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18 mars 2008

poilu

Lazare Ponticelli est décédé la semaine dernière, à l'âge de 110 ans.
pour la France, c'est une page qui se tourne puisque cet homme était le dernier vivant à s'être battu lors de la Première Guerre mondiale, le dernier poilu.
hier, ses obsèques ont eu lieu, accompagnées par moult cérémonies officielles.

mais savez-vous d'où vient ce nom : poilu ?
ce surnom, donné aux soldats français pendant la Première Guerre mondiale, ne fut qu'en de rares et exceptionnels cas, utilisé pendant la Seconde Guerre mondiale.

cette appellation serait née durant la Grande guerre du fait des conditions de vie des soldats dans les tranchées : ils laissaient pousser barbe et moustache et, de retour à l'arrière, paraissaient tous « poilus ».

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cependant, cette origine est controversée, le mot « poilu » désignant aussi à l'époque dans le langage familier quelqu'un de courageux (comme par exemple l'expression plus ancienne « un brave à trois poils », que l'on trouve chez Molière).

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il y a une autre interprétation de l'origine du mot "poilu" qui, par l’intérêt de son histoire, mérite qu’on s’y arrête un instant :
dans un ouvrage du linguiste Alfred Dauzat (1877-1955) datant de 1918 et réédité en septembre 2007, reposant sur une enquête que l’auteur, mobilisé en 1914, réalisa dans les tranchées, on trouve une histoire du mot "poilu" tout à fait intéressante :
avant d’être le soldat de la Marne, le poilu est le grognard d’Austerlitz, « ce n’est pas l’homme à la barbe inculte, qui n’a pas le temps de se raser, ce serait trop pittoresque, c’est beaucoup mieux : c’est l’homme qui a du poil au bon endroit, pas dans la main ! symbole de virilité »

le mot "poilu", terme militaire datant de plus d’un siècle avant la Grande Guerre, « désignait dans les casernes où il prédominait, l’élément parisien et faubourien, soit l’homme d’attaque qui n’a pas froid aux yeux, soit l’homme tout court.
à l’armée, les soldats s’appellent officiellement « les hommes ».
Monsieur Cohen, linguiste lui aussi mobilisé et participant à l’enquête, précisa qu’en langage militaire le mot "poilu" signifiait individu.
mais depuis 1914, dit Albert Dauzat qui étudiait l’étymologie et l’histoire des mots, le terme "poilu" désigne pour le civil « le soldat combattant », par opposition à « l’embusqué » qui défend notre sol.
le mot « fit irruption du faubourg, de la caserne, dans la bourgeoisie, dans les campagnes plus tard, par la parole, par le journal surtout, avec une rapidité foudroyante ».

13 mars 2008

lève-toi !

11 mars 2008

et pourquoi pas ?

plus que jamais les Français vouent une passion au livre et à la littérature.

pour preuve le succès grandissant des ateliers d'écritures, le foisonnement des salons littéraires et la production croissante.
chaque année, de nombreux premiers romans voient le jour…

pourquoi pas le vôtre ?
pour vous aider dans ce difficile chemin vers la publication, le guide Lire vous donne toutes les clés pour vous ouvrir les portes du monde de l'édition avec : - les contacts détaillés des maisons d'édition - les conseils d'éditeurs des plus grandes maisons - les associations et les aides à la création littéraire - les médias - les prix littéraires - le dépôt et la protection du manuscrit - les contrats d'édition, présentés et commentés - les témoignages d'écrivains - les statistiques de l'édition 2006 Exclusif : une vingtaine d'auteurs témoignent de leurs débuts : Philippe Delerm, Philippe Grimbert, Anna Gavalda, Yasmina Khadra, Christian Oster, Bernard Werber, Éric-Emmanuel Schmitt…et Blandine Le Callet qui a publié son premier roman en suivant à la lettre les conseils du dossier " Comment se faire éditer " du magazine Lire !

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alors, on y croit ?

08 mars 2008

razon

marche dans les dunes de sable.
danse dans le vent.
une superbe chanson.
un poème.
une extase.



Juste une ivresse
Pour que l'on cesse de boire
Une cicatrice
Pour que l'on puisse y voir

Où que l'on aille
Nos fiançailles

Juste une audace
Pour qu'on s'embrasse un peu
Une friandise
Pour qu'on attise le feu

Où que l'on aille
Nos fiançailles

Fuerte fuerte
Y con la muerte
Voy a hacerte una cancíon
Dentro dentro
Y con el viento
Me atormento sin razón

Où que l'on aille
Nos fiançailles

Lourds sont nos promesses et nos liens
Courts sont les kilomètres en train
Sourds ses mots d'amour et les miens
Sourds ses mots d'amour et les miens

Juste une ivresse
Pour que l'on cesse de boire
Une cicatrice
Pour que l'on puisse y voir

Où que l'on aille
Nos fiançailles

A la mi-juillet
Quand on soupire aux portes
Quand le cœur nous emporte
Et qu'on a mal aux reins
Et qu'on se dit que rien
N'est aussi prestigieux
Que les sommets neigeux
Quand on se dit peut-être
Ce que l'on voudrait être
Juste au-dessus des règles
Quand on se dit qu'on peut être...
Un aigle

07 mars 2008

home sweet home

les clés de la maison écologique

ce livre est le premier qui explique clairement le pourquoi et le comment de l'habitat écologique.

pourquoi les modes de construction actuels polluent l'environnement et menacent notre santé.

comment construire, rénover ou aménager notre maison pour s'y trouver bien, ne pas respirer de produits toxiques, économiser l'énergie, réduire les productions de déchets.

intéressant non pour les futurs propriétaires ?

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06 mars 2008

women in art

je suis fascinée par ce qui suit : les femmes en peinture, sous tous leurs états.
un régal !

la vidéo, réalisée par l'énigmatique créateur Eggman913 dans le Missouri aux Etats-Unis, est une hymne impressionnante consacrée à l'histoire de l'art à travers l'image de la femme.
la musique est celle de Yo-Yo Ma jouant la Sarabande de la Suite pour Violoncelle n° 1 de Bach.



aimez-vous ?

04 mars 2008

ange

26 février 2008

veux-tu ?

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© Paulo Batelli








Elle était déchaussée, elle était décoiffée...

Elle était déchaussée, elle était décoiffée,
Assise, les pieds nus, parmi les joncs penchants ;
Moi qui passais par là, je crus voir une fée,
Et je lui dis : Veux-tu t'en venir dans les champs ?

Elle me regarda de ce regard suprême
Qui reste à la beauté quand nous en triomphons,
Et je lui dis : Veux-tu, c'est le mois où l'on aime,
Veux-tu nous en aller sous les arbres profonds ?

Elle essuya ses pieds à l'herbe de la rive ;
Elle me regarda pour la seconde fois,
Et la belle folâtre alors devint pensive.
Oh ! comme les oiseaux chantaient au fond des bois !

Comme l'eau caressait doucement le rivage !
Je vis venir à moi, dans les grands roseaux verts,
La belle fille heureuse, effarée et sauvage,
Ses cheveux dans ses yeux, et riant au travers.


Victor Hugo

25 février 2008

simply

laissez-vous emporter... simplement...

22 février 2008

maux

j'aime les mots.
hier aujourd'hui et demain.
des mots.
des mots.
des mots.

louve

comme j'ai de la suite dans les idées, je reviens avec mes femmes qui crient "au loup" parce qu'elles en ont envie, avec ce livre de Clarissa Pinkola Estés : les femmes qui courent avec les loups.

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voilà ce que dit la 4e de couverture : "Chaque femme porte en elle une force naturelle riche de dons créateurs, de bons instincts et d'un savoir immémorial. Chaque femme a en elle la Femme Sauvage. Mais la Femme Sauvage, comme la nature sauvage, comme l'animal sauvage, est victime de la civilisation. La société, la culture la traquent, la capturent, la musellent, afin qu'elle entre dans le moule réducteur des rôles qui lui sont assignés et ne puisse entendre la voix généreuse issue de son âme profonde. Pourtant, si éloignées que nous soyons de la Femme Sauvage, notre nature instinctuelle, nous sentons sa présence. Nous la rencontrons dans nos rêves, dans notre psyché. Nous entendons son appel. C'est à nous d'y répondre, de retourner vers elle dont nous avons, au fond de nous-mêmes, tant envie et tant besoin. De par sa double tradition de psychanalyste et de conteuse, Clarissa Pinkola Estés nous aide à entreprendre la démarche grâce à cet ouvrage unique, parcouru par le souffle d'une immense générosité. A travers les " fouilles psycho-archéologiques " des ruines de l'inconscient féminin qu'elle effectue depuis plus de vingt ans, elle nous montre la route en faisant appel aux mythes universels et aux contes de toutes les cultures, de la Vierge Marie à Vénus, de Barbe-Bleue à la Petite Marchande d'allumettes. La femme qui récupère sa nature sauvage est comme les loups. Elle court, danse, hurle avec eux. Elle est débordante de vitalité, de créativité, bien dans son corps, vibrante d'âme, donneuse de vie. Il ne tient qu'à nous d'être cette femme-là."


j'avoue je ne l'ai pas encore lu mais j'ai bien hâte... je vous en reparlerai... à moins que l'un d'entre vous ne le fasse avant moi...

21 février 2008

robe grillée

controversé toute sa vie, le chef de file du nouveau roman, Alain Robbe-Grillet est mort lundi 18 février, à 85 ans.

les écrivains qui marquent leur siècle sont rarement des farceurs.
ses livres sont d’un humour discret, c’est pourtant un grand rire qu’on peut associer à Alain Robbe-Grillet. un rire méphistophélique, certes, sans pitié ni attendrissement, mais une forme de gaîté tout de même, d’une jeunesse inoxydable, sardonique et flamboyante.
initiateur, avec l’éditeur Jérôme Lindon, du mouvement littéraire le plus important d’après-guerre, le Nouveau Roman (qui englobera Nathalie Sarraute, Claude Simon, Michel Butor, voire Marguerite Duras), théoricien radical qui entend pulvériser les formes traditionnelles, auteur sulfureux inséparable de son épouse Catherine, «maîtresse» SM sous le nom de Jeanne de Berg, cinéaste d’avant-garde, Robbe-Grillet est resté jusqu’au bout un irréductible, un irrécupérable.

devenu membre de l’Académie française en 2004, ne s’est-il pas débrouillé pour ne jamais mettre les pieds quai Conti ? il n’aura pas subi l’épreuve de la «réception» avec discours sous la Coupole, lui qui avait négocié de ne pas porter l’épée, et se voyait mieux en smoking qu’en habit vert.


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20 février 2008

fatale



je ne sais pas vous, mais j'avoue que je savoure lentement cette voix qui s'égrène pour nous...
merci Jeanne...

17 février 2008

commune

j'ai envie de temps en temps de poster des définitions.
aujourd'hui : commune

en France, la commune est une division administrative, la circonscription la plus petite du territoire français.1 Une commune correspond généralement au territoire d'une ville ou d'un village. sa superficie et surtout sa population peuvent varier considérablement (la plus peuplée, Paris, possède plus de deux millions d'habitants, les moins peuplées zéro (voir plus bas)).

au 1er mars 2007, il existait 36 782 communes en France (dont 214 en outre-mer) qui couvraient l'intégralité du territoire français (à l'exception de Wallis-et-Futuna et de quelques territoires sans population permanente), ce qui représente environ la moitié du nombre total de communes dans l'Union européenne.

les communes furent créées lors de la Révolution française, le 14 décembre 1789, afin d'uniformiser le territoire français, divisé jusque là en paroisses, villes ou villages (en même temps que la création des départements, des districts [les arrondissements datent de 1800] et des cantons). les communes reprennent le territoire et la population des paroisses qu'elles secondent (rôle temporel).
le terme de « commune », au sens de l’administration territoriale contemporaine, est imposé par le décret de la Convention nationale du 10 brumaire an II (31 octobre 1793) : « La Convention nationale, sur la proposition d’un membre, décrète que toutes les dénominations de ville, bourg ou village sont supprimées et que celle de commune leur est substituée ». Les membres du conseil municipal étaient élus au suffrage censitaire. le maire était nommé soit par le pouvoir central pour les communes les plus peuplées, soit par le préfet pour les autres.
la loi municipale du 5 avril 1884 institue que le conseil municipal soit élu au suffrage direct. le conseil siège à la mairie de la commune et est présidé par le maire qui est désigné parmi les siens.


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16 février 2008

terre de feu

je viens de corriger un ouvrage d'un voyageur-photographe revenant d'un voyage en Patagonie.

ce fut un beau voyage pour moi aussi... je vous donnerai les infos sur cet ouvrage lorsqu'il paraîtra. mais en attendant, je ne peux résister à vous offrir cette photo qui fera partie du livre.

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c'est la villa Ukika.
magnifique, non ?

14 février 2008

cadeau

13 février 2008

salve d'or

exemple vivant de l’expression française "joie de vivre", Henri Salvador affirmait que la musique était une compagne de chaque instant dans son existence, et qu’elle était l’une des raisons essentielles de l’éternel esprit d’enfant qu’il avait conservé toutes ces années. sa voix parfaitement claire devait tout à la discipline et à sa passion pour les deux plus grands crooners de tous les temps.

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écouter de bons disques aura finalement été le meilleur des enseignements pour ce natif de la Guyane française émigré à Paris dès l’âge de 7 ans. cinq années plus tard un cousin l’aidait à donner un but à sa vie: "Il me fit écouter des disques de Duke Ellington et de Louis Amstrong. j’ai été instantanément fasciné par cette musique, et c’est à ce moment que le jazz a transformé ma vie. Mon père rêvait de me voir devenir avocat ou médecin, mais j’ai tellement insisté qu’il a fini par m’offrir une guitare sur laquelle je me suis exercé seul pendant presque 2 ans avant de pouvoir réellement en jouer."

à l’approche de ses 15 ans, le jeune Salvador s’estima suffisamment prêt pour pouvoir briguer un emploi de musicien au sein d’un orchestre français populaire. il passa une première audition qu’il réussit d’emblée.
"En France, je n’ai pratiquement jamais quitté le devant de la scène. l’inspiration ne m’a jamais abandonnée. composer est un autre exercice quotidien pour moi; en réalité j’enregistre en permanence de nouvelles mélodies, et à l’heure d’entrer en studio, je ressors mes enregistrements et sélectionne ceux qui s’adaptent le mieux au projet.
très souvent les mélodies apparaissent en premier ; parfois elles naissent sur un texte envoyé par l’un de mes auteurs. beaucoup de ces auteurs ont hélas déjà disparu, comme Boris Vian, mais heureusement est apparue une nouvelle génération très talentueuse avec la jeune Keren Ann par exemple, avec qui j’ai beaucoup travaillé sur l’album "Chambre avec vue".

par une curieuse coïncidence, bien des années plus tard il influença les musiciens de la nouvelle vague qui naquit à Rio, la Bossa Nova. "Dans mon île", composition que Salvador enregistra en 1957 arriva au Brésil par le biais d’un film italien (Europa di notte d’Alessandro Blasetti), et fut considéré par Antonio Carlos Jobim comme l’une des influences majeures dans la naissance de cette révolution musicale.

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il est décédé aujourd'hui...
je l'ai croisé plusieurs fois. il m'appelait "ma princesse", mais je crois que c'était ainsi qu'il appelait les femmes en général...
un "prince charmant de Marseille"...

11 février 2008

can

l'apothéose de cette Coupe d'Afrique des nations 2008 au Ghana a eu lieu ce 10 février, au Ohene Djan Sports Stadium d'Accra, avec la victoire finale des Pharaons égyptiens.

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en dominant le Cameroun sur le score de 1 but à 0 en finale de cette Coupe d’Afrique 2008, les Pharaons, tenants du titre, réussissent le doublé et assoient leur suprématie sur le football continental.
le match, très rythmé et longtemps indécis, s’est disputé dans un Ohene Djan stadium d’Accra chauffé à blanc. les Egyptiens, plus organisés et plus efficaces, ne sont parvenus à concrétiser qu’en fin de rencontre.

je ne pouvais pas ne pas y faire allusion...

09 février 2008

tête en l'air

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mais
où ai-je
la tête
en ce moment ???






© Marc Torrès

à table !

je voulais vous parler de la cuisine et l'alimentation du Sénégal...

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j'ai choisi de vous proposer une recette, celle du tiéboudienne, plat national, qui se compose de riz additionné de poissons et de légumes.
il existe deux variétés : le "tieb khonhe", à la sauce tomate et le "tieb wekh", sans tomate.

recette du thiep bou dien (tieboudienne)

ingrédients :
1 kg de thiof. Le thiof peut-être remplacé par du colin qui lui ressemble, ou un poisson maigre comme du merlu ou de la dorade.
100 g de poisson séché
100 g de tomates concentrées, 1 poivron vert
200 g de carottes, 200 g de patates douces, 200 g de navets, 200 g d'aubergines
2 oignons, 1 piment rouge
1 kg de riz
huile d'arachide, sel, poivre, persil

préparation
Couper le poisson en tranches, préparer la farce en pilant 1 oignon, le persil et le piment, saler. Piquer chaque tranche et introduire un petit peu de cette farce.
Faire dorer à l'huile d'arachide les morceaux de poissons dans une casserole.
Ajouter 1 oignon, la tomate concentrée délayée dans un peu d'eau, porter à ébullition.
Ajouter les légumes épluchés et le poisson séché coupé en morceaux, recouvrir d'eau, saler et poivrer.
Laisser mijoter à couvert pendant 30 mn, ajouter le poisson et continuer la cuisson à feu doux 30 mn.
Cuire le riz à part.

quand c'est prêt, appelez-moi, j'arrive...
appétissant, non ?