12 mai 2008
playa !
c'est bientôt l'été, le sable chaud, la piscine, parasol, maillot...
l'occasion rêvée de vous parler (vous reparler) de cette société qui fait des livres personnalisés à votre enfant : Saronti. Leur devise : votre enfant : le héros d'une histoire.
je viens d'adapter pour eux : "une journée à la plage" et je me suis bien amusée.
n'hésitez pas à aller faire un tour sur leur site, c'est original, bien trouvé et vraiment intéressant.
hum... rien que d'y penser !!!
18:58 Publié dans littérature | Lien permanent | Commentaires (0)
11 mai 2008
1 an
incroyable ! je n'ai pas fait attention, le temps passe si vite en votre compagnie...
la 1re fois, c'était un 5 mai.
2007.
ça fait un an.
un an que j'écris mes notes, presque tous les jours, le plus régulièrement possible en tous cas.
certains sont fidèles, d'autres passent de temps à autre et repartent.
j'y ai beaucoup ri, j'y ai décrit mes émotions, mes voyages, mes écritures, un peu mes rencontres, rarement en photos je sais...
en tous cas voilà, un an déjà...
ça s'arrose, non ???
18:05 Publié dans littérature | Lien permanent | Commentaires (12)
étonnants voyageurs
le festival "étonnants voyageurs" se tient pour sa 19e édition à Saint-Malo jusqu'à demain, avec comme thématique : Migrations
"Où il sera question de la quête et des pièges de l’identité, de la ville Moloch et de la Ville lumière, de l’errance et de la demeure, des épopées fondatrices, des diasporas à travers les âges, de la perte et de la reconquête de soi, de la langue, aussi, et de son invention. De la langue, où toutes ces questions se retrouvent, portées à incandescence, et d’abord celle de la littérature. Ainsi : la langue nous détermine-t-elle, nous impose-t-elle au final ses valeurs quoi que nous fassions ? Dit-elle « l’âme d’un peuple », signe-t-elle son identité ?"
"Etonnants Voyageurs, et, en sous-titre, dès la première édition, en 1990, en forme de manifeste : « Quand les écrivains redécouvrent le monde ». Pour dire l’urgence, à nos yeux d’une littérature aventureuse, voyageuse, ouverte sur le monde, soucieuse de le dire - et qu’on en finisse une bonne fois avec les prétentions des avants-gardes, le poids des idéologies, le nombrilisme prétendument si « français » ! Nous portait cette conviction qu’un nouveau monde était en train de naïtre, devant nous, sans plus de cartes ni de repères et qu’il appartenait de nouveau aux artistes, aux créateurs, aux écrivains de nous le donner à voir, de nous en restituer la parole vive. Sans considération de genres, roman, récit de voyages, B.D., science fiction ou roman noir ; seuls importaient cette allegresse à se risquer, ce « frisson du dehors », qui est la marque des grandes oeuvres quand le dehors de l’aventure est d’abord celui des limites transgressées. C’était un rêve : c’est aujourd’hui un mouvement. Au point qu’Etonnants Voyageurs est probablement devenu le premier festival du livre en France, en tout cas le plus original, drainant les foules les plus nombreuses. Et quel lieu pouvait-on imaginer pour cette fête, sinon à Saint-Malo, la cité corsaire d’où partirent tant et tant d’aventuriers, d’explorateurs et de marchands vers les quatre horizons ?"
Michel Le Bris, directeur du festival
Etonnants voyageurs !
Quelles nobles histoires nous lisons dans vos yeux profonds comme les mers !
Montrez-nous les écrits de vos riches mémoires,
Faites pour egayer l’ennui de nos prisons,
Passer sur nos esprits, tendus comme une toile,
Vos souvenirs avec leurs cadres d’horizons.
Dites, qu’avez-vous vu ?
Charles Baudelaire
16:02 Publié dans littérature | Lien permanent | Commentaires (1)
10 mai 2008
sarah
j'ai lu ici ou là qu'un nouveau magazine paraissait : le journal de Sarah Kay
et je me souviens combien j'ai été fan de ces petits personnages au style anglais, à bottines montantes et charlotte sur un petit nez retroussé. j'en avais sur mes cahiers d'école, mes classeurs, mes coussins...
mais qui est Sarah Kay ?
Sarah Kay habite dans la lointaine Australie, loin de la ville de Sidney et de ses trois millions d'habitants. sa maison se dresse au centre d'un romantique jardin subtropical rempli d'hibiscus et d'acacias, de bougainvilliers, d'eucalyptus et de fougères de deux mètres.
c'est dans ce paradis que vit Sarah Kay avec son fils Adam, sa fille Allison, le chien Plip et trois chats. Oo retrouve ce monde harmonieux, les enfants, les animaux et les plantes, dans les adorables dessins de Sarah kay qui l'ont rendue célèbre dans le monde entier.
la carrière de cette artiste a commencé de façon fort modeste et malgré le succès unique, incroyable de ses dessins, Sarah Kay est restée très modeste. elle remercie pour chaque publicité, il est très difficile de l'approcher pour une interview et quasi impossible d'obtenir qu'elle apparaisse devant les caméras.
Sarah Kay a débuté comme dessinatrice dans un petit bureau de publicité. après son mariage et la naissance de son premier enfant, elle a commencé à dessiner le monde paisible qu'elle avait appris à aimer dans la ferme de ses grands-parents et qu'elle souhaitait également pour ses enfants. c'est ainsi que naquirent les 20 premiers dessins d'enfants qui racontaient des histoires sur les enfants et leurs animaux. Sarah Kay présenta ses projets à l'un des plus grands éditeurs de cartes postales ; le directeur artistique reconnut immédiatement l'immense talent de la dessinatrice.
les 20 dessins furent imprimés sur des cartes d'anniversaire pour enfants et marquèrent le début de l'ascension triomphale des dessins de Sarah Kay, ascension qui se poursuit encore de nos jours.
en quelques années, elle fut connue et aimée dans le monde entier.
depuis longtemps, nous trouvons les dessins de Sarah Kay non plus uniquement sur des cartes, mais aussi sur d'innombrables articles : papier d'emballage, posters, calendriers, cartes à jouer, articles ménagers, draps, T-shirts, porcelaine, etc. sans oublier les poupées inspirées de ses dessins, fabriquées dans les matériaux les plus divers.
dans de nombreux pays, il existe des clubs Sarah Kay.
il n'y a pas que les enfants qui aiment ses dessins, les adolescents, les parents, les grands-parents les apprécient également, que ce soit en Australie ou en Europe, au Japon ou en Afrique, au Canada ou en Amérique du Sud. et je confirme : je craque toujours autant !
vous trouvez ça comment ?
dépassé ?
22:24 Publié dans c'est la vie | Lien permanent | Commentaires (10)
09 mai 2008
les bons comptes...
La Septante est une version du Tanakh (Bible hébraïque) en langue grecque.
selon une légende rapportée dans la Lettre du pseudo-Aristée, document midrashique sans authenticité historique, la traduction de la Torah aurait été réalisée par 72 (septante-deux) traducteurs à Alexandrie, au IIIe siècle av. J.-C., pour les Juifs qui y étaient alors relativement nombreux, à la demande des Ptolémées.
une légende postérieure veut que ces 72 érudits aient tous traduit séparément l'intégralité du texte, et qu'au moment de comparer leurs travaux, on se soit aperçu avec émerveillement que les 72 traductions étaient identiques.
par extension, on appelle Septante la version grecque ancienne de la totalité des Écritures bibliques (l'Ancien Testament chrétien).
le judaïsme n'a pas adopté la Septante, restant fidèle au texte hébreu et à des traductions grecques ou araméennes (Targoum) plus proches dudit texte.
mais d'où vient que les Belges disent encore "septante" pour soixante-dix, et "nonante" pour quatre-vingt-dix, et plus nous ?
18:11 Publié dans littérature | Lien permanent | Commentaires (6)
07 mai 2008
tag !
J'ai été taggée par Cheyenne !
que dois-je faire ? :
- mettre le lien des personnes qui m'ont taguée : OK
- mettre le règlement sur mon blog : OK
- répondre aux 6 questions suivantes : je vais le faire
- taguer 6 personnes à la fin du billet en mettant leur lien ouhlala
- avertir directement sur leur blog les personnes taguées
Les questions :
1. Un aliment ou produit que je n'aime pas du tout : les arbouses
2. Mes 3 aliments favoris: fromage de chèvre, pignons de pin, miel
3. Ma recette favorite: salade tomates-mozzarella (ou au chèvre chaud)
4. Ma boisson de prédilection: le Gambetta (marque déposée, attention hein JL !!) ou le rosé de Provence
5. Le plat que je rêve de réaliser et que je n'ai toujours pas fait : un plat mexicain
6. Mon meilleur souvenir culinaire : les sablés que je faisais avec ma soeur, enfant
alors je vais tagguer Virginie, Béa, le Pierrot, teefanny, Delphine Bodet, Christophe Miraucourt... mais je leur dirai demain.
23:59 Publié dans littérature | Lien permanent | Commentaires (9)
06 mai 2008
nu
festival européen de la photo de nu en Arles
le 8e festival européen de la photo de nu affiche les courbes coquines, tendres ou sensuelles de ceux et celles qui se sont mis tout nus devant l’objectif. une balade érotique et poétique en Arles au travers des œuvres de Daniel Nguye, Pénélope Octavio et Bob Giorgi entre autres.
et pour les plus téméraires, le festival propose de se faire photographier dans l’atelier-studio installé dans le palais de l’Archevêché.
chaque candidat détermine son image, « portrait nu » selon sa propre liberté ; les tirages numériques réalisés dans la continuité des prises de vues seront exposés durant le festival dans le centre de la chapelle Sainte Anne.
un tirage 40x60 sera offert à chacun des participants. il fait déjà chaud....
ce Festival européen de la photo de nu se tiendra jusqu’au 12 mai 2008 en Arles, au palais de l’Archevêché.
pour participer au Workshop happening, prendre rendez-vous au : 06 87 85 29 92
17:14 Publié dans littérature | Lien permanent | Commentaires (4)
05 mai 2008
at... chum
allez, je ne sais plus trop quel est le rythme donné au concours mais il me semble temps de donner les réponses du vocabulaire français/québécois :
1 - le joal
2 - un harmonica
3 - itou
4 - un couette-café
5 - bien aimable
6 - gonfler un pneu
7 - mauvais
8 - avoir les yeux dans la graisse de veau
9 - de pioche
10 - chum
et le gagnant est : Francis avec 10/10
Virginie a : 9/10 (pas mal !!!)
Gynux : 6/10
Eric : 3/10 (mais je suis vraiment contente que tu aies essayé !!)
16:37 Publié dans littérature | Lien permanent | Commentaires (3)
04 mai 2008
famille
Uh, uh, some deep shit, uh, uh
Momma please stop cryin, I can't stand the sound
Your pain is painful and its tearin' me down
I hear glasses breakin as I sit up in my bed
I told dad you didn't mean those nasty things you
said
You fight about money, bout me and my brother
And this I come home to, this is my shelter
It ain't easy growin up in World War III
Never knowin what love could be, you'll see
I don't want love to destroy me like it has done
my family
Can we work it out? Can we be a family?
I promise I'll be better, Mommy I'll do anything
Can we work it out? Can we be a family?
I promise I'll be better, Daddy please don't
leave
Daddy please stop yellin, I can't stand the sound
Make mama stop cryin, cuz I need you around
My mama she loves you, no matter what she says
its true
I know that she hurts you, but remember I love
you, too
I ran away today, ran from the noise, ran away
Don't wanna go back to that place, but don't have
no choice, no way
It ain't easy growin up in World War III
Never knowin what love could be, well I've seen
I don't want love to destroy me like it did my
family
Can we work it out? Can we be a family?
I promise I'll be better, Mommy I'll do anything
Can we work it out? Can we be a family?
I promise I'll be better, Daddy please don't
leave
In our family portrait, we look pretty happy
Let's play pretend, let's act like it comes
naturally
I don't wanna have to split the holidays
I don't want two addresses
I don't want a step-brother anyways
And I don't want my mom to have to change her
last name
In our family portrait we look pretty happy
We look pretty normal, let's go back to that
In our family portrait we look pretty happy
Let's play pretend, act like it goes naturally
In our family portrait we look pretty happy
(Can we work it out? Can we be a family?)
We look pretty normal, let's go back to that
(I promise I'll be better, Mommy I'll do
anything)
In our family portrait we look pretty happy
(Can we work it out? Can we be a family?)
Let's play pretend act and like it comes so
naturally
(I promise I'll be better, Daddy please don't
leave)
In our family portrait we look pretty happy
(Can we work it out? Can we be a family?)
We look pretty normal, let's go back to that
(I promise I'll be better, Daddy please don't
leave)
Daddy don't leave
Daddy don't leave
Daddy don't leave
Turn around please
Remember that the night you left you took my
shining star?
Daddy don't leave
Daddy don't leave
Daddy don't leave
Don't leave us here alone
Mom will be nicer
I'll be so much better, I'll tell my brother
Oh, I won't spill the milk at dinner
I'll be so much better, I'll do everything right
I'll be your little girl forever
I'll go to sleep at night
22:14 Publié dans c'est la vie | Lien permanent | Commentaires (0)
03 mai 2008
Mystère à Tunarguawa
voilà le début d'une histoire écrite avec des élèves, lors d'ateliers...
Il était une fois dans le village de Tunawargua, un sorcier très sage qui vivait dans sa case un peu à l’écart des habitants. Au milieu de ce village, se tenait un grand arbre :
Le grand arbre
Je suis un arbre avec des branches qui fait mille mètres et avec un tronc aux écorces marron. Il y aura des fleurs qui me parfumeront de haut en bas et de nombreux oiseaux sur mes branches toutes noires.
Au printemps, il y aura des marguerites qui me rempliront et j’aurai quelqu’un qui me soutiendra. Les insectes, comme la cigale et le criquet, me feront une couverture de laine qui me couvrira. Le hérisson grattera mon écorce brutalement et un koala se balancera sur mon bras.
Un singe montera sur mon dos et la chauve-souris s’accrochera à moi. Puis, un jour, je vais vieillir j’aurai de la mousse sur le dos, sur mon ventre et sur mes branches. Un jour, on installera sur un de mes bras une balançoire où un enfant viendra se mettre. Quand tout sera cassé, tout sera perdu.
Sources d’eau, palmiers dattiers, cocotiers, plantations de café, de cannes à sucre et de maté constituaient le décor de ce paysage où s’ébattaient joyeusement des serpents, des paons, des oiseaux multicolores, des dromadaires et des chameaux.
Les cailloux, ce sont des bijoux
Les rochers, c’est le nid des aimés
Le goudron, ça fait des rebonds
La fleur est le cœur
Le prénom est celui du pigeon
Le stylo est le ruisseau
Sa copine a des racines
Et dans l’arbre miniature
J’envoie toute ma nature
Le cheval cavale
Je ris, je pleure
Je vis, je meure
Les parents vivent le printemps.
Ce jour-là, Laurent Outang, un petit garçon du village, poussé par sa curiosité, rendit visite au sorcier.
Le sorcier attendait cette visite depuis longtemps. Il lui dévoila alors son secret : il lui révéla la présence d’un trésor caché sous la dune, gardé par un scorpion géant nommé Ayagal.
- Seulement, tu dois te préparer à subir des épreuves… Arme-toi de courage et va ! Sache seulement que si tu as vraiment besoin de mon aide, je serai là !
(...)
18:49 Publié dans mes ateliers d'écriture | Lien permanent | Commentaires (1)
02 mai 2008
muguet
j'ai failli oublier de vous offrir un brin de muguet hier...
mais savez-vous pourquoi ce 1er mai, jour de la fête du travail aussi, est célébré par un brin de muguet ?
il semble que le muguet aussi appelé lys des vallées, une plante originaire du Japon, soit présente en Europe depuis le Moyen Age. la plante à clochettes a toujours symbolisé le printemps et les Celtes qui lui accordaient des vertus porte-bonheur.
le 1er mai 1561, le roi Charles IX officialisa les choses : ayant reçu à cette date un brin de muguet en guise de porte-bonheur, il décida d'en offrir chaque année aux dames de la cour. la tradition était née.
la fleur est aussi celle des rencontres amoureuses. longtemps, furent organisés en Europe des "bals du muguet". c'était d'ailleurs l'un des seuls bals de l'année où les parents n'avaient pas le droit de cité. ce jour-là, les jeunes filles s'habillaient de blanc et les garçons ornaient leur boutonnière d'un brin de muguet.
23:12 Publié dans c'est la vie | Lien permanent | Commentaires (3)
01 mai 2008
au détour du monde
faites décoller nos oreilles...
pour gagner un circuit "Remontée du Mékong" de 26 jours (vols compris), 2000 € de billets d'avion et de nombreux autres lots, votre mission, si vous l'acceptez, est de nous faire partir très loin grâce à une séquence sonore.
à votre disposition toutes les ressources de la création radiophonique : reportage, bruitage, ambiance...
votre seul objectif est de nous prendre par les oreilles pour nous faire découvrir un pays, une région, une ville, des gens et surtout de nous faire rêver dans notre fauteuil.
avant le 11 mai 2008, imprimez et envoyez ce formulaire d'inscription, ainsi que 10 minutes maximum de son sur un CD à cette adresse :
France Inter
Au détour du monde
Carnet de voyage sonore
Pièce 514
116 avenue du Président Kennedy
75220 Paris Cedex 16
pour avoir les détails, consultez le réglement, sur le site de l'émission : "au détour du monde"
rendez-vous le 8 juin à 16h sur France Inter, pour une émission spéciale avec les gagnants du concours, présentée par Sandrine Lemercier.
21:12 Publié dans littérature | Lien permanent | Commentaires (1)
30 avril 2008
chou
celui qui s'appelait "l'homme à la tête de chou" sera à l'honneur dans un film qui va être tourné sur sa vie, son oeuvre, son génie.
alors, je ne peux résister à vous glisser une vidéo d'un autre temps, celui où les "claudettes" ne sévissaient pas encore vraiment...
vous aimez ?
09:25 Publié dans c'est la vie | Lien permanent | Commentaires (1)
qué bec !
voilà bien longtemps que je ne vous ai proposé un ti concours.
on est mercredi, alors on s'y colle.
celui qui répondra le + correctement à la traduction de ces expressions québécoises aura gagné.
note sur 10...
et pas de triche, hein, vous répondez sans rien chercher sur internet ou ailleurs.
sinon, vous serez recalé !!
1 Quel mot désigne le beau parler québécois ?
- Le joual
- Le québé
- Le franglais
2 Que désigne une « ruine babine » ?
- Un harmonica
- Une cigarette
- Un rouge à lèvres
3 Comment traduire l’adverbe « aussi » en joual ?
- Itou
- Tsé
- Moé
4 Quel est l’équivalent du « Bed and Breakfast » anglais ?
- Un lit-baguette
- Un couette-café
- Un dortoir personnel
5 Par quoi peut-on remplacer « ben d’adon » dans l’expression : « Tu serais ben d'adon si tu me rapportais une couple de livres de thé » ?
- Abominable
- Bien bête
- Bien aimable
6 Quelle action décrit l’expression : « Souffler un tire » ?
- Gonfler un pneu
- Souffler dans le ballon
- Tricher à un examen
7 Si je dis de ce livre qu’il est « poche », il est …
- Petit
- Mauvais
- Excellent
8 Quelle expression signifie « avoir le regard perdu » ?
- Avoir les yeux dans la graisse de veau
- Avoir les yeux en corde de poche
- Avoir les yeux en sautoir
9 Que dit-on à un enfant têtu ? « Tu as une tête …
- Enflée
- Carrée
- De pioche
10 Quel joli petit mot désigne un amoureux ?
- Chum
- Bidou
- bec
09:11 Publié dans littérature | Lien permanent | Commentaires (5)
29 avril 2008
benjamins...
je voulais vous parler d'une maison d'édition très chouette, toujours en recherche de textes de qualité (donc n'hésitez pas !!) qui veut proposer une lecture accessible aux enfants ordinaires ou déficients visuels grâce à des livres-CD qui peuvent être accompagnés d'un livre en braille : Benjamins Média
l'équipe est jeune, dynamique et ouverte.
alors, à vos stylos...
19:32 Publié dans littérature | Lien permanent | Commentaires (3)
28 avril 2008
poussière
hier soir, retour de Saint-Louis.
entre les trains loupés, les mauvaises gares, les plans taxis de nuit, des souvenirs étranges, j'ai entendu cette chanson...
je ne l'avais pas entendue depuis si longtemps...
pas trouvé mieux...
Il rêvait d'une ville étrangère
Une ville de filles et de jeux
Il voulait vivre d'autres manières
Dans un autre milieu
Il rêvait sur son chemin de pierres
"Je partirai demain, si je veux
J'ai la force qu'il faut pour le faire
Et j'irai trouver mieux"
Il voulait trouver mieux
Que son lopin de terre
Que son vieil arbre tordu au milieu
Trouver mieux que la douce lumière du soir
Près du feu
Qui réchauffait son père
Et la troupe entière de ses aïeux
Le soleil sur les murs de poussière
Il voulait trouver mieux...
Il a fait tout le tour de la terre
Il a même demandé à Dieu
Il a fait tout l'amour de la terre
Il n'a pas trouvé mieux
Il a croisé les rois de naguère
Tout drapés de diamants et de feu
Mais dans les châteaux des rois de naguère
Il n'a pas trouvé mieux...
Il n'a pas trouvé mieux
Que son lopin de terre
Que son vieil arbre tordu au milieu
Trouver mieux que la douce lumière du soir
Près du feu
Qui réchauffait son père
Et la troupe entière de ses aïeux
Le soleil sur les murs de poussière
Il n'a pas trouvé mieux...
Il a dit "Je retourne en arrière
Je n'ai pas trouvé ce que je veux"
Il a dit "Je retourne en arrière"
Il s'est brûlé les yeux
Il s'est brûlé les yeux
Sur son lopin de terre
Sur son vieil arbre tordu au milieu
Aux reflets de la douce lumière du soir
Près du feu
Qui réchauffait son père
Et la troupe entière de ses aïeux
Au soleil sur les murs de poussière
Il s'est brûlé les yeux
22:18 Publié dans littérature | Lien permanent | Commentaires (1)
décidée
il avait un regard de loup
la bouche gourmande
un prédateur
elle s'est changée en chaperon rouge
béton armé
il ne l'a pas croquée !
à son tour...
01:44 Publié dans un peu de moi | Lien permanent | Commentaires (2)
25 avril 2008
saint-louis
durant trois jours, vous pourrez me voir : là...
encore des rencontres avec des lecteurs passionnés en perspective... chouette !!
alors pendant mon absence, soyez sages !!
06:29 Publié dans littérature | Lien permanent | Commentaires (4)
24 avril 2008
miam
je ne pouvais pas vous laisser ainsi.
alors pour participer à cette fête de la cerise, voilà de quoi vous régaler :
Préparation : 15 mn
Cuisson : 35 mn
Repos : 0 mn
Temps total : 50 mn
Pour 8 personnes :
- 400 g de cerises
- 3 oeufs
- 80 g de sucre
- 125 g de farine tamisée
- 30 g + quelques noix de beurre
- 30 cl de lait
Préparation
1 Dans un bol ou un saladier, battre les oeufs avec une fourchette comme pour une omelette. Ajouter la farine.
2 A l'aide d'un fouet, mélanger la préparation avec 30 g de beurre fondu et le sucre.
3 Toujours en fouettant légèrement, incorporer le lait graduellement pour ne pas former de grumeaux.
4 Laver puis équeuter les cerises et les placer dans un moule beurré d'environ 20 cm de diamètre pour 5 cm de hauteur.
5 Verser l'appareil à clafoutis sur les cerises en enfourner à four chaud. D'abord à 200°C pendant 10 minutes, puis 25 minutes à 180°C après avoir parsemé quelques noix de beurre à la surface du clafoutis.
6 Pour vérifier la cuisson, il suffit de planter la pointe d'un couteau dans le clafoutis et voir si elle ressort sèche.
Pour finir... Avec ou sans noyaux, tout dépend des goûts. Toutefois, il est vrai que les noyaux apporte un petite parfum d'amande agréable et empêchent les cerises de dégorger.
10:24 Publié dans littérature | Lien permanent | Commentaires (4)
fin
Vous avez choisi la suite que vous préférez ? Très bien. Mais maintenant nos héros doivent rentrer au château où le marquis et la marquise les attendent…
- Rentrons !
Le souterrain s’est effondré et il faut trouver une solution.
- Suivons le petit chemin qui se trouve là.
Ils empruntent un chemin qui longe la forêt, la Durance, les champs de cerisiers et enfin le jardin du château.
Les voilà arrivés au château. Mais les grilles sont fermées. Les serviteurs appellent, hurlent et lancent des pierres sur les grilles pour faire du bruit.
Heureusement Marie et Noël qui jouent dans le jardin les entendent et s’approchent. En appuyant avec leur pouce, ils actionnent une manette : le pont-levis descend permettant aux grilles de s’ouvrir dans un même mouvement.
Le marquis arrive en colère :
- Mais où étiez-vous passés ? Je vous ai cherchés partout… Que vous est-il arrivé ? Je m’inquiétais.
Les serviteurs lui répondent :
- Ne vous inquiétez pas, nous avons une surprise pour vous…
- On revient avec de l’or
Ils ouvrent le coffre et montrent ce qu’ils ont trouvé.
- Où l’avez-vous trouvé ?
- On a découvert un plan entre des pierres du mur de la cave. Aussi pensant avoir affaire à un trésor, nous sommes partis à sa recherche. Et nous revoici de retour, tous sains et saufs.
- Et mes cerises ? Qui va me les cueillir ? Si personne ne s’en occupe, elles vont pourrir…
- Oh ! Ce serait dommage ! s’écrie le cuisinier, avec un œil gourmand.
- Excusez-nous monsieur le marquis, on vous a laissé dans l’embarras… Mais pour nous faire pardonner nous vous proposons de cueillir vos cerises gratuitement et de les vendre sur le grand marché, comme chaque année. Et nous remettrons cet argent à l’orphelinat dont s’occupe madame la marquise.
- Et moi, je vous ferai de bons gâteaux … aux cerises, bien sûr !
La marquise s’exclame :
- Pour vous remercier de vos gentillesses, je vous porpose que nous organisions une grande fête en votre honneur !
- Hourra !! s’écrie tout le monde le cœur en joie.
Depuis ce jour-là, chaque année, le premier week-end de juin, une grande fête de la cerise est célébrée à la Roque d’Anthéron.
Et de délicieux gâteaux peuvent y être dégustés.
10:22 Publié dans mes ateliers d'écriture | Lien permanent | Commentaires (0)