23 février 2008
police !!
Art. 1 : Objet du concours
L’Association Sang pour Sang POLAR et les bibliothèques de Veyrins-Thuellin, des Avenières, de Corbelin, de Vezeronce-Curtin et de Dolomieu organisent un concours d'écriture de nouvelles policières.
Art. 2 : Concours 2008
Votre nouvelle devra commencer par ces quelques lignes : "… Carla regarda les techniciens de la scientifique ramasser à la pince des fragments, des choses invisibles qu'ils enfournaient dans des tubes en plastique ou des enveloppes en papier cristal."
euh... Carla ? Carla ? c'est bizarre mais ce prénom m'interpelle... je cherche... est-ce que je connais une Carla dans mon entourage ???
bon, en tous cas, je vous propose d'aller jeter un oeil à ce concours d'écriture de nouvelles policières car ça a l'air vraiment chouette...
et puis, quand Carla regarde les techniciens de la scientifique, la France sourit... non ??
mais que fait la police ???
19:23 Publié dans littérature | Lien permanent | Commentaires (4)
22 février 2008
maux
j'aime les mots.
hier aujourd'hui et demain.
des mots.
des mots.
des mots.
11:50 Publié dans c'est la vie | Lien permanent | Commentaires (2)
louve
comme j'ai de la suite dans les idées, je reviens avec mes femmes qui crient "au loup" parce qu'elles en ont envie, avec ce livre de Clarissa Pinkola Estés : les femmes qui courent avec les loups.
voilà ce que dit la 4e de couverture : "Chaque femme porte en elle une force naturelle riche de dons créateurs, de bons instincts et d'un savoir immémorial. Chaque femme a en elle la Femme Sauvage. Mais la Femme Sauvage, comme la nature sauvage, comme l'animal sauvage, est victime de la civilisation. La société, la culture la traquent, la capturent, la musellent, afin qu'elle entre dans le moule réducteur des rôles qui lui sont assignés et ne puisse entendre la voix généreuse issue de son âme profonde. Pourtant, si éloignées que nous soyons de la Femme Sauvage, notre nature instinctuelle, nous sentons sa présence. Nous la rencontrons dans nos rêves, dans notre psyché. Nous entendons son appel. C'est à nous d'y répondre, de retourner vers elle dont nous avons, au fond de nous-mêmes, tant envie et tant besoin. De par sa double tradition de psychanalyste et de conteuse, Clarissa Pinkola Estés nous aide à entreprendre la démarche grâce à cet ouvrage unique, parcouru par le souffle d'une immense générosité. A travers les " fouilles psycho-archéologiques " des ruines de l'inconscient féminin qu'elle effectue depuis plus de vingt ans, elle nous montre la route en faisant appel aux mythes universels et aux contes de toutes les cultures, de la Vierge Marie à Vénus, de Barbe-Bleue à la Petite Marchande d'allumettes. La femme qui récupère sa nature sauvage est comme les loups. Elle court, danse, hurle avec eux. Elle est débordante de vitalité, de créativité, bien dans son corps, vibrante d'âme, donneuse de vie. Il ne tient qu'à nous d'être cette femme-là."
j'avoue je ne l'ai pas encore lu mais j'ai bien hâte... je vous en reparlerai... à moins que l'un d'entre vous ne le fasse avant moi...
09:05 Publié dans c'est la vie | Lien permanent | Commentaires (32)
21 février 2008
dictée
allez, un petit concours facile pour cette semaine, histoire de vous laisser souffler...
une dictée à corriger : 10 fautes à retrouver dans le texte ci-dessous :
"Céline doit se rendre à l'évidence : elle souffre d'embompoint. Plusieurs de ses amies ont dû renouveler leurs gardes-robes parce qu'elles avaient pris du poids récemment, et elle devra bientôt faire de même. Elle a délaissé sa mauvaise habitude de se servir dans la bombonnière tous les jours, mais cela n'a pas eu d'effet sur son poids. La manicure de Céline, qui est une habituée des régimes, lui a conseillé de s'assurer que son changement de poids n'ait pas été causé par des problèmes psycho-affectifs, comme sa rupture récente ou sa situation professionnelle instable dans l'agroindustrie, avant de commencer un régime. Elle lui a aussi proposé de profiter de l'automne pour se livrer à des activités récréo-touristiques qui nécessitent un certain effort physique, comme le vélo ou la randonnée pédestre en montagne, les bienfaits de l'activité physique sur le poids n'étant pas que des ouï-dires. Elle lui a enfin recommandé de se récompenser si elle atteignait ses objectifs, et elle lui a montré le magnifique collier d'yeux-de-chat qu'elle s'est offert à la fin de son dernier régime."
c'est drôle, ça, non ? et puis, ça change...
allez, à vos copies !
résultats... mercredi...
17:15 Publié dans littérature | Lien permanent | Commentaires (30)
robe grillée
controversé toute sa vie, le chef de file du nouveau roman, Alain Robbe-Grillet est mort lundi 18 février, à 85 ans.
les écrivains qui marquent leur siècle sont rarement des farceurs.
ses livres sont d’un humour discret, c’est pourtant un grand rire qu’on peut associer à Alain Robbe-Grillet. un rire méphistophélique, certes, sans pitié ni attendrissement, mais une forme de gaîté tout de même, d’une jeunesse inoxydable, sardonique et flamboyante.
initiateur, avec l’éditeur Jérôme Lindon, du mouvement littéraire le plus important d’après-guerre, le Nouveau Roman (qui englobera Nathalie Sarraute, Claude Simon, Michel Butor, voire Marguerite Duras), théoricien radical qui entend pulvériser les formes traditionnelles, auteur sulfureux inséparable de son épouse Catherine, «maîtresse» SM sous le nom de Jeanne de Berg, cinéaste d’avant-garde, Robbe-Grillet est resté jusqu’au bout un irréductible, un irrécupérable.
devenu membre de l’Académie française en 2004, ne s’est-il pas débrouillé pour ne jamais mettre les pieds quai Conti ? il n’aura pas subi l’épreuve de la «réception» avec discours sous la Coupole, lui qui avait négocié de ne pas porter l’épée, et se voyait mieux en smoking qu’en habit vert.
12:17 Publié dans c'est la vie | Lien permanent | Commentaires (2)
20 février 2008
fatale
je ne sais pas vous, mais j'avoue que je savoure lentement cette voix qui s'égrène pour nous...
merci Jeanne...
18:53 Publié dans c'est la vie | Lien permanent | Commentaires (5)
avalanche
le mercredi, c'est jour de "on sait qui".
on sait qui a remporté le concours.
on sait qui a gagné la coupe, la 1re place, le bouquet d'honneur...
vous nous avez envoyé de belles boules de neige.
merci merci merci...
et voilà les résultats :
1)
À
la
mer,
doux
matin,
vagues
pensées.
Amoureux
éconduits
sanglotent,
désespèrent :
incalculable,
insupportable
anéantissement.
Intransigeances
cauchemardesques
ultra-martyrisent
malencontreusement.
Ecrit par : Cécile
ex aequo
J'
ai
une
fine
douce
pensée
gardée
couchée
allongée
parfumée
cocotiers
conservée
maintenant
secrètement
profondément
Ecrit par : virginie
2)
A
la
mer :
ciel
azuré,
plages
sablées,
vraiment
lentement
parcourues,
embarcation
correctement
confectionnée,
schématiseront
incontournables
paradisiaqueries
Ecrit par : jill.C
3)
J'
Ai
Tué
Sire
Temps
Expire
Chavire
Secondes
Egrennées
Désirables
Demoiselles
S'élargissent
S'arrondissent
Insaisissables
Alanguissements
Ecrit par : Marie Zim
ex aequo
A
LA
FIN
CODE
PERDU!
DESOLE!
COMMENT
RETABLIR
SITUATION?
INNOVATION?
DECOUVERTES?
INQUISITIONS?
ELUCUBRATIONS?
MASTURBATIONS
INTELLECTUELLES
INEQUITABLEMENT
COMPARTIMENTEES?
Ecrit par : Gérard
et tableau honneur :
1
22
333
4444
55555
666666
7777777
88888888
999999999
Ecrit par : le Pierrot
16:30 Publié dans littérature | Lien permanent | Commentaires (6)
17 février 2008
commune
j'ai envie de temps en temps de poster des définitions.
aujourd'hui : commune
en France, la commune est une division administrative, la circonscription la plus petite du territoire français.1 Une commune correspond généralement au territoire d'une ville ou d'un village. sa superficie et surtout sa population peuvent varier considérablement (la plus peuplée, Paris, possède plus de deux millions d'habitants, les moins peuplées zéro (voir plus bas)).
au 1er mars 2007, il existait 36 782 communes en France (dont 214 en outre-mer) qui couvraient l'intégralité du territoire français (à l'exception de Wallis-et-Futuna et de quelques territoires sans population permanente), ce qui représente environ la moitié du nombre total de communes dans l'Union européenne.
les communes furent créées lors de la Révolution française, le 14 décembre 1789, afin d'uniformiser le territoire français, divisé jusque là en paroisses, villes ou villages (en même temps que la création des départements, des districts [les arrondissements datent de 1800] et des cantons). les communes reprennent le territoire et la population des paroisses qu'elles secondent (rôle temporel).
le terme de « commune », au sens de l’administration territoriale contemporaine, est imposé par le décret de la Convention nationale du 10 brumaire an II (31 octobre 1793) : « La Convention nationale, sur la proposition d’un membre, décrète que toutes les dénominations de ville, bourg ou village sont supprimées et que celle de commune leur est substituée ». Les membres du conseil municipal étaient élus au suffrage censitaire. le maire était nommé soit par le pouvoir central pour les communes les plus peuplées, soit par le préfet pour les autres.
la loi municipale du 5 avril 1884 institue que le conseil municipal soit élu au suffrage direct. le conseil siège à la mairie de la commune et est présidé par le maire qui est désigné parmi les siens.
09:05 Publié dans c'est la vie | Lien permanent | Commentaires (2)
16 février 2008
terre de feu
je viens de corriger un ouvrage d'un voyageur-photographe revenant d'un voyage en Patagonie.
ce fut un beau voyage pour moi aussi... je vous donnerai les infos sur cet ouvrage lorsqu'il paraîtra. mais en attendant, je ne peux résister à vous offrir cette photo qui fera partie du livre.
c'est la villa Ukika.
magnifique, non ?
19:03 Publié dans c'est la vie | Lien permanent | Commentaires (4)
15 février 2008
snowballs
voilà donc un nouveau concours : un concours de boules de neige...
oui vous ne rêvez pas, les snowballs sont des phrases "boules de neige" ou plutôt des phrases croissantes.
vous commencez par un mot d'une lettre, puis de deux, puis de trois...
trop compliqué ?
pas du tout, regardez :
J’
ai
une
peur
bleue:
depuis
maintes
semaines
plusieurs
phantasmes
terrifiants,
énigmatiques,
empuantissent
subrepticement,
mystérieusement.
alors qui se lance pour la plus grosse boule ???
attention n'oubliez pas les moufles et les cagoules, ça va vous geler les os... (résultats: mercredi... au chaud, avec thé bouillant, grog et tout ce qui faut pour vous réchauffer...)
14:25 Publié dans littérature | Lien permanent | Commentaires (18)
14 février 2008
cadeau
07:55 Publié dans c'est la vie | Lien permanent | Commentaires (1)
saint Valentin
Lâcher prise, ce n’est pas se montrer indifférent,
mais simplement admettre que l’on ne peut agir à la place de quelqu’un d’autre.
Lâcher prise, ce n’est pas couper les liens,
mais prendre conscience que l’on ne peut contrôler autrui.
Lâcher prise, ce n’est pas être passif,
mais au contraire tirer une leçon des conséquences inhérentes à un événement.
Lâcher prise, c’est reconnaître son impuissance,
c’est à dire que le résultat final n’est pas entre nos mains.
Lâcher prise, ce n’est pas blâmer ou vouloir changer autrui,
mais donner le meilleur de soi-même.
Lâcher prise, ce n’est pas prendre soin des autres, mais se sentir concerné par eux.
Lâcher prise, ce n’est pas « assister », mais encourager.
Lâcher prise, ce n’est pas juger, mais accorder à autrui le droit d’être humain.
Lâcher prise, ce n’est pas s’occuper de tout ce qui arrive,
mais laisser les autres gérer leur propre destin.
Lâcher prise, ce n’est pas materner les autres,
mais leur permettre d’affronter la réalité.
Lâcher prise, ce n’est pas rejeter, c’est au contraire accepter.
Lâcher prise, ce n’est pas adapter les choses à ses propres désirs,
mais prendre chaque jour comme il vient et l’apprécier.
Lâcher prise, ce n’est pas critiquer ou corriger autrui,
mais s’efforcer de devenir ce que l’on rêve de devenir.
Lâcher prise, ce n’est pas regretter le passé, mais vivre et grandir pour l’avenir.
Lâcher prise, c’est craindre moins et aimer davantage.
Texte bouddhique
07:40 Publié dans littérature | Lien permanent | Commentaires (9)
13 février 2008
homme au phone
mais oui, voilà les résultats du concours de cette semaine...
participation multiple pour certain(e)s, absence total pour d'autres, j'ai senti quoi qu'il en soit un grand amusement derrière l'écran.
tant mieux !
et merci...
alors pour qui le trophée ?
qui remportera les lauriers ?
voilà l'heure de vérité
enfin sonnée !!!
1)
"Il aime tant les fleurs et les pots, les roses. Arroser son thym..." = "Il aime tant l'effleurer, l'épauler Rose. Ah... Rose et son teint ..."
Ecrit par : Marie Zim
ex aequo
"Les mondains sensés rejettent la promise cuitée de l'amer indien" = "Les mondes insensés rejettent la promiscuité de l'amérindien"
Ecrit par : jill.C
2)
"Amer, Paul hué s'en fut, sombre..." = "Ah ! mer polluée : cent fûts sombrent..."
Ecrit par : Marie Zim
ex aequo
"L'écorce se durcit, se tend" = "Les corps se durcissent tant"
Ecrit par : virginie
3)
"Dais et toiles parsèment la nef céleste, décor de rêve sans voûte, explose ..." = "Des étoiles parent , s'aiment , la nef céleste , des corps de rêve s'envoûtent, explosent..."
Ecrit par : Marie Zim
ex aequo
"Le sôt scie son bois" même s'il a soif ; le "Saucisson boit" même s'il n'a pas soif !
Ecrit par : virginie
ex aequo
Une jeune élève africaine a répondu par écrit :
"j'ai pas touvé la tribu" = "j'ai pas trouvé l'attribut"
Ecrit par : francis
et pour le plaisir :
Pour ce concours, je constate qu'on se tâte !
Mais je vous en conjure, il ne faut point qu'on jure !
Ecrit par : virginie
"Elle, ma muse..." = "elle m'amuse..."(là, c'est un peu triché...)
Ecrit par : Eric
14:44 Publié dans littérature | Lien permanent | Commentaires (8)
salve d'or
exemple vivant de l’expression française "joie de vivre", Henri Salvador affirmait que la musique était une compagne de chaque instant dans son existence, et qu’elle était l’une des raisons essentielles de l’éternel esprit d’enfant qu’il avait conservé toutes ces années. sa voix parfaitement claire devait tout à la discipline et à sa passion pour les deux plus grands crooners de tous les temps.
écouter de bons disques aura finalement été le meilleur des enseignements pour ce natif de la Guyane française émigré à Paris dès l’âge de 7 ans. cinq années plus tard un cousin l’aidait à donner un but à sa vie: "Il me fit écouter des disques de Duke Ellington et de Louis Amstrong. j’ai été instantanément fasciné par cette musique, et c’est à ce moment que le jazz a transformé ma vie. Mon père rêvait de me voir devenir avocat ou médecin, mais j’ai tellement insisté qu’il a fini par m’offrir une guitare sur laquelle je me suis exercé seul pendant presque 2 ans avant de pouvoir réellement en jouer."
à l’approche de ses 15 ans, le jeune Salvador s’estima suffisamment prêt pour pouvoir briguer un emploi de musicien au sein d’un orchestre français populaire. il passa une première audition qu’il réussit d’emblée.
"En France, je n’ai pratiquement jamais quitté le devant de la scène. l’inspiration ne m’a jamais abandonnée. composer est un autre exercice quotidien pour moi; en réalité j’enregistre en permanence de nouvelles mélodies, et à l’heure d’entrer en studio, je ressors mes enregistrements et sélectionne ceux qui s’adaptent le mieux au projet.
très souvent les mélodies apparaissent en premier ; parfois elles naissent sur un texte envoyé par l’un de mes auteurs. beaucoup de ces auteurs ont hélas déjà disparu, comme Boris Vian, mais heureusement est apparue une nouvelle génération très talentueuse avec la jeune Keren Ann par exemple, avec qui j’ai beaucoup travaillé sur l’album "Chambre avec vue".
par une curieuse coïncidence, bien des années plus tard il influença les musiciens de la nouvelle vague qui naquit à Rio, la Bossa Nova. "Dans mon île", composition que Salvador enregistra en 1957 arriva au Brésil par le biais d’un film italien (Europa di notte d’Alessandro Blasetti), et fut considéré par Antonio Carlos Jobim comme l’une des influences majeures dans la naissance de cette révolution musicale.
il est décédé aujourd'hui...
je l'ai croisé plusieurs fois. il m'appelait "ma princesse", mais je crois que c'était ainsi qu'il appelait les femmes en général...
un "prince charmant de Marseille"...
13:45 Publié dans c'est la vie | Lien permanent | Commentaires (3)
12 février 2008
pour changer
une auteur - délicieuse - m'a sollicitée pour illustrer son prochain recueil de comptines.
ben oui, je vais devenir "illustratrice" aussi.
une vraie.
ouh la la !!!
bon, enfin, restons prudente...
en entendant, je vous glisse un de mes dessins qui ne sera pas dans le recueil mais bon... pour partager...
bien entendu, votre avis est bienvenu...
18:07 Publié dans un peu de moi | Lien permanent | Commentaires (14)
livre Inter
l’aventure du Livre Inter se perpétue pour la 34e année.
lecteurs, jurés, auditeurs, auteurs... vont vivre jusqu’en juin 2008 le plaisir de lire et le plaisir de partager.
les jurés du livre Inter cette année vont avoir comme président un écrivain, bien sûr, mais surtout un grand lecteur, le lecteur par excellence :
Alberto Manguel, c'est un savoir immense, un fou de lecture qui a publié il y a quelques années une "Histoire de la lecture".
vous souhaitez être membres du jury du 34e prix du livre Inter ?
prenez votre plus belle plume et écrivez une lettre dans laquelle vous expliquerez les raisons de votre candidature et décrirez vos goûts littéraires.
n'oubliez pas de préciser votre date de naissance, votre situation de famille, votre profession et votre adresse exacte, et d'envoyer ce courrier avant le 20 février 2008 à minuit, le cachet de la poste faisant foi à l'adresse suivante:
LIVRE INTER
Maison de Radio France
75220 PARIS CEDEX 16
15:14 Publié dans littérature | Lien permanent | Commentaires (0)
11 février 2008
lien
je suis allée cette après-midi dans une classe, qui travaille autour de l'Afrique, raconter les détails de mon séjour dans l'école de Fadiouth.
un lien va sûrement se créer entre cette classe et une de l'école de Fadiouth. une correspondance. des échanges de contes, des photos...
en attendant, l'enseignante française a choisi un conte parmi ceux écrits avec les élèves de Fadiouth pour en faire un spectacle "musical" que les élèves joueront devant les parents à la fin de l'année.
je suis très contente si des passerelles se construisent ainsi.
les enfants ont bien aimé celui-ci :
Le lion, le chat et la souris
Il était une fois un lion qui chassait les vaches dans un champ. Pendant ce temps, au village, une souris dansait sur la place car le chat n’y était pas. Le chat était parti se promener dans les champs.
Soudain, il entendit un rugissement derrière lui. Il se retourna et vit le lion prêt à bondir sur lui. Sans hésiter, il s’enfuit et court jusqu’au village. Il rentra dans une case et se cacha sous le lit. Il y trouva la souris qui se reposait tranquillement là, après avoir dansé, en grignotant des arachides qu’elle avait chipées. Ni une ni deux, le chat chercha à l’attraper. La souris s’échappa vers les champs. Le chat, qui avait oublié le lion, la poursuivit. Et se trouva nez à nez avec le lion. En le voyant, celui-ci le croqua, sans hésitation. Malgré tout, il avait encore faim. Il se reposa quelques instants puis vit la souris qui s’échappait dans le champ et lui courut après.
Une des vaches regardait ce spectacle amusé. Mais elle ne réalisa pas que le lion s’approchait d’elle. La souris d’un bond sauta dans la queue du lion se cacher, pendant que le vorace mangeait la vache.
Le lion repus, s’endormit. Et la souris put sortir de sa cachette pour rentrer dans la case, au village.
on verra bien celui qui sera choisi en définitive...
17:50 Publié dans mes ateliers d'écriture | Lien permanent | Commentaires (1)
can
l'apothéose de cette Coupe d'Afrique des nations 2008 au Ghana a eu lieu ce 10 février, au Ohene Djan Sports Stadium d'Accra, avec la victoire finale des Pharaons égyptiens.
en dominant le Cameroun sur le score de 1 but à 0 en finale de cette Coupe d’Afrique 2008, les Pharaons, tenants du titre, réussissent le doublé et assoient leur suprématie sur le football continental.
le match, très rythmé et longtemps indécis, s’est disputé dans un Ohene Djan stadium d’Accra chauffé à blanc. les Egyptiens, plus organisés et plus efficaces, ne sont parvenus à concrétiser qu’en fin de rencontre.
je ne pouvais pas ne pas y faire allusion...
09:20 Publié dans c'est la vie | Lien permanent | Commentaires (0)
10 février 2008
ensemble
Il a tendu sa main pour l’aider.
Grande lisse noire.
Geste galant poli classique.
Convenu.
Habituel.
Elle a glissé sa main à l’intérieur et sans presque le vouloir, leurs doigts se sont mêlés enlacés.
Un instant.
Bref.
Elle a serré la main qui la tenait. Fort. Elle est descendue et a prié : Mon Dieu, faîtes que cette main tendue ne s’éloigne jamais de ma vie.
Elle est descendue. Elle a lâché la main.
Sourires échangés.
Au retour, elle plongera à nouveau sa main dans la sienne.
Tendue.
Grande lisse noire.
Elle enlacera les doigts.
12:16 Publié dans littérature | Lien permanent | Commentaires (2)
09 février 2008
tête en l'air
17:35 Publié dans c'est la vie | Lien permanent | Commentaires (3)