24 avril 2008
suite 4
Suite 4 : Le jardin
Quand les serviteurs sortent du souterrain, ils se retrouvent dans les jardins du château. Là, ils voient une vieille dame et lui demandent si elle veut bien les aider. La vieille dame accepte et les amène à une trappe, cachée sous les herbes. Elle l'ouvre et des escaliers apparaissent alors sous les yeux surpris des visiteurs.
Ils descendent et arrivent tout en bas devant une grosse porte en fer. Impossible de l'ouvrir, elle est fermée à clé ! C'est alors que la vieille dame se transforme en fée et leur dit que pour ouvrir la porte il suffit de prononcer une formule magique. Les serviteurs sont bien ennuyés... Connaissent-ils des formules magiques ? Ils essaient de se rappeler de quelques-unes :
- Cézanne ouvre-toi !
- Chaudron magique, ouvre-toi !
- Abracadabra, ouvre-toi !
Chacun essaie à leur tour, mais la porte reste toujours fermée. Et en plus... la vieille dame transformée en fée a disparu !
Les serviteurs commencent à se décourager lorsque l'un d'entre eux s'écrie, à bout de nerfs :
-Eh! Vieille porte ! Ouvre-toi !
Et... alors… comme par magie, la porte s'ouvre.
Ils découvrent soudain à l’intérieur un coffre rempli de pièces d'or !
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suite 3
Suite 3 : Le champ de cerisiers
A la sortie du souterrain, les serviteurs se retrouvent dans un champ de cerisiers. Au pied d'un cerisier, ils découvrent une croix en bois plantée dans le sol. Un des serviteurs dit:
- Il faut creuser là!
- Oui, il a raison ! acquiescent-ils en chœur.
Et ils creusent sous la croix. Ils aperçoivent une petite boîte, dans laquelle se trouve un petit sac... et dans ce petit sac, il y a une grosse graine avec un petit mot : "Plantez-moi, s'il vous plaît !"
Sans hésiter, ils plantent la graine et d'un coup, apparaît un gros arbre dont les fruits sont en fait… des pièces d'or !!!!
En découvrant cela, les serviteurs commencent à se disputer. Chacun veut garder le trésor pour lui :
- C'est moi qui ai trouvé le plan !
- Mais c'est moi qui ai creusé!
- Oui, mais moi, j'ai planté la graine !
Finalement, après de longs instants de dispute, l'un d'entre eux crie :
- Stop! Arrêtez de vous disputer ! On va tout se partager et on va même en rapporter au château.
Et c'est ce qu'ils firent ...
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suite 2
Suite 2 : En bord de Durance
Le souterrain les amène en Durance . Mais là, il n'y a plus rien. Ils comprennent qu'ils ont fait fausse route. Ils sont découragés...
Le plan est certainement faux !
C'est alors qu'ils aperçoivent une bouteille qui flotte dans la Durance, coincée entre les branchages et les galets. Après moult péripéties, ils arrivent à la récupérer, ils l'ouvrent et découvrent… un plan.
Celui-ci leur indique que le trésor se trouve de l'autre côté de la Durance. Ah oui! Mais voilà … le problème, c'est qu'il faut traverser la Durance et que personne ne sait nager...
Finalement, ils trouvent un tronc d'arbre et se mettent dessus. Ils arrivent sur l'autre berge et là, ils aperçoivent le trésor : un coffre à moitié enfoui sous les galets... mais impossible à ouvrir ! Après bien des recherches, ils finissent par trouver une clé toute rouillée dans un buisson. Tout contents, ils se précipitent sur le coffre, mais une fois ouvert… ils ne trouvent que des boutons d'or à l’intérieur !
Et oui… Le coffre est rempli de fleurs jaunes !
Les serviteurs sont vraiment déçus... tout ce mal pour quelques fleurs !
Mais au contact de l'air, ces fleurs se fanent ... et se transforment en de vrais boutons en or ! Les serviteurs sautent de joie et décident de ramener le coffre au château.
Ils retraversent la Durance à califourchon sur le coffre...
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suite 1
Suite 1 : La forêt
A la sortie du souterrain, ils se retrouvent dans uns forêt. Ils suivent le tracé du plan et arrivent enfin au trésor. Mais un sorcier, qui habite la forêt, les a suivis. Et dès qu'il voit que les serviteurs s’apprêtent à ouvrir le coffre, il récite vite une formule magique. D'un coup, des plantes carnivores sortent du sol et encerclent et le coffre et les serviteurs.
C'est comme s’ils se trouvaient à l'intérieur d'une cage. Les serviteurs, affolés, essaient de sortir de cette cage de plantes mais, dès qu'ils touchent la tige d'une plante, ils se retrouvent statufiés ! Quand tous les serviteurs sont transformés en statue, le sorcier fait disparaître les plantes et s'empare du trésor puis il s'enfuit.
Au bout de plusieurs heures, les serviteurs se réveillent .... ils sont désenvoûtés mais ne se souviennent de rien au sujet de cette mésaventure...
Ils sont obligés de demander leur route à une personne qui ramasse des champignons.
En fait il s’agit du sorcier mais personne ne le reconnaît, puisqu’ils ont tout oublié. Le sorcier n’a pu résister aux champignons colorés et brillants qu’il a trouvés. Il en a croqué un… un vénéneux.
Et il s’écroule devant les serviteurs hébétés.
Ceux-ci décident de l’enterrer et lorsqu’ils creusent un trou pour y coucher le sorcier mort, ils découvrent un coffre, rempli d’un trésor.
10:19 Publié dans mes ateliers d'écriture | Lien permanent | Commentaires (0)
coffre mystérieux
voilà une histoire écrite avec une classe de CP-CE1, qui se découpe en plusieurs suites possibles.
donc le début est commun et je vous le glisse en dessous...
mais à un moment de l'histoire, vous pouvez choisir la suite que vous préférez.
et la fin est commune à nouveau.
chouette, non ?
alors, voilà le début :
L’histoire se passe au XVIIIe siècle.
Le marquis Melchior de Forbin et sa femme Françoise Armande habitent le château de la Roque d’Anthéron. Ils ont deux enfants : une fille Marie, âgée de sept ans et un garçon Noël, âgé de dix ans.
Ce jour-là, Melchior avait prévu de faire une chasse aux faucons avec ses amis en Durance. Pendant ce temps, Françoise Armande devait se rendre à l’orphelinat, dont elle s’occupait, pour visiter les enfants.
En ce mois de juin, beaucoup de villageois venait travailler pour le château en participant à la cueillette des cerises. Il faut dire que, à cette époque, la Roque d’Anthéron était le pays de la cerise !
Aussi quelle ne fut pas la surprise du marquis et de la marquise de ne trouver aucun serviteur dans le château ! Personne ! Le calme le plus complet !
Qu’a-t-il bien pu arriver aux serviteurs ? Pourquoi ont-ils disparu ?
En fait, le cuisinier du château a découvert, coincé entre deux pierres, dans le mur de la cave, un parchemin. Il est un peu abîmé, grignoté par les souris mais on peut voir qu’il s’agit d’un plan.
Lorsqu’il le montre à ses compagnons, l’un d’entre eux déchiffre un nom : Louis de Forbin.
- Ce nom ne vous dit rien ?
- Mais oui ! C’est le nom de l’arrière-grand-père de la marquise !
- En effet, ça se peut !
Chacun observe le plan et découvre que le château y est dessiné ainsi que le village et la Durance.
- Et là ? N’est-ce pas une croix visible ici ?
Et s’il s’agissait du plan d’un trésor ?
Tous les serviteurs se sont donc mis d’accord pour partir à la recherche de ce trésor au petit matin, juste avant le lever du soleil, alors que le marquis et son épouse dorment encore profondément.
Ils découvrent, grâce au plan, qu’il y a un souterrain qui part du château. Très vite, ils se trouvent coincés par de gros rochers qui bouchent le passage. Ont-ils été placés exprès ou est-ce dû à un éboulis ? Personne ne sait… Mais ils sont bien obligés de creuser pour pouvoir se faire un passage.
- Allez, glisse-toi par là !
- Ouh… mais il fait tout sombre !
- Il faut y aller ! Le plan indique ce chemin !
Tout le monde arrive à se frayer un chemin et au bout d’un moment :
- Oh ! Ca y est ! On voit le jour ! Nous voilà sortis du souterrain !
Alors que pendant ce temps, au château, c’est l’affolement général :
- Quelle horreur ! Plus de serviteurs ! Et nos cerises ? Qui va les ramasser ?
- Et la cuisine ? Et le ménage ? Et ma belle robe ? Et la calèche ? Qui va s’occuper de Marie ?
La marquise est dans tous ses états.
- Ne t’inquiète pas, la rassure le marquis, je vais essayer de retrouver tout ce monde-là.
A ce passage de l’histoire, vous pouvez décider de la suite à donner à l’aventure que vont vivre les serviteurs du château…
10:18 Publié dans mes ateliers d'écriture | Lien permanent | Commentaires (0)
and the winner is...
Jill !!
la seule et unique participante au concours, c'est elle.
la reine des petits mots qui rassurent consolent font sourire et embellissent la journée.
la championne des petits gestes qui caressent la joue, le coeur, l'âme.
donc cette médaille rien que pour elle... parce qu'elle le vaut bien !
09:55 Publié dans littérature | Lien permanent | Commentaires (2)
23 avril 2008
et puis ?
où est le jour où est la nuit ?
j'étais là hier mais aujourd'hui ?
je suis celle qui toujours fuit
j'aime pas l'ennui ni les ennuis.
saurai-je dire "non" si j'arrête de dire" oui" ?
je sais pas ce que je veux, je sais pas qui je suis.
je suis celle qui toujours fuit
je préfère le terme à ce qui luit.
au fond de ma nuit
lovée en silence sans aucun bruit
je rêve à toi, je rêve à lui.
je cherche l'arbre dont je serai le fruit.
j'avance et pourtant je fuis
c'est celui qui m'aime qui me suit
y'a pas de lumière au fond de mon puits
mais ça y est... j'y suis !
mais est-ce que je m'enfuis ?
ou je reste à me noyer sous la pluie ?
je serai là demain comme aujourd'hui
voilà c'est foutu c'est cuit...
18:58 Publié dans un peu de moi | Lien permanent | Commentaires (0)
aimé
ancien maire de Fort-de-France, Aimé Césaire a été député de Martinique pendant près de 50 ans. ce poète martiniquais est décédé jeudi 17 avril au matin à l'âge de 94 ans. lors de son enterrement, la famille du poète a refusé le message d'honneur que voulait lui rendre le chef de l'état français. Respect...
c'est en 1939, dans son célèbre recueil «Cahier d'un retour au pays natal» qu'il fait une entrée fracassante en poésie, employant pour la première fois le terme de «négritude», désignant par ce terme la conscience d'être noir.
le Sénégalais Léopold Sédar Senghor a assuré que c'était Césaire qui a inventé ce mot mais ce dernier préférait parler de «création collective». infatigable promoteur de l'autonomie, et non de l'indépendance, de la Martinique, Aimé Césaire a été de tous les combats contre le colonialisme et le racisme.
09:09 Publié dans littérature | Lien permanent | Commentaires (2)
22 avril 2008
soupir
L’Adieu
J’ai cueilli ce brin de bruyère
L’automne est morte souviens-t'en
Nous ne nous reverrons plus sur terre
Odeur du temps brin de bruyère
Et souviens-toi que je t’attends
Guillaume Apollinaire
21:10 Publié dans c'est la vie | Lien permanent | Commentaires (1)
les 400 coups
non ce n'est pas une invitation à découdre vos moments et à mener une vie de patachon...
c'est une invitation un peu "space" à aller sur un espace réalisé par une maison d'édition que j'aime : les 400 coups
vous entendrez Thomas Fersen vous emmener dans une ballade cannibale et vous découvrirez des livres bien tentants...
alors laissez-vous guider...
je frappe les 400 coups et je lève le rideau...
15:45 Publié dans littérature | Lien permanent | Commentaires (2)
21 avril 2008
mais qu'est-ce qu'il a ?
rrraaaahhhhh !!!
00:01 Publié dans c'est la vie | Lien permanent | Commentaires (0)
20 avril 2008
et plouf !
voilà encore du nouveau !
ce mois-ci dans Bambi, une comptine à dessins, illustrée par Nancy Delvaux : dans mon bain.
avec toute cette pluie, ça en fait de l'eau....
21:29 Publié dans mes publications presse | Lien permanent | Commentaires (1)
le goût des pages
le goût des pages est un salon des petits éditeurs et de leurs auteurs, organisé pour la 2e année par l'association Le Griau à Brantes.
j'y étais durant deux jours, malgré la pluie, le vent et le froid.
et j'y ai rencontré des gens bien sympas.
et une boulangère japonaise adorable !
19:12 Publié dans littérature | Lien permanent | Commentaires (5)
16 avril 2008
nouveauté
voilà mon premier roman pour jeunes sans illustrations...
Ce héros n'est pas mon père
aux éditions Les 400 Coups
Caroline vit avec sa mère et sa sœur, dans une tour d’immeubles, une enfance pas tous les jours très rose.
au jour le jour, elle raconte les amies, les profs, le quotidien d’une famille des années soixante-dix.
et surtout elle espère. elle espère croiser un jour, au détour d’une rue, son père parti quand elle n’était qu’une toute petite fille. il a refait sa vie, ailleurs. un ailleurs qu’elle ne connaît pas et qu’elle imagine sous des couleurs héroïques. alors elle ment, elle fabule, elle invente. un père explorateur, ambassadeur, grand reporter…
jusqu’au jour où Sandrine débarque au collège. et dans sa vie. grâce à Sandrine et à l’amitié qui se tisse entre elles, Caroline acceptera la tendresse de Rodolphe et la douceur des partages, la fragilité des confidences qui font si mal parfois. elle découvrira la chaleur d’un foyer.
cette amitié l’aidera-t-elle à franchir le pas, à chercher qui est réellement son père ?
10:31 Publié dans mes ouvrages | Lien permanent | Commentaires (17)
15 avril 2008
à toi
Ce soir, je bois !
Tu peux toujours éteindre la lampe
Et ta main blanche glissant sur la rampe
Monter jusqu'à ta chambre
Pour y chercher ton sommeil noir...
Moi, je reste en bas ce soir
Et je bois !
Oui, j'ai promis !
Oui, mais je bois quand même !
Va, je t'aime.
Va dans ta nuit...
Je bois...
Aux femmes qui ne m'ont pas aimé
Aux enfants que je n'ai pas eus
Mais à toi qui m'a bien voulu...
Je bois...
A ces maisons que j'ai quittées
Aux amis qui m'ont fait tomber
Mais à toi qui m'as embrassé...
Mais à toi qui m'as embrassé...
Ce soir-là
On sortait d'un cinéma
Il faisait mauvais temps
Dans la rue Vivienne
J'étais très élégant
J'avais ma canadienne
Toi tu avais ton manteau rouge
Et je revois ta bouche
Comme un fruit sous la pluie...
Comme un fruit sous la pluie...
Ce soir, je bois !
Heureusement, je ne suis jamais ivre.
Dors... Cette nuit, je vais écrire mon livre.
Il est temps, depuis l'temps.
C'est mon roman, c'est mon histoire !
Il y a des choses qu'on n'écrit
Que lorsqu'il est très tard,
Que lorsqu'il fait bien nuit...
Dors, je t'aime.
Dors dans ma vie...
Je bois...
Aux lettr's que je n'ai pas écrites,
A des salauds qui les méritent
Mais je n'sais plus où ils habitent...
Je bois...
A toutes les idées que j'ai eues.
Je bois aussi dès qu'ils m'ont eu
Mais à toi qui m'a défendu,
Mais à toi qui m'a défendu...
Ce jour-là,
Dans un café du quinzième,
Tu m'avais dit : "je t'aime"
Je n'écoutais pas.
Y avait toute une équipe.
On parlait politique.
Je m'suis battu avec un type
Et tu m'as emmené
Comme un enfant blessé,
Comme un enfant blessé...
Je bois...
Au combat que tu as mené
Pour m'emmener loin de la fête.
Ce soir, je bois à ta défaite.
Je bois...
Au temps passé à te maudire,
A te faire rire, à te chérir,
Au temps passé à te vieillir.
Je bois...
Aux femmes qui ne m'ont pas aimé,
Aux enfants que je n'ai pas eus
Mais à toi qui m'a bien voulu,
Mais à toi qui m'a bien voulu...
15:39 Publié dans c'est la vie | Lien permanent | Commentaires (2)
enfant
quand on est enfant ce n'est jamais le bon moment.
pour être sérieux, être sage, pour croire aux sentiments.
pour croire tout simplement.
on pense que rien n'est important.
qu'on a le temps.
et quand on est grand... quand on est grand... on repense à ces moments où, enfant, on a laissé s'enfuir les sentiments.
on se dit que cela aurait pu être autrement.
si seulement...
on se dit surtout qu'on ne devrait jamais être grand.
que tout devrait être comme avant.
et puis non, pas vraiment.
on n'a pas le choix on va de l'avant.
on avance joyeusement, en grimaçant, en pleurant, en souriant... en boitant.
parce qu'on sait qu'au fond, on est resté un enfant
et qu'on a gardé tous ces sentiments
qu'ils sont là, et ça pour longtemps.
15:33 Publié dans un peu de moi | Lien permanent | Commentaires (0)
14 avril 2008
souvenir
il y avait longtemps que je ne vous avais demandé une petite rédaction.
donc, pour rafraîchir nos concours qui deviennent trop durs, il me semble, je vous propose de me raconter la première fois où une émotion forte vous a submergé au point de vous dire : un jour, je ferai ça.
exemple : la première fois qu'un livre vous a transporté et où vous vous êtes dit : un jour j'écrirai
ou la première fois où la découverte d'un fossile dans le jardin de votre grand-père vous a permis d'affirmer : un jour, je serai archéologue...
bon, vous voyez le topo ? alors, au boulot !
résultats et podium : ben, lundi prochain, pour vous permettre de souffler un peu (même si souffler n'est pas jouer...).
22:14 Publié dans littérature | Lien permanent | Commentaires (10)
palme d'or
là, je ne peux faire autrement que de décerner la palme d'or à Marie et Jill pour ce concours qui était somme toute un peu bizarre si j'en juge la faible fréquentation.
les filles, vous avez été plus que formidables mais le débat reste entier :
faut-il considérer les séances de dédicaces comme un travail à rémunérer ??
merci à tous ceux qui se sont amusés en coulisse en lisant les débats présentés.
à bientôt un autre concours...
09:56 Publié dans littérature | Lien permanent | Commentaires (5)
13 avril 2008
so sweet
un jour un homme surprenant, mais gentil au demeurant, un brin "ours" sur les bords, m'a dit qu'il n'aimait pas Bruce Springsteen parce qu'il hurlait quand il chantait.
je pose cette chanson là, pour lui.
espérant qu'un jour il entende.
n'osant croie qu'il changera d'avis.
sur ce point-là.
ou sur le reste.
22:48 Publié dans c'est la vie | Lien permanent | Commentaires (0)
11 avril 2008
livrévasion
Arsac-en-Velay: Livrévasion dévoile son onzième chapitre et j'y serai ce week-end...
la manifestation, les 12 et 13 avril à Arsac-en-Velay, entamera sa onzième édition ; avec la même volonté de faire découvrir aux amateurs de livres une grande diversité de sujets et d'auteurs : L'art de jouer avec les mots
la salle polyvalente d'Arsac-en-Velay va se transformer pour la 11e fois en bibliothèque vivante, les 12 et 13 avril à l'occasion de Livrévasion. comme les années précédentes, pas moins de mille cinq cents visiteurs sont attendus autour de la quarantaine d'auteurs invités et appréciant ce contact avec leur public.
les inscrits participent pour la première fois pour la moitié d'entre eux, tandis que les autres ont de nouveaux titres à leur actif. si les auteurs du département sont encore nombreux, la moitié des présents viennent de la Loire, du Rhône, de la Drôme et même de Paris.
les amateurs de livres pourront donc voyager vers Compostelle avec Pierre Bonnet et Bernard Lyonnet ; découvrir l'histoire locale avec Hélène Jarre, Jean-Louis Michel et les éditions du Roure ; choisir un polar avec Alfred Lenglet, Pierre Petit, Vincent Ranchoux ; préférer les romans avec Fabienne Anglaret, Albert Ducloz, Yveline Gimbert, Danielle Gobardhan, Michel Lacombe D'autres, tels Didier Largeron, Pierre Leynaud, Paul-Henry Vincent proposeront de jouer avec les mots.
« Certains auteurs sont difficiles à classer mais leurs livres sont dignes d'intérêt et de belles rencontres pourront encore une fois se nouer autour des tables », explique Marie-Louise Tournayre, une des chevilles ouvrières de l'association Au fil des pages, organisatrice de la manifestation.
dans un autre registre, les enfants ne seront pas oubliés : Monique-Reine Avry, Calouan (oui, c'est moi !), Gwendo'Lyn, les éditions du « Lutin malin » et quelques autres seront là pour eux.
en plus du secteur jeunesse, les plus jeunes pourront également participer à l'atelier coloriage, découpage, pliage et réaliser des masques soleils. Un spectacle, Le Bonnet de Zazie, leur sera offert par l'Alauda-La Muzaï.
au chapitre des animations, les lauréats du concours de nouvelles des éditions du Roure sur le thème « Tirez pas sur le caviste », seront annoncés samedi en fin d'après-midi et recevront le prix Jules-Vallès, ainsi que le prix Livrévasion. Jean-Paul Gourévitch, un auteur qui effectue régulièrement des missions en Afrique animera une causerie sur le thème « Les Migrations africaines vers l'Europe, état des lieux et perspectives ».
enfin, ceux qui le souhaitent, pourront se faire tirer le portrait par le caricaturiste Raphaël Peretti.
le programme
samedi 12 avril
- de 14 à 18 heures : rencontres, dédicaces.
- de 15 et 16 heures : spectacles Le Bonnet de Zazie.
- à 17 h 30 : annonce des lauréats du concours de nouvelles 2008.
dimanche 13 avril
- de 10 à 12 h 30 et de 14 à 18 heures : rencontre dédicaces.
- à 14 h 45 : causerie par Jean-Paul Gourévitch sur « Les Migrations africaines vers l'Europe, état des lieux et perspectives ».
des ateliers enfants se dérouleront durant les deux après-midi.
donc, pour les lecteurs de passage, petits ou grands... je vous attends !
10:05 Publié dans littérature | Lien permanent | Commentaires (3)