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19 août 2008

demain

prendre le meilleur de chaque chose et regarder vers demain pour avancer...

pas à pas...

 

 

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17 août 2008

épisode 10

- Je m’en doutais. Vous êtes trop sensible, Lupa, vous ne devriez pas assister à tout ça. Et puis, je ne suis pas certain… Mais il faut que les secours arrivent vite maintenant. Je les appelle…

Lupa s’éloigna un peu. Elle se tenait courbée, comme si une douleur au ventre l’empêchait de se redresser.

- Attendez, ne partez pas, s’il vous plaît. J’appelle et je vous raccompagne.

 

Paul s’était rapproché d’elle. Il souleva une mèche de ses cheveux grisonnantes entre ses doigts carrés et les repoussa derrière l’oreille si fine de la jeune femme.

Elle acquiessa, lèvres pincées.

Vita, je me souviens de notre rencontre. Un soir, dans l’ascenseur de chez moi. Tu venais voir ce couple au cinquième. C’était la première fois que tu faisais ça avec un couple. Tu ne savais pas trop. Mais tu n’avais pas peur. Au contraire, ça t’amusait… Tu me l’as dit après. Quand la porte de l’ascenseur s’est fermée, on était face à face. Tu as souri. Je voyais tes lèvres gourmandes, tes yeux qui brillaient. Quand la porte s’est rouverte au cinquième, j’ai appuyé sur le rez-de-chaussée et tu t’es approchée de moi. « Tu veux jouer ? » tu m’as demandé. Tu te frottais contre moi. Je t’ai répondu « lève ta jupe » et tu l’as fait. Tu portais rien en dessous. T’as jamais rien mis sous tes jupes. J’adorais ça. J’ai glissé ma main là entre tes cuisses que tu gardais serrées… juste exprès pour m’exciter. Quand mon doigt est entré en toi, c’était chaud, humide. Alors t’as léché mes lèvres, t’as ouvert ma bouche avec ta langue et tu l’as fourrée toute à l’intérieur. Putain, ce que j’ai aimé ça…

- Lupa ?… Lupa ?

 

La jeune femme sursauta. Elle semblait ailleurs et Paul devina qu’une certaine panique s’emparait d’elle.

 

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15 août 2008

petits secrets entre filles

écoute...

                                                 oh !!

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tu crois ?

                                                                                oui

                                                                                       oui

                                                                                                  oui

                    chut...        

14 août 2008

talons aiguille

 

Luz Casal - Piensa en mi

 

Si tienes un hondo penar, piensa en mi 
Si tienes ganas de llorar, piensa en mi 
Ya ves que venero tu imagen divina 
Tu parvula boca, que siendo tan nina 
Me enseno a pecar 
Piensa en mi cuando sufras 
Cuando llores, tambien piensa en mi 
Cuando quieras quitarme la vida 
No la quiero, para nada 
Para nada me sirve sin ti 
Piensa en mi cuando sufras 
Cuando llores, tambien piensa en mi 
Cuando quieras quitarme la vida 
No la quiero, para nada 
Para nada me sirve sin ti 

 

9

Lupa s’agenouilla près de l’inspecteur. Son épaule frôla le bras de l’inspecteur et il sentit une vague de chaleur l’envahir. Il aurait bien le temps de repenser à cela par la suite. Là, il y avait urgence.

- Son ventre… J’ai touché son ventre en la retournant… J’ai senti un coup…

La jeune femme le dévisageait sans saisir. Paul n’était même pas surpris d’être là, penché sur un corps dévasté en compagnie d’une inconnue aux yeux de biche apeurée. Pas surpris non plus de lui faire part de ses découvertes comme si elle était son adjointe. Il ne savait rien d’elle excepté son identité. Et qu’il avait envie de la revoir. Intensément envie de la revoir.

- Dans son ventre… ça bouge… ça vit… Elle est…

- Enceinte ?

- Oui… Je crois bien. Pas de beaucoup. Quatre, cinq mois… Mais je suis prêt à parier qu’elle a un bébé dans son ventre et qu’il n’est pas mort, lui…

Lupa eut un hoquet de dégoût. Elle se releva précipitamment et respira un grand coup.

- Un… bé…bé ?

Putain, Vita, c’est pas possible, t’as pas fait ça… t’as pas pu me faire ça. Te faire engrosser… Par ce connard… C’est pour ça… Pour cette raison que tu voulais me quitter… Vita… On l’aurait gardé ce bébé… Ca aurait été notre bébé… Je t’aurais regardé lui donner le sein et puis je t’aurais tétée aussi un peu comme un louve, je t’aurais tartinée de salive partout, tu aurais mis de ton lait sur moi, tu aurais léché et j’aurais aimé ça… tes seins gonflés… tes gros seins plein de lait…Je me rappelle comme t’aimais ça quand je te mordillais le mamelon, ça te plaisait tellement… Un bébé…

- Mais… comment… est-ce possible ?

Des larmes coulaient sur ses joues à présent.

 

 

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13 août 2008

Jazz in Marciac

nichée dans la verdure au cœur du Gers, à mi-chemin entre Auch et Tarbes, la petite bastide de Marciac fondée à la fin du XIIIe siècle est devenue aujourd'hui une bourgade qui, chaque année, abrite pendant quinze jours estivaux un chapiteau géant, des rues en fête, des milliers de visiteurs réunis dans la célébration d’une musique pour un festival dont la renommée a franchi les frontières.

créé en 1978 à l’initiative d’une poignée d’amateurs, le festival, d’abord axé sur le jazz traditionnel, accueille autour de Claude Luter des formations de style Nouvelle-Orléans avant d’étendre sa durée et de diversifier sa formule.

la programmation 2008 reflète, une fois encore, la volonté d’ouverture entreprise depuis quelques années et qui a valu au festival d’élargir son audience en touchant de nouveaux publics. ainsi, maintes formes de musiques actuelles trouveront-elles place sous le grand chapiteau pour des concerts de prestige aussi bien qu’aux arènes ou, côté jardin, dans un festival bis propice aux rencontres inédites.

 

du jazz, bien sûr, avec, entre bien d’autres, des stars internationales tels les pianistes Herbie HancockMcCoy Tyner et Brad Mehldau, le trompettiste Wynton Marsalis, figure emblématique de Jim, ou encore Paolo Fresu et Stefano Di Battista, la scène française étant représentée par les étoiles montantes Manu Katché ou Emile Parisien qui fit ici ses premières armes.

une fois encore, John Zorn symbolisera l’avant-garde new-yorkaise ainsi que le pianiste Uri Caine, tandis que Bireli Lagrène et Christian Escoudéporteront le flambeau de la tradition manouche.

au menu aussi, la musique d’Amérique latine (Brésil, Cuba) abondamment célébrée, une soirée consacrée à l’Afrique avec Omar Sosa et Dee Dee Bridgewater, des habitués (Diana KrallBobby McFerrin, l’accordéoniste Richard Galliano associé à Wynton Marsalis dans un programme original). Sans oublier une création des étudiants du CNR de Toulouse autour de Milton Nascimento et des frères Belmondo, ni la présence d’Hervé Sellin à la tête d’une formation de musiciens confirmés. Un large panorama musical propre à satisfaire, du 1er au 17 août, les amateurs les plus curieux comme les plus exigeants.

grain de sables

je voulais vous parler d'"elle"... un grain de sable dans un drap de satin.

une mer d'émotions dans des pages à tourner.

juste pour le partage...

 

12 août 2008

Marsillia

 

Le Vieux port de Marseille vu du Pharo

 

franchement, aujourd'hui, le Vieux Port (site de Marseille qui se trouve en bas de la Canebière) était plus beau que jamais...

what else ?

rien.

rien.

rien.

aide

il y avait longtemps que je ne vous ai parlé de Joal Fadiouth... mais si, rappelez-vous, "mon" île au Sénégal, "ma" terre entre mer et coquillages...

si j'en parle ce soir, c'est pour vous demander de l'aide...

éh éh...

quand je suis allée écrire avec les élèves de l'école Sainte-Thérèse, nous avons réalisé des ouvrages (3 en tout) regroupant les différents contes inventés avec (par) les élèves.

nous avons souhaité imprimer ces livrets mais il manque 200 euros aujourd'hui pour finaliser cela.

alors, j'en appelle à votre douce générosité pour que chaque enfant de l'école puisse avoir son exemplaire.

si vous êtes partant pour une aide financière, merci de me le faire savoir...

gracias...

 

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11 août 2008

épisode 8

La victime portait une jupe en jean’s, courte, qui était remontée au-dessus de la culotte lors de la chute. Sauf qu’il n’y avait aucune trace de culotte. De longues stries zébraient le haut des jambes. Le policier voulut rebaisser sa jupe et il remit de l’ordre dans ses vêtements. Il souleva légèrement un haut de son pull et découvrit d’autres traces. Sur tout le bas du dos. Des traits boursouflés sur une peau encore si jeune…

- Mais quel intérêt peut-on trouver à faire cela ?

Paul n’en revenait pas. Il avait rarement vu un corps aussi marqué. La victime était-elle consentante ?

Il se souvint… Une fois, il avait rencontré une femme qui avait voulu qu’il la frappe avant de lui faire l’amour. Ca l’excitait, disait-elle. Elle avait besoin de sentir un homme fort, dominant, dominateur, violent… pour avoir du plaisir.

Au début, il avait trouvé marrant de lui administrer des fessées avant de la pénétrer, de la sodomiser. Et puis, ça avait dégénéré. Paul faisait des cauchemars. Il se réveillait la nuit en sueur. Il se voyait en train de la tabasser. Il n’arrivait plus à se regarder dans le miroir le matin. Il avait rompu. Il s’était juré : plus jamais ça !

La chaleur de sa chatte humide. Hum… Son goût. J’ai jamais trouvé une chatte qui avait ce goût-là. Vita c’était une perle, un cadeau…Pourquoi est-ce qu’elle a préféré ce type ? Elle écartait ses cuisses de jouvencelle, elle faisait semblant d’hésiter, j’insistais un peu, je sortais ma langue, lui léchais le haut des jambes, le ventre. Elle ronronnait, je la griffais, elle…

 

- Merde !

- Qui a-t-il ?

 

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Bayonne

on y était...

et ça, c'est comme le haka des All Blacks, une fois que vous l'avez entendu, vous ne doutez plus de votre force intérieure. aaaahhh !!!

 

10 août 2008

le secret des curieux

dans quelques jours, paraîtra le secret des curieux aux éditions du Pas de l'échelle, superbement illustré par Véronique Abt.

Que se passe-t-il ? Liem aimerait bien connaître le secret des oiselles.
Et la petite curieuse va tout faire pour le découvrir.
Vous percerez à votre tour des secrets inattendus !

Retrouvez-les dans ce très beau conte des origines.

 

Le Secret des Curieux

il y a un extrait visible sur le site des éditions.

vous pouvez déjà le commander ainsi que les fichiers d'exploitation pédagogique, outils pour les enseignants de maternelle.

 

Le secret des Curieux

courrez-y vite, en plus, en ce moment, il y a des promotions !!!

7

vous avez du patienter pour la suite ???... la voilà... et c'est reparti...

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- Ca s’est passé, là… dans la rue ?

- Non… La victime a essayé de s’enfuir, semble-t-il. Mais à bout de forces, elle a fini par succomber de ses blessures, ici, sur ce trottoir…

Vita… Pourquoi tu m’as fat ça ? C’était pas bon nous deux ? Pourquoi t’es retournée voir ce porc ? Pourquoi tu voulais tout arrêter entre nous ? Il ne te baisait même pas bien, ce connard… Vita… T’as vu ce que tu m’as fait faire ? Tu te rends compte…T’as tout cassé… Tout foutu en l’air….

- Vous… Vous avez déjà une piste ?

- Non… Je ne suis pas l’inspecteur Colombo, vous savez. Ce n’est pas un film… Dans la réalité ça prend bien plus de temps que ça…

- Vous allez interroger tout le quartier…

 

L’inspecteur souriait, malgré l’horreur de ce qu’il s’était passé. Cette Lupa était vraiment… adorable… Il était bien décidé, maintenant, à ne pas la laisser partir sans lui proposer un rendez-vous. Une soirée dans un restaurant chic. Il avait envie de redevenir galant, prévenant. Un parfait gentleman.

Lupa s’autorisa à s’approcher du corps mutilé.

Elle frissonna à la vue des traces sanguinolentes qui ornaient le corps de la victime. L’inspecteur suivit son regard.

- Il semble qu’elle ait été lacérée. Des griffes monstrueuses comme si un animal l’avait déchiquetée entre ses pattes. Elle a même des traces de morsures… des crocs…

- Un animal ?

- Oui… ça paraît étrange mais cette femme semble avoir été tuée par un animal… Un loup…

Si tu savais comme elle aimait ça Vita, quand je l’attachais aux barreaux du lit. Elle voulait que je serre bien fort. Et elle aimait quand je la fouettais. Ca la faisait mouiller encore plus…Vita…

- Bien sûr… Là, vous voyez sur ses cuisses, ses… fesses… Griffée... au sang…

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29 juillet 2008

vestiaires



pour mon basketteur préféré...
non, pas Tony... l'autre.

épisode 6

Tout semblait si raisonnable chez cette jeune femme. Paul Desmarets se disait qu’il devait faire bon vivre à ses côtés… Pas de mauvaises surprises, pas d’états d’âme changeants… Une maison bien tenue, des bons petits plats comme il les aimait… Il ne comprenait pas bien ce qu’il lui arrivait mais des dizaines d’images s’installaient dans sa tête. Lui avec cette… comment déjà ? … ah oui ! Lupa. Elle à ses côtés dans sa grosse voiture, elle dans son lit, partageant ses repas, plaisantant durant les réunions de famille. Elle avec lui…
Il se secoua. Ses divagations, ce serait pour plus tard. Il avait une enquête sur le dos. Une affaire à résoudre. Elle le fixait, un air si doux flottait dans son sourire.
Nuit de baise. Nuit torride… Tu sais ce que c’est, toi, de jouir durant des heures… de mourir de plaisir ? Non, tu sais pas… Des chiennes en chaleur… Regarde-toi… Tu ne connais rien au plaisir…

- Je suis navré mais vous ne pouvez rester ici. Je dois commencer mes recherches.
- Je comprends… je me disais juste qu’une femme avertie en vaut deux… alors…
L’inspecteur Desmarets soupira. Après tout, il ne trahissait pas le secret professionnel en informant une citoyenne des dangers qu’elle encourait à se promener de bonne heure dans le quartier.
- Vous avez raison. La victime a été sauvagement violée… son… anus… et son… vagin… ont été totalement déchirés…

Il hésitait. Le visage de Lupa se crispait à chacun de ses mots. Il craignait de la choquer.
Elle aimait ça, la salope…que je la pénètre profondément…Ce n’était jamais assez fort, jamais assez loin…Avant je la léchais longtemps, elle suppliait, mouillée qu’elle était… Ma langue fouillait en elle, je la griffais jusqu’au sang et quand elle n’en pouvait plus, je lui enfournais mon appareil… à fond… Elle hurlait de plaisir, haletait, en voulait encore. Toujours plus. Encore…

Paul reprit :
- Je vous choque, mademoiselle Beckett, je m’en excuse…
- Lupa…
- Comment ?
La voix de la jeune femme était inaudible. Un souffle qu’un rien pouvait briser définitivement. Paul s’en voulait de lui faire subir ça.
- Appelez-moi Lupa, murmura-t-elle en baissant les yeux.
- Hum… Lupa… Je ne sais pas si je fais bien de vous raconter tout cela.


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28 juillet 2008

violence fragile

je pose ici cette vidéo pour ma Virginie : des femmes qui dansent une "Violence fragile"...

on y est...

c'est la compagnie Gilschamber...


27 juillet 2008

5

Lupa ne se décidait pas à partir. Elle avait envie d’en savoir plus. Elle fit mine de s’éloigner un peu, pour respecter ce qui se dirait entre l’inspecteur et ses hommes mais l’air inquiet qui masquait son visage justifiait sa présence.
Quand les techniciens se dirigèrent vers leur véhicule, elle revint à la charge.
- C’est quelqu’un du quartier ? Vous l’avez identifiée ?

Paul n’arrivait pas à détacher son regard des prunelles lavande qui se fonçaient un peu lorsque Lupa Beckett semblait soucieuse. Ces prunelles qui semblaient le pénétrer.
- Non, la victime n’avait pas de papiers sur elle. Mais on nous a signalé la disparition depuis plusieurs jours d’une certaine Stéphanie Irles. Ce nom vous dit-il quelque chose ?
Vita… Vita… C’est Vita qu’elle s’appelle, abruti… Ca fait bien longtemps qu’elle avait rayé Stéphanie de sa vie…

- Vous savez, je n’habite pas ici. Je ne faisais que passer ce matin lorsque j’ai vu votre voiture et tout le mouvement autour de vos hommes…
- Vous passiez ? A 6h30 du matin ? Mais ce n’est pas sérieux…
- 6h45 ! … Oui, je suis très matinale. J’aime faire un petit tour quand la ville dort. Ainsi, je peux mettre de l’ordre dans mes idées avant de commencer la journée.

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patchwork

je ne suis pas très assidue en ce moment.
pour m'en excuser, je vous laisse découvrir un peu à quoi ressemble ma vie...
ce n'est qu'un patchwork...


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24 juillet 2008

épisode 4

Allez ma belle, bouge un peu… Dandine-toi… Un peu… Juste un peu…
L’inspecteur n’aimait pas jouer de sa position pour séduire les femmes, en général. Il n’avait jamais eu de chance avec ses conquêtes et rêvait encore, malgré tout, de celle qui saurait le comprendre. La jeune femme qui se trouvait en face de lui avait un quelque chose de différent des autres. Elle n’était ni aguicheuse, ni agressive. Il eut soudain envie de la protéger.

Il tendit sa grande main aux doigts carrés afin de la faire reculer un peu et elle se méprit. Elle empoigna celle-ci dans un geste de pure candeur :
- Lupa Beckett !
Et devant le regard surpris de l’inspecteur, elle ajouta :
- Mère italienne, père anglais…
Lupa avait l’habitude de ce réflexe inquisiteur envers son nom. Elle récitait sa leçon apprise depuis son plus jeune âge.
Lupa Beckett… N’oublie pas… Beckett… Beckett….

L’inspecteur allait se présenter à son tour lorsque les techniciens de la scientifique rassemblant leurs affaires, vinrent au rapport.
- C’est bon, chef, on a fini…
- Vous avez trouvé des indices intéressants ?
- Un infime morceau de latex, quelques poils animaux, un fil de laine cashmire orange retrouvé sous un ongle…
- Le type qui lui a fait ça est un vrai sadique…
- Ah oui…un bout d’ongle cassé… enfin… ça ressemble à un bout de griffe… d’animal…
Elle l’a bien cherché la salope… Maintenant elle ne partira plus…

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22 juillet 2008

à tous les sculpteurs d'aujourd'hui...

pour tous les professionnels, galeristes et collectionneurs, amoureux de la sculpture, il manquait un guide complet qui dresse le panorama actuel des sculpteurs vivants. La revue Artension et les éditions Iconofolio ont associé leur savoir-faire pour concevoir un annuaire de référence qui donne une visibilité complète aux artistes.

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un portail Internet dédié à la promotion des artistes est également prévu, en collaboration avec les Solutions Créatives

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vous êtes artiste et vos travaux entrent dans ce champ d'action : en contrepartie de la présentation de votre travail dans l'ouvrage il vous est simplement demandé de contribuer à sa diffusion.
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