06 février 2014
Alain Mabanckou et Inter
c'est l'écrivain congolais Alain Mabanckou qui présidera cette année le prix du livre Inter.
et du coup, j'avoue, ça me donne envie de postuler pour être juré..
bon postuler ne veut pas dire être choisie mais quand même...
et en attendant, voilà un de ses ouvrages, si cela vous dit de le décrouvrir. quelle belle âme cet homme tout de même !
19:40 Publié dans littérature | Lien permanent | Commentaires (1)
05 février 2014
concours "la belle image"
on est mercredi et le rendez-vous est devenu habituel, le nouveau concours.
j'ai décidé de participer à un concours organisé par Robert Loi, un photographe marseillais. il s'agit de choisir une photo parmi ses galeries et d'écrire un texte court dessus.
j'ai bien envie de vous proposer la même chose. sauf que là, j'ai déjà choisi la photo pour vous.
donc, je vous propose de bien regarder la photo en dessous et de m'inventer un petit texte (une phrase suffit, hein) sur ce qu'elle vous inspire.
bien entendu, ce n'est pas celle que je prends pour ma participation...
résultat des trois plus chouettes textes : mardi prochain !
(et en allant sur le site de Robert Loi, vous pouvez aussi participer à ce concours... jusqu'au 12 mars..)
11:59 Publié dans littérature | Lien permanent | Commentaires (12)
04 février 2014
concours citations : les résultats
d'abord merci d'avoir joué le jeu et merci à ceux qui ont participé, même sur le fil du rasoir (comme Gynux... ;) ).
mais pétard, personne n'a gagné !!
non, non, personne..
les réponses étaient :
1) a = Marcel Aimé
2) a = Charles d'Orléans
3) b = Jean Giono (dans "le Hussard sur le toit"... ah Angelo !!)
4) a = Louis Aragon, là, ce fut l'unanimité
5) b = Rétif de la Bretonne, Nicolas de son prénom
bon, ce sera pour une prochaine fois.
nouveau concours, demain !
09:42 Publié dans littérature | Lien permanent | Commentaires (2)
02 février 2014
un ange passe
j'aime lire.
j'aime lire des nouvelles.
en écrire aussi. mais en lire.
mais lorsque la lecture est faite par des comédiens avec une mise en scène tellement juste que c'en est époustouflant...
c'est ce à quoi j'ai assisté : une lecture mise en scène par deux comédiens de "Concerto pour un ange", un recueil de nouvelles de Eric-Emmanuel Schmitt (décidément je suis en pleine période des écrits de cet auteur..).
ce recueil contient 4 nouvelles :
- L'empoisonneuse
- Le retour
- Concerto à la mémoire d'un ange
- Un amour à l'Élysée
et nous avons pu admirer la lecture de 3 d'entre elles.
que du bonheur !
10:49 Publié dans littérature | Lien permanent | Commentaires (0)
31 janvier 2014
Cavanna...
quand j'étais ado, j'en étais fan. je l'écoutais dans les émissions télévisées, je lisais ses bouquins, sa voix rauque et ses bacchantes, ça me donnait la sensation d'être une rebelle, je ne glissais pas le moule.
"Hara Kiri", "Bête et méchant", ses origines italiennes, "Les Ruskoffs", "Les ritals"... ses yeux doux..
il me donnait la sensation de n'avoir peur de rien.
et puis, j'ai oublié. j'ai vieilli, grandi. je n'ai plus pensé à cette "révolte intérieure" que je cultivais avec lui.
aujourd'hui il n'est plus vivant et apprendre sa mort m'a touchée. je me suis souvenue...
13:10 Publié dans littérature | Lien permanent | Commentaires (1)
à boire et à manger...
il y avait longtemps que Guillaume Lelong n'avait pas été exposé par ici...
mais là, avouez, je ne pouvez pas passer à côté. ce type a une façon de parler cuisine... on en mangerait...
(Michel Polanreff "l'amour avec toi")
13:03 Publié dans littérature | Lien permanent | Commentaires (1)
29 janvier 2014
concours "citations"
voilà le nouveau concours du jour...
pas de podium à gagner mais par contre faut le faire sérieusement... c'est-à-dire sans aller chercher les réponses sur quelque support que ce soit...
je vous propose cinq citations et pour chacune trois auteurs possibles.
et vous devez les retrouver (sans chercher, hein !!!).
vous glissez vos réponses et celui (celle) qui aura eu le plus de bonnes réponses sera mon (ma) chouchou de la semaine.
ça le fait, ça, non ??
1) Seules, les femmes voient vraiment les choses. Les hommes n'ont jamais qu'une idée.
a) Marcel Aimé b) Casanova c) Molière
2) Je suis celui au coeur vêtu de noir.
a) Charles d'Orléans b) Alfred de Musset c) Gérard de Nerval
3) Le mystère est toujours résolument italien.
a) Audiberti b) Jean Giono c) Stendhal
4) Qui parle du bonheur a souvent les yeux tristes.
a) Louis Aragon b) Pierre Corneille c) Victor Hugo
5) Je m'aperçus bientôt que l'amour ressemble à la soif : une goutte d'eau l'augmente.
a) L'abbé Prévost b) Rétif de la Bretonne c) Marquis de Sade
allez, à vos réponses !!!
23:02 Publié dans littérature | Lien permanent | Commentaires (10)
28 janvier 2014
les mots mis à mal !!
pas d'impatience, voilà les résultats du concours de mots étrangers traduits en français mais pas vraiment usités... bon, bref, vous aurez compris..
alors :
1re place : ex-aequo
cafuné : caresse dans les cheveux = une étoupette
kalsarikännit : se bourrer la gueule seul chez soi = s'englougloutir
(écrits par Jean)
2e place : ex-aequo
slampadato : individu accro aux UV = tanorexique (écrit par Lo)
pana Po'à : se gratter la tête pour aider à se souvenir : psychéknoser (écrit par le lecteur anonyme)
3e place (ex-aequo)
vybafnout : surprendre l'autre en criant "bouh" = bouhtiner
tartie : moment gênant où l'on a oublié le prénom de quelqu'un alors qu'on fait les présentations = un trounom
(écrits par Betty)
20:09 Publié dans littérature | Lien permanent | Commentaires (0)
26 janvier 2014
L'épreuve
connaissez-vous cette pièce de Marivaux : L'Epreuve ? ces allées et venues sur le sentiment amoureux mélangeant doutes et certitudes, dénuement et intérêt créent un va-et-vient exaltant, qui nous tient en haleine.
la voir jouer par une troupe exceptionnelle est un pur délice que j'ai eu la possibilité de vivre.
"La pièce est à voir pour ses silences et ses regards. Le temps s’arrête, de longues secondes durant, sur le dialogue muet auquel se livrent Angélique (Audrey Bonnet) et Lucidor (Loïc Corbery de la Comédie-Française). Ils échangent tout et ne se disent rien et sur leur visage et sur leur corps se marque l’infini de l’attente. M’aime-t-il malgré mon peu de condition? M’aime-t-elle pour moi et non pour mon argent? L’intensité de leur interrogation est là pour rappeler que si tel n’est pas le cas, la mort n’est peut-être pas loin.
La position sociale et l’argent, incarnés par la mère d’Angélique (Nada Strancar), sont en réalité de peu d’importance, et l’inquiétude de chacun c’est l’autre.
Ils s’aiment, c’est une évidence pour tous, et peut-être même pour eux. Ils n’osent se le dire, et Lucidor, torturé par l’incertitude, met à l’épreuve Angélique dans un stratagème d’une inconsciente cruauté. Il est inquiet, elle souffre. Elle reste fidèle à elle-même, sûre de ses sentiments, simplement femme et aimante peu à peu profondément perturbée par la douleur de la mise à l’épreuve. Il l’aime et il lui fait vivre cela? Le seul sentiment qu’elle énoncera sera « Je vous hais ». Et même si l’issue est un mariage, la joie a déserté les coeurs et l’incertitude s’est déplacée – ils s’aimaient, s’aimeront-ils encore? Et qu’en feront-ils?
Heureusement Marivaux reconnait plus d’une facette à l’amour ! Pendant que le son grave des amours inquiètes se développe, il nous propose la musique cristalline et joyeuse de la vie qui profite d’elle-même. La servante, Lisette (Adeline Chagneau), apprécie le fier Frontin (Daniel San Pedro) et le beau Blaise (Stanley Weber), Blaise apprécie le bel argent que lui propose Lucidor dans son stratagème et chacun épousera l’être qui aura et l’argent et le sourire. Il n’est plus tout à fait question d’amour mais d’épousailles, de situation sociales et de désirs immédiats. Marivaux nous surprend, nous fait rire, nous égaie et nous donne envie de vivre ainsi, dans la légèreté de la joie de vivre et la capacité à s’abandonner à la jubilation de l’instant.
La mise en scène de Clément Hervieu-Léger donne une densité physique au ballet des émotions. Le décor est épuré mais lourd et inquiétant. Les scènes sont intensément rythmées: graves, lentes, denses, pour l’amour d’Angélique et Lucidor, joyeuses, légères, enlevées pour les amours de Lisette, Frontin et Blaise. Angélique est une intensité immobile, Lucidor une perpétuelle chute, Lisette pétille de vie et rayonne, Blaise est tonitruant et en mouvement, Frontin s’avère audacieux et fidèle et Mme Argante un bloc de dureté. En fond sonore le chant des oiseaux, une musique, le bruit du vent; et les silences et regards, les corps tendus, offrant une vision sculpturale des sentiments.
C’est du beau théâtre qui coule comme une partition parfaitement exécutée. Cette pièce nous emporte et nous accompagne encore bien après les applaudissements: tous ces personnages, comme autant de parties de nous mêmes, interrogent longtemps nos amours; qui sont graves, qui sont légères, qui sont l’amour !"
22:35 Publié dans littérature | Lien permanent | Commentaires (0)
22 janvier 2014
concours "quel mot ?"
aussi riche que soit la langue française, j'ai découvert qu'il existe dans d'autres langues des mots qui n'ont aucun équivalent en France.
on peut les définir mais pas les nommer d'un mot.
je vous glisse en dessous ces mots (il y en a 11) et je vous propose (oui, oui, c'est le nouveau concours de la semaine !) d'essayer de trouver pour l'une de ces définitions, la traduction française en un mot.
un seul choix suffira.
je choisirai les 3 meilleures propositions que je classerai en podium mardi prochain.
allez, vous commencez à avoir l'habitude... et je vous attends plus nombreux, hein !!!
voilà les mots :
. Cafuné (portugais du Brésil) : caresse dans les cheveux.
. Jayus (indonésien) : blague tellement mal racontée et pas drôle qu’elle finit par faire rire.
. Kaapshljmurslis (letton) : sensation d’être serré dans les transports en commun.
. Kalsarikännit (finnois) : se bourrer la gueule seul chez soi.
. Layogenic (tagalog, langue des Philippines) : personne attirante mais seulement de loin.
. Pana Po’o (hawaïen) : se gratter la tête pour aider à se souvenir.
. Schadenfreude (allemand) : joie tirée du malheur d’autrui.
. Slampadato (italien) : individu accro aux cabines UV.
. Tartle (écossais) : moment gênant où l’on a oublié le prénom de quelqu’un alors qu’on fait les présentations.
. Voorpret (néerlandais) : sentiment d’excitation ressenti à l’approche d’un super événement.
. Vybafnout (tchèque) : surprendre l’autre en criant « bouh ».
10:05 Publié dans littérature | Lien permanent | Commentaires (8)
21 janvier 2014
la contrepèterie... et ses résultats
bon, encore une fois, vous n'e^tes pas très nombreux à avoir participé( pfffuuu, nom d'une pipe en bois !), mais je me fais un plaisir de donner le classement pour les brillantes propositions reçues :
évidemment, place d'honneur au Canard enchaîné, parce que justement, j'ai un peu du mal avec les cons..: "l'art de décaler les sons"
et place spéciale pour Franck Ribeiri qui a réussi tout de même à nous écrire une phrase, une vraie : "Il fait beau et chaud" et un point d'interrogation pour DSK car je ne trouve pas tout à fait, j'ai une vague idée mais ça ne colle pas vraiment, alors, bon, s'il veut m'aider...: "On n'est jamais très fort pour ce calcul"
et un gros baiser à Betty qui a essayé..
sinon, et ce ne sera pas une surprise (et en plus, c'est la vérité...), la première place est pour :
1) Corinne aime tricoter des pulls
Écrit par : jean
la deuxième place :
2) Le président veut faire voter tous les concierges.
Écrit par : Valérie T. (au passage, on remercie Valérie T., qui je crois joue pour la première fois avec nous...)
la troisième place :
3) Cette fille étonnante est arrivée à pied par la Chine
Écrit par : jean
10:14 Publié dans littérature | Lien permanent | Commentaires (5)
15 janvier 2014
concours contrepèterie
bon, ne pensez pas que je vais laisser mercredi se finir sans vous proposer un nouveau concours.
aujourd'hui, c'est un peu "osé", puisqu'il s'agit d'écrire une contrepèterie.
pour Jean, j'explique ce qu'est une contrepèterie : c'est une inversion de lettres iu de syllabes d'un ensemble de mots qui donne à la phrase un sens nouveau et amusant, souvent grivois (oui, oui !), style :
femme folle à la messe = femme molle à le fesse (c'est de Rabelais)
le vaincu de son coeur = le vainqueur de son cul (de Victor Hugo)..
bon, vous avez compris ?
alors, au boulot !!
21:33 Publié dans littérature | Lien permanent | Commentaires (8)
13 janvier 2014
la Valse des Toréadors
connaissez-vous cette pièce de Jean Anouilh : "La Valse des toréadors" ?
c'est dans un style classique du vaudeville mais c'est vraiment très drôle.
elle fait partie des cinq pièces grinçantes écrites par Jean Anouilh. Rédigée en 1951, elle a été créée à la Comédie des Champs-Elysées le 8 janvier 1952
c'est à voir, je vous le dis...
22:33 Publié dans littérature | Lien permanent | Commentaires (0)
07 janvier 2014
médium... ou pas !
ce n'est pas souvent que je critique ou démonte un auteur, un livre ou ...
mais lui, ça date de longtemps et franchement, ça n'est pas prêt de me passer...
le monsieur est auteur, pardon écrivain, et éditeur chez Galimmard. publié donc chez... Gallimard, bien entendu !
il déplore les 547 ouvrages sortis précipitamment pour la rentrée littéraire mais en pond lui-même un, nommé "Médium" dans lequel il critique le monde éditorial et ses pratiques, les écrivains trop centrés sur eux-mêmes, le sexe mal en point aujourd'hui (et, semble-t-il, il raconte comment sa masseuse s'empale sur lui, ce qui est nettement moins "pauvre" que toutes nos pratiques sexuelles à nous, ses contemporains ! si, si, avouez !!), il se gargarise des trois pauvres mots qu'il a inventés (waow quel génie !), se galvanise de ce qu'il est, lui, aujourd'hui, dans cette société trop rapide, trop... et trop...
bref, il s'aime trop, le fait savoir, d'une façon ou d'une autre, pense qu'on l'aime tout autant.
beurk !
si au moins, il avait le charme et le charisme d'un George, soit, mais même pas. il me fait gerber !
je ne sais même pas si j'ai déjà réussi à le lire. je crois que j'ai essayé mais comme mon dégoût date d'il y a longtemps, je ne sais plus vraiment, mais je crois honnêtement que j'ai du essayer et que j'ai refermé l'ouvrage... et quand je l'ai vu, à une émission style Pivot (oui, je vous l'ai dit, je suis vieille !), ça n'a fait que conforter...
je sais, je ne vous ai pas habitué à ça, mais ce matin, il est venu parler de lui sur ma radio préférée et comme j'étais en voiture, direction le lycée, pour y déposer mon internénette numbertwo, j'ai failli me planter trois fois dans le fossé tant l'entendre ricaner de cette autosatisfaction qui débecte m'a mis les nerfs à vif !
beurk, beurk, beurk ! et tant pis si je ne suis jamais éditée chez Gallimard pour cela mais Philippe Sollers, je ne vous aime pas.
09:38 Publié dans littérature | Lien permanent | Commentaires (2)
anaphrase : le podium
tadammmmm ! voilà les résultats du concours de la semaine, et je déplore encore le peu de participants mais ça va revenir, ça va revenir...
alors des baisers tout chauds de début d'année pour ceux qui ont participé.
un vrai chouette podium ! et demain : nouveau concours... tenez-vous prêts !
le 1er donc :
la poule a loupé le loup ...
Écrit par : lo
2e :
Est-il vrai que lorsqu'on habite Villeurbanne, on est invulnérable ?
Écrit par : Gynux
ex-aequo avec :
A l'aube tout est beau.
Écrit par : jean
3e ex-aequo :
MA VIE S'USA de MAUVAISES herbes aux usa....
Écrit par : lo
et :
L'ananas de la pure Ana fait peur.
Écrit par : jean
09:29 Publié dans littérature | Lien permanent | Commentaires (2)
01 janvier 2014
anaphrase du début de l'an
et voilà le premier concours de l'année, et là, vous ne pourrez pas dire que je ne vous ai pas gâ^t^és (et vous avez intérêt à participer sinon, vous n'êtes que des dégonflés !!).
je vous propose donc d'écrire une anaphrase.
qu'est-ce une anaphrase ? me dirait mon Jean qui aime bien taquiner les copines. alors j'explique : une anaphrase est une phrase (si, si !!) dans laquelle on retrouve des anagrammes (des anagrammes étant des mots qui s'écrivent avec les mêmes lettres... pffuuu ! il faut tout faire ici !).
ne vous affolez pas, je vous mets un exemple :
"en Chine, chaque chien a sa niche." (les mots en gras étant des anagrammes.)
vous avez compris ? alors hop hop hop ! on y go...
résultats : mardi matin prochain !
17:39 Publié dans littérature | Lien permanent | Commentaires (9)
31 décembre 2013
résultat "acrostiche"
bon, d'accord, Noël est passé et vous en êtes aux fêtes de dernier jour de l'an, mais quand meme, il n'y a que mademoiselle Lo qui a participé à ce concours...
alors je la déclare reine de l'"acrostiche de Noël" et je vous lancerai demain un nouveau défi, il n'y a pas de raison que vous vous endormiez en ce premier jour de renouveau, non mais !!!
alors, mademoiselle Lo, tu es la gagnante ultime et appréciée de ce concours avec cet acrostiche :
ongleur des rires et des pleurs
Officiant avec adresse le solstice d'hiver
Youpi,arrêtons de languir parrain de cœur
Equilibrant la vitesse propice à cet espace planètaire
Unit les espérances
Xénie apportera la différence
Noël est une nouvelle occasion
Offrons nous en ces temps
Encore un bel élan
Large en émotions
11:27 Publié dans littérature | Lien permanent | Commentaires (2)
25 décembre 2013
concours "acrostiche de Noël"
pour Noël donc, un concours en adéquation. je vous propose d'écrire un acrostiche avec les lettres de Joyeux Noël qui pourrait être une lettre adressée au Père Noël, ou juste des souhaits pour la planète, ou des souvenirs, ou un Noël rêvé...
pour Jean, un acrostiche consiste à utiliser les lettres du mot comme initiales de petites phrases formant un ensemble cohérent.
du genre :
J'ai toujours aimé cette terre
Ou bien l'ai-je rêvée
Y ai-je seulement vécu
En tout cas je la vois
Une terre de bonheur
Xénophobie et haine bannies
Nous y venions chaque année à Noël
Oublier nos chagrins et nos doutes
Eveiller nos envies et nos projets
La terre promise de mon enfance !
voilà un truc du genre... je vous laisse faire... à mardi matin pour les résultats..
19:00 Publié dans littérature | Lien permanent | Commentaires (2)
23 décembre 2013
résultats concours "fatrasie"
bon OK on est lundi soir mais je prends juste un peu d'avance pour demain matin... tadam !!! les résultats du concours de fatrasie.
merci aux participants et leurs belles propositions...
le 1er (parce que bon, quand on parle d'amour, je ne résiste pas) :
Il fait un temps de crocodile
A faire l’autruche sous ton aile
T’lécher l’oreille et sa jumelle
A même ta peau, nus, immobiles
Etre muets, carpe diem
Un temps à se dire je t’aime.
Écrit par : jean
le 2e (parce que c'est une merveilleuse illustration du dessin de Stéphane Girel) :
Le flot des tourments
Lavé dans un tambour
Le coeur rincé essoré
Rougit de désirs au présent
Ainsi fraye l'amour
Libre en toute éternité
le 3e (même si nous n'avons ici que 5 vers) :
Flash lumineux a l'hermitage
Requiem décadent d'un preux hétéroclite
Ascète et vestale tous deux cosmopolite
Métamorphose sans vignetage
Écrit par : lo
ex-aequo avec :
Il pleut fort sur la ville
Je me sens inutile
Le traineau va se traîner
J’ai l’esprit en fatras
Tel un air de Trénet
Pour Noël, patatras.
Écrit par : jean
et rendez-vous mercredi pour un nouveau concours.... en attendant, passez de belles fêtes, savoureuses et moelleuses, savoureuses et crémeuses...
21:18 Publié dans littérature | Lien permanent | Commentaires (1)
18 décembre 2013
concours "fatrasie"
c'est mercredi, alors c'est concours !!!
pour faire plaisir à Jean, je vous propose un concours de fatrasie et j'explique ce que c'est... si c'est pas royal au bar, ça, mon Jean...
alors alors... dès le Moyen Âge, certains poètes composent des « fatrasies », textes farfelus que les surréalistes célèbreront sept siècles plus tard, c'est dire.
comme quoi, y'a pas, je vous propose des travaux actuels !!
ouech le couz !!
voici pour exemple quelques vers de Philippe de Beaumanoir (1250-1296) :
Je vis toute la mer
S'assembler sur la terre
Pour faire un tournoi
Et des pois à piler
Sur un chat montés
Firent notre roi
le détournement du sens, et même l'annihilation du sens sont le moyen de bravades continues dans l'histoire de la littérature.
bref, êtes-vous prêts à "braver l"histoire" ??
allez, chiche ??!!!!!
on va dire pas plus de six vers et un brin farfelus... et le résultat mardi matin, comme d'hab..
13:32 Publié dans littérature | Lien permanent | Commentaires (6)