqueur, devrait ouvrir ses portes au printemps.
(euh... juste comme ça... savez-vous où il a fait ses études Robert Cantarella ? si si !! à Marseille !!... y'a pas de mystère !!)
13:35 Publié dans littérature | Lien permanent | Commentaires (0)
tri.. turé...
Marseillaise je le suis parfois jusque sous les ongles.
alors, je me dois d'être honnête dans mes propos.
voilà un article vu sur "Désiré Leblog" sur le tri sélectif à Marseille. avé photo à l'appui, vé !
ça m'a donné une idée.
nouvelle idée, nouveau concours...
envoyez-moi des photos "écolos" où rien n'est "tout joli tout beau" et je choisirai les plus parlantes. vous pouvez envoyer vos photos sur ma messagerie et je les afficherai au fur et à mesure...
allez zou !
13:29 Publié dans littérature | Lien permanent | Commentaires (0)
11 octobre 2008
Nobel
J.-M. G. (Jean-Marie Gustave) Le Clézio, 68 ans, était tout désigné pour recevoir le prix Nobel de littérature. selon le communiqué de l’Académie suédoise, qui justifie ainsi son choix, il est l’«écrivain de la rupture, de l’aventure poétique et de l’extase sensuelle, l’explorateur d’une humanité au-delà et en dessous de la civilisation régnante».
à travers leurs attendus, les jurés Nobel sont par tradition des critiques littéraires un peu solennels. Le Clézio est bel et bien ce qu’ils disent, un nomade, jamais là où on l’attend, conquis par les cultures non occidentales, attaché à défendre les plus fragiles, un type bien, avec des antennes de poète. mais il est aussi un romancier simplement fraternel, à la prose accessible, séduisante sans renoncer à la complexité.
pour en savoir plus sur ce surprenant personnage solitaire, c'est ici
09:07 Publié dans littérature | Lien permanent | Commentaires (0)
09 octobre 2008
vous saurez tout...
et voilà un mystère de levé...
09:31 Publié dans littérature | Lien permanent | Commentaires (0)
mystère du jour
qui est ce bonbon rose ?
08:21 Publié dans littérature | Lien permanent | Commentaires (0)
08 octobre 2008
and the winner is....
voilà, c'est mercredi...
le jour du résultat du concours du taganinou.... (ouf !)
ça faisait longtemps et je suis enchantée de vos petits textes si mimis même si toujours aussi ennuyée pour choisir (donc ne m'en veuillez pas trop, please..)
1re
- Allez tu viens!
- C'est quoi ton truc ?
- La ta-ga-ni-nou
- Connais pas..
- Donne moi ta main....là....joue contre joue....
Et à travers le salon nous dansâmes la taganinou, en faisant des ronds, la taganinou, en levant la jambe, la taganinou, remplie de bisous.
- La quoi déjà?
- chuttt, savoure.
Ecrit par : magic punaise
2e
Le Taganinou est tout doux et malin,
comme un voile de satin, une brise de vent marin.
Il sent la vanille, la noix de coco et le café,
Il fait tourner, virevolter comme le rosé bien frais.
Le Taganinou ressemble à un bisou qui court sur vos joues le matin.
Parfois il vient par surprise juste pour vous faire rire.
Il peut se poser telle une goutte de rosée qui coule puis chavire sur votre peau pétale de velours, un instant, pour votre plaisir.
C'est comme une caresse qui tendrement se termine aux creux de vos reins et vous laisse le temps d'un soupir merveilleusement serein.
Le Taganinou ne s'achète pas,
Le Taganinou ne se prend pas,
Il est là, blotti en chacun de nous.
C'est un moment de bonheur à aimer, le Taganinou,
Un petit moment de chaleur à partager,
Comme une crêpe délicieusement parfumée,
dont on voudrait éternellement s'enivrer.
Ecrit par : Virginie
2e (ex aequo)
Un jour dans un jardin de Katmandou, une femme chantait dans sa langue, une étrange et douce mélopée à son enfant qui faisait quelque chose comme cela (c'est une traduction donc de l'à peu près):
Taganinou ça veut dire bonne nuit,
Taganinou, dors bien mon tout petit
Même loin de toi,maman veille sur toi
Et pour toujours elle sera près de toi !
En fait, cette berceuse venait d'une légende racontant l'histoire d'une princesse qu'une méchante déesse avait transformée en dragon blanc et qui comme Mélusine venait chaque nuit en grand secret au-dessus du berceau de son enfant pour lui dire son amour.
Voilà, c'est ça le Taganinou.
Ecrit par : jill.C
3e
"Mon" taganinou, elle me gratouille, elle me chatouille, elle me donne des idées...J'ai besoin d'un sourire, d'une couleur, un mot doux, pourquoi pas, même d'un bisou? Et soudain, ça y est, la voilà qui affleure mes lèvres, sur le bout de la langue, je frétille, je respire...J'y suis! Et vite, clac clac clac...Ah! c'est trop bon quand elle vient "mon" taganinou!!!!
Ecrit par : sophie
3e (ex aequo)
J'avais en tête une jolie poésie, des mots qui chantaient à mon oreille, mais mes doigts sur le clavier n'en voulaient pas...
C'est coquin des doigts sur un clavier, ça invente n'importe quoi !
Alors, pour lire ce qui suit, mode d'emploi : mettre une musique de votre choix, celle qui reflètera votre humeur du moment, ce moment fou où tout chavire... (où tout chat vire ? )
Taganinou
Taganinou
Osons tout
Otons tout
Sens dessus dessous
Sans dessus dessous
C'est la danse des fous
Qui hurlent au loup
Taganinou
Taganinou
Quand tout chat vire
Ne reste qu'un matou
Qui s'étrangle d'un miaou
Taaaa...ga.... minou !
Ecrit par : Marie Zim
je les adore tous en vérité vos "taganinou" mais je devais faire un choix, juste comme ça, pour dire de...
et Marie je l'ai positionnée en dernier afin qu'elle laisse la place aux autres qui ne sont pas habituées à recevoir des prix... mais je n'en pense pas moins...
à bien vite pour d'autres aventures...
10:26 Publié dans littérature | Lien permanent | Commentaires (9)
éditions des femmes
Le Groupe Psychanalyse et Politique est à l’origine de la création de la maison d’édition Des femmes en 1972. Constitué dès 1968, il réunit des femmes désirant orienter leurs réflexions et débats vers la psychanalyse et son influence dans le domaine politique.
Il est intéressant de noter qu’un seul précédent notable d’édition consacrée aux femmes existe. En réalité, il s’agit seulement d’une collection, intitulée simplement « femme », fondée chez Denoël par Colette Audry en 1964.( ouvrages traitant véritablement de la condition féminine, sous forme de témoignages, d’essais plus théoriques et d’études de la société contemporaine).
Des Femmes s’inscrivent ouvertement dans une lutte contre le monopole des éditions traditionnelles dirigées par des hommes, dans la lignée des revendications du M.L.F.
Les femmes doivent pouvoir écrire, être publiées et trouver un public. C’est le principal objectif, au-delà de la diffusion des revendications du groupe.
Si l’idée de créer une maison d’édition dédiée aux femmes est présente dès 1972, les trois premiers ouvrages ne paraissent qu’en avril 1974. Il s’agit d’Une femme de Sibilla Aleramo, O maman, baise-moi encore d’Igrecque etL’Age de femme de Juliet Mitchell. Ces trois livres sont présentés lors d’une conférence de presse se déroulant au Lutétia à Paris.
Les éditions Des femmes entrent dès lors officiellement dans le champ éditorial français et international, d’autant plus qu’elles ouvrent une librairie à Paris en mai et créent dans le même temps le Quotidien des femmes.
En 1979, la maison d’édition se détache du M.L.F., dont elle refuse d’être une simple émanation.
La politique éditoriale des éditions Des femmes tient en une phrase : il s’agit de créer une maison d’édition par et pour les femmes. Celles-ci doivent pouvoir diffuser leurs idées librement.
Une conférence de presse tenue en 1974, annonce les grandes lignes du projet éditorial.
Le premier logo s’avère être celui utilisé par tous les mouvements de libération des femmes du monde : le signe biologique de la femme avec un poing dressé à l’intérieur. On peut encore noter ici l’importance d’internationaliser l’engagement du groupe. Le sigle des femmes montre par son écriture cursive et l’absence de majuscule la volonté de se référer à l’ensemble des femmes, sans toutefois créer un modèle universel générique dénué d’âme.
09:49 Publié dans littérature | Lien permanent | Commentaires (0)
06 octobre 2008
crack boursier
22:23 Publié dans littérature | Lien permanent | Commentaires (1)
Rageot fait son cinéma
vous pouvez voir des interviews et des petits films avec leurs auteurs ici...
18:49 Publié dans littérature | Lien permanent | Commentaires (2)
02 octobre 2008
Mouans-Sartoux
voilà où je serai durant trois jours : au festival du livre de Mouans-Sartoux...
des enfants, des amis, des enfants, du soleil, des livres à gogo et... des enfants.
youppi !
n'hésitez pas à aller signer le manifeste des menteuses....
18:08 Publié dans littérature | Lien permanent | Commentaires (1)
Dita show
pou Jill (et les autres...) : Dita en mouvement...
11:37 Publié dans c'est la vie | Lien permanent | Commentaires (12)
suggestion...
et si c'était ça le "taganinou" ?
un ensemble de dessous qui mettent en valeur les courbes féminines ?
allez savoir...
l
quoi qu'il en soit, j'espère que ma nouvelle coupe de cheveux vous plait ...;-)))
09:26 Publié dans littérature | Lien permanent | Commentaires (8)
concours "taganinou"
fi donc des railleries en coulisses des demoiselles ironiques, comme je l'ai évoqué : je lance un nouveau concours.
" inventer ce que serait le ou la "taganinou" avec l'histoire qui va avec."
ce mot qui ne vient de rien de nulle part si ce n'est d'une douce plaisanterie partagée, doit être à l'origine de belles histoires que j'espère vous allez poster ici (parce que vos dernières participations ont été un peu "fantomatiques" !!!) et pour lequel je ferai un podium.
ça faisait longtemps non ?
alors qu'est-ce-qu'un ou une "taganinou" ?
à vos claviers !
07:03 Publié dans littérature | Lien permanent | Commentaires (17)
livres à Fadiouth
ne croyez pas que j'allais faire l'impasse sur cet appel à participation que j'ai lancé il y a quelque temps : m'aider à trouver les financements pour finir l'impression des livrets contenant les contes écrits avec les enfants de l'école Sainte-Thérèse lors que mon séjour à Joal-Fadiouth au Sénégal.
grâce à Sophie, Virginie, Marie, Mi, Gérard, Jill et Cheyenne, j'en suis à 154 euros. il manque donc encore 46 euros pour arriver aux 200 euros escomptés.
cela dit, cette somme déjà obtenue est déjà envoyée. tout ce qui est pris...
merci mille fois donc à ces généreux collaborateurs de l'ombre (désormais à la lumière) pour ce coup de pouce...
si d'autres sont motivés, j'en serai enchantée.
06:56 Publié dans littérature | Lien permanent | Commentaires (14)
01 octobre 2008
l'était-elle...
... socialiste ?
Renaud ????
J' peux pas dire qu'elle était vulgaire
Ou arrongante
L'était même plutôt au contraire
Elégante
Comme une tartine de confiture
Dans l' café
Comme un graffiti sur le mur
Des W.C.
J' l'ai rencontrée dans une manif'
Pacifiste
Ça castagnait sérieux avec
La police
J' m'étais fait mal en balaçant
Un pavé
J' m'étais foulé la ch'ville du bras
Le poignet
Elle était socialiste
Protestante et féministe
Un peu chiante et un peu triste
Institutrice
Croyait qu' le matin du grand soir
Allait v'nir
Croyait au grand souffle d'espoir
Sur l'av'nir
Genre de conn'ries qu' déjà quèqu' part
J'avais lues
Dans Minute ou dans un journal
Je sais plus
Elle m'a parlé d' Bernard Tapie
Enthousiaste
M'a dit qu'il avait du génie
Et d' la classe
J'ui ai dit: t'as raison, Ginette
C'est Karl Marx
En plus balèze, zn plus honnête
En plus efficace
Moi j'étais rien-du-toutiste
Anarcho-mitterandiste
J' sais même pas si ça existe
Mais ça m'excite
Pi elle m'a dit qu'elle avait des
Relations
Qu'elle était potes avec un pote
A Tonton
Qu'elle avait dîné y a un mois
Chez Jack Lang
Que Guy Bedos avait r'pris quatr' fois
De la viande
J'ui ai dit qu' moi j' fréquentais plus
Les salons
Que j'avais connu Charles Hernu
En prison
Qu' j'avais bouffé une fois dans un
Ministère
Qu'objectivement c'était meilleur
Chez ma mère
Elle était socialiste
S' méfiait des écologistes
Détestait les communistes
Et les dentistes
J'ui ai dit: Ginette, faut plus m' parler
D' politique
On va finir par s'engueuler
C'est classique
Comment veux-tu que j' sois d'accord
Avec toi
J'ai d'jà du mal à être d'accord
Avec moi
Elle m'a dit: J' m'appelle pas Ginette
D' toutes façons
J' m'appelle Simone, si ça t' fait rien
J'ai dit : Bon
Pi faut qu' j' m'en aille, faut que j' retourne
Gare de Lyon
Avant qu'on m' vole ma mobylette
Ça s'rait con
C'est comme ça qu' ma socialiste
Qui avait si peur des voleurs
M'a largué en pleine manif
A cause d'un vélomoteur
Comment tu veux changer la vie
Si tu balises pour ton bien ?
On peut pas être à la fois
Un mouton et un mutin
On peut pas être à la fois
Et au four et au moulin
On peut pas être à la fois
Jean Dutour et Jean Moulin
15:30 Publié dans c'est la vie | Lien permanent | Commentaires (2)
30 septembre 2008
tag à ninou
or donc, la demoiselle voulait chahuter...
soit ! chahutons !
d'abord je dois citer trois choses qui m'énervent :
- le manque de respect (là d'accord je copie mais c'est viscéral chez moi, réellement, je déteste)
- la violence sous toutes ses formes (là encore ce n'est pas que ça m'énerve ça me laisse sans voix)
- les gens fainéants, profiteurs et qui se plaignent inlassablement le regard tourné vers leur nombril...
quoi ? déjà fini ? mais moi il y a bien d'autres choses qui m'énervent... bon, trop tard, j'ai choisi...
puis les trois choses que j'adore (bien qu'il y en ait plus) :
- les bisous, surtout ceux des enfants
- le partage... surtout lorsqu'il s'accompagne de sourires ensoleillés
- quand la journée commence bien, continue bien, se finit bien... bref, j'aime me sentir heureuse
j'ai envie de rajouter "l'anticonformisme" mais je n'ai plus de tirets, alors je triche un peu...
je dois passer le relais...
donc :
- Mi
15:11 Publié dans littérature | Lien permanent | Commentaires (6)
conte, raconte
je vous en ai déjà parlé mais là, de le tenir entre mes doigts, je ne peux résister à vous le montrer...
il s'agit du livre relatant l'histoire de la communauté du pays d'Aix, regroupant de ci de là les interventions faites dans les classes durant plusieurs années par divers intervenants sur divers thèmes mais avec comme thématique de fond : le patrimoine du pays d'Aix.
avec une trame réalisée par une historienne de l'art : Nadine Bénoliel, à partir de laquelle Christine Fêret-Fleury (auteur) et moi-même avons écrit le récit historique et que Delphine Bodet (illustratrice) a mis en images, mis en forme, mis en maquette... bref que Delphine a finalisé.
sans oublier nos collaboratrices chères et talentueuses : Sandrine Macke et Marie Bonafos de l'ASPPA.
un magnifique ouvrage (oui, je peux le dire sans rougir)...
14:44 Publié dans mes ouvrages | Lien permanent | Commentaires (2)
28 septembre 2008
correspondances
hier soir dans le cadre des dix ans des Correspondances de Manosque, je suis allée écouter Jacques Gamblin qui avait carte blanche pour partager des mots qu'il avait choisis et des chorégraphies qui allégeaient tout cela.
une présence, un humour et une allure qui n'appartiennent qu'à lui. certains des textes aussi d'ailleurs...
mais cette année, je n'ai pas eu de dédicace... glup...
23:17 Publié dans littérature | Lien permanent | Commentaires (7)
27 septembre 2008
Winnie 2
et une deuxième fois donc avec cette histoire, qui m'a bien amusée quand je l'ai écrite... Les mots magiques du sage Youkiko, illustrée par Camille Dubois... miam !
09:14 Publié dans mes publications presse | Lien permanent | Commentaires (5)