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03 juin 2013

livre Inter 2013

c'est Sombre dimanche d'Alice Zeniter qui a remporté le prix du Livre Inter cette année..

apparemment, la jeune dame que je n'ai jamaus lue a l'heur d'emporter ses lecteurs dans de fortes émotiosn, je rajoute son nom sur ma liste des futurs prochains peut-être un jour...

 

sombre dimanche

 

 

« Sombre dimanche » n’a rien à voir, qui ajoute une pierre inattendue au jardin d’Alice Zeniter. C’est un roman sur le siècle hongrois, un hommage à un pays où la jeune auteur a travaillé et où elle se rend très régulièrement. C’est aussi un roman sur l’Europe d’après la chute du Mur.On y entre par une de ces scènes mystérieuses et fortes, de celles qui nous font aimer très tôt un livre : Imre voit son grand-père, le dos cassé, manier le râteau au jardin, tout en chantant « Sombre dimanche ». Nous sommes un 2 mai, le vieux est ivre car comme chaque année à pareille date, il s’est bourré la gueule pour oublier que c’est le jour anniversaire de la mort de sa femme Sara, morte en 1955 « d’un excès de communisme si on en croyait le grand-père ». Un an avant les chars russes à Budapest, ce dernier était donc devenu férocement antisoviétique.

25 mai 2013

Heart and pleasure

The Heart asks Pleasure – first –

And then – Excuse from Pain –

And then – those little Anodynes

That deaden suffering –

               

And then – go to sleep –

And then – if it should be

The will of it’s Inquisitor

The luxury to die –

         

Emily Dickinson


                       

(Le Cœur veut du plaisir – d’abord –

Ensuite – des raisons de ne pas souffrir –

Et puis – ces petites choses

Qui adoucissent la souffrance

               

Ensuite – il veut dormir –

Puis – si tel est le plaisir

De son Inquisiteur

Le luxe de mourir.)

24 mai 2013

mensonge et transparence

je vous avais parlé de ce "mot de l'année" présidé par Alain Rey, alors je ne peux pas vous laisser dans l'ignorance des résultats... Tadam, tapis rouge, robes de soirée pailletées et noeuds pap en sus... voilà donc les nominés sont :

"Le jury présidé par Alain REY élit le « MOT DE L’ANNÉE », tandis que les Internautes désignent leur propre mot. Les 75.000 votants de cette année ont considéré que MENSONGE(S) était le mot de l’année, tandis que le jury de lexicologues, sociologues et journalistes a préféré TRANSPARENCE.

 

 

 

 

TRANSPARENCE, mot du jury

Le Jury a choisi la TRANSPARENCE. Alain REY commente ce choix : « Parmi les mots qui ressemblent à ce qu’ils expriment, en voici un, TRANSPARENCE, qui réclame la visibilité de ce que l’on soupçonne caché. Une matière parfaitement transparente, le verre, le cristal le plus pur ne révèlent nulle forme et nul aspect dans les ténèbres. Ainsi réclamer la transparence n’a aucun sens si on néglige d’apporter la lumière. Au sens figuré, la TRANSPARENCE est parée d’une vertu active, alors qu’elle ne marque qu’une virtualité. En tant que caractère physique, la TRANSPARENCE est passive ; laisser transparaître est encore plus faible que laisser paraître et n’a presque rien à voir avec montrer ni avec éclairer ou clarifier. En outre, on ne réclame la TRANSPARENCE que lorsque l’opacité règne. »

MENSONGE(S), mot de l'année du public

Les Internautes de 20 Minutes, France Inter, TV5MONDE, du Festival du MOT, et les Charitois ont opté pour MENSONGE(S) » qui recueille près de 37% des voix, tandis que TRANSPARENCE arrive en cinquième position, après FRAUDE, COUAC et DÉFICIT. Il est aussi intéressant de noter que les votants se sont mobilisés dans 84 pays, le Canada, les États-Unis et le Royaume Uni figurant parmi les 10 nationalités les plus actives…

Pour Alain Rey, aussi surprenant que cela puisse paraître, TRANSPARENCE et MENSONGE(S) ne sont peut-être pas aussi éloignés qu’il n’y paraît : « Apparemment claire, la signification de TRANSPARENCE est ambiguë. Les humoristes en ont profité : se rendre transparent, c’est aussi se rendre invisible ; on devient vitre. A quelqu’un qui empêche de voir, on dit « ton père n’était pas vitrier », mêlant bizarrement l’ouvrier et son œuvre. A quelqu’un qu’on soupçonne de cacher ses actes ou ses biens on pourrait déclarer : «  Ton père n’était pas détective – ou journaliste pour Mediapart ! » De toute façon, ni transparence ni clarté ne sont héréditaires. On peut craindre que ces artistes en apparences que sont les candidats au pouvoir et à l’argent (on s’étonne naïvement que ces deux appétences puissent se mêler) ne fassent paraître, au cœur de l’ombre, que de flatteuses apparences. Vaut-il mieux subir le secret, ou le mensonge ? »"

 

19 mai 2013

la fabrique des mots

" L’ignoble Nécrole a encore frappé. L’objet de sa bataille ? Les mots. Il y en a trop, beaucoup trop. Pour faire taire tous les incurables bavards, tous les poètes, tous les chanteurs, tous les raconteurs d’histoires, tous les amoureux qui disent et redisent leur flamme, tous les humiliés qui protestent, tous les journalistes qui révèlent et, trouve-t-il, polluent de leurs nuisances sonores jusqu’à la nuit, Son Excellence le très distingué Président à vie a édité une liste, pompeusement intitulée « Circulaire VIII.2012.3917 », celle des trente mots désormais autorisés. 

Pour Mlle Laurencin et les élèves de CM2 de l’école Simon-Bolivar, c’est décidé, la guerre est déclarée. 

Parmi les escales de cette croisade sur terre et sur mer bientôt suivie par l’île tout entière, on apprendra comment le Palais de justice fait les choux gras de deux brasseries aux drôles de spécialités et ce que le Pays de Tendre dit de l’amour, on découvrira qu’une salle de classe et un centre de stratégie militaire ne sont pas si éloignés et qu’une ancienne mine d’or peut renfermer bien plus précieux que le plus précieux des métaux. 
Amis ou ennemis de Jeanne, en campagne ou non contre l’ignorance, on croisera le chemin d’une petite foule d’êtres et de créatures, parmi lesquels un élégant, trois jeunes à capuches, des pompiers, un Capitan accablé et très prolixe en anecdotes, un brochet plus vrai que nature, deux vieilles soeurs aussi virulentes qu’érudites, un certain M. Henri et, toujours, la furie de Nécrole…

Plus de dix ans après sa première déclaration d’amour à la grammaire, Erik Orsenna ne pouvait conclure qu’en explorant la fabrique des mots. Qui les crée ? D’où viennent-ils ? Comment combinent-ils leurs origines ? A-t-on le droit d’en inventer de nouveaux ? Si l’anglais domine toutes les autres langues, nos mots à nous seront-ils réduits à l’esclavage ? À toutes ces questions, Jeanne répond, une fois de plus, et raconte ses aventures au sein de cette mystérieuse fabrique."

09 avril 2013

ici ou ailleurs

Lire Ensemble

Rencontres / Colloques

Lire Ensemble « Gens d’Ici et D’ailleurs »

Salon de Provence

Du 29 mars au 12 avril ENTRÉE LIBRE

Pour la huitième année consécutive, la Communauté d’Agglomération Agglopole Provence co-organise avec les bibliothèques du territoire « Lire Ensemble en Méditérannée », une manifestation qui favorise la lecture en proposant des animations et l’accueil d’auteurs au sein des 17 communes du 29 mars au 12 avril sur le thème « Gens d’Ici et D’ailleurs ».

Cet événement littéraire labellisé s’associe en 2013 au roman-feuilleton lancé par Marseille-Provence 2013, intitulé « Les mystères de la Capitale ». Douze nouvelles écrites en résidence seront publiées sous forme d’épisodes hebdomadaires dans le journal « La Marseillaise ». Parmi ces douze écrivains qui s’installent sur le territoire de la Capitale européenne de la culture le temps d’une nouvelle, Claudine Galéa, née en 1960 à Marseille, auteure dramatique, romancière et critique littéraire est invitée à plonger dans l’histoire de Salon-de-Provence. En résidence du 23 février au 3 mars 2013, elle présentera sa nouvelle inédite mardi 2 avril, dans le cadre de « Lire Ensemble » à la librairie Le Grenier d’Abondance à 18h.
Claudine Galéa, a obtenu le grand Prix de littérature dramatique 2011 pour son ouvrage « Au bord », écrit à partir de la célèbre photographie de la soldate, tenant en laisse un prisonnier à Guantanamo. « Au bord » mêle l’intime et le politique pour interroger l’humain.

Programme complet sur www.agglopole-provence.fr

03 avril 2013

il faut une fleur

ma prof d'italien qui aime la poésie et bien d'autres choses encore, nous a fait travaillé autour de la chanson de Gianni Rodari "Ci vuole un fiore" dans le cadre u printemps des poètes.

avec quelques jeux et astuces, elle nous a fait écrire un poème, en italien bien sûr, et tous les poèmes seront exposés durant 15 jours...

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26 mars 2013

Shlomo Sand

j'ai entendu une émission extraordinaire cet après-midi sur les ondes de ma radio chérie, et je tenais à vous faire partager les propos de cet homme incroyable : Shlomo Sand, qui fait partie de cette catégorie d'hommes qui a un coeur tellement intelligent et lucide, bien campé dans cette société médiatique et hypocrite... il était venu parler de ce livre :

mais pas que...

merci monsieur.

" Shlomo Sand est un historien israélien spécialisé dans l'histoire contemporaine. Il a passé ses deux premières années de vie en camps de réfugiés juifs polonais, en Allemagne. Il a grandi en Israël où ses parents ont émigré. Après la guerre des Six Jours (1967) à laquelle il a participé comme simple soldat, il a milité dans l’extrême-gauche israélienne favorable à un État binational judéo-palestinien. Au milieu des années 1970, il a complété ses études universitaires à Paris où il a soutenu, sous la direction de Madeleine Rebérioux, une maîtrise sur Jean Jaurès et une thèse sur Georges Sorel qu’il a rédigée et soutenue en français. "

 

Jean-Marc Roberts

"L’écriture et l’édition ont été ses deux métiers de passion qu'il a toujours exercés en parallèle. Né le 3 mai 1954, fils unique de la comédienne italienne Ada Lonati et d'un  père américain, il avait publié son premier roman à 17 ans : "Samedi, dimanche et fête", au Seuil. Deux ans après la publication de son premier roman, le jeune Jean-Marc  entre en 1974 chez Julliard comme conseiller littéraire et pratiquera toujours  les deux métiers : éditeur dans plusieurs maisons et auteur.

A 25 ans, en 1979, il obtient le Renaudot pour "Affaires étrangères" et écrit le scénario de son adaptation au cinéma par Pierre Granier-Deferre, "Une  étrange affaire", prix Louis-Delluc en 1981.

Devenu gérant des éditions Stock (filiale de Hachette) en 1998, Jean-Marc  Roberts a aussi découvert et édité en 2003 le roman de l'actuelle ministre de  la Culture, Aurélie Filippetti, "Les derniers jours de la classe ouvrière". Il a aussi publié chez Stock Christine Angot, Jean-Eric Boulin, Philippe Claudel, Colombe Schneck et récemment Marcela Iacub ("La belle et la bête")."

Il a consacré sa vie à la litterature, il est mort hier.

25 mars 2013

my president is in the salon

Salon du Livre de Paris

ben non, ne cherchez pas, je n'étais pas sur un stand du salon du livre de Paris, c'est comme ça, je ne suis pas une guess star, ou pas assez jolie, ou pas assez successfull... mais François Hollande y était et au vu des images que nous a proposées Yann Barthès ce soir, je regrette vraiment de ne pas être un auteur à succès. il va être temps d'y remédier pour avoir la chance de croiser notre Président l'année prochaine.

il serait temps oui...

 

22 mars 2013

dystopie

j'ai appris récemment un nouveau mot : la dystopie.

sans vous précipitez sur votre dico ou sur Wikipédia, ditez-moi si vous connaissez la signification de ce mot ?

eh bien, la dystope est l'opposé de l'utopie.

bon, l'utopie on comprend c'est cette faculté à tout voir en rose, à imaginer une vie idéale.

alors dystopie, ce serait cette angoisse de tout voir en noir ?

ben pas tout à fait. voilà la définition du mot :

" récit de fiction peignant une société imaginaire organisée de telle façon qu'elle empêche ses membres d'atteindre le bonheur. l'auteur entend ainsi mettre en garde le lecteur en montrant les conséquences néfastes d’une idéologie (ou d’une pratique) présente à notre époque. "

ben, en tant qu'auteur, je trouve ce mot très intéressant...

pas vous ?

20 mars 2013

Bulles en Seyne

je trouve l'affiche très jolie... alors même si c'est dans deux mois, je vous la glisse ici.. (et non, je n'y serai pas, je devance la question qui va venir... moi à ce moment-là, je serai au salon de la francophonie à Vienne... on ne peut pas être partout, en plus je n'ai pas encore fait de BD... ce qui explique cela...)

16 février 2013

conte compté....

"Que ressent-on lorsqu’on perçoit les mots et les chiffres avec des couleurs, des formes et des textures différentes ?

Imaginez de compter avec 12 doigts, ou de lire un livre d’une infinité de manières !

Cette imagination appartient à tout le monde et possède sa propre science : les mathématiques.

Daniel Tammet,  élu l’un des « 100 génies vivants » en 2007, raconte des histoires de façon ludique et littéraire. Car les mathématiques et la littérature vont de pair. Elles aident à réfléchir et à penser notre monde et notre existence."

Cet homme étonnant a des capacités de calcul et de mémorisation hors du commun. Il parle une douzaine de langues dont l'islandais, appris en moins d'une semaine lors d'une expérience diffusée dans un documentaire. En 2004, il a battu le record d'Europede récitation des décimales du nombre pi : 22 514 énumérées sans faute en cinq heures et neuf minutes, après trois mois d'entraînement.

Dans ses écrits comme dans sa conversation, les mathématiques sont omniprésentes, mais elles semblent étonnamment concrètes, humaines presque."Enfant, les nombres m'ont rassuré, c'était une amitié, confirme-t-il d'une voix douce, avec des mains qui virevoltent. Aujourd'hui, ils me passionnent et me stimulent, mais j'ai un regard d'écrivain, un peu plus détaché." Le génie britannique ne se voit d'ailleurs pas comme mathématicien, d'autant qu'il ne maîtrise pas l'algèbre. "Je suis davantage dans la littérature mathématique que dans les maths, plus Perec que Poincaré", résume-t-il.

Dans son dernier livre "L'éternité dans une heure" il met les mathématiques au coeur du quotidien, de la littérature, de l'histoire..

A lire !!!



10 février 2013

langue...

avoir entendu Bernard Cerquiglini c'est comme se retrouver sur une île déserte avec son livre préféré : saveur et délectation, sans paramètre brouillant.

cet homme est un délice de connaissance, d'ouverture et de conservatisme tout à la fois.

c'est pourquoi, même si je ne l'ai pas encore lu, je vous encourage à découvrir ses "petites chroniques du français", même si vous pensez que "bien écrire" c'est juste de la pommade dans un monde où la communication est devenue virtuelle, il y a, il me semble, des trésors dans notre culture qu'il nous faut protéger, partager, passer au voisin...

bien entendu, il y a des combats plus importants que cela, mais nul combat ne saurait mériter bataille et ce combat-là n'apporte que bonheur et jubilation. aucun sacrifie, aucune limite à dépasser, rien à prouver, juste à découvrir et transmettre..

06 février 2013

livre inter

Le Prix du Livre Inter 2013

Le 3 juin 2013

Geneviève Brisac, présidente du jury du 39ème Prix du Livre Inter !

Auditeurs, lecteurs, jurés et auteurs vont vivre jusqu’en juin l’aventure du Livre Inter. 12 femmes et 12 hommes constitueront comme chaque année le jury du Prix du Livre Inter. A vos plumes !

Pour faire partie du jury du Livre Inter, envoyez vos lettres de candidature à l’adresse suivante :
Livre Inter – France Inter
116, avenue du Président Kennedy, 75220 Paris Cedex 16

Vous avez 3 semaines pour nous écrire, jusqu’au 28 février 2013 inclus

 

01 février 2013

Angoulème

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c'est en ce moment, c'est le 40e et je n'y suis pas...

le festival d'Angoulème, ses ateliers jeunesse, son concours "l'école e la B", ses prix, ses auteurs, ses expos, ses rencontres...

pfuuuu !!

un jour peut-être ??

 



26 janvier 2013

Mauvinier d'une traite

ma copine italienne qui bosse à la bibliothèque m'a parlé de cet auteur venu rencontrer des lycées dernièrement : Laurent Mauvinier dont le roman "Ce que j'appelle l'oubli" est écrit d'une seul phrase, 84 pages où ne figure aucun point terminant une phrase, si ce n'est le dernier, une seule et même continuité comme une respiration qu'on n'ose interrompre, et en cela le sujet le justifie.

et je me sens tentée par l'exercice...

c'est osé, et en même temps savoureux, comme un petit goût de piment qui reste sur le bout de la langue et dont on ne se débarasse que difficilement.

moi qui ai du mal avec les majuscules et parfois la ponctuation, ce serait un sacré gage...

des idées, des projets j'en ai commencés tant... alors celui-ci, le mènerai-je à bien ?

érotic-toc

Concours de nouvelles Erotiques Edilivre du 15 janvier au 31 mars 2013


Participez du 15 janvier au 31 mars 2013 au Concours de nouvelles Erotiques organisé par Edilivre en envoyant un texte de 10 000 caractères maximum. Plus de 5 000 € de prix à gagner !

Les éditions Edilivre vous invitent à participer du 15 janvier au 31 mars 2013 à son Concours de nouvelles Erotiques. Ce concours est gratuit et ouvert à tous, quel que soit votre âge, votre nationalité et votre lieu de résidence.

Comment participer ?
Pour concourir, envoyez votre nouvelle par mail à nouvelles@edilivre.com. Pour être acceptée, votre nouvelle devra :
- être au format Word ou PDF
- respecter la thématique imposée de « l’érotisme »
- ne pas dépasser les 10 000 caractères (espaces compris)
- être écrite en police Times New Romans de taille 12 avec interligne simple
- être anonyme, votre nom ne doit pas y figurer
Il est bien précisé que la thématique du concours « l’érotisme » concerne ce qui a trait à la description ou à l’évocation de l'amour, la sensualité, le plaisir et le désir sexuel. Toutes phrases ou groupes de mots à caractère pornographique, c’est-à-dire décrivant toute représentation crue ou concrète de la sexualité, d’actes physiques sexuels ou de choses obscènes, seront sanctionnés par le jury.

Le mail accompagnant votre nouvelle devra contenir les informations suivantes :
- nom et prénom du participant
- pseudo du participant s’il souhaite être mis en avant sous un autre nom
- titre de la nouvelle
- préciser en toutes lettres : « En participant à ce concours, j’accepte pleinement son règlement disponible sur le site Edilivre.com » (http://www.edilivre.com/communaute/2013/01/14/concours-de-nouvelles-erotiques-edilivre-du-15-janvier-au-31-mars-2013/)

20 décembre 2012

Aguaplano

Paolo Domeniconi é pittore e illustratore per bambini

mi piace la sua lavoro.

molti

scoprirelo !

The_Bremen_musicians_by_Aguaplanoa_cat_in_Paris_by_AguaplanoL__isola_di_Cicero___chapter_15_by_AguaplanoL__isola_di_Cicero___chapter_4_by_Aguaplanothe_barber_by_AguaplanoL__isola_di_Cicero___chapter_2_by_Aguaplano

18 décembre 2012

loup, cochon et Mario...

le regarder dessiner...

Adios Ramos

je lisais avec plaisir et petit sourire dans les yeux ses livres. alors quand je l'ai vu en vrai à Montreuil il y a six ou sept ans, je me sentais comme une gamine.

son accent a été un enchantement.

sa bouille d'"ado" aussi.

il y avait l'auteur, et l'homme certainement que je ne connaissais pas. il reste ses livres et beaucoup d'autres choses certainement..

Photo : Un grand monsieur s'en est allé...
Beaucoup de tristesse...