10 avril 2012
Tangonéon
samedi soir a eu lieu la première représentation de "Tangonéon" une pièce qui est une suite de poèmes argentins mis en scène et dans laquelle je joue.
moment impressionnant et palpitant qui a eu l'heure de plaire aux spectateurs si j'en juge par les nouvelles propositions de représentatiopns qui nous ont été faites.
beaucoup d'amateurisme dans notre travail mais aussi beaucoup de complicité et de partage...
j'avais oublié ce plaisir de jouer...
si je peux mettre la main sur des photos, je les glisserai là...
on recommence mercredi soir... avant de partir en tournée !! (non, là, je plaisante !!)
La Cie BRASQUIGNOLE vous propose: TANGONEON; du tango, un bandonéon, une interprétation de poèmes d'auteurs argentins, des chansons déséspérées, des récits de passions passées, de nostalgie, du mal de vivre, une évocation de bistrots où la vie passe au large et où sans lutter on se laisse aller à regarder un morceau de soleil sur le trottoir.
09:31 Publié dans lamiendo | Lien permanent | Commentaires (0)
09 avril 2012
chocolat pascal...
ce ne sont pas des oeufs en chocolat que je suis allée chercher aujourd'hui mais des asperges, sauvages, vertes, fragiles et si droites parfois.
une promenade avec vue sur des paysages de Provence magiques, un temps clément, un moment bienfaisant.
sur le site Internet de "La Dépêche" j'ai toruvé une explication de cette tradition pascale.
que je partage ici, en vous souhaitant un lundi chocolaté :
Mais pourquoi offre-t-on des oeufs, du chocolat et que viennent faire cloches et lapins dans l'histoire ?
1. Une fête religieuse mêlée aux traditions païennes
Dans la religion juive, Pessa'h, la Pâque juive, commémore l'exode des Hébreux hors d'Égypte, emmenés par Moïse. Lors de leur premier repas d'hommes libres, ils ont sacrifié un agneau, animal sacré en Égypte. Cette viande est depuis consommée par les Juifs à l'occasion de Pessa'h.
Pour les chrétiens, Pâques est également un des évènements principaux du calendrier, symbolique de la vie après la mort. Ce jour-là, ils célèbrent la résurrection du Christ, après sa crucifixion, le Vendredi saint.
Pâques met également fin à la période de carême, qui dure quarante jours. On retrouve des similitudes avec Pessa'h, notamment l'agneau. Pâques porterait ce nom car selon les Évangiles, la mort du Christ aurait eu lieu pendant la fête de Pessa'h.
On retrouve également Pâques dans les traditions païennes : c'est une période de renouveau, avec l'arrivée du printemps.
2. L'origine des oeufs
En chocolat, en sucre, peints ou encore cuits : l'oeuf est le symbole de la fête de Pâques. Chez les Égyptiens, les Perses et les Romains notamment, l'oeuf est un symbole de vie, que l'on s'offrait au printemps. Plus largement, poules et poussins ont également revêtu la même symbolique.
Au Moyen-Âge, il était interdit de manger des oeufs pendant le carême. Or les poules de la maison ne s'arrêtaient pas pour autant de pondre ! De là vient la tradition de s'offrir des oeufs décorés, avec le surplus. Une tradition qui est encore très présente dans certains pays, comme en Allemagne. Et qui explique également la forme d'oeuf que prennent les chocolats.
3. Pourquoi les cloches ou les lapins ?
Depuis plusieurs siècles, il est interdit de sonner les cloches des églises catholiquesentre le Jeudi saint et le dimanche de Pâques, en signe de deuil. Une tradition que l'on retrouve notamment en France, en Belgique ou en Italie.
On a alors raconté aux enfants que les cloches allaient se faire bénir par le Pape à Rome. En rentrant, elles viennent carillonner et déposent au passage dans les jardins les fameux oeufs en chocolat tant attendus par les enfants.
En Allemagne et dans l'est de la France, c'est un lapin, aux États-Unis un lièvre... On trouve aussi des coucou ou des cigognes : le généreux donateur de chocolat peut prendre d'autres formes.
Le lapin vient d'une tradition païenne germanique : il était l'emblème de la déesse Ost Ara, symbole de fertilité et du printemps.
4. Et le chocolat dans tout ça ?
Aujourd'hui, nos petites têtes blondes ne reçoivent plus d'oeufs pour Pâques : ils ont été remplacés par du chocolat. La transition s'est faite progressivement. Les sucreries étant interdites pendant la période du carême, Pâques marque la fin de la restriction. D'où les cadeaux ramenés par les cloches.
«On ignore la date exacte à laquelle l'on a eu l'idée de percer les oeufs d'un côté, pour les vider et les remplir de chocolat. Sans doute au XVIIIe siècle, mais c'est au XIXe siècle que l'on commence à voir apparaître les oeufs tout en chocolat, notamment, à partir des années 1830, grâce au développement des techniques de travail de la pâte de cacao et surtout grâce à l'apparition et à la diversification des moules, qui permettent d'obtenir des formes en chocolat de plus en plus variées», explique Élisabeth de Contenson, auteure du Chocolat et son histoireà 20minutes.fr.
19:27 Publié dans c'est la vie, lamiendo | Lien permanent | Commentaires (0)
mon amour
cette chanson résonne en moi depuis plusieurs jours, c'est par période... alors comme d'habitude, je partage...
19:22 Publié dans lamiendo | Lien permanent | Commentaires (2)
06 avril 2012
pouet pouet !
lui, je l'aime, c'est sans explication.
toujours le petit dessin qui me touche au bon moment. alors, je partage.
(c) Gynux
il est des jours où on se sent bien. juste bien, à écouter Véronique Sanson, corriger un chouette roman pour le Nuno retrouvé et penser à respirer fort à cause du yoga pour débutants...
le téléphone qui sonne sans arrêt, les corrections qui n'avancent pas, une nouvelle bague au doigt et du thé blanc à la pêche (merci mes amours), la pluie qui s'est arrêtée,la pièce de théâtre à dire et redire, le bonheur ici, le bonheur là...
et voilà, c'est un jour.
un de plus...
19:46 Publié dans lamiendo | Lien permanent | Commentaires (6)
20 mars 2012
protège-moi
10:01 Publié dans lamiendo | Lien permanent | Commentaires (0)
18 mars 2012
une rose dans mon coeur...
quel plaisir de réentendre cette chanteuse hier soir en partageant un bon vin blanc (ben oui, parfois je fais des entourses à ma religion... ;))
je ne résiste pas à vous mettre une de ces chansons.
je l'avais vue en concert à Manosque en 2008, je crois. ou 2007. à cette époque, ma vie était organisée autrement, aucun chamboulement n'avait renversé les règles établies d'une vie classique. il faisait beau, c'était en août, moment joyeux.
et j'ai adoré.
alors voilà c'est pour vous, parce que, comme elle le dit dans une de ses chansons, quand je serai vieille, je veux penser que je me serai bien amusée dans la vie...
vivre intensément et s'y brûler les ailes ou ne vivre que du plat, du "normal", du "linéaire"...
je ne sais pas faire semblant alors go ! que la vie m'emporte...
20:09 Publié dans lamiendo | Lien permanent | Commentaires (1)
16 mars 2012
glamour
sérieusement, après le tag de Cécile, j'ai reçu un article de Glamour intitulé : "20 preuves qu'on sort avec un con".
alors, là, plus romantique, il faut chercher.
et bizarrement, j'ai une pointe de regret de ne pas avoir reçu cet article quelques semaines auparavant, ça m'aurait peut-être éclairée... qui sait...
donc, je vous sens impatientes mesdames d'en savoir plus, de détecter l'homme que vous aimez, ou avec qui vous sortez, de le percer, le dévoiler un grand jour.
alors con or not con ? that is the question...
mais cessons-là tout suspens et lisez bien ces 20 explications qui vous rendront plus intelligentes, vous...(désolée pour les messieurs de passage mais c'est un post exclusivement féminin...)
1 - il vous parle avec condescendance
bon là, j'ai un doute, on ne va pas non plus choisir que des rustres qui nous parlent avec rudoiement, non ?
2 - il nous décourage
là, encore plusieurs interprêtations possibles : soit il nous décourage en nous répétant inlassablement qu'on est nulles, soit il nous décourage parce qu'on a compris qu'on ne pourra rien en tirer d'intéressant
3 - il nous filtre
4 - il ne nous rend pas belle
5 - il n'invite jamais
ici, je mets un point d'honneur à souligner qu'effectivement c'est un signe important
6 - il crie souvent
donc, gaffe à ne pas s'enticher d'un poissonnier marseillais, ça biaise l'article
7 - il se trompe de prénom
là, il n'est pas con, c'est un goujat !
8 - il se venge
9 - il adore les miroirs
10 - il est mielleux
beurk beurk beurk !
11 - il n'a pas d'humour
12 - il a peur du plastique
essayez de lui enfermer la tête d'un sac plastique, s'il rechigne, quittez-le ! (non, je plaisante !!)
13 - il nous met le seum*
* besoin d'une légende ici (Cécile c'est à toi de jouer !) : n.m. se dit sans complexe afin de signifier les situations désespérantes de zone ultime et de mocheté environnante, s'emploie beaucoup dans le Grand Paris
j'avoue que ça, c'est moche moche moche...
14 - il se croit au Juste Prix
les radins, décidément n'ont pas la côte... je jubile !
15 - il est le roi du "poke"
comprendre ici qu'il drague de longue sur Internet et que ça en devient lassant
16 - il est crevé
17 - il a un tique verbal
je rajouterai bien ceux qui emploient des expressions infantiles mais ça, c'est hyper perso...
18 - il nous calme
(bon, moi, je dois dire que ce n'est pas un mal en ce qui me concerne !! ;)
19 - il monopolise la salle de bains
rien de dramatique si ce n'est pas avec nos shampooings et produits de beauté, moi je dis
20 - il ne change pas l'ampoule
oui, bon, là, c'est à apprécier comme on le sent. mais j'avoue qu'un bricoleur ça a du bon...
eh bien, mesdames vous voilà prêtes pour le grand constat. et si vous voulez commenter, n'hésitez pas....
19:59 Publié dans lamiendo | Lien permanent | Commentaires (9)
07 mars 2012
désespérée
ma prof de théâtre me propose d'apprendre et de jouer entre autres, ce texte-là...
je me demande bien pourquoi ??....
"Je suis une chanson désespérée,
Feuille affolée dans la tourmente ;
par ton amour, ma foi désorientée
S'est effondrée, brisant mon coeur.
En moi-même je me suis perdu,
Aveugle de pleurer cette illusion.
Je suis une question obsédante
Que crie sa douleur et ta trahision.
Pourquoi m'a-t-on appris à aimer ?
Si c'est pour jeter, sans raison,
Les rêves à la mer ;
Qui attise les châtiments
et apprendr à pleurer.
Je le demande, pourquoi ?
oui, pourquoi m'a-t-on appris à aimer,
Si mon amour est mort de t'aimer ;
Atroce farce de donner tout pour rien,
Et à la fin d'un adieu,
De se réveiller en larmes.
Où donc était Dieu quand tu es partie ?
Où était le soleil qui ne t'a pas vue ?
Pourquoi une femme ne comprend-elle jamais
Qu'un homme donne tout en donnant son amour ?
Qui leur a fait croire en d'autres destins ?
Qui défait ainsi tant d'illusions ?
Je suis une chanson obsédante
Qui crie sa douleur et ta trahison."
Enrique Santos Discépolo
18:39 Publié dans lamiendo | Lien permanent | Commentaires (2)
05 mars 2012
MaBelle théière..
je pose là cette illustration, de Marie-Pierre Emorine, pour MaBelle qui m'a si gentiment offert un café en me disant : ah non, toi ce que tu aimes c'est le thé !
non, MaBelle j'aime aussi le café et partagé avec toi, ce fut un délice...
17:06 Publié dans lamiendo | Lien permanent | Commentaires (4)
04 mars 2012
soie
dans l'avion qui me ramenait chez moi j'ai lu, aimé, dévoré ce petit livre que j'ai reçu en cadeau.
et de fait, c'est un cadeau.
pas long mais du concentré intensif. écriture puissante sans flonflon. émotions garanties.
19:50 Publié dans lamiendo, littérature | Lien permanent | Commentaires (4)
29 février 2012
re-plouf !!!!
la semaine prochaine, je pourrai à nouveau sortir ma queue de sirène et aller éclabousser les requins à la piscine...
avec le soleil en prime...
j'ai hâte !!!
(je ne retrouvais plus l'auteur de cette merveille !! mais grâce à Gynux : (c) J. Scott Campbell)
23:21 Publié dans lamiendo | Lien permanent | Commentaires (2)
28 février 2012
blablas du mardi soir...
il y a des jours qui nous surprennent . aujourd'hui en fut un.
ma chatte a perdu ses deux bébés et j'ai perdu ma chatte.
ma fille a perdu son prof de piano adoré mort d'une crise cardiaque cette nuit.
ce soir, le beau-frère d'Antonin Louchard me préparait les meilleures tagilatelles du monde.
et on enterrait un homme dans mon village. dans le village d'à côté aussi.
un vieux sans sa canne m'a fait mourir de rire en faisant du stop, bientôt la fête des mamies...
ce matin, une adorable éditrice me disait en rigolant d'avoir un peu plus confiance en moi.
je n'ai pas réussi à écrire une seule ligne et j'ai ressorti mes Kickers d'il y a dix ans. j'ai réfléchi à un beau parc pour les enfants du village et mon fils va se faire opérer.
mon adorable amie Christine est à la clinique et mon ami Guy est en pleine maçonnerie...
je gage que vous vous en foutez mais il y a des journées qui nous surpennent. chaque minute qui passe... les ballons sur les toits, les textos, les voisins, les... chaque minute...
il est temps d'aller dormir...
23:06 Publié dans lamiendo | Lien permanent | Commentaires (5)
beurk...
je déteste qu'on laisse l'étiquette (blanche) du prix sous ses chaussures qu'on pousse mon caddie plus loin dans une allée de supermarché qu'on se gare sur deux places qu'un homme signe en abrégant son prénom du genre Phil Tof Pat (bizarrement pas les filles, les Nath, Lo, Cath... ça ne me dérange pas)... qu'on me plaque les cheveux sur le front qu'on se balance sur une chaise la bière qu'on mette ses mains sur mes épaules bien pesantes pour me faire la bise qu'on rote qu'on arrive en retard sur un quai de gare ou à l'aéroport obligeant l'autre à poireauter qu'on ait des préjugés sur les filles qu'on roule lentement qu'on ne soit même pas capable d'offrir un café voir un bouton attaché en décalé ("attacher mardi avec mercredi" disait ma mère) voir quelqu'un se ronger les ongles (ben oui moi je le fais...) les cuissardes à talons aiguilles les chats qui déterrent mes plantes avoir les doigts qui pèguent les dégats des eaux les chaussures blanches les fringues jaunes qu'on m'embrasse lèvres fermées qu'on laisse son numéro de tél sur mon pare-brise qu'on se vante qu'on mette des housses sur les sièges de sa voiture les étiquettes qui sortent du col des pulls commencer une journée quand les lits ne sont pas faits courir le soir qu'on mette sa main sous mon bras en marchant (à part ma mère mais là...) boire du café s'il n'est pas bouillant les lavabos sales avoir froid aux reins au cou aux mains qu'on affirme que "courir c'est nul se soigner par homépathie aussi vivre dans le nord aussi" manger des arbouses vivre sans lui...
y a certainement bien d'autres choses, mais ce matin ça bouillonne en moi alors fallait que ça sorte !
photo récupérée sur le FB de Florence Laporte
08:50 Publié dans lamiendo | Lien permanent | Commentaires (9)
27 février 2012
Ingrid...
au début des années 80, j'ai vu avec une émotion incroyable "une femme nommée Golda", un film sur Golda Meir, premier ministre israëlien dans la fin des années 70... une femme formidable aussi ferme que compréhensive.
dans le rôle de Golda Meir : Ingrid Bergman.
depuis ce jour-là, je voue une admiration sans bornes pour l'actrice que je trouve belle, courageuse, volontaire, belle, belle, belle...
à un moment donné de ma vie, on m'a dit que j'avais des airs d'Isabella, sa fille.
quel honneur !
alors, je n'ai aucune raison, si ce n'est par envie, de poster une photo de cette femme que j'aime, admire, qui a ouvert la voix à la liberté d'une vie sentimentale riche même si chaotique...
mais comme nous sommes dans une période de récompenses cinématographiques...
20:05 Publié dans lamiendo | Lien permanent | Commentaires (0)
25 février 2012
holidays
un peu de vacances pour changer d'air fera du bien, il me semble.
alors en attendant un peu de bonheur en images que je vous laisse déguster.
(c) Mila Marquis
14:42 Publié dans lamiendo | Lien permanent | Commentaires (1)
22 février 2012
en exclusivité
16:36 Publié dans lamiendo | Lien permanent | Commentaires (3)
21 février 2012
Corinne et Louise
il est des hasards qui me font sourire...
cette auteur-là n'est pas moi et son héroïne n'est pas ma fille... mais bon... troublant !!
il ne me reste plus qu'à le lire... quand la pile qui monte au-dessus de mon lit se sera un peu tassée...
ou à faire sa pub... ce que je fais !!!!
18:07 Publié dans lamiendo | Lien permanent | Commentaires (8)
20 février 2012
petite L
11:45 Publié dans lamiendo | Lien permanent | Commentaires (0)
18 février 2012
je kiffe... j'suis une fille
Barcella...
Mathieu.
10:14 Publié dans lamiendo | Lien permanent | Commentaires (0)
16 février 2012
en vrac
d'abord j'ai dépassé le cap des 5000 visites pour ce mois-ci sur mon blog, alors qu'on n'est que le 15... surtout que là depuis deux jours je bats tous les records !
ensuite je voudrais vous parler de ce livre que j'ai vraiment vraiment vraiment envie de lire.
ce qu'on en dit :
"Jamais la petite bourgade d'Amstetten ne se serait attendue à devenir, ce 26 avril 2008, le centre du monde. Pourtant, c'est bel et bien dans ce bastion de la Basse-Autriche que s'est déroulé l'un des faits divers les plus sordides de ces dernières années. Pendant près de vingt-quatre ans, Josef Fritzl a séquestré sa propre fille dans sa cave. Il l'a violée de manière récurrente à partir de ses douze ans et a eu sept enfants avec elle. L'un d'eux est décédé, trois autres ont été élevés dans la maison - avec leur grand-mère -, et les autres ont grandi au sous-sol. Il a fallu que l'un des bambins soit transporté à l'hôpital pour que la vérité soit révélée au grand jour. Comment un homme peut-il en arriver à une telle monstruosité ? Faut-il mettre en cause l'inconscient collectif du pays de Thomas Bernhard ? Et pourquoi personne ne s'est aperçu de rien ? C'est à ces questions que Régis Jauffret tente de répondre dans Claustria - contraction de claustration et Austria (Autriche)"
après j'enchaine les films de "voyous" et de "trahison" en ce moment, des compliqués, des français, des... et que je me dis que ce n'est plus évident de croire en ses proches dis donc...
et surtout, je me demande pourquoi je n'ai jamais eu le droit de rencontrer ce type qui me fait rêver depuis que j'ai quinze ans, voire avant... c'est vrai mince !
pour finir, le soleil est de retour sur nos contrées provençales et franchement aujourd'hui c'était un régal... comme un air de renouveau, de printemps qui revient... le bonheur !!!
21:47 Publié dans lamiendo | Lien permanent | Commentaires (2)