13 février 2010
happy birthday
je sais je vous l'ai déjà postée cette vidéo mais c'est de circonstance ârce qu'on est le 13 février... (et puis j'adore et elle et l'idée...)
alors, mon amour, je te souhaite un joyeux anniversaire même si tu ne souffleras pas les 46 bougies...
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05 février 2010
Vincent... pour Babelle
ben oui, faut suivre.. parce que les points se cousent d'un tissu à l'autre de la toile...
envie de vous parler de ça :
Surprenante expo Van Gogh à Londres !
Une exposition quatre étoiles ou davantage, elle vise au cœur du sujet. Et, si les lettres y sont moins nombreuses qu’à Amsterdam, ici elles accompagnent de très près des tableaux qui, subtilement agencés en fonction du parcours créatif de l’artiste, en fonction des thèmes qui lui furent chers, accompagnent idéalement le Van Gogh épistolaire.
Un Van Gogh (1853-1890) au four et à la plume qui émeut autant, sinon parfois plus, que le peintre. Dans ses lettres - superbement réévaluées par l’édition en six volumes du Fonds Mercator, en voie d’épuisement et de réédition ! -, Vincent rapportait ses réflexions, ses détresses, ses soucis divers, ses passions et ses frustrations, ses amours impossibles et son attirance pour les petites gens. Journal intime plus que lettres au vent, la correspondance de Van Gogh avec Théo, mais aussi avec Gauguin, Van Rappard, Emile Bernard, constitue un témoignage inestimable sur les préoccupations d’un artiste en constant commerce avec lui-même. Elle explicite les tableaux qu’il y décrit avant de les avoir peints. Elle informe sur son quotidien, ardu et généreusement assumé, mais, plus encore, elle nous renseigne sur le peintre, sa conception de l’art, son souci des couleurs, des lignes, des matières, du rendu des émotions et de l’ajustement de celles-ci à ses exigences plastiques.
Huit salles pour une grande expo. Une première lettre à Théo, datée du 24 juillet 1875, attire aussitôt l’attention. Quand il l’écrit, Vincent est loin d’être un peintre et l’en-tête du document indique qu’il est employé de la Masion Goupil, marchand de tableaux, à Paris. Elle est écrite en néerlandais, d’une petite écriture soignée, régulière et calme. Moins de dix ans plus tard, son destin a basculé et le dos d’une enveloppe destinée à Théo, de mars 83, est entièrement dessiné: cinq hommes et un enfant dans la neige. Van Gogh en est à ses balbutiements. Et de ceux-ci aux premiers pas, il n’est qu’à s’offrir la salle des "Paysages hollandais ".
Votre redécouverte du plus emblématique des plasticiens de la fin du XIXe siècle, démarre dans les couleurs terre et sombres d’un fils du Nord pénétré de générosités mystiques, des voix de la nature et du lourd labeur requis de l’être humain à sa solde. Jusqu’à la fin, Van Gogh sera attentif à deux particularités essentielles: la nature et l’homme. En Hollande, la campagne violentée l’agite à l’aune des tourments que lui valent ses amours déçues et trois salles consignent ses travaux dans la glèbe. A Etten, à Nuenen, en Brabant. La campagne éprouvante, les paysans dans leurs travaux et jours, le cul par-dessus la tête et la tête appesantie face au sol. Semeur déjà, éplucheuse de patates, femme bêchant, mangeurs de pommes de terre La toile d’Amsterdam n’est pas là, mais y sont ses lettres et une litho reprenant ce rustre sujet connu entre tous.
Dans les lettres, l’écriture est toujours régulière, serrée, plus tendue peut-être. Puis, Van Gogh gagne Paris, découvre la lumière de l’île de France et s’écrie: "Mais le peintre de l’avenir, c’est un coloriste comme il n’y en a pas encore eu". Il découvre les estampes japonaises, Hiroshige et Utamaro, sa palette s’aère, se transforme, oublie l’Ecole de La Haye, s’enjoue délicatement. Pas pour longtemps!
Le voici en Arles, en cette Provence qui va le mettre à feu et à sang. Mais, surprise, surgi de la collection d’un privé, voici un "Arles dans la neige"de février 88 - il vient d’y arriver - que nous n’avions jamais vu. La première blancheur dans un pays qui lui fera voir la vie en jaune. Salle sur la "couleur" avec les "Barques aux Saintes-Maries", "La diligence de Tarascon", des jardins fleuris, des tournesols coupés, des roses, et des lettres en concordance complice. Salle sur le "portrait" et l’on sait qu’il en a peint beaucoup. Portraits de la famille du facteur Roulin, du "Zouave", de "Madame Ginoux en Arlésienne" ou son "Autoportrait en artiste" de janvier 88. A leurs côtés, portraits par la bande, "Le fauteuil de Gauguin" et "La chaise de Van Gogh" symboliques d’une tension paroxystique sous l’apparence désinvolte.
La littérature l’occupe: Dickens, Hugo, Balzac, Zola, Voltaire Une toile inédite, "Romans parisiens", témoigne. Et puis, le "Sud", les lettres enflammées à Théo, "La maison jaune" et les "Cycles de la nature": "Je voulais faire un verger de Provence d’une gaieté monstre"... Semeurs et fenaisons "Les derniers paysages" s’annoncent. Sa santé a périclité, on l’a soigné à Arles, il sera interné à Saint-Rémy de Provence, s’en ira à Auvers-sur-Oise auprès du docteur Gachet. L’écriture, sans s’endiabler, s’affirme plus vive. Mais il peint, sans relâche et "ces toiles vous diront ce que je ne sais dire en paroles".
La tristesse est immense, car sa lucidité le tenaille. Il écrit, il peint, l’hôpital, les cyprès comme des torches Van Gogh n’ira pas plus loin! Humanité exacerbée et peinture survoltée, urgences et pensées, délicatesses et audaces existentielles et plastiques. Engorgements de matières et tournoiements, Van Gogh et ses contradictions: une pleine vie au bout du pinceau, des couleurs.
The Royal Academy, Burlington House, Piccadilly, Londres. Jusqu’au 18 avril, du dimanche au jeudi de 10 à 18h; vendredi, 10 à 22h; samedi 10 à 21h. Catalogue. Infos : 0844.209.1919 ou www.royalacademy.org.uk/newsletter et, en Belgique, www.visitbritain.be et www.visitbritaindirect.com
11:09 Publié dans c'est la vie | Lien permanent | Commentaires (4)
gaga !
pour ma jolinénette number one qui l'adore l'adore l'adore et c'est peu de le dire, voilà une des chanteuses d'aujourd'hui qui a tout d'une très grande !!!
c'est comme ça que je les aime, les "filles"...
10:53 Publié dans c'est la vie | Lien permanent | Commentaires (0)
03 février 2010
wonderful
là, j'avoue, impossible de lutter contre la blonde rose barbie, délicieuse et talentueuse...
non, même pas jalouse !!
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26 janvier 2010
guillon du matin
08:53 Publié dans c'est la vie | Lien permanent | Commentaires (1)
24 janvier 2010
regrets
20:41 Publié dans c'est la vie | Lien permanent | Commentaires (6)
23 janvier 2010
Haïti
23:59 Publié dans c'est la vie | Lien permanent | Commentaires (1)
Avatar
c'est un vrai succès, et là en général, je bloque.
quand tout le monde court pour aller voir THE film, vous pouvez me croire, je n'y vais pas.
là, en regardant la bande annonce, je me suis dit : waouh !
et en regardant le film avec mes lunettes 3D sur le nez, j'ai eu envie d'y croire.. à cette possibilité de renaitre, comme nous dit Jake Sully lorsqu'il devient définitivement un Na'vy...
un autre monde...
le scénario n'a rien de nouveau mais franchement c'est intense... magnifique... j'ai adoré !
21:44 Publié dans c'est la vie | Lien permanent | Commentaires (2)
22 janvier 2010
Tetro
j'écris des histoires de femmes mais les hommes ne sont pas en reste quant à leurs interrogations, souffrances, quêtes.
puisque "un bon film" semble être une option partagée pour passer un bon moment, je viens vous parler de celui-ci.
étonnant pour un film de Coppola mais terriblement troublant.
en plus, je trouve que le comédien principal (Vincent Gallo) a une certaine ressemblance avec Bruce Springsteen lorsqu'il était jeune... ce qui ne gâte rien !!
un film sur la filiation, sur le pouvoir retors de la notoriété, sur le respect, le courage et la quête de ce que l'on est...
honnêtement, je me questionne : saurais-je décrire aussi bien les états d'âme masculins ?
12:47 Publié dans c'est la vie | Lien permanent | Commentaires (2)
21 janvier 2010
fun-sondage
pour reprendre une expression de Babelle, ma jolinénette number one m'a dit hier : j'aime bien les sondages sur ton blog....
pour lui faire plaisir en voilà donc un autre :
si l'envie de changer d'air vous prenait soudain, une envie d'évasion, un ras-le-bol du quotidien, quel serait votre choix :
1)
2)
3)
4)
alors, quand il y en a marre, vous optez :
- pour un bon livre qui permet de s'évader, tapez 1)
- pour le film de l'année qui permet de voyager, tapez 2)
- pour le restaurant qui fait décoller les papilles, tapez 3)
- pour la soirée entre amis toujours autant appréciée, tapez 4)
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20 janvier 2010
france culture
15:55 Publié dans c'est la vie | Lien permanent | Commentaires (3)
13 janvier 2010
sondage (pour les filles)
pour tromper un coup de blues malvenu, qui s'est imposé sans vous consulter et qui s'installe sans se gêner... vous préféreriez :
1)
2)
3)
alors, vite à vos claviers et :
- pour l'homme idéal, tapez 1
- pour la saveur fondante idéale, tapez 2
- pour le lieu paradisiaque idéal, tapez 3
à gagner ? la réalisation de vos rêves ?
un week-end sous les tropiques en compagnie de G. à déguster des gourmandises sucrées ?
une soirée avec Edouard sous la neige à croquer des fraises en tartelettes ?
allez savoir ??
15:01 Publié dans c'est la vie, un peu de moi | Lien permanent | Commentaires (12)
11 janvier 2010
solo
adieu Mano.
solo ma non tropo...
j'ai beaucoup beaucoup écouté ses disques, sa voix éraillée... j'ai toujours beaucoup aimé. encore aujourd'hui.
11:19 Publié dans c'est la vie | Lien permanent | Commentaires (1)
10 janvier 2010
9e
neuvième dimanche. neuvième dimanche. neuvième dimanche.. neuvième dimanche. neuvième dimanche...
I still haven't foud what I'm looking for....
10:28 Publié dans c'est la vie | Lien permanent | Commentaires (4)
05 janvier 2010
dernière danse
j'ai longtemps parcouru son corps
effleuré cent fois son visage
j'ai trouvé de l'or
et même quelques étoiles en essuyant ses larmes
et j'ai appris par coeur la pureté de ses formes
parfois je les dessine encore
elle fait partie de moi
je veux juste une dernière danse
avant l'ombre et l'indifférence
un vertige puis le silence
je veux juste une dernière danse
je l'ai connue trop tôt mais c'est pas ma faute
la flèche a traversé ma peau
c'est une douleur qui se garde
qui fait plus de bien que de mal
mais je connais l'histoire il est déjà trop tard
dans son regard, on peut apercevoir qu'elle se prépare au long voyage
je peux mourir demain ça ne change rien
j'ai reçu de ses mains
le bonheur ancré dans mon âme
c'est même trop pour un seul homme
et je l'ai vue partir sans rien dire
il fallait seulement qu'elle respire
merci d'avoir enchanté ma vie.
Kyo
"Dernière danse"
13:44 Publié dans c'est la vie | Lien permanent | Commentaires (2)
04 janvier 2010
Camus
il y a cinquante ans, mourrait Albert Camus, d'un accident de la route (en voiture de sport, lui, mais quand même...) en venant de Lourmarin (c'est chez moi, ça...) mettant fin à une vie d'auteur et d'homme encore à enrichir...
il avait 46 ans.
il était né un 7 novembre, quand d'autres sont morts un 8.
novembre.
son père s'appelait Lucien. presque Luc...
il a écrit L'étranger.
L'autre... L'étranger...
mais que sait-on réellement de lui ?
avait-il un amour caché ? des projets de vie ? des envies de partir loin, de tout recommencer ?
écrivait-il des courriers enflammés à une belle croisée à un détour de vie ?
j'ai trouvé ceci à son sujet :
« L'absurde naît de cette confrontation entre l'appel humain et le silence déraisonnable du monde ». Dans cette phrase est concentrée la puissance d’un conflit, d’une confrontation qui supporte et emporte l’œuvre de Camus. Deux forces qui s’opposent : l’appel humain à connaître sa raison d’être et l’absence de réponse du milieu où il se trouve. L’homme vivant dans un monde dont il ne comprend pas le sens, dont il ignore tout, jusqu’à sa raison d’être.
étrange comme cela me parle.
je sais ça peut sembler "obsessionnel" à la longue...
mais je me dis qu'un jour peut-être des écoles, médiathèques, collèges porteront le nom d'un autre auteur, mort trop tôt et qui a tant donné de lui...
12:48 Publié dans c'est la vie | Lien permanent | Commentaires (5)
02 janvier 2010
panorama
la chanson de Kent est jolie tout plein et le clip réalisé par Stéphane Girel... ça le fait, dis donc !
14:48 Publié dans c'est la vie | Lien permanent | Commentaires (1)
l'amour dans les étoiles
photo Alexandre Maller
Voie lactée
Allongées dans le noir
Les yeux grand ouverts comme des chouettes
Les filles comptent les étoiles.
Elles cherchent l’étoile du berger.
Il est où d’ailleurs le berger ?
La grande Ourse.
La petite.
Les filles sont allongées dans le noir.
Elles disent : Ouh ouh !
Elles ouvrent grand leurs yeux.
Il n’y a plus d’étoiles.
Nuit noire.
je ne cache pas mon plaisir pour les photos d'Alexandre Maller. j'ai pensé réaliser des recueils mélangeant mes textes et ses photos.
voici un échantillon d'un recueil intitulé "l'amour pousse aussi sur les arbres".
je n'ai pas encore démarché parce qu'un éditeur semblait intéressé mais si l'idée en séduit un autre... n'hésitez pas.
14:21 Publié dans c'est la vie | Lien permanent | Commentaires (1)
28 décembre 2009
il parait qu'un jour
Alors il parait qu’un jour comme ca, on va mourir,
comme ca, on va partir,
et le monde, va continuer a tourner.
Les gens ne vont rien faire ils vont juste rester, chez eux.
Alors il parait qu’un jour comme ca, on va revivre,
oublier le passé, et ne plus y penser,
une autre histoire recommencer.
Certains disent que l’on vit
plusieurs milliers d’années,
d’autres que l’on s’envole au milieux des nuées.
J’ai la tête, dans les nuages
et le monde à mes pieds.
Je n’ai que faire de mon âge sauf au mois de juillet.
J’ai le coeur sous les étoiles et ne sais faire que râler
Je pourrais bouger d’avantage mais personne n’est parfait.
Alors il parait qu’un jour comme ca, on va mourir,
comme ca, on va partir, ne plus se réveiller,
de notre corps se détacher.
Et on sera tout nu, on aura un peu froid
on se sentira seul, un ange viendra nous réchauffer.
Alors il parait qu’un jour comme ca,
on va dormir pendant, des milliers d’années
peut etre un instant pour se réveiller.
personne ne nous verra,
on sera tout perdu
tout le monde sera là certains vont pleurer,
c’est pas grave
ah si grave
J’ai la tête, dans les nuages
j’ai le monde à mes pieds.
Je n’ai que faire de mon âge sauf au mois de juillet
J’ai le coeur sous les étoiles et ne sais faire que râler
Je pourrais bouger d’avantage mais personne n’est parfait.
Mais personne n’est parfait
J’ai la tête dans les nuages j’ai des fourmis dans les pieds
J’ai la tête dans les nuages et personne n’est parfait, sauf le bon Dieu…Il parait
Mickey3D
"Personne n'est parfait"
09:20 Publié dans c'est la vie | Lien permanent | Commentaires (1)
23 décembre 2009
t'es beau
j'ai peur d'oublier j'ai peur d'accepter j'ai peur des vivants... à présent
21:57 Publié dans c'est la vie | Lien permanent | Commentaires (1)