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12 octobre 2009

survivance

reprise par les Pussycat Dolls, voilà une chanson (et une chanteuse...) qui décape...

05 octobre 2009

boutonnage

vous ai-je déjà avoué mon penchant pour les hommes portant chemise ?

oui, je le crains...

mais... pourquoi les chemises d'hommes ont-elles leurs boutons à gauche et les chemises de femmes à droite ?

les encyclopédies de l'histoire du vêtement donnent trois explications.

historiquement, les hommes se sont généralement habillés seuls.

les femmes de leur côté (surtout les nobles) étaient habillées par leurs servantes. pour faciliter la tâche aux servantes qui faisaient face à leurs maîtresses en les habillant, les couturières auraient confectionné des vêtements qui se boutonnaient de droite à gauche.

une autre explication avance que les femmes du Moyen Âge, ayant plusieurs enfants, les portaient au creux de leur bras gauche pour garder leur main la plus agile, la droite, libre. il était ainsi plus facile pour elles lorsque venait le temps d'allaiter leurs enfants, de déboutonner leurs vêtements si les boutons étaient placés comme ils le sont, de glisser la tête de l'enfant vers le sein gauche et d'envelopper le petit pour le garder au chaud sous le panneau droit du vêtement.

la troisième explication veut que les hommes du Moyen Âge devaient toujours être prêts à s'emparer de leur épée. pour éviter que leur main droite, puisque la plupart étaient droitiers, soit gelée ou engourdie, ils la plaçait sous le panneau gauche de leur manteau. ils devaient donc boutonner de gauche à droite.

 

soit...

oubli

Samantha est allongée sur le grand lit de la chambre d'hôtel. Elle observe l'homme qui avance, le torse, nu, serviette enroulée autour de la taille. les cheveux ruisselant, il arbore un sourire qui ne réprouve aucun doute, aucune inquiétude.

cela fait trois mois que cet homme invite la jeune fille à le rejoindre dans cette chambre, luxueuse et claire. dans un endroit éloigné de la ville, là où personne ne pourra les voir.

elle l'a croisé un soir, un soir où elle s'était disputée avec sa mère et qu'elle avait préféré le froid du trottoir pour réfléchir, pour se calmer que l'ambience étouffante de l'appartement familial.

l'homme s'était assis à ses côtés et lui avait parlé avec douceur.

plus tard, il avait posé sa main sur sa tête et lui avait caressé la naissance du cou en infligeant de petites pressions sur ses doigts.

Samantha avait senti un certain bien-être l'envahir et avait fermé les yeux.

aussi, quand l'homme avait posé un baiser sur ses lèvres d'adolescente, elle avait trouvé cela terriblement romantique.

le lendemain, elle était allée au collège fière d'avoir su intéresser un homme, un vrai, pas ces nigauds de garçons qui étaient dans sa classe.

et le soir, elle était retournée sur le trottoir. lui aussi.

et les jours suivants.

jusqu'à ce qu'il lui propose de le rejoindre le soir d'après à cette adresse, pour être plus tranquilles, Samantha redoutant toujours de voir débouler sa mère dans la rue.

elle a longtemps hésité et pourtant, elle y est allée.

hôtel Novalis, chambre 11.

elle n'aime rien de cet homme. ni le goût, ni les gestes, ni la force, ni sa peau, ni ses mots, ses halètements, son corps lourd, sa bouche vicieuse.

mais elle vient. et vient encore.

parce qu'avec lui, au moins, elle est quelqu'un...

 

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(en 1978, Roman Polanski avait plaidé coupable "d'abus sexuel sur mineur" et signé un acte de reconnaissance de culpabilité. il avait alors été remis en liberté en attendant son jugement. mais pris de panique, il avait fuit les Etats-Unis au cours du procès et n'y a, depuis, jamais remis les pieds.

si le réalisateur a reconnu avoir eu des relations sexuelles avec cette jeune mannequin de 13 ans, il a toujours réfuté le terme de "viol". la victime, Samantha Geimer, qui a été indemnisée, a souhaité abandonner les poursuites.)

je vous invite à lire cette lettre ouverte

25 septembre 2009

mélo dit Nelson

- respirez madame, tout va bien se passer. on va sauver votre petit homme, car c'est un garçon...

Il est si petit, avec ses 500 grammes à peine et pourtant le nourrisson qui vient de voir le jour se bat pour la vie, se bat pour rester là, avec sa maman qui sourit de toute son âme.

cet enfant est un cadeau. c'est ce qu'elle ne cesse de se répéter tant elle sent son coeur qui palpite d'émotion en voyant le minuscule corps que la sage-femme emporte pour le placer en couveuse.

cet enfant est un cadeau et il va vivre.

des mois de soins et d'attentions et le petit garçon vit. il restera petit mais il vit.

Nelson.

il s'appelle Nelson et chaque jour la même phrase s'accroche aux idées de sa maman : cet enfant est un cadeau.

intelligent -terriblement - sensible, gentil, il comble la vie de ses proches. et sa petite taille lui vaut le surnom de "Little big man" qui le fait sourire.

 

ce jour-là, Nelson doit aller faire une course. il enfourche son vélo et part en saluant sa mère penchée à la fenêtre. son fils a beau avoir quatorze ans désormais, cette femme se demande encore comment un tel bonheur a pu lui être offert. elle lui rend son geste de la main et referme les vitres.

quand il arrive sur le passage piétons qui lui permet d'aller vers les magasins, Nelson pense à la jolie Djema du collège, à sa partition de musique, à l'anniversaire de son père qui approche, à ce qu'il ne doit surtout pas oublier de ramener, à...

il pense, il a le coeur léger.

il ne voit pas le gyrophare qui fonce sur lui sans aucune sonnerie hurlante. il n'a pas le temps de le voir. la voiture est déjà au loin. et lui, est sur le pavé. étendu. mort.

il ne voit pas les yeux effarés du jeune policier au volant de la voiture. ni le chiffre qu'indique le compteur de vitesse derrière le volant.

il ne verra pas les yeux de sa mère, emplis de larmes, tellement lourds de chagrin. il ne les verra plus jamais...


photo Henri Coldebeuf

(Nelson Lobry-Gazelle est mort après avoir été fauché par une voiture de police dans laquelle se trouvaient deux policiers, Frédéric Nieddu, 31 ans, et Yohan Bensadoun, 24 ans (stagiaire, nouvellement reçu) alors qu'il traversait une rue des quartiers Nord de Marseille sur un passage piétons.)

18 septembre 2009

Marina

photo Henri Coldebeuf

 

Marina marche sur le parking, seule, apeurée.

ses pieds, nus, sont gonflés et tuméfiés. elle a mal. chaque pas qu'elle fait extrait une plainte de sa bouche sèche.

les larmes coulent sur ses pommettes sans qu'elle se rende compte de l'humidité qu'elles créent.

elle appelle : papa ?

- qu'est-ce que tu fais là, petite fille ?

Marina hésite, observe l'homme en costume blanc qui s'est penché vers elle et serre très fort son poing, jusqu'à imprégner la trace de ses ongles dans le creux de sa paume.

L'homme reprend :

- ne reste pas là, viens avec moi !

Marina secoue la tête de gauche à droite, de droite à gauche. ses cheveux lui collent sur le front, ses pieds la font terriblement souffrir et les ecchymoses sur son bras l'empêchent de remuer.

doucement, si doucement, l'homme pose sa main chaude sur son épaule.

- viens, ma jolie, viens, tu vas te reposer un peu...

Marina réagit :

- non, mon papa il veut pas que j'aille avec des autres.

- il est où ton papa ?

- j'sais pas... je le cherche. j'voudrais bien le trouver. mais j'le trouve pas. j'sais pas où il est...

- ne t'affole pas, c'est fini... tu ne dois pas avoir peur... plus jamais

La fillette renifle bruyamment en essuyant de son bras non meurtri les écoulement de son nez...

- t'es qui toi ?

- je vais t'aider, te protéger...

- je te connais pas, moi... me protéger comment ?

- comme le ferait ton papa...

- mon papa; y dit que je fais rien de des conneries et que il sait pas ce qu'il a fait au bon dieu pour avoir une fille aussi cruche...

- il dit ça ?

- oui, et même que quand j'ai faim, il m'enferme à la cave pour pas que je réclame... et des fois il me donne une sacrée rouste... mais j'ai pas le droit de pleurer sinon j'en prends une deuxième...

L'homme en blanc la dévisage... un sourire tendre se glisse sur ses lèvres. il caresse ses cheveux collés...

- ne crains rien, tout cela est fini. tu es au paradis ici...

 

(Marina Sabatier, 8 ans a été retrouvée morte vendredi 11 septembre, coulée dans du béton, dans un conteneur au Mans. on la croyait enlevée sur un parking d'un Mac Do...)

16 septembre 2009

l'oeil de la conscience

 

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« L'œil était dans la tombe, et regardait Caïn »

 

 

13 septembre 2009

Willy Ronis

c'était l'un des géants de la photographie du XXe siècle, avec Doisneau et Cartier-Bresson. Willy Ronis est décédé, à Paris, à l'âge de 99 ans. il y a quelques semaines, il était l'invité des rencontres d'Arles pour une exposition et un débat animé par Samuel Kirszenbaum.

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“Je n’ai jamais poursuivi l’insolite, le jamais vu, l’extraordinaire, mais ce qu’il y a de plus typique dans notre existence quotidienne.” Willy Ronis.

10 septembre 2009

debout... et demain ?

 

 

09 septembre 2009

conte et chemise

comme je suis une gourmande d'explications, je suis allée chercher pourquoi et j'ai trouvé ceci :

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Une prise de conscience pour se délivrer de soi-même ?



Les motifs de la délivrance dans les contes de fées... Voilà qui nécessite peut-être un mot d'explication, surtout dans la version originale anglaise "redemption motifs" qui pourrait suggérer une réflexion religieuse alors qu'il n'en est rien. Non, la délivrance dans un conte de fées, c'est tout bêtement ce moment à la fin du conte où le héros vient à bout du dragon qui retenait la pauvre princesse prisonnière ou encore le moment où la grenouille se métamorphose miraculeusement en prince charmant sous l'effet du baiser de la princesse... Mais nous savons depuis longtemps que les héros pourfendeurs de dragons n'existent pas plus que le prince charmant, et alors, me direz-vous, quel est l'intérêt de ce livre? 

Elève et assistante de Carl-Gustav Jung, Marie-Luise von Franz s’est beaucoup intéressée aux contes de fées et à leur interprétation en termes psychologiques, un sujet auquel elle a d’ailleurs consacré plusieurs ouvrages, dont “La voie de l’individuation dans les contes de fées” déjà critiqué sur ce site. Dans le livre dont je souhaite vous parler aujourd’hui, elle s’attarde assez longuement sur les raisons de cet intérêt, un intérêt qui est motivé par l’hypothèse que les contes sont à l’inconscient collectif d’une société ou d’un groupe ce que les rêves sont à l’inconscient de l’individu. La lecture et l’analyse des contes de fées nous donneraient donc accès à tout un savoir accumulé par l’inconscient collectif concernant par exemple le processus de l’individuation (cfr “La voie de l’individuation dans les contes de fées”), le traitement de certains troubles psychologiques (contamination entre deux complexes autonomes, conflit entre l’anima et la “Weltanschauung” consciente) ou des problèmes très concrets de la vie quotidienne (que faire lorsqu’on se trouve sous l’emprise d’une émotion violente)... Le principe de l’analyse peut paraître à première vue relativement simple : chaque personnage du conte peut être associé à un complexe autonome ou à un archétype, par exemple, le héros, celui qui sait ce qu’il faut faire dans la situation décrite par le conte, sera associé au “Soi”. Mais en fait, cette première analyse se révèle simpliste et doit être affinée : le héros, par exemple, sera finalement associé à un aspect particulier du complexe du “Soi”, celui qui joue le rôle de modèle et de guide dans le développement du complexe de l’“Ego”. Ceci simplement pour donner un exemple des principes de l’analyse d’un conte, car il faut dire que certains contes se révèlent tellement riches qu’ils se prêtent à plusieurs jeux d’associations, et donc à plusieurs lectures différentes... Et puis, tout cela sera sans doute beaucoup plus clair si l’on en vient à quelques cas pratiques...

Un premier cas, relativement simple, est celui de contes dans lesquels l’héroïne s’efforce de délivrer ses frères ensorcelés et transformés en animaux. Ce canevas apparaît en fait sous plusieurs variantes (dont une très célèbre due à la plume d’Hans Christian Andersen) qui diffèrent essentiellement par le nombre des frères, la nature de l’animal dans lequel ils sont transformés et la personne qui est à l’origine de la transformation. La condition de leur délivrance est en revanche toujours la même : l’héroïne doit filer, tisser et coudre pour chacun de ses frères
une chemise, à partir des fibres d’une plante sauvage. Elle doit en outre observer un silence absolu pendant tout le temps qu’il lui faudra pour réaliser ces chemises. Marie-Luise von Franz s’attarde longuement sur ce motif de la transformation en animal, qui est un motif très fréquent se prêtant à de mutiples interprétations selon le type d’animal, les conditions de la transformation... Un premier niveau de lecture consiste à reconnaître dans l’animal un contenu inconscient, ou bien une émotion, qui après avoir été réprimé pendant une longue période a commencé à accumuler de l’énergie tout en se “déshumanisant”. L’épreuve imposée à l’héroïne pour obtenir la délivrance de ses frères tombe alors sous le sens : il faut donner au contenu réprimé une expression appropriée, c’est à dire une chemise... Bon, il y en a beaucoup plus à dire, notamment sur ce que révèle le motif de la chemise, et je simplifie énormément l’analyse de Marie-Luise von Franz, mais celle-ci n’en reste pas moins toujours parfaitement accessible et compréhensible. 

Le motif de la chemise, justement, apparaît aussi dans le conte du Roi Lindworm. Il s’agit là d’un conte particulièrement impressionnant dans lequel une reine met au monde un enfant-dragon qui s’empresse aussitôt de mettre le royaume de ses parents à feu et à sang et de recourir aux pires menaces pour obtenir la satisfaction de ses moindres caprices... Dans le symbolisme des alchimistes, le dragon est communément associé à la notion d’hermaphrodyte ou à l’“indifférencié”, ce qui conduit Marie-Luise von Franz à proposer une lecture de ce conte en termes d’une contamination des complexes de l’“Ego” et du “Soi”, un problème très sérieux qui s’accompagne généralement chez une personne atteinte d’un sens moral déficient – voire inexistant -, si bien que cette personne peut représenter un danger réel pour ses proches, en plus d’avoir un comportement destructeur pour elle-même (Adolf Hitler aurait souffert de cette forme de névrose...). Dans le cas du conte du Roi Lindworm, une analyse détaillée du processus par lequel celui-ci a pu être délivré, et enfin devenir un être humain normal, se révèle donc particulièrement intéressant pour un thérapeute qui serait confronté à ce problème chez un de ses patients
(et c’est là que l’on voir réapparaître le symbole de la chemise).

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intéressant, non ?

08 septembre 2009

un petit nouveau

arrivé ce vendredi sur France Inter, il nous promet de beaux moments...

miam...

 

 

06 septembre 2009

collectionneuse

si les Dieux du Sud me sont favorables, je devrais d'ici la fin de l'année pouvoir commencer divinement ma collection de voix.

je préparerai mon dictaphone puisque je n'ai pas vu naître d'autres propositions plus fortuites, et cueillerai un morceau de voix de ce monsieur-là, lors de notre rencontre :

 

ma plus belle rencontre c'est celle avec la vie, celle que j'ai portée dans mon ventre et qui aujourd'hui grandit. celle qui se blottit contre moi en me disant qu'elle m'aime et m'aimera toujours.

la vie qui me dépasse et qui pique mes tee-shirts dans mes tiroirs, la vie qui perd ses dents et sourit avec des trous plein la bouche, la vie qui porte des petites jupes et des ballerines mignonnes, la vie qui collectionneuse les insectes et les éventails, la vie qui rit qui pleure mais qui rit plus qu'elle ne pleure.

qui jamais ne trahit, jamais ne me met en concurrence avec ailleurs, qui ne m'inspire jamais la peine ni la peur...

ma plus belle rencontre c'est la vie et le plus doux c'est qu'elle a eu lieu plusieurs fois, cette rencontre...

05 septembre 2009

what else ?

pour pousser l'analyse plus profondément, après le délice d'une voix qui glisse lentement le long de mon cou une fois entrée dans le conduit de mon oreille, pour descendre à l'intérieur de mon corps, sur mes épaules, vous voyez le genre de cheminement ? juste l'échine de l'épaule, sous l'épiderme là où surgit l'acromion... ensuite descente subtile le long de la colonne vertébrale pour se loger avec moult frissements au bas des reins, là où la cambrure devient réceptacle...

bref, pour aller plus au-delà, je confesserai qu'une voix - si elle est masculine j'entends, car des voix féminines ont aussi des pouvoirs sur mes émotions il va s'en dire - qui pourrait avoir un tel cheminement en moi a plus de chance de multiplier ses effets si... en-dessous j'y distingue une chemise posée sur un corps serein.

 

pas forcément un corps d'athlète mais le corps d'un homme que rien ne crispe, qui bouge avec aisance et souplesse, avec douceur et tranquillité...

s'il est vêtu d'une chemise, je sais, je sais, je sais, que mon attention n'en sera que plus attirée...

alors pourquoi cette découverte de ce tandem : "voix rapeuse et chemise" pour que mon âme soit secouée ?

si un psychologue passe par ici, qu'il me dise...

 

voix

http://ancoco.centerblog.net/4438757-BOUCHE-

 

il m'est venu hier une révélation en noircissant des petites cases sur une liste de QCM : j'aime la voix.

les voix.

je suis réceptive à la voix d'une personne, je pense en avoir déjà fait référence ici.

réception, ressenti, émotions qui peuvent engendrer des sentiments que le physique ou l'esprit de la personne n'auraient suffi à faire naître.

j'ai donc pensé qu'il me faudrait faire une "collection de voix".

de façon à me délecter lorsque l'envie me prend d'écouter ses voix qui me transportent dans un autre monde.

Luria disait qu'il voyait des couleurs dans les voix qu'ils entendaient, moi je pense que j'y vois un univers, un monde imaginaire où je m'invente un voyage.

collection de voix, collection de voyages...

oui, mais voilà, comment faire ?

errer ici ou là, un dictaphone à la main.

prier ces personnes de se plier au jeu de me laisser leur voler un extrait de leur voix ?

faire un mixage des chanteurs/euses dont la voix a un effet vertigineux sur mes tripes entraînant parfois des vibrations que je ne peux ignorer ?

croyez-vous qu'un certain George, Bruce ou Benjamin me laisserait l'enregistrer au moment où il me susurrerait un message qui me serait personnel ??

alors ?

qui veut m'aider ?

01 septembre 2009

i-matou

envie d'un petit chat ?

à partir du 1er septembre, vous pourrez adopter le joli Bludzee.

Bludzee, jeune matou, cherche maître… avec iPhone

gros avantage de la bête : avec elle, pas besoin de litière ou de croquettes. et pour les câlins, faudra repasser. qui a dit que les chats avaient ce pouvoir auprès des divinités égyptiennes de capter les mauvaises ondes et d'en soulager leurs propriétaires ?

ben, pourtant, il s'agit bien d'ondes ici encore..

pour vivre ses aventures, Bludzee se contentera de l'écran… de votre téléphone.

le papa de ce drôle de félin est le dessinateur Lewis Trondheim, qui propose ainsi la première création BD française pour terminaux mobiles. ça va ronronner dans les circuits.

c’est un petit matou noir plutôt craquant, qui vit seul dans un appartement. pour s’occuper, Bludzee gobe les mouches – et le regrette aussitôt, n’ayant ensuite plus rien à chasser –, colle sa truffe à la fenêtre ou surfe sur Facebook (où il inscrit comme occupation favorite « lécher mes fesses »).

l’animal est le héros d’une nouvelle forme de bande dessinée, créée spécialement pour les terminaux mobiles types iPhone ou Blackberry.

les péripéties de Bludzee seront proposées en 19 langues différentes alors Bludzee pourra toucher un public nomade qui s’ennuie entre chez lui et son lieu de travail – et s’ennuie certainement aussi SUR son lieu de travail…

allez, dénoncez-vous, qui s'ennuie au boulot ?

 

31 août 2009

ressemblance

allez savoir pourquoi le portrait de Ted Kennedy, figure dans la famille politique américaine dans le post précédent m'a fait penser à une autre figure mais dans la famille politique française.

la ressemblance n'est pas criante au premier coup d'oeil, mais il n'empêche... les associations d'idées parfois ont ce mystère que nul ne peut expliquer.

ou alors est-ce à cause de La Rochelle ?

30 août 2009

adieu Ted

La réforme du système de santé était le dernier combat de Ted Kennedy.

alors que Barack Obama peine à imposer sa réforme du système de santé américain, certains éditorialistes font – pragmatiquement – remarquer que la disparition du sénateur Ted Kennedy pourrait encore lui compliquer la tâche.

fin connaisseur des rouages du Sénat, le dernier des frères Kennedy était passé maître dans la négociation de compromis avec ses collègues républicains. de plus, la réforme du Health Care (système de santé) était le combat de sa vie.

 

je ne peux m'empêcher d'être touchée, moi, qui il y a quelques jours pensais à son frère John grâce à la belle Marylin...

29 août 2009

loulou

un parfum de tendre amour pour une vraie princesse...

 

la superbe

en exclusivité...


podcast

vous aurez reconnu, j'en suis convaincue, cette voix qui me fait fondre...

26 août 2009

red...

... like a poppy.

 

travers olympique

comme je sens poindre de mauvaises intentions du genre "elle n'apprécie plus la gente masculine", je voudrais vous parler de mon coup de coeur masculin de l'été :

 

Logo

 

Laurent Travers est l'entraîneur de Castres Olympique et possède, en plus d'avoir été champion d'Europe de rugby en 1997 avec le club corrézien au poste de talonneur, une certaine courtoisie précieuse qui le distingue de la faune des bipèdes décriée dans un des jours précédents.

doux sourire et phrasé élégant, il amène, avec son coéquipier Laurent Labit, l'équipe de choc qu'est Castres Olympique sur des hauteurs espérées par tout sportif.

 Castres : Travers satisfait

je ne sais pas vous, mais on sent qu'il vaut mieux éviter de le contrarier... Et pourtant... quelle gentillesse !